Plôm a écrit:Voici ma "petite" sélection
► STEVEN WILSON - Hand Cannot erase
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SACRI MONTI - Sacri Monti►
KAMASI WASHINGTON - The Epic► NIK TURNER - Space Fusion Odyssey
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MONDO DRAG - Mondo Drag►
WITCHWOOD - Litanies From The Woods► RYLEY WALKER - Primrose Gr
► MAX RICHTER - From Sleep
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BEARDFISH - +4626-Comfortzon► HORISONT - Odyssey
► GODSPEED YOU ! BLACK EMPEROR - Aseunder, Sweet And Other Distress
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NAXATRAS - Naxatras►
SUSANNE SUNDFØR - Ten Love Songs►
MATUJA - Matuja►
MOON DUO - Shadows Of The Sun [/quote]
Super sélection, quelques trucs que je ne connais pas, mais dans l'ensemble nous avons écouté pas mal de mêmes disques et en avons apprécié beaucoup aussi (voir ci-dessous ; j'ai souligné ceux qui m'ont emballé, entièrement ou partiellement). Aucun ne figure sur ma liste des cinq, cependant. Preuve de la richesse musicale de cette année et de la variété de nos goûts.
Quelques remarques pêle-mêle.
Le
Beardfish est inégal mais solide et contient de jolis moments (Hold on/The Comfort zone...) (je ne sais pas si tu as eu l'occasion de mettre la main sur la version les titres "The Early Years", qui valent le coup).
Le
Sundfor est bien classé dans pas mal de listes de fin d'année. Je la suis depuis le début, je te conseille
The Brothel de la miss.
Mondo Drag m'a longtemps accompagné. J'en ai parlé sur le fofo dès sa sortie (avancée) en janvier de l'an passé.
Sacri Monti envoie le bois, abrasif jusqu'à l'extinction du merveilleux dernier titre, éponyme. Le plus beau de l'album à mon sens. L'une des plus beaux épilogues d'album de cette année.
Horisont n'est pas mal musicalement, même si plan-plan au niveau originalité, de plus la voix haut perchée, étranglée sonne anachronique (avec de la réverb' par moments). C'est le maillon faible du disque qui fait penser au métalleux 80's (Back On The Streets sonne comme du Def Lep avant leur invasion américaine et même à un groupe un peu oublié maintenant The Pretty Maids).
Quant aux grands noms, je n'ai pas accroché au Wilson plus que ça, mais comme souvent avec lui, ni au Godspeed, le Nik Turner qui a soulevé l'enthousiasme ici ne m'a guère emballé.