33rpm a écrit:En 74, le rock était souvent chiant, pataud ou grandiloquent. On peut comprendre cet engouement pour le disco, festif et insouciant. Ça m’a bien saoulé mais avec le recul, c’est marrant et il faut reconnaître que Cerrone avait du talent, dans son domaine.
C'est en tous points ce que je pense aussi. C'était une réponse populaire aux excès du rock progressif.
Mais encore aujourd'hui je reste incapable d'écouter du disco. Insupportable.
Ah si ! Un tire quand même : FLY ROBIN FLY des Silver Convention auquel je trouve un côté particulièrement hypnotique :
https://m.youtube.com/watch?v=RM72iWami9M

musique d'ailleurs qui se résume le plus souvent à quelques gimmicks futés et une rythmique réduite aux temps forts - d'une pauvreté affligeante - sans parler qu'elle fut surtout la trahison de la grande musique noire et du funk en particulier. Enfin bref suffisait d'avoir les esgourdes ouvertes pour entendre ailleurs...





Mais bon, il n'y en a pas eu tant que ça des bouquins en français sur Virgin Prunes donc je prendrai sur moi ...). 