Les années bop furent un réel régal ! 1941/1952 disons... juste avant le hard bop et la west coast. De Dizzy à Lee Morgane en passant par Monk, Kenny Clark et Bud Powell (merci Art Tatum

).
Année 60, le free jazz débarque, Sun Ra en tete de file : attention âmes sensible s'abstenir..., le jazz rock tente un nouveau virage, Miles se frotte les mains... années 70, 80, 90... agonnie, les grands disparaissent, mais le jazz se modernise. Il se cherche, tente de "s'electroniser", devient guimauve (le catalogue Blue Note nous presentent ses grosses daubes...).
Année 2000 : Merci Herbie, merci Wayne Shorter, merci Omar Sosa, Marsalis, les limites du jazz progressent vers une musique encore plus élaborées, il se metisse encore plus, il tente une synthese avec la musique classique, repousse en encore et toujours les regles de l'harmonie.
Merci aussi à cette école française : Daniel Humair, Aldo Romano, Michel Benita, Yannick Top, Eric Lelann et tant d'autre qui réussissent à chaque albums des coups de maitre.
La France à toujours eté un public attentif à cette musique, et les musiciens frenchies le savent. Ils proposent des albums trés riche, respectent les origines et les appliquent avec talent.
Une breve synthèse (j'ai zapper le ragtime, le gospel, les Big Band mais sans eux, ou serions nous hein ?...), parceque j'avais juste envie d'ecrire ma passion pour cette musique qui a 107 ans... Optimisme car les jeunes fréquentent les salles de concerts et que le jazz reprend des couleurs.