ce soir à la TV

[Pablitta]

La pop a marché sur la lune
Et disponible ici aussi : https://www.arte.tv/fr/videos/080134-00 ... r-la-lune/

Sopo.
Déçu.

Ah oui ? Zut
Je l'ai enregistré, je verrai bien !

[Monsieur-Hulot]

Sinon ce soir, soirée Rohmer sur Arte, deux de ses films les plus "abordables" Conte d'été avec Melvil Poupaud et une guitare puis Pauline à la plage avec, dans les deux films, Amanda Langlet

[zuma]

C'était chouette Pauline à la plage. J'ai dû le voir il y a... Ouuuu !...
Vais p'têt me laisser tenter ce soir.

[Aldaran]

Relevé l'article suivant dans le Canard du jour.
Pas encore vu puisque c'est programmé sur Arte le 29 janvier à 22h40 mais ça m'a donné envie de voir.
Les exemples qui vont dans le bon sens ne sont pas légions, je m'en voudrais de manquer ceux-ci.

[Pablitta]

Intéressant. Je ne sais pas si j'aurais le courage ...

[Aldaran]

Si je ne le loupe pas, j'en recauserai. Ce sera certainement rediffusé.

[Le Vieil Ours]

Intéressant. Je ne sais pas si j'aurais le courage ...

Idem. Je pense que je vais l'enregistrer et me le regarder calmement.

[Aldaran]

Vu le documentaire hier soir. Il est court (53 minutes), peut-être un peu trop pour parvenir à creuser la question autant qu'elle pourrait l'être.
Mais c'était intéressant tout de même. Mis en évidence : les "rouages" idéologiques.
On note de manière précise que c'est toujours l'ouverture et la connaissance qui ont poussé des extrémistes à reconsidérer leurs certitudes.
L'histoire de ce jihadiste totalement isolé et sauvé par les livres est fascinante. Les livres, c'est le bien. Sauf Madame Bovary, ah, ah ! Bisous amicaux, Bebeto !
L'accent est également mis sur la notion de rédemption. Intéressante notion à décortiquer au moment où d'aucuns s'interrogent sur
le rapatriement ou non des personnes qui se sont engagées dans le terrorisme et dont il est question dans les médias ces jours-ci.
J'ai également découvert l'existence des programmes EXIT (leur "créateur" est présent dans le documentaire et on apprend comment
ces programmes ont vu le jour). Je n'avais jamais entendu parler de ce truc répandu dans plusieurs pays et je ne sais absolument pas
comment il est reçu ou appliqué en France.
Il est assez difficile de s'informer là-dessus (les mots-clefs, pour ce que j'en sais, vous apportent davantage
de bots fouineurs que de liens pertinents). Bref, faut creuser sérieusement et les trucs en français ne sont pas légions.

Le documentaire est bel et bien rediffusé sur le site d'Arte, ici, jusqu'au 27 février.

Ah ! J'oubliais : un autre documentaire semble intéressant, sur un tout autre sujet (internet, pour faire court).
Dans l'immédiat, ça ne s'adresse qu'aux Nantais puisqu'il s'agit d'une diffusion dans cette salle.
Et c'est ce soir. Ceux qui louperont pourront se consoler avec un autre documentaire, dans la même salle mais le 5 février, sur Clapton, cette fois.
Mais ce sera également diffusé par Arte courant 2019.
(Source.)

[Pablitta]

Vu.
C'est vrai que c'est un peu trop court, mais c'était édifiant.
L'ouverture, la culture semblent salvatrices, en effet, mais tu oublies une chose : la rencontre fortuite de la bienveillance. Même si l'on a tendance à se moquer de ce terme de nos jours (hasard ou nécessité ?), les vies étudiées par la réalisatrice l'ont un jour rencontrée et ont basculé, même si l'on ne peut - malheureusement - pas généraliser.

[Aldaran]

Exact, merci de l'ajouter.
C'est même toujours l'élément déclencheur. Mais ce n'est pas suffisant. Le jihadiste insiste même là-dessus, si je me souviens bien.
Il dit : « ne croyez pas que vous ne serez plus raciste du jour au lendemain, ça prend des années de modifier sa manière de penser
et c'est l'une des choses les plus difficiles » (je ne me souviens pas des termes exacts mais, en, gros, c'est ça).
J'ai d'ailleurs une anecdote de boulot à ce sujet.
Une collègue (factrice, noire, 25 ans de métier) croisait quasi tous les jours un type raciste jusqu'à la moelle.
Un vieux. Jamais un mot (même si elle lui parlait), jamais un regard croisé, le mépris le plus total.
Un jour, elle se pointe dans l'entrée de l'immeuble où il habitait. Le type s'était vautré méchant dans les
escaliers. Fractures, impossibilité de bouger ou d'appeler les secours.
Ma collègue s'approche et lui dit qu'elle va l'aider mais que, pour ça, il allait bien falloir qu'il accepte de la toucher
et de se laisser toucher par elle. Le vieux a accepté.
Bon, ils ne sont jamais devenus potes, hein, mais l'ambiance générale de l'immeuble en a été métamorphosée.
J'appelle ce genre d'exemple une grande victoire.

[Pablitta]

Belle victoire, oui. Toute petite mais c'est ce qui lui donne sa beauté justement.

Exact, merci de l'ajouter.
C'est même toujours l'élément déclencheur. Mais ce n'est pas suffisant. Le jihadiste insiste même là-dessus, si je me souviens bien.
Il dit : [i]« ne croyez pas que vous ne serez plus raciste du jour au lendemain, ça prend des années de modifier sa manière de penser (...).

Oui. C'est frappant.
Plus précisément : il parlait de religiosité, de but, en somme. On comprend aisément que ça peut faire un très très grand vide. Et qu'une vraie force de caractère est nécessaire pour faire sans, quand ça a pleinement occupé l'esprit pendant des années.

[Aldaran]

C'est juste.
Je pense néanmoins que ça va au delà du sentiment religieux.
Parce qu'il s'agit tout de même, pour résumer, d'éliminer l'autre sous prétexte qu'il est différent, mauvais.
Lui s'appuyait sur la religion parce que c'est ce qu'on lui avait dit de faire puis ses découvertes lui ont indiqué qu'il se fourvoyait.
Pour autant, sa religion est intacte, voire consolidée mais sur des bases plus saines.
Mais d'autres font strictement la même chose, pour d'autres raisons.
(Mais je peux me tromper...)

[nunu]

Je sais pas pourquoi mais je me suis posé devant les victoires de la musique.
Surtout que l'artiste nommé qui m'interesse le plus ne sera pas la et pour cause c'est Bashung

[nunu]

Putain qu'est ce que c'est nul. Et ça fait bizarre d'avoir un disque Electro recompensé dans la catégorie Rock En même temps avec Miossec, Feu Chatterton et Jeanne Added nommé en rock, fallait pas attendre grand chose vu qu'aucun n'est du rock.

[Jo Bolais]

Putain qu'est ce que c'est nul

Le mot est faible...