Maudits soient les spéculateurs !
Comme dirait le poète, ce sont les objets qui nous possèdent alors qu’il suffit de se baigner nu dans la Villaine (ou la Coquine pour qui n’est pas breton) pour se faire une idée du bonheur.
Ce qui n’empêche pas d’aller ensuite se réchauffer la peau des fesses au coin du feu. De préférence avec un single malt d’au moins 12 ans d’âge et un bon bouquin épuisé chopé au prix fort sur la zone.
Argh ! Ça me reprend ! Non, pitié (salpêtrière), vade retro Satolas !







