Je pensais que tu allais mettre 35 disques différents des 35 premiers et que tu allais faire un mix des classements, mais c'est pas grave, j'ai voté pour:
1)
The piper at the gates of dawn Pour tous les morceaux et la sensation de "première fois" que j'ai eu en l'écoutant, ce mélange d'étrangeté et de ravissement venu d'ailleurs avec les frissons associés. La sensation que quelque chose qui venait, en apparence, d'aussi loin était fait pour moi (et d'autres, bien entendu). Et aussi la reconnaissance éternelle que je voue à la copine qui m'a fait découvrir ce disque en me prêtant le sien et s'en privant pendant plusieurs mois puisqu'on n'avait ni l'un ni l'autre de magnétophone. "You're the kind of girl that fits in with my world, I'll give anything, everything if you want thing".
2)
The dark side of the moon . Je change pas d'avis comme de chemise. Il était mon numéro 1 en l'absence de "Piper", il devient numéro deux, mais il reste dans le top 3, parce que les sensations d'écoute sont différentes mais aussi fortes. Un disque sans temps mort, c'est rare. Petit bonus me concernant, je l'ai eu avant tout le monde en import et c'est moi qui l'ai fait découvrir à mes potes et potesses. Et j'ai filé des bandes (qui coûtaient la peau, à l'époque) à certains(nes). Mais c'était un très juste retour des choses. "Money, get away".
3)
London calling Comme dans le classement précédent, il reste là parce que je ne vois pas moyen de le sortir. Ce double 33t dont la pochette m'a longtemps énervé, j'ai horreur qu'on pète des instruments. L'autre jour, ils ont passé "London calling" pendant la retransmission du tour de France à Londres, c'était incongru, mais les images sont devenues subitement rock'n'roll, les monuments ridicules et on avait envie de voir le peloton plonger dans la Tamise "Cause London is drowning and I, I live by the river".
Si tu fais un 3ème sondage et que tu ajoutes "The least we can do is wave to each other" de Van Der Graaf Generator, je pourrai pas garder ces trois là, et je serai super emmerdé car l'autre voudra entrer mais aucun ne voudra sortir
