Dites donc !

Pour y papoter de tout et de rien, parler de ce que vous écoutez en ce moment, délirer, s'amuser...

Re: Dites donc !

Messagepar The Dark Dude » 10 Fév 2019, 13:03

bratislava1 a écrit:
Romulien a écrit:On passe à un autre niveau.

https://www.tvanouvelles.ca/2019/02/09/ ... o#cxrecs_s



S'il se trouve aussi toxique, pourquoi attendre et ne pas se supprimer ?


C'est ses parents qu'il trouve toxique, non?
Soit il fait sa crise d'ado et à son âge, c'est ... imbécile et minable
Soit il veut qu'on parle de lui et espère trouver des gens pour relayer "l'info"
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Re: Dites donc !

Messagepar Unserious Sam » 12 Fév 2019, 19:58

Je trouve les deux dernières "visions" bath, épatantes, sensass (surtout la dernière, d'ailleurs : ça fait vraiment bizarre !)) :)

Sinon, les BogdaRabanne c'est port' nawak, comme d'hab, et j'aime beaucoup la 5, allez savoir pourquoi :-)) :9qva:

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Re: Dites donc !

Messagepar Unserious Sam » 17 Fév 2019, 21:38

Camera Silens... Le nom me disait kekchose...

« LA MUSIQUE AURAIT DÛ ME SAUVER »

Gilles Bertin, ex-chanteur d’un groupe punk, a vécu près de trente ans en cavale après un braquage retentissant en 1988. Il revient sur ce passé alors sans futur.

*Contexte
No future ! Pour beaucoup de jeunes au début des années 1980, le cri de révolte des punks n’était qu’un simple slogan, vite rangé le soir après les cours, entre les Dr. Martens à coque et le Harrington chez papa-maman. Gilles Bertin, lui, l’a appliqué à la lettre, jusqu’au point de non-retour. Leader de l’éphémère groupe punk Camera Silens à Bordeaux, il aurait pu s’inventer un itinéraire à la Noir Désir, avec qui le groupe a partagé la scène au milieu des années 1980. Mais l’héroïne et la prison l’ont aiguillé vers une autre voie : un spectaculaire braquage de la Brink’s en 1988 à Toulouse, puis la fuite, insensée. Pendant vingt-huit ans, en cavale en Espagne, il va vivre sans identité, sans existence légale. Avant de se rendre en 2016 pour solder son passé. La justice ne l’a condamné qu’à cinq ans avec sursis. Libre, il raconte cet incroyable destin dans un livre, « Trente Ans de cavale, ma vie de punk ».



UNE GRANDE TIGE surmontée de cheveux blonds bouclés et de lunettes aux verres épais. Un corps trop mince pour ses vêtements de type randonnée. A 57 ans, il est loin de l’image du punk braqueur en fuite. Au siège de l’éditeur de son livre, Gilles Bertin nous répond, l’air apaisé.

Il y a deux ans, vous avez choisi de vous rendre à la justice française, alors que vous étiez à huit ans de la prescription de votre condamnation en 2004 (en son absence). Pourquoi ?

La lassitude après vingt-huit ans de cavale, une grande lassitude. J’en avais marre de raconter des histoires, et puis je ne voulais pas mentir à l’enfant que j’ai eu. Huit ans avant la prescription, c’est long. Il commençait à me poser des questions, pourquoi je sortais moins que sa mère, pourquoi j’étais toujours en retrait…

Comment avez-vous vécu ces trois décennies de fuite ?

Je pourrais dire que cela ressemble presque à la prison, même si on n’est pas entre quatre murs. J’étais toujours en alerte, à vérifier si je n’étais pas suivi. Impossible de sortir et d’avoir une vie sociale. Je suis devenu réellement paranoïaque, à la limite de la folie, et j’ai entraîné avec moi celle qui est devenue ma compagne. C’est elle qui m’a sauvé la vie. Trente ans sans identité, on finit par devenir invisible.

En juin dernier, la justice vous condamne finalement à du sursis. Vous êtes libre. Estimez-vous avoir payé votre dette ?

Je le pense, oui, c’est aussi pour cela que je me suis livré. Pour me libérer de ce fardeau. Je m’attendais vraiment à partir en prison, je m’y étais préparé. Le tribunal a certainement jugé l’homme que je suis devenu, pas celui que j’étais. C’est une seconde chance qu’on m’offre, je la mesure.

Même s’il n’y a pas eu de blessés il y a trente ans, le braquage avec séquestration a été traumatisant pour les victimes. En aviez-vous conscience à l’époque et qu’en pensez-vous maintenant ?

Aujourd’hui, bien sûr que j’en suis conscient. Je ne supporte plus la violence, d’ailleurs. Les victimes n’ont pas voulu assister au procès, je les comprends. Mes actes sont impardonnables. A l’époque, j’avais 25 ans, j’étais complètement immature, sans empathie, je pensais qu’en ne faisant pas usage des armes ça n’aurait pas de conséquences. Nous étions en guerre contre la société où je pensais ne pas pouvoir m’insérer.

Comment avez-vous basculé dans l’illégalité ?

J’étais en rupture familiale totale. A 18 ans, je me suis tiré de chez mes parents. Ce qui a tout changé, c’est la drogue, l’héroïne. J’ai mis deux ans à m’en sortir, mais c’est elle qui m’a poussé vers la délinquance, puis la prison. C’est là que j’ai rencontré des voyous et cela m’a amené au braquage. J’étais incapable de travailler, à cette époque, je ne pouvais pas faire autre chose. La musique aurait dû me sauver, mais la drogue en a décidé autrement. Elle était partout et elle m’a eu.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

C’est d’abord une rencontre avec un journaliste, Jean-Manuel Escarnot, qui m’a proposé cette aventure. Il est décédé depuis, je ne l’aurais pas fait sans lui. Je le vois maintenant comme un témoignage pour mes enfants, le petit garçon que j’ai eu en cavale, le grand qui est né avant et que je n’ai quasiment pas connu. Je leur raconte tout ce que je n’ai pas pu leur dire. Et c’est aussi une leçon : on doit toujours payer pour ses conneries.

Bertrand Cantat, que vous avez croisé à Bordeaux à l’époque de Noir Désir, fait l’objet d’une polémique sur la possibilité de refaire sa vie. Qu’en pensez-vous ?

Je pense d’abord aux victimes. C’est la priorité. Je n’ai pas à juger de la situation de Cantat, mais, effectivement, comme moi, on lui a accordé une seconde chance. Doit-il payer à vie ? Si oui, alors c’est la loi du Talion qui revient.

Est-ce que vous pratiquez encore la musique ?

Un peu de guitare, de temps en temps. J’écoute beaucoup de musique soul, de la musique noire américaine. Mais j’aime toujours le rock. Avec les anciens de Camera Silens, on se revoit. C’est fou, mais il y a une énorme demande pour nous faire remonter sur scène ! On y pense, peut-être à de nouveaux morceaux aussi…


« Le spectacle de 11 751 316 francs en petites coupures possède les mêmes vertus euphorisantes que la meilleure des herbes jamaïquaines. » Dans son livre, Gilles Bertin raconte en détail le casse de la Brink’s, resté dans les mémoires à Toulouse (Haute-Garonne) par son audace et le butin important pour l’époque (près de 2 M€), qui le fera basculer dans vingt-huit ans de cavale. A la manœuvre, une improbable équipe de punks, marginaux, gauchistes ou anciens proches d’ETA. Mais la préparation est quasi militaire, mûrie des mois, rappelant les meilleurs polars comme « l’Ultime Razzia », de Kubrick.

Le 26 avril 1988 au soir, deux employés de la Brink’s sont séquestrés chez eux avec leurs compagnes par une partie de l’équipe, dont certains déguisés en gendarmes. Menottés, ils sont emmenés dans un hangar isolé pour leur extirper les procédures de sécurité du centrefort de Toulouse. Le lendemain, ils sont contraints à désactiver les alarmes. Dehors, un faux barrage de gendarmes avec 4L bleues réglementaires intercepte les autres employés, le temps pour les voleurs de vider les coffres. A 8 heures, sans tirer un coup de feu, les huit braqueurs disparaissent. Un coup parfait. Les enquêteurs pensent à une opération du grand banditisme. Mais trop d’indices laissés derrière eux (Bertin a oublié des exemplaires de « Libération » et de « Fluide glacial » avec ses empreintes dans une planque !) conduiront la PJ sur leur trace. La plupart des complices seront interpellés. Bertin, lui, a choisi la fuite.

Camera Silens - Cendres et soleil.mp3
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Camera Silens - Classe criminelle 1 & 2.mp3
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Camera Silens - Squatt.mp3
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Re: Dites donc !

Messagepar Algernon » 25 Fév 2019, 10:08

Après toutes ces décennies... Il serait temps de se pencher là-dessus. 0-)
Prenez votre temps.
C'est là que l'on constate le sérieux et la fiabilité des administrations germaniques. :uhuh:
Pensions du régime nazi : 54 Français touchent encore une retraite
Plus de 2 000 personnes dans le monde, parmi lesquelles 54 Français, touchent encore une pension d'invalidité de l'État allemand en tant qu'anciens collaborateurs du régime nazi.

https://www.francetvinfo.fr/economie/em ... 04303.html
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Re: Dites donc !

Messagepar Monsieur-Hulot » 25 Fév 2019, 11:12

Vers la toute fin des années '90, mon ex petite amie, dont les grands parents avaient été déportés, avait reçu un jour une somme en compensation de la destruction de ses aïeux ! Par la Poste ! 0-) 0-) 0-)
FILLES & MOTEURS, JOIES & DOULEURS !
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Re: Dites donc !

Messagepar nunu » 25 Fév 2019, 12:34

Ces pensions sont versées en vertu d'une loi allemande de 1951, qui permet aux victimes de guerre allemandes de toucher une indemnité. Elles bénéficient aussi à d'anciens nazis ou collaborateurs étrangers du régime d'Adolf Hitler, mais également à des personnes enrôlées de force. Les ex-membres de la SS en sont exclus, tout comme toute personne condamnée pour crimes de guerre.

En France ceux qui les touchent sont beaucoup de 'Malgré Nous'
Bono se pointe vers moi et me dit « Ça va fiston ? » Je ne suis pas ton fiston, connard. Ce mec là a fait un ou deux bons disques, mais de là à m'appeler fiston... (Liam Gallagher, 1995)
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Re: Dites donc !

Messagepar bratislava1 » 25 Fév 2019, 13:58

Pensions du régime nazi : 54 Français touchent encore une retraite
Plus de 2 000 personnes dans le monde, parmi lesquelles 54 Français, touchent encore une pension d'invalidité de l'État allemand en tant qu'anciens collaborateurs du régime nazi.


Effectivement, c'est certainement plus compliqué que ce qu'indique cette affirmation à l'emporte pièce. Il sera intéressant lorsque le dernier survivant aura passé l'arme à gauche de connaître les raisons de cette pension et qui en a bénéficié.

Pour le moment je ne vois pas de raison convenable de faire une chasse aux sorcières.

D'autant que beaucoup de personnes n'avaient pas vraiment d'autre choix que de servir le régime en place. (Je pense en autre à l'Alsace - Lorraine).
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Re: Dites donc !

Messagepar Algernon » 25 Fév 2019, 15:24

"pas vraiment d'autre choix" signifie enrôlé de force. Il me semble comprendre que la pension dont il est question concerne une collaboration franche ou un engagement volontaire pour rejoindre l'effort du Reich (1 000 ans). :rollin:
Je ne suis pas excité par une quelconque "chasse aux sorcières", mais ça me fait sourire (si je puis dire) à la lumière de certains faits qui font partie de l'histoire, surtout française.
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Re: Dites donc !

Messagepar bratislava1 » 25 Fév 2019, 18:52

Algernon a écrit:"pas vraiment d'autre choix" signifie enrôlé de force. Il me semble comprendre que la pension dont il est question concerne une collaboration franche ou un engagement volontaire pour rejoindre l'effort du Reich (1 000 ans). :rollin:
Je ne suis pas excité par une quelconque "chasse aux sorcières", mais ça me fait sourire (si je puis dire) à la lumière de certains faits qui font partie de l'histoire, surtout française.


Disons que je demande à voir avant de juger. Au cas par cas. Je sais par expérience combien il est délicat de savoir comment nous réagirions sous un régime dictatorial; tellement les possibilités de pressions sont nombreuses. J'en veux pour exemple le nombre incroyables de "coopérants" dans les pays du pacte de Varsovie.

1000 ans... il voyait grand ! :bat:
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Re: Dites donc !

Messagepar Algernon » 25 Fév 2019, 19:03

Bon alors, que choisir quand on a trente-cinq ans en 1940, disais-je lorsque je fus assez grossièrement interrompu par moi-même malgré mes remarques réitérées ?
Eh bien, pour être tout à fait franc, en 1940, j'ai longtemps hésité entre la Résistance et la collaboration.
Il faut bien voir qu'en une période ennuyeuse comme le fut celle de l'Occupation - songez qu'en 1940 Patrick Sabatier n'était même pas né...
Pour vous dire à quel point on pouvait s'emmerder !
Qu'est-ce que vous avez tous contre ce jeune homme?
Hein ?
Oui, moi aussi j'ai connu des topinambours qui avaient le regard plus vif !
C'est vrai aussi que si on épluche un topinambour, en dessous, y a quelque chose !
Bon enfin, on n'est pas là pour faire chier les rhizomes -, je disais que dans une période ennuyeuse comme le fut celle de l'Occupation, la seule distraction qui se présentait au Français, après la messe, c'était de faire ou de la Résistance, ou de la collaboration.
Mais là encore, que choisir ?
Alors bien sûr, la collaboration, c'était le bon droit, la respectabilité, un prie-Dieu réservé à Saint-Honoré-D'Eylau, les amitiés de Pierre Laval assurées, les indulgences de Pie XII également, et puis des places de faveurs aux concerts de Tino Rossi et de Maurice Chevalier.
Oui, mais la Résistance, c'était la vie au grand air, youkaïdi youkaïda!
Oui, mais la collaboration, c'était la possibilité d'apprendre une jolie langue étrangère à peu de frais.
Oui, mais dans la Résistance, on se cultivait pas l'âme, mais on rigolait bien. Boum, le train ! Boum, la voie ferrée!
Tagadagada, le petit viaduc, Ouais, j'l'ai eu ! Ouais, j'l'ai eu !"
Oui, mais dans la collaboration, on faisait pas sauter des ponts, mais on pouvait sauter des connes !
Oui, mais pour bien gagner sa vie, dans la collaboration, fallait dénoncer les juifs.
C'est pas très joli, comme occupation, pour gagner sa vie, de dénoncer les juifs.
Oui mais, dans la Résistance, on dénonçait pas les juifs, mais fallait vivre avec!
Enfin, bref, à force de tergiverser, j'avais toujours pas pris de décision le 25 août 1944, quand j'ai vu soudain des centaines de chars déboucher dans la rue de Rivoli.
Je me rappelle très bien ce matin-là : il faisait un temps magnifique, je me promenais sous les marronniers du jardin des Tuileries, quand soudain, c'est arrivé.
Le fracas des chaînes des tanks faisait trembler la poussière.
Une jeune inconnue s'est approchée de moi, elle était belle, blonde, au regard bleu.
"Monsieur !" s'est-elle écriée en me pressant le bras, avec des larmes de joie dans les yeux, "Monsieur, regardez, mais regardez, c'est l'armée française, la vraie, les Forces françaises libres, mais votre pays est libéré, monsieur !"
- Pourquoi dites-vous "Votre pays" ?
- "Oh ! C'est que moi-même, monsieur, je ne suis pas française, je suis citoyenne helvétique, de Berne."
Elle avait en effet un assez fort accent germanique.
J'ai juste eu le temps de la tondre, les FFI arrivaient.

(c) Pierre Desproges. Textes de Scène. (Spectacle joué au Théâtre Fontaine en 1984)
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Re: Dites donc !

Messagepar Aldaran » 25 Fév 2019, 22:10

Un journaliste : On ne pourrait plus dire des choses comme ça, aujourd'hui !
Desproges : Ben si, du Gland ! Je viens de le faire !

Merci, Algernon !
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Re: Dites donc !

Messagepar Pablitta » 05 Mar 2019, 15:23

Soyez forts .... La boîte jaune Nesquik va disparaître


C'est une page qui se tourne. Un souvenir d'enfance qui va disparaître. La boîte en plastique Nesquik va laisser la place à un emballage recyclable au printemps. Pour la bonne cause: Nestlé veut 25% de matières recyclées et produire 100% d’emballages recyclables en 2025.
Collectionneurs c'est le moment. Après Banania qui avait changé son packaging il y a quelques années, Nestlé s'aprête à faire disparaitre la célèbre boîte jaune de Nesquik au printemps prochain. Epinglée par l’ONG Break Free From Plastic comme étant l’un des plus gros pollueurs de la planète, la société Nestlé a décidé de lancer un nouveau packaging en papier 100% recyclable, disponible d'ici quelques semaines dans les rayons. Une nouvelle stratégie pour le groupe Nestlé qui, d'ici 2025, veut incorporer 25% de matières recyclées dans ses emballages et produire 100% d’emballages recyclables. (blablabla) ».

Un nouveau produit moins sucré mais plus cher.

Tiens tiens ...

Au passage, la boisson chocolatée va subir quelques modifications dans sa composition. Nestlé va en effet profiter du nouvel emballage pour lancer Nesquik "All Natural" une poudre qui contient « 20% de sucres en moins », assure Suzanne Manet, directrice générale division chocolats de Nestlé France. Une poudre réalisée avec du "cacao est issu des productions du « plan cacao »" pour une production équitable, précise Environnement Magazine. Moins de sucre et une meilleure traçabilité mais aussi un prix plus cher: 1,86€ pour 186 grammes de poudre, soit trois fois plus cher que le Nesquik traditionnel.
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Re: Dites donc !

Messagepar bratislava1 » 05 Mar 2019, 18:24

Dites donc; cet am je suis allé à Emmaüs, j'ai trouvé un livre de Jean Teullé - mais là n'est pas le sujet - a l'intérieur une surprise m'attendais, un chèque de 132 euros datant du 6 juin 2018 sans ordre, parfaitement encaissable, daté, signé.

J'en fais quoi ?
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Re: Dites donc !

Messagepar Jo Bolais » 05 Mar 2019, 18:28

Tu me l'envoies pardi ! :-)) :copains: :coucouz:
http://leboncraignos.blogspot.fr/
Le rendez-vous du microsillon inouï.
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Re: Dites donc !

Messagepar bratislava1 » 05 Mar 2019, 18:39

Jo Bolais a écrit:Tu me l'envoies pardi ! :-)) :copains: :coucouz:


Evidemment ! je suis con moi aussi ! :))
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