Forum de rock6070

J'avais. Plus ou moins tout en CD et vinyle, mais mon ex à gardé la grosse majorité, je ne me retrouve qu'avec deux CD et quelques vinyles.
Mais petit à petit je me rachète l'essentiel en zappant les 80s, qui ne me manques absolument pas.

J'avais bien aimé "When I'm With You" à sa sortie, mais le reste m'a laissé indifférent. ET les albums suivants...

Continuons aujourd'hui, avec ce qui fût pendant trés longtemps, le dernier vrai Sparks. Introducing, 1977 et son mémorable Goofing Off.



Big Surprise


Forever Young


Goofing Off


Enjoy!

J'aime sans plus.

Et nous y voilà, la fin des 70's, la fin des guitares, l'arrivée de Georgio Moroder...
Voici quelques échantillons de ce que Sparks à fait entre 1979 et 1981.
Biensûr, tout n'est pas si horrible (quoi que...), mais vous verrez, le groupe tombera bien plus bas par la suite.

N°1 Song In Heaven, extrait de N°1 In Heaven (1979)



When I'm With You, extrait de Terminal Jive (1980)



Tips For Teens, extrait de Whomp That Sucker (1981)

Ai écouté 'When I'm With You', trop drôle.
On jurerait une parodie appuyée, incroyable.

Ai écouté 'When I'm With You', trop drôle.
On jurerait une parodie appuyée, incroyable.

Je pense que tu fais bien de l'entendre ainsi : le vide des paroles et la disco attitude. Mais j'ai l'impression que toute leur carrière est parodique. Ce qui est loin d'être une insulte venant de moi.

It's the break on the song
When I should say something special
But the pressure is on and I can't make up nothing special
Not when I'm with you

B.

Ai écouté 'When I'm With You', trop drôle.
On jurerait une parodie appuyée, incroyable.

Je pense que tu fais bien de l'entendre ainsi : le vide des paroles et la disco attitude. Mais j'ai l'impression que toute leur carrière est parodique.Oui, c'est assez curieux.
Les 10cc étaient également, souvent, en degré 2. 'I'm Not In Love' non, pourtant.
Yenyen, Maître du sujet, où sont 'les vrais Sparks', existent-ils ?

Excellente question. Je ne sais pas si on peut dire qu'ils existent vraiment. Car c'est vrai que sur toute leur carrière,
un deuxième degrés est omniprésent, dans des textes souvent légers mais aussi visuellement. Que ce soit sur scène,
en vidéo, ou lors d'interviews ou apparences TV, le groupe joue en permanence un rôle. Russell le bêlatre et Ron le psychopate,
se mettent toujours en scène. Je vous invite d'ailleurs à regarder quelques extraits vidéos de leur carrière, vous comprendrez
probablement mieux de quoi je parle. Enfin, comme je l'ai déjà dis, le groupe reste mysterieux, ils ne donnent pas leur âge, invente
toujours des histoires au sujet de la leur, vie privée etc... Autre point, aucune biographie officielle n'existe, ce qui prouve une nouvelle fois,
leur attachement à rester secret et à ne laisser paraître que ce qu'il desire, une image, une seule, deux frères excentriques.

Excellente question. Je ne sais pas si on peut dire qu'ils existent vraiment. Car c'est vrai que sur toute leur carrière,
un deuxième degrés est omniprésent, dans des textes souvent légers mais aussi visuellement. Que ce soit sur scène,
en vidéo, ou lors d'interviews ou apparences TV, le groupe joue en permanence un rôle. Russell le bêlatre et Ron le psychopate,
se mettent toujours en scène. Je vous invite d'ailleurs à regarder quelques extraits vidéos de leur carrière, vous comprendrez
probablement mieux de quoi je parle. Enfin, comme je l'ai déjà dis, le groupe reste mysterieux, ils ne donnent pas leur âge, invente
toujours des histoires au sujet de la leur, vie privée etc... Autre point, aucune biographie officielle n'existe, ce qui prouve une nouvelle fois,
leur attachement à rester secret et à ne laisser paraître que ce qu'il desire, une image, une seule, deux frères excentriques.

Je ne suis pas un grand expert de Sparks, vu que je ne connais qu'une partie de leur carrière. Mais j'ai l'impression que, un peu comme Frank Zappa, ils veulent brouiller les pistes.
Ils sont de Los Angeles mais ils sont tellement... so british : leur humour, leur vêtements, leur attitude. J'ai cru d'ailleurs comprendre qu'ils s'étaient basés à Londres car ils étaient trop "british" et étranges pour la côté Californienne du début des 70's. Bon, c'est vrai qu'un pianiste voulant être le sosie de Chaplin et d'Hitler en même temps, ca le fait moyen au pays de la "cool attitude"

Le deuxième degrés est en effet présent partout avec les frangins Mael. Leurs textes sont énigmatiques, surréalistes.
Mais ils ont toujours eu une approche de l'harmonie, de la musicalité, asser sidérante. Il n'y a qu'à écouter "Kimono My House" ou "Propaganda", ces albums sont d'une homogénéité asser déconcertante. Ils ont également un véritable talent pour les arrangements comme le prouve leur reprise de "I Want To Hold Your Hand".
Ils cachent grandement leur jeu. En studio, je suis sur qu'ils bossent avec beaucoup de sérieux. Et même s'ils se parodient ou font les hurluberlus sur scène, il y a quand même pas mal de professionnalisme derrière je trouve.

j'ai que ceux ci ds ma collect

THE SPARKS GOLD ( compilation )
KIMONO MY HOUSE
PROPAGANDA
SPARKS ( 1 st Album )
A WOOFER IN TWEETER ' S CLOTHING

Excellente question. Je ne sais pas si on peut dire qu'ils existent vraiment. Car c'est vrai que sur toute leur carrière,
un deuxième degrés est omniprésent, dans des textes souvent légers mais aussi visuellement. Que ce soit sur scène,
en vidéo, ou lors d'interviews ou apparences TV, le groupe joue en permanence un rôle. Russell le bêlatre et Ron le psychopate,
se mettent toujours en scène. Je vous invite d'ailleurs à regarder quelques extraits vidéos de leur carrière, vous comprendrez
probablement mieux de quoi je parle. Enfin, comme je l'ai déjà dis, le groupe reste mysterieux, ils ne donnent pas leur âge, invente
toujours des histoires au sujet de la leur, vie privée etc... Autre point, aucune biographie officielle n'existe, ce qui prouve une nouvelle fois,
leur attachement à rester secret et à ne laisser paraître que ce qu'il desire, une image, une seule, deux frères excentriques.

Je ne suis pas un grand expert de Sparks, vu que je ne connais qu'une partie de leur carrière. Mais j'ai l'impression que, un peu comme Frank Zappa, ils veulent brouiller les pistes.
Ils sont de Los Angeles mais ils sont tellement... so british : leur humour, leur vêtements, leur attitude. J'ai cru d'ailleurs comprendre qu'ils s'étaient basés à Londres car ils étaient trop "british" et étranges pour la côté Californienne du début des 70's. Bon, c'est vrai qu'un pianiste voulant être le sosie de Chaplin et d'Hitler en même temps, ca le fait moyen au pays de la "cool attitude"

Le deuxième degrés est en effet présent partout avec les frangins Mael. Leurs textes sont énigmatiques, surréalistes.
Mais ils ont toujours eu une approche de l'harmonie, de la musicalité, asser sidérante. Il n'y a qu'à écouter "Kimono My House" ou "Propaganda", ces albums sont d'une homogénéité asser déconcertante. Ils ont également un véritable talent pour les arrangements comme le prouve leur reprise de "I Want To Hold Your Hand".
Ils cachent grandement leur jeu. En studio, je suis sur qu'ils bossent avec beaucoup de sérieux. Et même s'ils se parodient ou font les hurluberlus sur scène, il y a quand même pas mal de professionnalisme derrière je trouve.

Tu as bien cerné la chose, c'est vrai qu'en studio, le professionalisme est maître, et Ron est beaucoup moins marrant que sur scène.
Beaucoup ont crus à l'épque qu'ils étaient anglais, c'est vrai, Russell cachait même son accent américain, mais ils vivent cependant toujours sur les hauteurs de LA.

Et cela se voit bien dans leurs pochettes. Elles sont absurdes, drôles mais toujours extrêmement soignées et travaillées.

Bien vu ! Les pochettes reflètent une partie de l'esprit Sparks, à quelques exceptions.
Un autre groupe très classe des 70's qui avait un sens semblable de la dérision était Ten CC.

Justement, je n'ai fait le lien que trés recemment entre 10cc et Sparks, mais je n'ai jamais entendu un autre morceau que Une Nuit à Patris collant aussi bien avec l'esprit Sparks.