Forum de rock6070

Pour l'anecdote (j'adore les anecdotes) LBS a enregistré un morceau sur une compil' (avec Bijou, notamment) sous le nom de ROBERTO & The PAPARAZZI.

Tricheurs (bijou) "repose Beethoven (v.l.)"



A ne point confondre avec les Tricheurs belges de l'excellent Marc Morgan qui ont enregistré une poignée de 45 tours et un album pendant leur éphémère carrière (1988-1992)

Big Bob
9/10/2012

Je vais encore vous emmerder avec mes vieilles marottes. J’écoute Little Bob Story (puis Little Bob) depuis 1975, depuis que son album inaugural, High time, a défoncé les murs vitreux de la variétoche gauloise à la tronçonneuse électrique. Il m’est arrivé de perdre de vue (et d’oreille) Little Bob, de louper un de sa trentaine d’albums, mais j’y suis toujours revenu, je n’ai jamais définitivement lâché l’affaire. Parce qu’au pays de Brassens (bien) et de Sardou (beurk), Roberto Piazza a fait rugir le ryhtm’blues prolétaire et les guitares électriques de Detroit, chantant en anglais yaourth parce que c’est la langue du rock, fidèle à sa musique, à son éthique, à son blouson de cuir, à ses santiags, à ses racines ouvrières et à sa ville du Havre sans jamais faire le moindre compromis.
http://blogs.lesinrocks.com/kaganski/20 ... 9/big-bob/

Pour l'anecdote (j'adore les anecdotes) LBS a enregistré un morceau sur une compil' (avec Bijou, notamment) sous le nom de ROBERTO & The PAPARAZZI.
http://www.secondhandsongs.com/release/47780



Ticket "howard Hugues"
Standards "les Avions Pirates"
Vinyl Street "(live On) Fire"
Eudeline Patrick "dernière Danse"
Roberto & The Paparazzi (little Bob) "she's Heartbreaker"
Rouge Baiser "folie Robotique"
Soligny Jérome "a Song For Ziggy"
Private Jokes "flux"
Stagiaires "conduite Interieure"
Tricheurs (bijou) "repose Beethoven (v.l.)"

Voilà...
Bonne journée.

je l'ai ce vinyl , pas écouté depuis ?

Big Bob
9/10/2012

Je vais encore vous emmerder avec mes vieilles marottes. J’écoute Little Bob Story (puis Little Bob) depuis 1975, depuis que son album inaugural, High time, a défoncé les murs vitreux de la variétoche gauloise à la tronçonneuse électrique. Il m’est arrivé de perdre de vue (et d’oreille) Little Bob, de louper un de sa trentaine d’albums, mais j’y suis toujours revenu, je n’ai jamais définitivement lâché l’affaire. Parce qu’au pays de Brassens (bien) et de Sardou (beurk), Roberto Piazza a fait rugir le ryhtm’blues prolétaire et les guitares électriques de Detroit, chantant en anglais yaourth parce que c’est la langue du rock, fidèle à sa musique, à son éthique, à son blouson de cuir, à ses santiags, à ses racines ouvrières et à sa ville du Havre sans jamais faire le moindre compromis.
http://blogs.lesinrocks.com/kaganski/20 ... 9/big-bob/

D'accord avec tout ça. A part bien sûr le vieux poncif "chantant en anglais (...) parce que c'est la langue du rock" excuse bidon derrière laquelle se réfugie trop souvent bon nombre de paroliers en mal d'inspiration ou pire, qui n'ont rien à dire (je ne parle pas pour Little Bob en l'occurrence).