
vox populi a écrit:Pour moi la musique c'est comme le porno..audébut tu te mattes un premier marc dorcel et tu trouves ca super bandant, comme quand t'écoutes pour la première fois "all you need is love"..Ensuite tu "t'enfiles" toutes la collection de l'ami marc et tu te dis que les belles levrettes c'est bien mais qu'il te faut quelque chose d'un peu plus dur ..Alors petit à petit tu dévies dans le gonzo et après deux mois tu finis par mater une nana qui s'empale sur le grappin d'une grue ..
Tu te dis que le porno expérimental c'est vachement cool jusqu'au jour où tu te rend compte que le grappin fini par t'exciter beaucoup plus que la nana..et là tu comprends qu'il est grand temps de de remater toutes la collection de laure sainclair et que finalement c'est pas si mal les levrettes![]()
2/10
vox populi a écrit:Mince on est quand même loin d'un grand disque de Drone pour moi
Grand merci, monsieur Silence, d'autant plus que le contre-exemple donné par Vox (Foreign Body) n'est, à mon sens, pas du Drone non plus.Silence a écrit:On est même loin d'un disque de Drone tout court. Tu es même bien le seul à employer ce terme pour décrire leur musique.vox populi a écrit:Mince on est quand même loin d'un grand disque de Drone pour moi
Tout ce qui est plus ou moins "bizarre" a tendance actuellement a être catalogué de "Drone", terme à peu près inconnu de tous il n'y a encore que peu de temps.
On appelle drone, ou bourdon, le son produit par un ou plusieurs instruments lorsqu'ils vibrent sur la même note ou produisent un accord continu.
Ça n'est pas ici le but recherché.
À « rituelle » et « mystique », j'ajouterai « contemplative », dans le cas présent. Et, en effet, cette musique se mérite et demande à l'auditeur un minimum d'acceptation pour s'y plonger. (Comme un livre de SF ou de Fantastique vont demander d'accepter des postulats de départs qui seront d'emblée catalogués comme élucubrations par d'autres.) On ne force personne...Silence a écrit:Parlons plutôt ici de musique rituelle. Les acteurs de cette scène sont donc en général très emprunts de mysticisme.
On peut alors trouver ça très artificiel auquel cas il est fort peu probable que leur musique vous touche, ou alors se laisser emporter dans leurs dérives oniriques, auquel cas l'expérience peut alors prendre une toute autre dimension.
Je crois aussi que c'est là l'objectif du groupe. Si le côté mystique me dérange un peu (j'y vois une sorte de justification qui, à mon sens, est superflue), le côté descriptif de sa musique est évident. Tout l'album me ballade dans un paysage embrumé, abandonné, où vivait probablement un peuple à présent éteint. Ces sentiments sont probablement aidés par les photos visibles sur les sites mis en liens dans la présentation.Silence a écrit:Je trouve cette musique très éthérée, et j'aime me laisser embarquer dans le voyage.
Un exemple tout bête, sur le morceau Summoning - Toward Cardinal Points, Into All Worlds à partir de 2.00 à peu près, derrière la vibration on perçoit un son de cloche, j'y entend le son des cloches d'une chapelle paumée dans la brume quelque part dans une campagne un triste jour d'Automne. Et j'aime, parfois, me plonger dans ce type d'ambiances proche du rêve éveillé.
whereisbrian a écrit:Alors, vaut-il mieux être un goujat infâme, voué à toutes les turpitudes d’ordre sexuel, ou bien un fourbe énucléé ?
whereisbrian a écrit:e.
Si je fais le // avec la littérature, on peut se contenter de Zembla ou Akim, c'est sans danger, distrayant.
A la rigueur, on peut trouver des versions italiennes de fumettis chauds où Zembla, aprés avoir sauvé la pure jeune fille, et desossé le Professeur Zarkov, se jette sauvagement sur Lucia, parce qu'il en a vraiment ras le bol des singes (cela va 5 minutes).
(...)
Aprés Zembla (si on veut évoluer) il y a la littérature prise de tête. Au hasard, Sartre. Arg.
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