C'est dans quel film ?

[Monsieur-Hulot]

André Pousse serait-il celui qui prononce cette phrase si oui c'est du Audiard mais lequel ??? Ah moins que ce ne soit Jean Yanne ?

[zuma]

ça sonne comme un slogan de pub alors je vais dire complètement au pif Daniel Prévost dans tout le monde il est beau tout le monde il est gentil.

[Unserious Sam]

Sympa de jouer !

Non, c'est film assez sombre, début des années 80. Les acteurs (principaux et seconds rôles) sont tous exceptionnels. C'est l'histoire d'une homme jeune, orphelin de père, qui tombe sous l'emprise de son tout nouveau patron, un homme mûr ultra-charismatique et quasi-démoniaque. En tombe-t-il amoureux ? Voit-il en cet homme son père disparu ? On ne le sait jamais vraiment, et même la conclusion intrigante à souhait ne nous renseigne pas... Un très, très grand et beau film, que je revisionne facilement 2 à 3 fois par an... Serais-je moi aussi fasciné par l'acteur principal ? Il y a de plus dans ce film des scènes d'anthologie, sans action, tout dans le poids des dialogues et des non-dits... Si j'étais élève dans une école de cinéma, je choisirais ce film comme sujet d'étude, tant j'aurais de choses à dire dessus. Chaque scène, voire chaque plan est un bijou !

[zuma]

Je vois. J'hésite entre Les dix commandements et Le livre de la jungle.

[Bebeto]

"Que les gros salaires lèvent le doigt !", avec Jeannot Poiret.

[Unserious Sam]

Non, c'est moins "farce" que ce film (que j'aime beaucoup aussi, en passant )

Autres indices : chocolat, rock show et sommeil. Et "petits", en italien

[abuddy]

Arf !

[zuma]

Pierre Malet dans La confusion des sentiments. C'est Piccoli qui m'a fait trouver.

[abuddy]

Je pense, non je suis sûr que c'est "une étrange affaire". Je l'ai revu vendredi dernier sur la chaine Club.

[gillesmon]

Arf !

j'allais poster pareil ! film très marquant avec un Piccoli machiavélique, ainsi que J-P Kalfon, démoniaque et un peu faux-cul !

[Algernon]

Sympa de jouer !

Non, c'est film assez sombre, début des années 80. Les acteurs (principaux et seconds rôles) sont tous exceptionnels. C'est l'histoire d'une homme jeune, orphelin de père, qui tombe sous l'emprise de son tout nouveau patron, un homme mûr ultra-charismatique et quasi-démoniaque. En tombe-t-il amoureux ? Voit-il en cet homme son père disparu ? On ne le sait jamais vraiment, et même la conclusion intrigante à souhait ne nous renseigne pas... Un très, très grand et beau film, que je revisionne facilement 2 à 3 fois par an... Serais-je moi aussi fasciné par l'acteur principal ? Il y a de plus dans ce film des scènes d'anthologie, sans action, tout dans le poids des dialogues et des non-dits... Si j'étais élève dans une école de cinéma, je choisirais ce film comme sujet d'étude, tant j'aurais de choses à dire dessus. Chaque scène, voire chaque plan est un bijou !

J' confirme !

[Unserious Sam]

Yop yop yop ! Bravo aux trouveurs ! Quel film magnifique ! La fascination morbide qu'éprouve Lanvin pour Piccoli, qui entraîne l'éclatement de son couple (Nathalie Baye)... Et ces deux ludions, Balmer et Kalfon, sortes d'âme damnées, qui semblent pousser tous les sentiments d'un Lanvin en pleine perdition sentimentale et émotionnelle. Et le personnage de Balmer, au final, qui semble lui tendre une perche pour le sauver du naufrage, sans que Lanvin ne semble vouloir se raccrocher aux bouts de bois qu'on lui tend... Et ce "Diable", qui semble faussement (ou non ?) douter de lui-même (cette façon de lancer des "non ?" interrogateurs, à la fin de chacune de ses phrases, comme pour mieux mettre en confiance sa proie... ). Et ce plan magnifique ou Nathalie Baye qui, en voyant Piccoli de loin, sortant de sa voiture et resserant son manteau sur lui, détourne soudain le regard en disant "Je ne l'aime pas", comme si elle avait tout deviné d'emblée...

[Monsieur-Hulot]

J'ai trouvé avec tes indices, effectivement, un film qui "remue" ....Piccoli a t-il été mauvais une fois dans un film ? Je dis NON ! Même dans THEMROC il est là !

[gillesmon]

pour ceusses qui ne connaitraient pas

Ich glaube, die Wellen verschlingen
Am Ende Schiffer und Kahn;
Und das hat mit ihrem Singen
Die Lorelei getan.

Je crois que les vagues engloutissent finalement le marin et sa barque
Et c’est le chant de la Lorelei qui en est la cause.

[Algernon]

Tiens, un flim celui-là avec beaucoup de dialogues, et Piccoli, que je peux également revoir à l'envi.