Forum de rock6070

JORANE
Une artiste présentée par mon meilleur ami comme étant une des voix française montante.

Elle est québécoise
et puis "montante" ...? : elle en est à son 11 ième album

Elle a un beau site web ici -> http://www.jorane.com/fr/

Personnellement je n'aime pas beaucoup...C'était y a 10 ans, le conseil. et Pardon, je ne savais pas qu'elle était québecoise... sorry

Ah il n'y a pas de trouble mon chum. Je disais ça à titre informatif.

Lula Côrtes e Zé Ramalho - Paebirú - 1975

J'ai trouver cette chronique sur ce groupe obscure mais qui mérite une oreille attentive

Du rock brésilien psychédélique ? La musique réserve parfois de ces surprises ! Le légendaire « Paêbirú » de Lula Côrtes et Zé Ramalhos resurgit du passé telle une perle tropicale miraculée...

Lula Côrtes et Zé Ramalho sont les auteurs du premier concept-album brésilien, paru dans les années 1970. Une œuvre au souffle épique inspirée aux musiciens et aux coproducteurs par un lieu de culte mythique du Paraíba. La « Pedra do Ingà », monolithe couvert d’inscriptions indéchiffrables, leur a donné l’idée d’un cycle musical sur les quatre éléments, la terre, le feu, l’eau et l’air : « Paêbirú ». L’album qui vient d’être réédité est marqué par son époque. Pourtant, malgré l’influence omniprésente des groupes planants des années 1970 comme les Allemands Amon Düül et Tangerine Dream ou l’Américain Grateful Dead, il fascine encore. Grâce surtout au chant et aux rythmes typiquement brésiliens de ses compositions narcotisées. Grâce aussi à une instrumentation ensorcelante : guitares acoustiques et électriques, pianos, orgues, vents et percussions. Les musiciens ont su mettre à bon escient l’accent sur la force ou sur la délicatesse selon que les passages sont plus denses ou plus mélodieux. La dimension politique de l’album ne peut non plus être oubliée : « Paêbirú » est issu d’un mouvement de contre-culture, il se fait le chantre d’une philosophie qui ne cadrait pas avec celle de la dictature militaire ; rien d’étonnant à ce qu’il ait été considéré comme une critique à peine voilée du régime.

Il est d’autant plus navrant que beaucoup de copies de l’édition originale aient été brûlées lors d’un incendie ; les rares exemplaires épargnés ont dès lors atteint des cotes mirobolantes sur le marché. Après restauration des bandes d’origine et réédition de cette œuvre mémorable de Lula Côrtes et Zé Ramalho, « Paêbirú » est de retour dans les bacs, sous forme de CD ou d’un superbe double album vinyle.


Matthias Schneider

Lula Côrtes e Zé Ramalho - Paebirú - 1975

J'ai trouver cette chronique sur ce groupe obscure mais qui mérite une oreille attentive

Du rock brésilien psychédélique ? La musique réserve parfois de ces surprises ! Le légendaire « Paêbirú » de Lula Côrtes et Zé Ramalhos resurgit du passé telle une perle tropicale miraculée...

Lula Côrtes et Zé Ramalho sont les auteurs du premier concept-album brésilien, paru dans les années 1970. Une œuvre au souffle épique inspirée aux musiciens et aux coproducteurs par un lieu de culte mythique du Paraíba. La « Pedra do Ingà », monolithe couvert d’inscriptions indéchiffrables, leur a donné l’idée d’un cycle musical sur les quatre éléments, la terre, le feu, l’eau et l’air : « Paêbirú ». L’album qui vient d’être réédité est marqué par son époque. Pourtant, malgré l’influence omniprésente des groupes planants des années 1970 comme les Allemands Amon Düül et Tangerine Dream ou l’Américain Grateful Dead, il fascine encore. Grâce surtout au chant et aux rythmes typiquement brésiliens de ses compositions narcotisées. Grâce aussi à une instrumentation ensorcelante : guitares acoustiques et électriques, pianos, orgues, vents et percussions. Les musiciens ont su mettre à bon escient l’accent sur la force ou sur la délicatesse selon que les passages sont plus denses ou plus mélodieux. La dimension politique de l’album ne peut non plus être oubliée : « Paêbirú » est issu d’un mouvement de contre-culture, il se fait le chantre d’une philosophie qui ne cadrait pas avec celle de la dictature militaire ; rien d’étonnant à ce qu’il ait été considéré comme une critique à peine voilée du régime.

Il est d’autant plus navrant que beaucoup de copies de l’édition originale aient été brûlées lors d’un incendie ; les rares exemplaires épargnés ont dès lors atteint des cotes mirobolantes sur le marché. Après restauration des bandes d’origine et réédition de cette œuvre mémorable de Lula Côrtes et Zé Ramalho, « Paêbirú » est de retour dans les bacs, sous forme de CD ou d’un superbe double album vinyle.


Matthias Schneider

Quelqu un en a parlé très récemment dans ce meme post. En filant un lien.

BARCLAY JAMES HARVEST-Featuring Les Holroyd.
Live in Bonn 02.
Super Live, avec un très bon guitariste aussi
Du grand top!

Johnny Crash Neighbourhood Threat 1990 Sleaze-Blues-Hard-Rock

Johnny Crash, c’est d’abord un style que nous appellerons du Sleaze-Blues-Hard-Rock en raison du mélange de ces différents genres qui rend les racines musicales du groupe évidentes mais dont l’alchimie offre une identité propre à ce combo. L’autre ingrédient incontournable du quintet vient de la voix de Vicki James Wright, sorte d’hybride de Bon Scott et Angry Anderson (Rose Tattoo), mariant le grain du premier et la gouaille du second. Les groupes respectifs de ces deux frontmen légendaires sont d’ailleurs incontournables dans les influences de Johnny Crash.

L'ensemble des 11 titres ont en commun des riffs d’une efficacité redoutable, ainsi que des refrains tous plus obsédants les uns que les autres. Si vous rajoutez à cet ensemble une énergie dévastatrice et un enthousiasme communicatif, vous obtenez ce brûlot où le mid-tempo bluesy « Thrill Of The Kill » voisine avec la tornade de « Axe To The Wax » sans que le sourire qui barre votre visage ne s’altère à aucun moment.

http://rapidshare.com/#!download|115cg| ... .rar|38408

Pass:
hard-rock-noize.blogspot.com

viewtopic.php?f=6&t=9306

Merci alcat01, , j'avais un peu, beaucoup, oublié ce groupe dont les albums dormaient au fond du placard

Sensationnal Alex Harvey Band-Live


J'écoute pas souvent voire même jamais le SAHB, ce Live est excellent

Sensationnal Alex Harvey Band-Live


J'écoute pas souvent voire même jamais le SAHB, ce Live est excellent
Il est plus que excellent

J'écoute pas souvent voire même jamais le SAHB, ce Live est excellent

C est bien dommage...
ce live est énOOrme...

Johnny Crash Neighbourhood Threat 1990 Sleaze-Blues-Hard-Rock

Johnny Crash, c’est d’abord un style que nous appellerons du Sleaze-Blues-Hard-Rock en raison du mélange de ces différents genres qui rend les racines musicales du groupe évidentes mais dont l’alchimie offre une identité propre à ce combo. L’autre ingrédient incontournable du quintet vient de la voix de Vicki James Wright, sorte d’hybride de Bon Scott et Angry Anderson (Rose Tattoo), mariant le grain du premier et la gouaille du second. Les groupes respectifs de ces deux frontmen légendaires sont d’ailleurs incontournables dans les influences de Johnny Crash.

L'ensemble des 11 titres ont en commun des riffs d’une efficacité redoutable, ainsi que des refrains tous plus obsédants les uns que les autres. Si vous rajoutez à cet ensemble une énergie dévastatrice et un enthousiasme communicatif, vous obtenez ce brûlot où le mid-tempo bluesy « Thrill Of The Kill » voisine avec la tornade de « Axe To The Wax » sans que le sourire qui barre votre visage ne s’altère à aucun moment.

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rigolo je l'ai écouté le mois dernier
trouvé à Parallèles pour 1 euro ce disque

Ils ne sont passés qu'une fois en France, en 1ère partie de Pretty Maids en 1990. Pas essentiel, mais du bon sleaze rock comme tu dis

En ce moment le très bon (je maintiens !) "Le Noise" du père Young

Lula Côrtes e Zé Ramalho - Paebirú - 1975

J'ai trouver cette chronique sur ce groupe obscure mais qui mérite une oreille attentive

Du rock brésilien psychédélique ? La musique réserve parfois de ces surprises ! Le légendaire « Paêbirú » de Lula Côrtes et Zé Ramalhos resurgit du passé telle une perle tropicale miraculée...

Lula Côrtes et Zé Ramalho sont les auteurs du premier concept-album brésilien, paru dans les années 1970. Une œuvre au souffle épique inspirée aux musiciens et aux coproducteurs par un lieu de culte mythique du Paraíba. La « Pedra do Ingà », monolithe couvert d’inscriptions indéchiffrables, leur a donné l’idée d’un cycle musical sur les quatre éléments, la terre, le feu, l’eau et l’air : « Paêbirú ». L’album qui vient d’être réédité est marqué par son époque. Pourtant, malgré l’influence omniprésente des groupes planants des années 1970 comme les Allemands Amon Düül et Tangerine Dream ou l’Américain Grateful Dead, il fascine encore. Grâce surtout au chant et aux rythmes typiquement brésiliens de ses compositions narcotisées. Grâce aussi à une instrumentation ensorcelante : guitares acoustiques et électriques, pianos, orgues, vents et percussions. Les musiciens ont su mettre à bon escient l’accent sur la force ou sur la délicatesse selon que les passages sont plus denses ou plus mélodieux. La dimension politique de l’album ne peut non plus être oubliée : « Paêbirú » est issu d’un mouvement de contre-culture, il se fait le chantre d’une philosophie qui ne cadrait pas avec celle de la dictature militaire ; rien d’étonnant à ce qu’il ait été considéré comme une critique à peine voilée du régime.

Il est d’autant plus navrant que beaucoup de copies de l’édition originale aient été brûlées lors d’un incendie ; les rares exemplaires épargnés ont dès lors atteint des cotes mirobolantes sur le marché. Après restauration des bandes d’origine et réédition de cette œuvre mémorable de Lula Côrtes et Zé Ramalho, « Paêbirú » est de retour dans les bacs, sous forme de CD ou d’un superbe double album vinyle.


Matthias Schneider


Oui,

Précisons que Lula Côrtes est le créateur d'"Abrakadabra", la première maison de disque indépendante du Brésil. Paêbirù est la troisième production d'"Abrakadabra" (sortie en 1974 et non 1975 comme annoncée), la plus audacieuse aussi (fascinant double album unique en son genre qui rappelle, par moment il est vrai, le meilleur d'Amon Düül (I et II !)). Les autres productions d'Abrakadabra (du moins celles que je connais) sont :
- Lula Côrtes e Lailson, Satwa, 1973
- Marconi Notaro, No Sub Reino Dos Metazoàrios, 1973
- Flaviola e o Bando do Sol, st, 1974
Ces trois albums méritent également une écoute attentive.

KARMAKANIC- Entering the Spectra.
Projet de Jonas reingold (bass) du groupe Flower Kings!

Pas vraiment de saison mais y'a de la bonne came dessus...

Oxfords - Flying up trough the sky (1970, US) pop psyché de Louisville.