Et bien ! ça promet ce truc.
Je ressors le carton
Delpech.
Megaheupelaude est toujours opérationnel. Il faut cliquer sur
Mimi.
Michel Delpech 1997Ça commence avec ce "Roi de rien" qui a un petit côté "Streets Of Philadelphia". C'est beau un homme qui se retrouve. Un album plein d'humour et d'émotion, de colère rentrée, de vanité évaporée et de craintes apaisées.
Des chansons superbes se succèdent, avec une toute toute petite baisse à la fin, seulement deux chansons juste "bonnes". Cela dit en toute subjectivité.
"Une chanson légère" n'est justement pas concernée. Vous pensez ! Une composition de Monsieur
Papadiamandis, vous savez qui c'est je pense ?
Un titre romantico-concret piano et cordes sur "Tu l'aimes", et des textes qui me font craquer :
"Tu la prends comme elle vient, tant qu'elle s'appelle reviens". Pas une once de trivialité.
Un album approché par l'electro, bien intégré à l'univers musical de
Delpech, je trouve, et réalisé par
Mick Lanaro ("Univers" de
William Sheller, entre autres). Cerise sur le
MacDo, l'harmonica magique de
Toots Thielemans sur "C'est à Paris".
Je vous laisse découvrir le reste, si vous ne connaissez pas cet album de
Delpech, suivant un autre album talentueux et attendu qui voyait un premier retour de
Michel Delpech.
CBR : 320 Kbspw :
Ishter