J'aime bien cette version de l'hymne de Manu Chao, Clandestino, la voix grave, la diction et le très beau jeu de guitare : Eddie Berman (qui sort in disque de reprises) :
Spoiler!
"I took a dead man's Gibson, gonna write the world's last great song But my muse was out fucking in gutters all night long"
Romulien a écrit:2 reprises en français de la chanson A far l'amore comincia tu.
Raffaella Carra-Puisque tu l'aime dis-lui
Spoiler!
Peut on parler de reprise lorsque c'est le créateur de la chanson originale qui la chante dans une autre langue que la sienne ? Ici Raffaella Carra a sorti les deux versions sur le même 45T
Clap your hands stamp your feet, get down get with it,
1972, Incontestablement la plus célèbre chanson de Lou Reed, Walk on the Wild Side s'inspire de La Rue chaude (en anglais, Walk on the Wïld Side), un roman de l'écrivain américain Nelson Algren paru en 1956 qui raconte les déboires de drogués, d'alcooliques, de travestis, bref, des rebus de la société new-yorkaise. Puisant son inspiration dans l'univers débridé et dépravé d'Algren, Lou Reed va écrire Walk on the Wild Side autour des personnages excentriques (putes, drogués, acteurs, artistes, homos, drag queen,... ) qu'il cotoit et qui fréquentent comme lui le célèbre atelier d'artiste La Factory, lieu branché ouvert par Andy Warhol servant à la production des œuvres pop art. Coté musique, Walk on the Wild Side c'est une contrebasse doublée d’une basse électrique pour une des lignes de basse les plus célèbres du rock, les célèbres do-dodo-dododododo en écho à la voix traînante du chanteur et un magnifique solo sax final (Ronnie Ross) pour parachèver l’œuvre.
En novembre 1976, le groupe de Johnny Rotten sort Anarchy in the UK. Hymne anti-conformiste au titre délibérément rebelle, la chanson devient rapidement l’emblème d’une jeunesse anar. Une jeunesse en pleine difficulté. L’année 1976 n’est pas reluisante en Angleterre. Les illusions idéalistes des années soixante sont loin : le chômage gangrène le pays, l’inflation déstabilise une économie vieillissante, la jeunesse est fatiguée. Les Sex Pistols viennent la réveiller en fanfare !
Il y a eu un paquet de covers de ce hit, et celle-ci ne doit pas être parmi les plus connues. En tout cas, elle m'a accroché. Tea est un groupe helvète aux trois LPs entre 1974 et 1976, produits par Dieter Dierks. Version vitaminée dans laquelle ze vocalist Marc "belle beuglante" Storace se fait bien remarquer, façon Roger Chapman. Il est passé chez Krokus par la Suisse... par la suite.
Tea - 'Summer In The City' (1975) (John Sebastian, Mark Sebastian, Steve Boone)