Forum de rock6070

C'est justement cet ensemble histoire/ longues descriptions que j'aime chez lui.
Ca t'installe dans l'histoire. C'est ce qui me fait me souvenir longtemps de ses ambiances, comme celle de Simetierre.
moi c'est ce que j'aime le moins chez lui pour ça que je suis fan de ses nouvelles. Il arrive a installer une ambiance énorme en quelques pages.

Pour découvrir la Bible, y a aussi .

C'est justement cet ensemble histoire/ longues descriptions que j'aime chez lui.
Ca t'installe dans l'histoire. C'est ce qui me fait me souvenir longtemps de ses ambiances, comme celle de Simetierre.

3 pages pour décrire une plaque d’égout, ça t'installe véritablement dans l'histoire, c'est sûr !

C'est justement cet ensemble histoire/ longues descriptions que j'aime chez lui.
Ca t'installe dans l'histoire. C'est ce qui me fait me souvenir longtemps de ses ambiances, comme celle de Simetierre.

3 pages pour décrire une plaque d’égout, ça t'installe véritablement dans l'histoire, c'est sûr !
c'est ce que je lui reproche ce qui empêche pas que c'est un de mes écrivains préféré, le seul que j'ai trouvé vraiment trop long et assez faible c'est les Tommyckokers parmi ses ancien livres. Mais un Shining reste un grand bouquin d'horreur

Concernant les auteurs décriés et leurs oeuvres, y'en a que j'ai lus, donc je peux en parler :

- Amélie Nothomb : son 1er roman "Hygiène de l'assassin", pas mal, "Peplum", plutôt chiant, "Stupeur et Tremblements", pas mal, en tout cas meilleur que l'adaptation cinématographique.
Bon, ça m'a pas remué, mais ça n'est pas pire que, exemple, "Plateforme" de Houellebecq.

- Le "Da Vinci Code" : lu en 3 jours. Ca fait 600 pages, certes, mais c'est écrit tellement simplement que ça se "bouffe" comme le pop corn dans les grands complexes cinématographiques. Alors, l'histoire, c'est du "lourd", et, c'est là que c'est bien fait, tellement efficace qu'on a envie de connaître la suite ('faut aimer les mystères, les complots, etc.).
La chute est abracadabrantesque.

Mais bon, ça n'est pas pire que ça :

Est-ce ton bonheur
Où est-ce mon honneur
Qui me tient prisonnier
Ou qui me fait geôlier

Et le mur de Berlin n'a pas,
n'a pas de fin
Non le mur de Berlin,
t'en a un, j'en ai un
Il coupe la terre en deux,
comme une grosse pomme
Il coupe ta tête en deux,
comme la première pomme, un peu

Le "un peu" final est sublime.

Le Da Vinci Code c'est comme si on enlevait tout ce qui était intelligent, drôle ou prenant dans Le Pendule de Foucault et qu'on le remplaçait par du rien.

Le Da Vinci Code c'est comme si on enlevait tout ce qui était intelligent, drôle ou prenant dans Le Pendule de Foucault et qu'on le remplaçait par du rien.T'as réussi à aller jusqu'au bout ?

Le Da Vinci Code c'est comme si on enlevait tout ce qui était intelligent, drôle ou prenant dans Le Pendule de Foucault et qu'on le remplaçait par du rien.T'as réussi à aller jusqu'au bout ?
j'ai même lu Ange et Démon en plus

Le Da Vinci Code c'est comme si on enlevait tout ce qui était intelligent, drôle ou prenant dans Le Pendule de Foucault et qu'on le remplaçait par du rien.T'as réussi à aller jusqu'au bout ?

Non, abandonné après cent ou cent cinquante pages. Je veux bien qu'on me prenne pour un con, mais il y a des limites, quand même...

Ah oui, ça n'est pas du roman, de l'essai, etc. mais c'est quelque chose que je ne relirai pas :



J'avais acheté un n° de ce magazine que je ne connaissais pas, attiré par la couverture (pas celle montrée) et le dossier.
Bon, j'achète le n° suivant et, ça et là, je remarque des allusions sur des collaborateurs, et le souci de les réhabiliter.
Je me suis renseigné sur les auteurs de cette revue... et on est très loin des historiens marxistes.
C'est con, c'est plutôt bien écrit.

Le Da Vinci Code c'est comme si on enlevait tout ce qui était intelligent, drôle ou prenant dans Le Pendule de Foucault et qu'on le remplaçait par du rien.T'as réussi à aller jusqu'au bout ?

Non, abandonné après cent ou cent cinquante pages. Je veux bien qu'on me prenne pour un con, mais il y a des limites, quand même...Tu veux que je te raconte la fin ?

Je me suis renseigné sur les auteurs de cette revue... et on est très loin des historiens marxistes.

Sacré Dominique Venner ! J'ai lu son Blanc Soleil des vaincus (une histoire de la guerre de Sécession) quand j'avais douze ou treize ans, à une époque où je lisais tout ce qui parlait d'histoire et me tombait sous la main sans grand discernement, et c'est là que j'ai découvert qu'en fait, il y a des historiens qui s'efforcent d'être objectifs et neutres... et d'autres pas. Je le ressors de temps en temps, juste pour rigoler un bon coup en relisant sa description idyllique des plantations du Sud (un nouvel Éden, bien entendu).

Je me suis renseigné sur les auteurs de cette revue... et on est très loin des historiens marxistes.

Sacré Dominique Venner ! J'ai lu son Blanc Soleil des vaincus (une histoire de la guerre de Sécession) quand j'avais douze ou treize ans, à une époque où je lisais tout ce qui parlait d'histoire et me tombait sous la main sans grand discernement, et c'est là que j'ai découvert qu'en fait, il y a des historiens qui s'efforcent d'être objectifs et neutres... et d'autres pas. Je le ressors de temps en temps, juste pour rigoler un bon coup en relisant sa description idyllique des plantations du Sud (un nouvel Éden, bien entendu).C'est son film préféré ?

Quand j'étais à la fac on l'avais ce magazine d'Histoire à la bibliothèque mais personne de la fac d'Histoire ne l'empruntait. Tout le monde prenait le magazine Histoire. Vu que la plupart de la fac était des profs de gauche, personne le lisait jamais

C'est justement cet ensemble histoire/ longues descriptions que j'aime chez lui.
Ca t'installe dans l'histoire. C'est ce qui me fait me souvenir longtemps de ses ambiances, comme celle de Simetierre.
3 pages pour décrire une plaque d’égout, ça t'installe véritablement dans l'histoire, c'est sûr !
Ca sent l'amateur de littérature, ça. Respect.