LSD, et autres psychotropes

[tête de lynott]

Déja que je pensais pas en prendre une fois dans ma vie, je pense que mon avis est maintenant ferme
Ma dépendance à la musique me suffit. Même si je parle d'autre chose, étant donné que le lsd ne rend dépendant.

[Joe Cool]

Encore faut il avoir eu l'occasion de le faire.
En 2013, le LSD ça n'existe plus. Peut être certains trucs qui porte le nom, mais pas sur que le produit qui traine aujourd'hui aurait eu le même succès dans 60'

Le LSD existe encore, très peu de substances aussi puissantes peuvent tenir sur un buvard.
Mais on a tout de même vu depuis un certain moment pulluler les RC (Research Chemicals), molécules trafiquées par des apprentis chimistes et pas encore interdites, sur le net. D'autres psychédéliques ont fait leur apparition comme le 2C-D, 2C-E...(Et Shulgin n'y est pas pour rien!).

Ce n'est pas la même formule, je n'aurais absolument pas confiance en ce produit.

Bien sûr, une prise peut réveiller par exemple, une schizophrénie, voire une psychose, comme n'importe quel produit. Mais c'est que celle-ci était déjà présente et enfouie, bien avant l'ingestion du produit.
Il faut être conscient que, l'hallucinogène peut changer la perception que l'on a de la "vie" en général, qu'il peut "changer" totalement une personnalité.

C'est dit, je ne me sens pas assez sain d'esprit pour risquer de foutre en l'air l'équilibre avec lequel j'arrive actuellement à vivre.

C'était ma conclusion, je me tiens loin de ce topic maintenant

Merci pour ta contribution Lecomteduck, tu a su faire ton choix et c'est ce qui est important, se connaitre soit même avant tout !

[Witchy Cow]

C'est dit, je ne me sens pas assez sain d'esprit pour risquer de foutre en l'air l'équilibre avec lequel j'arrive actuellement à vivre.

C'était ma conclusion, je me tiens loin de ce topic maintenant

Existe-t-il un seul être humain sur cette terre qui peut prétendre être réellement, entièrement sain d'esprit ? Bien dans ses pompes ? J'en doute... Nous avons tous notre vécu, des traumatismes, des séquelles, dès les premières années de l'enfance, quand on observe le monde sans le comprendre. Nous doutons, de nous, de tout. Ceux qui tentent les drogues dures, je doute qu'ils le fassent dans un état d'esprit vraiment positif, d'où justement le grand danger.

[Joe Cool]

C'est dit, je ne me sens pas assez sain d'esprit pour risquer de foutre en l'air l'équilibre avec lequel j'arrive actuellement à vivre.

C'était ma conclusion, je me tiens loin de ce topic maintenant

Existe-t-il un seul être humain sur cette terre qui peut prétendre être réellement, entièrement sain d'esprit ? Bien dans ses pompes ?J'en doute... Nous avons tous notre vécu, des traumatismes, des séquelles, dès les premières années de l'enfance, quand on observe le monde sans le comprendre. Nous doutons, de nous, de tout. Ceux qui tentent les drogues dures, je doute qu'ils le fassent dans un état d'esprit vraiment positif, d'où justement le grand danger.

Oui, le saint père, il fait faire ses pompes par un artisan cordonnier Péruvien, et même qu'elles sont rouge. C'est la télé qui me l'a dis

[Aldaran]

Oui, oui. Moi aussi.

Alors je redis que je pense que la dépendance à l'alcool ou le cannabis n'est pas forcément liée à la substance elle-même, contrairement par exemple au tabac ou à des drogues autres. C'est l'évidence même. Des tas de gens boivent volontiers un verre de vin de temps en temps sans pour autant devenir alcooliques. Beaucoup fument un joint de temps en temps sans ressentir le besoin d'en fumer tous les jours. Je le sais, je l'ai fait, je connais beaucoup de gens qui fumaient aussi occasionnellement seulement.
La dépendance à ces substances vient d'ailleurs, parfois un mal de vivre, un sentiment de vide dans sa vie. Pour d'autres, ils deviennent dépendants aux jeux, des joueurs compulsifs.

Pas convaincu du tout. Evidemment, il faut dépasser une certaine quantité régulière pour que la dépendance apparaisse. Je connais très bien une personne qui ne fume qu'une cigarette par an et n'est évidemment pas dépendante du tabac. Sauf que, maintenant c'est intégré par tout le monde : le tabac rend dépendant. A partir d'une certaine quantité régulière.

[Witchy Cow]

Certes, mais justement, pourquoi certains se contentent d'une quantité modérée et d'autres l'augmentent ? Si certains se contentent de consommer avec modération et y arrivent, c'est donc que le produit en lui-même ne rend pas dépendant.

[Joe Cool]

Déja que je pensais pas en prendre une fois dans ma vie, je pense que mon avis est maintenant ferme
Ma dépendance à la musique me suffit. Même si je parle d'autre chose, étant donné que le lsd ne rend dépendant.

C'est bien d'avoir lancer le sujet, tu a été curieux, tu a eu tes réponses, tu a pris ta décision, j'espèrent que cela serve a d'autres comme cela t'a servis.

[Aldaran]

Certes, mais justement, pourquoi certains se contentent d'une quantité modérée et d'autres l'augmentent ? Si certains se contentent de consommer avec modération et y arrivent, c'est donc que le produit en lui-même ne rend pas dépendant.

Idem pour le sexe, pour la musique, pour... Je ne suis pas en mesure de répondre à ce "pourquoi" mais je pense que c'est davantage lié aux personnes qu'aux produits, quels qu'ils soient.

[Blues For Joe]

Certes, mais justement, pourquoi certains se contentent d'une quantité modérée et d'autres l'augmentent ? Si certains se contentent de consommer avec modération et y arrivent, c'est donc que le produit en lui-même ne rend pas dépendant.

La dépendance est un phénomène physiologique. C'est l'équilibre chimique du cerveau qui est modifié et les neurotransmetteurs qui réclament leur dose.
Bon je suis pas neurologue donc je détaillerais pas plus, mais ce n'est pas qu'une simple histoire de volonté ou d'habitude.

[Aldaran]

Certes, mais justement, pourquoi certains se contentent d'une quantité modérée et d'autres l'augmentent ? Si certains se contentent de consommer avec modération et y arrivent, c'est donc que le produit en lui-même ne rend pas dépendant.

La dépendance est un phénomène physiologique. C'est l'équilibre chimique du cerveau qui est modifié et les neurotransmetteurs qui réclament leur dose.
Bon je suis pas neurologue donc je détaillerais pas plus, mais ce n'est pas qu'une simple histoire de volonté ou d'habitude.

Je suis d'accord avec ça. J'ajoute que chacun n'accepte pas les produits de la même façon. Le tout, volonté, fréquence et différence d'acceptation des produits, n'aide pas à donner une réponse au "pourquoi".

[Bebeto]

Certes, mais justement, pourquoi certains se contentent d'une quantité modérée et d'autres l'augmentent ? Si certains se contentent de consommer avec modération et y arrivent, c'est donc que le produit en lui-même ne rend pas dépendant.

Idem pour le sexe, pour la musique, pour... Je ne suis pas en mesure de répondre à ce "pourquoi" mais je pense que c'est davantage lié aux personnes qu'aux produits, quels qu'ils soient.

Pas d'accord avec toi, le produit y est pour beaucoup.

Si on pense aux conséquences, on ne s'autodétruit pas de la même manière, avec la musique, même en intra-veineuse et avec du LSD.

[Witchy Cow]

Certes, mais justement, pourquoi certains se contentent d'une quantité modérée et d'autres l'augmentent ? Si certains se contentent de consommer avec modération et y arrivent, c'est donc que le produit en lui-même ne rend pas dépendant.

Idem pour le sexe, pour la musique, pour... Je ne suis pas en mesure de répondre à ce "pourquoi" mais je pense que c'est davantage lié aux personnes qu'aux produits, quels qu'ils soient.

Ben voilà, c'est exactement ce que je disais... À Internet aussi d'ailleurs. Ce n'est pas le produit qui crée forcément la dépendance.

[Witchy Cow]

Certes, mais justement, pourquoi certains se contentent d'une quantité modérée et d'autres l'augmentent ? Si certains se contentent de consommer avec modération et y arrivent, c'est donc que le produit en lui-même ne rend pas dépendant.

Idem pour le sexe, pour la musique, pour... Je ne suis pas en mesure de répondre à ce "pourquoi" mais je pense que c'est davantage lié aux personnes qu'aux produits, quels qu'ils soient.

Pas d'accord avec toi, le produit y est pour beaucoup.

Si on pense aux conséquences, on ne s'autodétruit pas de la même manière, avec la musique, même en intra-veineuse et avec du LSD.

Oui mais ça peut devenir une drogue aussi. Un besoin compulsif. Internet en est la preuve, à la base, ce n'est pas "dangereux pour la santé". Or nous sommes pour la plupart dépendants d'Internet. La musique, nous en consommons pour la plupart en quantité telle qu'on n'arrive plus à suivre.

Quand je suis partie en voyage récemment, j'ai fait le choix de ne pas me connecter du tout, pendant toute une semaine, alors que je pouvais le faire facilement. Je n'ai pas relevé mes messages, rien, pas d'Internet. Et ça ne m'a pas manqué le moindrement, bien au contraire, je me sentais merveilleusement libérée. Mais quand on est chez soi, on a pour la plupart ce besoin d'aller constamment voir si on a des messages, etc. C'est une dépendance. Peut-être qu'elle n'est pas sans lien avec les autres.

[Aldaran]

Certes, mais justement, pourquoi certains se contentent d'une quantité modérée et d'autres l'augmentent ? Si certains se contentent de consommer avec modération et y arrivent, c'est donc que le produit en lui-même ne rend pas dépendant.

Idem pour le sexe, pour la musique, pour... Je ne suis pas en mesure de répondre à ce "pourquoi" mais je pense que c'est davantage lié aux personnes qu'aux produits, quels qu'ils soient.

Pas d'accord avec toi, le produit y est pour beaucoup.

Si on pense aux conséquences, on ne s'autodétruit pas de la même manière, avec la musique, même en intra-veineuse et avec du LSD.

Je suis d'accord avec ça.
Je fais juste la différence entre la dépendance et les effets. Bien sûr certains produits détruisent plus que d'autres. Et pas de la même manière en fonction de celui qui les prend.

[Bebeto]

@ witchy et aldaran, bien évidemment le phénomène d'addiction est analysé (sport, jeux vidéo, casino...), reconnu en dehors de la sphère drogue. Mais à mon sens, le choix n'est pas anodin ou indifférent.