MOTHER'S FINEST (Bio)

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MOTHER'S FINEST (Bio)

Messagepar alcat01 » 06 Fév 2013, 18:47

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Mother's Finest est un groupe de Funk Rock fondé à Fort Lauderdale, en Floride, par deux Noirs Américains, Joyce Kennedy et Glenn Murdock au début des années 1970.
Mené par la chanteuse Joyce Kennedy (Baby Jean), le groupe révèle les talents du guitariste Gary Moore (Moïse Mo), du guitariste chanteur Glenn "Doc" Murdock, du claviériste Mike Keck, du bassiste Jerry Seay (Wizzard) et du batteur Barry Borden (BB Queen).

Ils se distinguent en partie parce qu'ils sont un groupe de Rock 'interracial' du Sud des États Unis. Leur musique est un mélange de rythmes Funky, de guitares Heavy et de R & B chanté de façon expressive. Mother's Finest a toujours été bien respecté au sein de la communauté musicale du Rock Sudiste.

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Le groupe n'a pourtant jamais eu beaucoup de succès dans son pays d'origine et n'a connu un véritable culte qu'en Europe, et il était très populaire en Hollande à la fin des années 70.
Pendant cette période, ils se sont également établis une réputation comme l'un des meilleurs groupes d'ouverture sur le circuit live, en première partie de grands artistes Rock tels qu'Aerosmith ou Ted Nugent.

Dans une lignée proche de Sly and The Family Stone, mais en allant beaucoup plus loin que ces derniers, Mother's Finest propose une fusion de grande classe bien avant tout le monde.
Beaucoup trop tôt sans doute, le succès d’estime dont bénéficie le groupe de Joyce et Murdok a quelque chose de honteux, car là où bien des groupes peu intéressants ont fait carrière, Mother’s Finest est passé pratiquement inaperçu pour d’obscures raisons.

Mother’s Finest fait donc partie de ces groupes en grande partie oubliés. Ce qui pourrait vouloir dire que leur héritage musical est totalement insignifiant. Or, c’est tout le contraire car si le groupe a été incroyablement plagié, il n’a cependant jamais été dépassé.
Suivant dans les pas du groupe racialement mélangé Sly & the Family Stone, Mother's Finest est un savant mélange avec le guitariste blanc Moïse Mo et le batteur BB Queen Borden avec les chanteurs noirs Joyce Kennedy et Glenn Murdock, le bassiste Wyzard, et le claviériste Mike Keck.
Le groupe trouve son alliage parfait avec l’arrivée du bassiste noir Jerry 'Wizzard' Seay, du clavier noir Mike Keck, et de deux jeunes blancs, Gary 'Mo' Moses à la guitare, et du batteur Barry 'BB Queen' Borden.
Ils ont su gardé le groupe intact, plus ou moins, et leur album de 2003 est parmi leurs meilleurs.

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Mother's Finest se situerait stylistiquement quelque part entre Funkadelic et Rufus, mais il n'a jamais véritablement atteint leurs impacts culturels.
Dans une certaine mesure, Mother's Finest est tombé dans un piège quelque peu raciste dans lequel tout rocker Afro-Américain entre Jimi Hendrix et Vernon Reid est incapable d'obtenir l'attention des médias grand public.
Ainsi, en dépit de tournées réussies (dont une en première partie de the Who) et de ventes décentes pour leurs deux premiers albums sur CBS, ils virèrent vers un R & B pour radio en 1978 et le groupe semblait instable quant à son orientation musicale pour cette décennie ou la suivante avant de se recentrer sur le Hard Rock.

Ce n'est pas exactement injuste de dire que leurs collègues de Funkadelic aient atteint une certaine vénération comme pionniers du Funk Rock psychédélique tandis que Finest ne l'a pas fait. Funkadelic était beaucoup plus novateur, imprévisible et plus influent, plus apte a écrire les meilleures chansons mais, d'après leur propres termes, Mother's Finest a plus de plaisirs à offrir.
Le chant est partagé entre Joyce Kennedy (qui rappelle un mélange de la rugosité et du contrôle de Tina Turner) et Glenn Murdock, la section rythmique d'origine "Wyzard" et "BB Queen" garde une assise plus qu'enviable, et le groupe a écrit la plupart de son propre matériel.

Mother's Finest pourrait sembler être seulement un tout petit point sur l'écran radar de l'Histoire du Rock, mais pas pour n'importe lequel des groupes en tête d'affiche à qui ils ont volé le show, ni pour les publics qui ont pu voir cela se produire.

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L’histoire commence en 1973 quand la chanteuse Joyce Kennedy et son petit ami chanteur Glenn Murdock, tous deux Noirs Américains, en eurent assez de cachetonner pour des petits singles de Soul qui ne valaient pas grand vhose ou faire des chœurs pour des célébrités locales.

Ils ont donc fondé le groupe Mother’s Finest (du nom d’un plan de cannabis) et débuté à Fort Lauderdale dans un club appelé Fly n' Machine.
Ils ont dû supplier le propriétaire pour venir passer une audition. Le propriétaire a finalement accepté "Ok, ok les gars, vous pouvez jouer le week-end prochain et nous verrons comment ça se passe après ça".
Et le groupe a joué dans ce club pendant dix semaines d'affilée, se construisant un noyau de fans solide en Floride, avant de partir s'installer à Atlanta.

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À Atlanta, ils ont rencontré le manager Hugh Rodgers. Ils ont terminé leur première disque sur RCA, mais les producteurs de l'époque ont pensé que ce serait une bonne idée de modifier plusieurs morceaux avec des cuivres d'appoint, des cordes et des choristes.
Ils ont, de fait, détruit le son brut du groupe: "Nous avons eu une séance d'écoute chez notre manager, prêts à célébrer notre premier album tant attendu, et nous nous sommes assis là, dans un silence stupéfait".

On peut donc considérer après cela que Mother’s Finest est plus originaire d’Atlanta, en Géorgie car le groupe y a fait ses véritables débuts!
La Géorgie est de fait l’un des états bien racistes du Sud des Etats Ubis. C’est aussi et surtout le plus incroyable vivier de musiciens noirs et blancs, et il fut le terreau fertile des plus grands, comme the Allman Brothers Band ou Little Feat, par exemple

Le premier disque paraît donc en 1973, dans l’indifférence générale, avec une pochette effrayante rappelant plus un disque de Black Metal qu’un disque de Soul et de Rock.
Car les deux veulent fusionner le Funk avec une forme de Rock inspiré d’Hendrix, dans ce qu’il a de plus sauvage.
Certes, Funkadelic a déjà tenté l’expérience avec succès, mais Murdock et Kennedy veulent un son plus agressif, plus Rock, débarrassé des accoutrements du P-Funk.

Trois disques paraissent entre 1976 et 1978, qui obtiennent un succès honnête dans les charts américains grâce aux singles "Baby Love" ou "Fire".
Déjà, le groupe se montre gonflé et sûr de sa force, et dés le premier album, Glenn Murdock chante "Niggiz Can’t Sing Rock’N’Roll". Pourtant, les albums studios, bien que sympathiques et efficaces, ne semblent pas être la hauteur de la réputation de leur musique.

Trop policé, "Mother’s Finest", malgré d’excellentes chansons, semble être un alliage de Funk Disco et de Rock Stonien propret. Il s'agit sans doute de ne pas trop effrayer les radios avec un son trop sale, surtout à l'époque du disco.
Les années 70 ont été un temps fort pour le groupe. Ils ont travaillé dur, joué dur et fait la fête tout aussi difficilement. Leur groupe de fans a grandi dans le Sud-Est, et ils sont devenus le groupe à voir et à entendre par excellence.

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En 1976 sort leur premier album chez Epic Records. "Mother's Finest". Des titres comme "Rain" et le un peu controversé "Niggazz Can't Sing Rock & Roll" font assez de vague pour paue le groupe obtienne la possibilité de tourner dans les clubs hors de la Géorgie et dans la région.
L’album est aujourd'hui une pièce de collection rare et il contient la chanson ironique "Nigizz Can't Sing Rock'n Roll" (même si ils ont été critiqués pour cela par un important chef religieux et il fait partie de leurs concerts live).
Déjà le style est si particulier qu'on oscille sans arrêt entre groove et guitares Heavy, entre solis et gros son de basse. On découvre une énorme chanteuse dans la veine des Supremes. Les chœurs étant assez présents rappellent sans contest l’héritage du Gopsel.
Un disque fort, c'est certain, qui ne ressemble à aucun autre à ce moment-là.

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A noter que les deux premiers albums ont été réuni en double CD!

À l'Eté 1977, ils ont ouvert pour The Who dans leur tournée à travers le Canada.
L'obligation d'enregistrer un second album a persisté, mais il n'est jamais sorti. Ils sont retournés sur la route, jurant de ne jamais enregistrer un autre disque.
Un choix inhabituel comme groupes d'ouverture, ils ont impressionné par leur performance et leur spectacle chorégraphié.

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L'album suivant, "Another Mother Further" est à la hauteur de son titre. Le morceau d'ouverture est une reprise des célèbres compositeurs Holland-Dozier-Holland, "Mickey's Monkey", rendue populaire par Smokey Robinson. Mais le riff de guitare est une copie flagrante de celui de Jimmy Page sur la chanson "Custard Pie" de Led Zeppelin sorti deux ans plus tôt. Peut-être parce que la chanson était une reprise, ou le fait qu'ils avaient eux-mêmes spolié certaines légendes du blues au début de leur carrière, Led Zeppelin ne les a jamais poursuivi et la chanson (avec d'autres comme "Piece of the Rock" et "Hard Rock Lover") a contribué à faire de "Another Mother Further" un tremplin pour le groupe.

Pour le reste des années 1970, Mother's Finest est devenu le groupe d'ouverture les plus dangereux du Rock, volant souvent la vedette aux têtes d'affiche comme Aerosmith, Frank Marino & Mahogany Rush, et Ted Nugent.

Ces premiers albums deviennent disque d'or, mais le groupe n'a pas réussi à atteindre la 'Black Radio'. Et les stations de Rock à l'extérieur du sud-est pensaient que leur musique était trop blanche pour être noire, et trop Funky pour être Rock. Le racisme était encore bien ancré...

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En 1978, ils ont été invités dans l'émission allemande Rockpalast et avec un concert ils ont obtenu le statut de groupe culte en Europe, qui dure d'ailleurs encore aujourd'hui (ce concert apparaît sur le DVD 'Mother's Finest - At Rockpalast').

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L'album suivant, "Mother Factor", paru en 1978, ne révèle rien de plus que le groupe ne joue en live, avec le chanteur Murdock, et en particulier la voix puissante de Kennedy pour un public enthousiaste aidé par le Funk Rock de Mo, Wizzard, Borden, et Mike.
La musique proposée ici est plus en accord avec son temps. Entre Funk et Groove, parfois teintée de disco et dans laquelle les guitares jouent plutôt en retrait.

Entre 1980 et 1990 les groupes de Rock à longs cheveux étaient émergents, et cela a été un moment difficile pour Mother's Finest. Ils ont finalement changé de management, et ils étaient fin prêts pour enregistrer leur album le plus aimé "Mother's Finest Live".

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En 1979 l'album "Mother Finest Live" met en vedette non seulement les superbes morceaux d'origine comme "Watch My Stylin '" et "Give You All the Love", mais aussi Baby Jean chantant une reprise étonnante du "Somebody to Love" de Jefferson Airplane et les musiciens qui brille sur une version réarrangée de "Magic Carpet Ride" de Steppenwolf.
C’est en quelque sorte un dernier tour de piste, pour Mother's Finest qui n'a jamais atteint son dû dans le monde du Rock en grande partie blanc.

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Leur sortie suivante, "Iron Age", publié en 1981, est totalement à l’opposé du précédent, car l'album sonne franchement Heavy, en dehors de toute considération Funk … On peut mêle affirmer que l’œuvre est totalement maîtrisé.
Le disque est excellent! écoutez donc "Evolution" ou "Moving On"!

En 1983, après la sortie de "Iron Age", probablement leur disque le plus Hard et le plus durable, le groupe s'est complètement désintégré. Joyce a tenté une carrière en solo, sortant deux albums de Soul pour A & M Records, Wyz a rejoint le groupe de Stevie Nicks, BB Queen Borden s'est joint à Molly Hatchett, et Wizzard, plus tard, établira des liens avec Rick Medlocke’s Blackfoot. Michael Keck est allé à New York, et Murdock a écrit et fait de la production.

En 1986, le groupe se reforme avec l'ajout de Derek Dion à la batterie.

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Il signe avec Capital Records en 1989, et enregistre l'album "Looks Could Kill", Cet album est à nouveau plutôt orienté Funk ou groove.
Le disque est jugé décevant à l’époque, car les rares amateurs du genre attendaient bien plus de guitares surtout dans une période où la fusion devenait enfin un genre. L'album ne réussit pas à capter le feu et l'âme des sorties antérieures.

Après une tournée suite la sortie de celui-ci, il y a un énorme vide musical. Beaucoup de musique programmée, trop de producteurs et d'écrivains extérieurs.
À ce moment-là, Mo est devenu père de famille et il n'est pas sûr de vouloir continuer à tourner. Il rentre donc à Atlanta.

Les membres de Mother's Finest réfléchissent alors sur le fait qu'un autre guitariste pourrait changer le son de la musique du groupe.
Ils engagent John Hayes qui avait avait un son Rock d'enfer. Ils vivent alors et répétent ensemble dans une maison à Malibu.
John n'est finalement jamais rentré chez lui. Son premier spectacle a lieu en Hollande devant 70.000 fans en délire.

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Dans son sillage, et avec un line up ne comprenant seulement plus que trois membres originaux, Jean Baby, Murdock et Wizzard, ils sortent en 1992 un nouvel album au titre prédestiné: "Black Radio Won't Play This Record".
Le titre est clair … et tout à fait lucide et c'est enfin le grand retour de Mother's Finest!
Groove, Funk, grosses guitares, tout ici se marie à merveille. Le titre d’ouverture "Just Like A Negro" annonce d'emblée la couleur!
Cet album devient une des pièces maîtresses du groupe.

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Sans se laisser démonter, ils persévérent et publient un nouvel enregistrement live, "Subluxation", acclamé unanimement par la critique.
Comme son nom ne l'indique pas il s'agit effectivement d'un enregistrement en concert presque aussi bon que leur premier live sorti de 1978 et c'est encore la preuve que Mother's Finest est d'abord et surtout un groupe de scène!

Dans les années 2000, après une dure tournée, le groupe prend un peu de repos.
Mo revient et ils recommencent à jouer du Funk Rock.
Avec le noyau du groupe de retour, ils arrivent dans le nouveau millénaire avec un nouvel album sur leur propre label, UMEUSWE ..
Avec la radio blanche qui ignore aussi totalement leur musique, le groupe persévére toujours et encore.

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Douze ans plus tard, en 2003, sort un nouvel enregistrement intitulé "Meta-Funk' n-Physical" qui incorpore des éléments de hip-hop dans le son du groupe.
Les différentes expériences musicales du passé se mélangent et donnent une couleur somme toute assez équilibrée. L'album ne penche ni trop d’un côté ni trop de l’autre.
Dès le premier titre on est en terrain connu, mais les surprises viennent en fait des arrangements, des agencements, de certaines trouvailles, de mélange de genres, et, cerise sur le gâteau, une superbe reprise de "If 6 Was 9".

À ce moment, le groupe n'est essentiellement plus qu'un trio, Kennedy, Murdock et Seay (avec les guitaristes Hayes et Moore qui se succèdent l'un l'autre) et la batterie est programmée (quoique Dion Derek, maintenant connu sous le nom Dion Murdock, joue sur quelques morceaux). Ils ont concocté un mélange fascinant de styles et de techniques, combinant des éléments de Synth-Funk ("Way Of The World" de Glenn dans un style proche de Sly), de Hard Rock ("Bring It On"), de ballades Pop ("Sun Sur The Inside") et parfois mêne de rap.
Depuis que chaque morceau incorpore plusieurs éléments au lieu de passer brusquement de l'un à l'autre, l'expérience d'écoute est beaucoup plus comme une longue suite d'albums qu'une collection de chansons.

Alors que la production et les arrangements sont nouveaux, une partie du 'matériel chanson' ne l'est pas: "Inside Of Me" est une version plus lente, plus lisse de "Give You All The Love","The N-Groove" est essentiellement une réécriture de "Like A Negro" de l'année 1992. D'autre part, "Don't Take Your Love From Me" et "Crazy Side" sont parmi les meilleures de leurs chansons lentes à ce jour. Vernon Reid et Omar Hakim sont invité sur la reprise de "If 6 Was 9".
Wyzard et Glenn Murdock produisent le disque.

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Un autre live, toujours et encore, "Right Here, Right Now: Live At Villa Berg" sort en 2005.
Le groupe n’est plus tout jeune, pourtant sur ce disque, cela ne s’entend pas vraiment.
Enregistré en 2004 lors d'une tournée en Allemagne, cet album commence pourtant par quatre nouveaux titres studio. "Do me Right" ouvre les hostilités, avec un Hard Rock mélodique au chant plein de sensualité, suivi par "Obey, Obey, Obey" qui mêle une basse qui groove et des guitares particulièrement Heavy.
Les deux autres titres studio, "Take your Time" et "Crime of Nature" sont plus calmes, davantage orientés vers la Soul music mélancolique.

Les choses sérieuses commencent véritablement après, avec un bon nombre de titres live provenant d’un unique concert à Stuttgart. Le son est particulièrement de bonne qualité.
D’emblée, le groupe sait comment chauffer une salle. Que ce soit grâce au chant de Joyce Kennedy et de Glenn Murdock, à la section rythmique ou aux deux guitaristes Gary Moore (surnommé "Moses Mo", ce qui le différencie de son homonyme Irlandais) et John Hayes. Des guitaristes qui n’en font jamais trop, qui jouent plus 'collectif' que 'personnel', avec de temps à autre tout de même des solos bien juteux, ou même carrément un véritable solo de plusieurs minutes de Moses Mo.

Le concert est constitué d’un mélange de titres récents ("Funk a While", "Bring it"...) et de classiques comme "Niggiz Groove", "Baby Love" ou l'étonnant "Mickey’s Monkey" sur lequel le public se lâche. On trouve aussi une version de 10’31 de "Give It Up" et un medley des reprises "Satisfaction/Born to be Wild".
Encore un excellent disque live de ce groupe "Hors Norme"

Plus récemment, Joyce Kennedy a été vu sur la tournée internationale 'Daughters Of Soul' avec Sandra St. Victor, Nona Hendryx, Lalah Hathaway (fille de Donny Hathaway), Indira Khan (fille de Chaka Khan), et Simone (fille de Nina Simone).

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Après près de quatre décennies ensemble, le groupe a travaillé collectivement, pour créer un CD d'enregistrements live.
Ce CD comprend certains de leurs premiers enregistrements live et d'autres plus récent de concerts européens.

Discographie:

Mother's Finest (1973)
Mother's Finest (1976)
Another Mother Further (1977)
Mother Factor (1978)
Live (1979)
Iron Age (1981)
Looks Could Kill (1989)
Black Radio Won't Play This Record (1992)
Subluxation (1993) – live album
Meta-Funk'n Physical (2003)
Right Here, Right Now: Live at Villa Berg (2005)
MF 4D (live) (2011)

sources: Bill Meredith, thierryzeppelin.
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Re: MOTHER'S FINEST (Bio)

Messagepar alcat01 » 09 Mar 2014, 00:08

Bio mise à jour!
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Re: MOTHER'S FINEST (Bio)

Messagepar andy » 31 Mar 2015, 09:20

merci alcat01 pour cet bio ! j ai encore le concert de vendredi dernier dans la tete !
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Re: MOTHER'S FINEST (Bio)

Messagepar alcat01 » 31 Mar 2015, 11:56

C'est avant tout un groupe de scène et même après plus de 40 ans d'existence, ils sont encore dans le coup!
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Re: MOTHER'S FINEST (Bio)

Messagepar hamilcar » 29 Jan 2019, 18:00

Super groupe de scène, oui; mais qqs must have quand m^me en studio... Le tout premier et Black radio surtout; mais Another mother further vaut également le détour (Dis go this way...).

Et puis, ce Live'79... ORGASMIQUE!!!
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