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Deux américaines et un égyptien. Le premier est devenu un classique, Joan Didion ausculte la perte de l'être cher, le manque. Le second d'Eve Babitz que le titre et le bandeau survendent un peu, mais l'écriture assez directe séduit. Enfin, le meilleur pour la fin, un formidable conteur, plein d'ironie, Alaa el Aswany, à lire sur les soubresauts de ce qui se passe en Egypte au moment de la révolution.


