Forum de rock6070

Hier, j'ai vu un très bon film sur le monde des junkies de New-York, "The Panic in Needle Park" (1971).



Ce film m'a laissé perplexe et songeur. Il fait passer "Trainspotting" pour une comédie légère. Le jeu de Pacino y est excellent, malgré que c'était seulement son deuxième film, tu vois que le gars a du talent.

Et en ce moment, pour Algernon, L'Emmerdeur passe en ce moment à Télé-Québec et je regarde ce film que j'avais jamais eu la chance de voir.

The panic in needle park, chef d'oeuvre !


Le film américain le plus ancien qui parle de ce problème, bien qu'il aie un peu vieilli sur la forme, est à ma connaissance :







voir Sinatra à l'écran en 1955 se faire un "fix" :






puis souffrir d'un "cold turkey" :




Filmer ça alors que l'Amérique sortait tout juste du MacCarthysme , et était encore gérée par Eisenhower,fallait quand même du courage, pour l'époque !

The panic in needle park, chef d'oeuvre !


Le film américain le plus ancien qui parle de ce problème, bien qu'il aie un peu vieilli sur la forme, est à ma connaissance :







voir Sinatra à l'écran en 1955 se faire un "fix" :






puis souffrir d'un "cold turkey" :




Filmer ça alors que l'Amérique sortait tout juste du MacCarthysme , et était encore gérée par Eisenhower,fallait quand même du courage, pour l'époque !


Oui, j'ai entendu parler de ce film avec Sinatra.
Je vais essayer de voir ça, merci pour la suggestion, Hasil.

Petite devinette, si je vous déclame ce poème quel film ai-je vu ?

Tes cheveux Malvina, ont le parfum des îles,
Mélange très subtil, chargé de sel marin.
Vaporeux souvenir, où le souffle des villes,
Épouse les ardeurs de l'amour clandestin.

Ton torse, Malvina, est un verger splendide
Dont les fruits savoureux sont trempés de soleil,
Fruits d'amour que le sol généreux de Floride
A nourri de ses sucs et teintés de vermeil.

Parfois tu prends aussi une pose enfantine,
Jouant l'étonnement ou la molle candeur.
Et riant aux éclats lorsque ma main taquine
Ton vaste sadinet où s'éteint toute ardeur.

Témoin des doux travaux dans lesquels tu excelles,
Ton nombril garde encore son ingénuité.
Évoquant par ce trait les putain de Bruxelles,
Qu'empourprent les émois de la virginité.

Sous tes vêtements clairs, ta gorge molle ondule.
Donnant à l'amateur quelque penser malsain.
Elle frôle en passant la baguette d'Hercule,
Et je sens se durcir, le globe de ton sein.

Tes jambes, Malvina, où circule un sang calme
Montent, mais lentement, vers un ciel sombre et bas.
Douloureux paradis, qu'évente de sa palme,
Un négrito dressé pour de savants combats.

Tes appâts rebondis, aussi lourds que tes fesses,
Rapproche-les, formons un couple monstrueux.
J'aime à chercher ainsi par d'humides caresses,
Un plaisir compliqué, un coït douloureux.

Partie de Chasse en sologne avec Brigitte Lahaie?

Petite devinette, si je vous déclame ce poème quel film ai-je vu ?


Un film québécois ?

The panic in needle park, chef d'oeuvre !


Le film américain le plus ancien qui parle de ce problème, bien qu'il aie un peu vieilli sur la forme, est à ma connaissance :







voir Sinatra à l'écran en 1955 se faire un "fix" :






puis souffrir d'un "cold turkey" :




Filmer ça alors que l'Amérique sortait tout juste du MacCarthysme , et était encore gérée par Eisenhower,fallait quand même du courage, pour l'époque !

En effet, très peu de films ont auparavant évoqué le cas de la drogue et ses désastres. Quelques fumeurs d'opium muets et noirs et blancs, et deux-trois films sur les méfaits de la marijuana dans les années trente. En recherchant rapidement, j'ai trouvé That Pace that kills de 1935 sur une accro à la cocaïne.
Ce serait intéressant de savoir pourquoi Otto Preminger et Sinatra ont décidé de faire ce film.
Je me souviens de la bande-son jazz superbe du film.

Pourquoi Preminger et Sinatra ont décider de faire le film ??? Parce que la nouvelle du même nom de Nelson Algren était bonne ??? Preminger aimait les sujets difficiles et controversés, Sinatra aimait parler des problèmes sociaux (The House I live in dans les années 40, The Detective en 1968...). Et puis Sinatra espérait l'Oscar, pour lequel il fut d'ailleur "nominé" avec ce film.

Petite devinette, si je vous déclame ce poème quel film ai-je vu ?


Un film québécois ?

Algernon a déjà trouvé, Béatrice.
(Je le soupçonne d'avoir utilisé Google pour arriver à ses fins, le sacripant)
"Comment réussir quand on est c.. et pleurnichard" de Michel Audiard avec les déhanchements d'une Jane Birkin à peine pubère.

Par information pour les esthètes : poème inspiré par Charles Baudelaire.

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Par information pour les esthètes : poème inspiré par Charles Baudelaire.

ET...Brigitte Lahaie!

Algernon a déjà trouvé, Béatrice.
(Je le soupçonne d'avoir utilisé Google pour arriver à ses fins, le sacripant)
"Comment réussir quand on est c.. et pleurnichard" de Michel Audiard avec les déhanchements d'une Jane Birkin à peine pubère.
Je jure sur le premier médiator de George que non. Un classique pareil ! C'est me faire offense de croire que j'ai pu recourir à des moyens triviaux pour répondre.

Le Corps De Mon Ennemi réalisé par Henri Verneuil (1976)

J'ai vraiment beaucoup aimé.
Bon scénario. Encore et toujours Michel Audiard aux dialogues (omniscient cet homme là)
Belmondo dans une interprétation sobre et juste.
et Marie-France Pisier

Du bon Bebel, bien avant qu'il ait des peluches sous les aisselles et une greluche peu versée dans le missel. Et Daniel Ivernel qu'on retrouve peu souvent dans les seconds rôles.

Oui, très bon ce Verneuil. L'un des rares films français se rapprochant des codes du giallo italien.

Ci-dessous un lien vers une page qui s'amuse à relever les nombreuses erreurs de continuité (ce qui n'enlève rien aux qualités du film):