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Phil Collins arrête la musique pour des raisons de santé !


Plus d'une dizaine d'albums avec Genesis , autant en solo et des montagnes de prix... Phil Collins prend sa retraite en 2011 à 60 ans en laissant une belle carrière derrière lui. Des problèmes de dos l'obligent aujourd'hui à prendre sa retraite. Une page du pop rock se tourne.
C'est par étapes que le chanteur de Genesis, en solo depuis le début des années 90, a pris sa retraite musicale.
Le batteur du célèbre groupe de rock progressif rencontrait en effet de gros problèmes de santé depuis deux ans. Suite à une opération de luxation des vertèbres en 2009, il perd d'abord la sensibilité de ses doigts, ce qui le contraint à ne plus jouer sur scène. L'année suivante, il annonce qu'il arrête la batterie en raison de son mal de dos lié à une mauvaise posture lorsqu'il jouait de son instrument enfant. En 2010, son album Going Back est annoncé à sa sortie comme le dernier de sa carrière.
A 60 ans, l'artiste oscarisé en 1999 pour sa chanson You’ll Be in my Heart du film animé Tarzan a annoncé son retrait définitif du monde de la musique dans une interview pour FHM à paraître ce mois-ci.
Souffrant d'une "dislocation vertébrale et d’une perte de l’ouïe", le chanteur préfère quitter ce milieu auquel il dit ne plus appartenir vraiment. "Je ne manquerai à personne", argue-t-il dans l'article, avant d'ajouter : "Ce n’est pas très surprenant que les gens aient fini par me détester. Je suis désolé d’avoir eu autant de succès. Je n’avais vraiment pas prévu que ça se passe comme ça".
Son immense succès a toujours fait des jaloux. Avec Paul McCartney et Michael Jackson , Phil Collins est en effet le seul artiste à avoir vendu plus de 100 millions d'albums à travers le monde. Il a aussi remporté sept Grammy Awards au cours de sa carrière. Noel Gallagher , le guitariste d' Oasis , l'avait pointé du doigt il y a quelques années : "On n'a pas besoin d'être talentueux pour avoir du succès. Regardez Phil Collins".
Aujourd'hui, l'artiste britannique répond à ses détracteurs en laissant dignement sa place. "C'est le bon moment pour s’arrêter", dit-il. A présent, il compte profiter pleinement de sa vie et "écrire dans [son] coin" à Féchy, une petite ville Suisse où il est resté malgré son divorce en 2006 avec sa troisième femme Orianne Cevey .

Ah oui, j'ai posté un lien vers un article similaire sur "Pleurons ensemble mes frères"... Je n'avais pas vu ton sujet, Kim, dont le titre est chafouin en diable. Bon esprit, man.

Champagne...!
(D'un autre côté quelqu'un qui affectionne tant les Action, ne peut être un mauvais bougre...)

Je n'avais pas vu ton sujet, Kim, dont le titre est chafouin en diable. Bon esprit, man.

Champagne...!
(D'un autre côté quelqu'un qui affectionne tant les Action, ne peut être un mauvais bougre...)

Ouais bon, si on va dans cette (no) direction là, Michel Berger a composé "il jouait du piano debout" en hommage à Jerry Lee !

Champagne...!
(D'un autre côté quelqu'un qui affectionne tant les Action, ne peut être un mauvais bougre...)C'est sûr ! Je pense vraiment que tout n'est pas à brûler chez ce type. Il y a un véritable amour de la bonne musique chez Collins. La soul, les Who, il connait son sujet. Moi je retiens surtout le côté fan, qui le poussait par exemple à participer à la reformation de Led Zep pour le Live Aid, rien que pour être dans les chaussons de Bonzo.

Moi j'aurais bien aimé le voir évoluer dans une direction plus novatrice, comme l'a fait Peter Gabriel par exemple. "In The Air Tonight", au-delà de la scie FM ultra-matraquée qu'elle est devenue, avait quelque chose de très original et novateur. La version de "Tomorrow Never Knows" sur le même album était également très intéressante. Seulement il a voulu poursuivre dans sa direction de soul blanche arrangée à la truelle, c'était une erreur. Pas mal de monde fantasmait sur une reformation du line-up classique de Genesis avec Gabriel et Hackett, personnellement je ne vois pas - à part un concert sympa pour la nostalgie et éventuellement du beau musicianship - ce qui aurait pu ressortir de probant là-dedans. Mais s'il avait pu développer quelque chose de plus personnel, de plus aventureux, je crois qu'il aurait été très bon là-dedans.

Et le type qui dit "That's it" je respecte.

Champagne...!
(D'un autre côté quelqu'un qui affectionne tant les Action, ne peut être un mauvais bougre...)

Ouais bon, si on va dans cette (no) direction là, Michel Berger a composé "il jouait du piano debout" en hommage à Jerry Lee !

C'est vrai que ça s'entends vachement la référence Jerry Lee Lewis (Outre les paroles, peut être.) dans la compo du Berger...
C'est quand même la quintessence du mauvais goût ce Michel Berger...
Et franchement Fil Colin a quand même de bien meilleure références que le français. EDIT : Comme dit RRRouliane, il connaissait mieux son sujet.
C'est toujours marrant, et intéressant : Ces musiciens qui ont un sacré goût, qui font ensuite de la soupe. Idem, dans un autre registre pour Michel Jonasz qu'a joué avec Vigon pour ses disques chez Vogue, et qui s'est écroulé dans un marasme jazz/scat/chanson française vraiment ringard...

Jimi Hendrix était l'idole de Michel Berger durant sa jeunesse. A méditer.

Idem, dans un autre registre pour Michel Jonasz qu'a joué avec Vigon pour ses disques chez Vogue, et qui s'est écroulé dans un marasme jazz/scat/chanson française vraiment ringard...Oui mais pas que... Il y a des albums comme "Où vont les rêves" sur lesquels il joue presque de la vraie soul et du vrai blues.

Jimi Hendrix était l'idole de Michel Berger durant sa jeunesse. A méditer.

LOL

Picasso était l'idôle d'Hitler durant sa jeunesse. À méditer.





(désolé j'ai pas pu m'en empêcher )

Jimi Hendrix était l'idole de Michel Berger durant sa jeunesse. A méditer.Il n'en a guère conçu séquelle alors...



Allez, moi je conserve un certaine tendresse pour le disque "Puzzle", tentative à la mode de fusion pop / classique, mais sinon Berger me les a toujours brisées, avec sa tête de premier de la classe et sa façon grotesque de remuer quand il chantait. Quand je pense que ma daronne pleurait à chaudes larmes quand elle a appris sa mort...

Idem, dans un autre registre pour Michel Jonasz qu'a joué avec Vigon pour ses disques chez Vogue, et qui s'est écroulé dans un marasme jazz/scat/chanson française vraiment ringard...Oui mais pas que... Il y a des albums comme "Où vont les rêves" sur lesquels il joue presque de la vraie soul et du vrai blues.

C'est vrai, d'ailleurs je crois qu'il a fait un show à l'Olympia y'a quelques semaine en hommage à Otis Redding et Marvin Gaye. C'est un type que j'aime bien, en interview il est intelligent, ça a l'air d'être un bon gars, mais dans ma tête quand j'entends Michel Jonasz je pense direct à des scats sur une musique très mal produite, ou en tout cas vraiment années 80 française. Comment un gars fan de soul, de blues et de jazz arrive à avoir un son dégueulasse? Si la soul et le blues sont des genres aussi communicatif émotionnellement, c'est en partie grâce à la production fiévreuse, un peu sale et grave. En tout cas, si j'avais été Jonasz, j'aurais pas touché à mes compos mais j'aurais fait gaffe au son.

Je crois qu'il faisait justement gaffe au son, mais que c'était dans ces foutues 80s, et que les putains de DX-7 ont fait leur sale boulot...

J'ai rien compris. Michel berger arrête la musique ?

J'ai rien compris. Michel berger arrête la musique ?
nan il arrête le tennis