Parmi les nouveaux musiciens, il y en a très certainement. Pardonne-moi de ne pas te donner d'exemple, là, mais je peux faire une recherche.On en est là.
Plus de move, d'agitation, de signes porteurs.
Non.
Chacun dans sa piaule, son local, avec un ProTool (piraté, ça va de soi) pour distribuer ses créations sur le net.
La scène psychédélique, le punk rock ?
Finis, balayés, c'est du jurassique, du temps où il y avait des structures, des gens concernés, intéressés.
Intéressés, oui, par la hype, le moyen de faire un peu de blé.
Alors bon, si quelqu'un, ici, n'a pas de fortune et gagne $0 par mois (il élève des chèvres dans une montagne sauvage, peu importe) et considère que piller les disques est correct, je lui tends la main.
Mais un(e) salarié(e), non.
Si tu estimes mériter un salaire, estime aussi le salaire des autres.
Tu ne parles encore et toujours que des salariés de l'industrie. Et les musiciens, JB, qu'en fais-tu ? Nous vivons en 2009, plus en 1966 ! Il te faudra l'accepter ou avoir trois trains de retard sur l'évolution de notre monde, contre lequel tu ne pourras absolument rien faire. C'est ton choix.
Mais les musiciens sont nombreux à ne pas porter ce regard d'hier sur leur avenir. À penser à demain. Fort heureusement !
Non, JB, plus rien n'est comme avant. Le monde évolue. Ceux qui l'accepteront y trouveront leur place. Ceux qui continueront à vivre dans la nostalgie d'une époque ancienne en souffriront.
Lis-tu les liens et les articles dont je te parle ?
Un autre !
http://131.193.153.231/www/issues/issue ... index.html
"The Grateful Dead are probably the most well-known example of a band with a high tolerance of pirated music, in order to encourage long-term popularity and the sales of diverse products. The band created a vast following by not preventing - and sometimes even encouraging - the distribution of their music via copied tapes. They created an environment that people enjoyed and wanted to be a part of, a kind of lifestyle. Those that truly supported the Grateful Dead's ideas and music ensured that the music survived in one form or another and that the artists in the band never suffered financially. The Grateful Dead's marketing strategy proved that musical success, even longevity, could be achieved using non-traditional means.
Unfortunately the music industry has not learned much from the example of the Grateful Dead. While the traditional music industry argues over security standards, much independent music is being lost. In turn, it will be more difficult to convince people to buy into various subscriptions services that could be offered as alternative distribution schemes. "If the process of listening to a song on the Internet is made burdensome by too many security concerns, then consumers will look elsewhere for the easiest way, whether RIAA-sanctioned or not"