
Ettore Scola nous livrait cette année-là sur fond d'Italie fasciste un film profond sur le totalitarisme et la liberté individuelle.
L'affiche s'ornait d'une photo représentant sur le toit terrasse d'un immeuble romain les deux acteurs principaux alors au sommet de leur gloire : Sophia Loren et Marcello Mastroianni. Leurs personnages étaient à l'opposé des sex-symboles qu'ils avaient toujours joués ou étés : Sophia en mamma décoiffée à peine maquillée et Marcello en intellectuel homo. Un grand film.
