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Forum de rock6070 • Afficher le sujet - Joan Baez — “Noël” (1966)

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 Sujet du message: Joan Baez — “Noël” (1966)
MessagePosté: Ven Déc 25, 2009 1:53 pm 
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Inscription: Mer Juil 11, 2007 10:59 pm
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«But hear me when I call to you softly through the flutes and chimes,
Listen when I ask gently but hopefuly
That you remember,
Remember
That the child,
The baby with the halo
Who lies in the yellow hay in all the rich heavy paintings
Sleeping calmly in the presence of jeweled and bewildered royalty
Grew into a young man who lived a strange and glorious life
Who said once
(In time forgotten,
That faded time between the craddle nd the cross)
“All men are brothers”, and another time
“Thou shalt not kill”
And he knew that he would not,
Could not,
For any reason,
Kill his brother.»
— Joan Baez, Christmas 1966

Traduction:

«Entendez-moi quand doucement je vous appelle à travers le son des flûtes et les carillons
Entendez-moi quand gentiment, pleine d’espoir, je vous demande
De vous souvenir,
Souvenir,
Que l’enfant,
Le bébé avec le halo
Que l’on voit couché sur la paille dans les massifs et luxueux tableaux
Dormant calmement en présence de personnages royaux, émerveillés, couverts de bijoux,
Grandit et devint un jeune homme qui vécut une étrange et glorieuse vie,
Qui, une fois, dit
(En ce temps oublié,
Qui va du berceau à la croix)
“Tous les hommes sont frères”, et, une autre fois
“Tu ne tueras pas”.
Et qui sait que l’homme ne devra pas,
Ne pourra pas,
Quelle qu’en soit la raison,
Tuer son frère.»

Image
“ La Nativité” — Gerard van Honthorst (1590-1656)

«O come, O come, Emmanuel»... Sa voix... Une note d’orgue, douce, ténue, solitaire... le tintinabulement de fines clochettes... un violoncelle, feutré, discret... «Rejoice, rejoice, Emmanuel, Shall come to thee, O Israel» (Réjouis-toi, réjouis-toi, le Signe, T’apparaîtra, ô Israël)... C’est grave, religieux, solennel, ancien!

Tout l’album revêt ce caractère, loin de l’atmosphère souriante et festive qui, en ces pétulantes sixties, régit les œuvres du même type — du moins, souvent, la moitié! Pas de “Jingle bells” donc, pas de “Winter wonderland”, mais un florilège de carols et de courtes pièces musicales datées de la Renaissance, du XIXe siècle ou, au plus tard, du début du XXe; en tout, douze chansons et cinq instrumentaux évoquant un autrefois plein de mystère et d’espérance — y compris “The little drummer boy” (l’équivalent du “Petit papa Noël” de nos contrées), repris avec un panache étonnant! Les instrumentaux sont des airs connus et habituellement chantés, “Deck the halls” par exemple, ou “Angels we have heard on high” (le célèbre “Gloria in exelcis Deo” — en français “Les anges dans nos campagnes”), ou encore “Adeste Fidelis” (aka “O come all ye faithful”): autant de petits cristaux aérant cet album, le rendant plus contrasté et plus séduisant.

Joan Baez chante en allemand (l’“Ave Maria” de Schubert) et en français (le fameux “Cantique de Noël”, alias “Minuit, Chrétiens”) et interprète deux autres chansons de tradition allemande et française (Mary’s wandering” et “O come, o come Emmanuel”), ainsi qu’une chanson catalane (“The carol of the birds”).

L’orchestration est prodigieuse, vivante et colorée, elle est due à Peter Schickele, compositeur de renom qui va produire les albums suivants de Joan Baez: “Joan” et “Baptism”. On y remarque le clavecin — très présent —, mais aussi l’orgue, la flûte, les violons — grands violons, quatuors à cordes —, la trompette et d’autres cuivres — notamment sur les instrumentaux —, ainsi qu’un tambour et un essaim de fines clochettes.

La voix de Joan Baez, claire, ardente, superbement classique, acquiert ici une ferveur inhabituelle, qui peut gêner l’amateur de rengaines folkloriques et d’interprétations dylaniennes, mais ne peut manquer de plaire à celui qui aime les “ensembles” et la musique sacrée.

Tous les morceaux possèdent une grâce apaisante et sereine, un fleur angélique et merveilleux. Après le pieux, lent et enchanteur “O come, o come Emmanuel”, l’infuse douceur, la rayonnante tendresse de “Coventry carol” — où se succèdent une flûte, des clochettes, un sobre harmonium et un clavecin gambadeur — comblent de félicité, emplissent l’âme d’innocence et de joie.

“The little drummer boy”, cette cabalette qui date de 1941, se transforme ici en un brillant et fringant menuet où resplendit le clavecin, résonne un gros et gai tambour, pavoise une trompette et scintillent de fines clochettes. C’est la chanson la plus enthousiasmante de l’album; Joan la chante avec un bel élan, naturel et limpide.

L’ostinato lunaire et solennel d’un violoncelle, les sautillements du clavecin, doublés de coups d’archets d’un violon, le semis des clochettes confèrent à “Down in yon forrest”, une ballade de la Renaissance très peu connue, un charme auguste et chevaleresque.

“The carol of the birds”, avec l’enveloppant, lent et majestueux mouvement d’un quatuor à cordes, la voix fervente et cristalline de Joan Baez, transporte en un ciel accueillant et serein.

L’“Ave Maria” de Schubert est tel qu’il doit être: glorieux et poignant. Il débute en douceur, tout embué de harpe, souligné par une basse profonde, puis s’épanouit, gorgé par la sève des violons. Joan y insuffle toute l’émotion nécessaire; c’est à tomber à genoux!

La sonorité très médiévale de “Mary’s wandering”, mêlant flûte et orgue, convient admirablement à cette ode triste et chatoyante où se résume l’histoire de Marie cherchant son fils.

“Away in a manger” est un apogée de délicatesse que n’égale que “Coventry carol”: un pimpant rondelet, garni d’autant de clochettes (et de grelots!) et muni d’un clavecin qui, à petits coups mesurés, s’applique à imiter le son d’une boîte à musique — de celles qui, quand on les ouvre, découvrent une danseuse qui se met à tourner.

“Le cantique de Noël”, le fameux “Minuit, chrétiens” (“Holy night”, en anglais), est tout imbu de piété et d’ardeur. Les violons, les violoncelles, piquetés de harpe, s’éploient et atteignent à une supernelle grandeur. La voix de Joan Baez gagne autant d’essor et communique une émotion, un frisson extraordinaire; notamment au dernier refrain, «Peuple, debout! Chante ta délivrance, Noël! Noël! Chantons le Rédempteur», lorsqu’elle pousse le dernier «Noël» une octave au-dessus.

“What child is this” et son insouciant air de danse évoquent de radieux ciels d’hiver, des gens patinant sur la glace, ou façonnant de gros bonhommes de neige. L’orchestration, derechef, est fine et merveilleuse: une guitare égrenant de doux arpèges, de la flûte, du violon, et une reprise où pétillent clavecin et glockenspiel.

Le très attendu “Silent night” conclue l’album. Il faut l’avouer: il est trop cotonneux, trop enrobé de violons, de nuageux violons, d’envahissants violons, de submergeants violons qui versent parfois trop d’aigus et noient le chant de Joan Baez, pour sa part irréprochable!

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Cet album a été réédité en 2001 avec cinq titres supplémentaires et une version française de “Away in a manger” — alors, si vous avez des sous à Noël...

Voici maintenant les paroles et leurs traductions:

1/ O come, O come, Emmanuel

O come, O come, Emmanuel
And ransom captive Israel
That mourns in lonely exile here
Until the Son of God appear
Rejoice, rejoice, Emmanuel
Shall come to thee, O Israel

Ô viens, ô viens, Emmanuel
Et paye la rançon d’Israël
Qui se désole dans l’exil,
Attendant la venue du Fils de Dieu
Réjouis-toi, réjouis-toi, le Signe
T’apparaîtra, ô Israël


O come, Thou Rod of Jesse, free
Thine own from Satan's tyranny
From depths of Hell Thy people save
And give them victory o'er the grave
Rejoice, rejoice, Emmanuel
Shall come to thee, o Israel

Ô viens, Toi, Rameau de Jessé
Délivre-toi de la tyrannie de Satan
Sauve ton peuple des profondeurs de l’Enfer
Et donne lui la victoire par-delà le tombeau
Réjouis-toi, réjouis-toi, le Signe
T’apparaîtra, ô Israël


O come, Thou Day-Spring
Come and cheer
Our spirits by Thine advent here
Disperse the gloomy clouds of night
And death's dark shadows put to flight
Rejoice, rejoice, Emmanuel
Shall come to thee, o Israel

Ô viens, Toi, Première lueur du jour,
Viens et réconforte nos esprits de ton avènement
Disperse les sombres nuages de la nuit
Et chasse les ombres de la mort
Réjouis-toi, réjouis-toi, le Signe
T’apparaîtra, ô Israël


O come, Thou Key of David, come
And open wide our heavenly home
Make safe the way that leads on high
And close the path to misery
Rejoice, rejoice, Emmanuel
Shall come to thee, o Israel

Ô viens, Toi, Clef de David, viens
Et ouvre en grand notre maison dans le ciel
Rends sûr le chemin qui y conduit
Et barre le sentier de la misère
Réjouis-toi, réjouis-toi, le Signe
T’apparaîtra, ô Israël


O come, O come, Thou Lord of might
Who to Thy tribes, on Sinai's height
In ancient times did'st give the Law
In cloud, and majesty and awe
Rejoice, rejoice, Emmanuel
Shall come to thee, o Israel

Ô viens, ô viens, Toi, Seigneur tout puissant
Qui à tes tribus, sur le mont Sinaï,
Dans les temps anciens, donna la Loi
Au milieu des nuages, majestueux et redoutable
Réjouis-toi, réjouis-toi, le Signe
T’apparaîtra, ô Israël


>>> The text is based on the biblical prophesy from Isaiah 7:14 that states that God will give Israel a sign that will be called Immanuel (Lit.: God with us). Matthew 1:23 states fulfillment of this prophecy in the birth of Jesus of Nazareth. (Wikipedia)
Les paroles sont basées sur une prophétie d’Isaïe (7 :14) qui dit que Dieu donnera à Israël un signe qui s’appellera Immanuel (littéralement “Dieu avec nous”). Saint Matthieu (1 :23) établit l’accomplissement de cette prophétie dans la naissance de Jésus de Nazareth.

http://en.wikipedia.org/wiki/O_come,_O_come,_Emmanuel

2/ Coventry carol

Lully, lullay, Thou little tiny Child,
Bye, bye, lully, lullay.

Lully, lullay, Toi petit Enfant
Bye, bye, lully, lullay.


O sisters too, how may we do,
For to preserve this day
This poor youngling [younging] for whom we do sing
Bye, bye, lully, lullay.

Ô mes sœurs, que pouvons nous faire
Pour préserver en ce jour
Ces pauvres enfants pour qui nous chantons
Bye, bye, lully, lullay.


Herod, the king, in his raging,
Charged he hath [have] this day
His men of might, in his own sight,
All young children to slay.

Hérode, le roi, dans sa rage
A ordonné en ce jour
A ses guerriers puissants,
De tuer les enfants de moins de deux ans


That woe is me, poor Child for Thee!
And ever mourn and sigh,
[And ever morn and day]
For thy parting neither say nor sing,
Bye, bye, lully, lullay.

Quel malheur pour moi, et pour toi, mon enfant
Et chaque soupir et lamentation,
En pensant que nous serons séparés, ne se peut dire ou chanter
[Et chaque matin chaque jour,
Pensant que nous serons séparés, j’éprouve une peine qui ne se peut dire ou chanter]
Bye, bye, lully, lullay.


>>> A Christmas carol dating from the 16th Century. The carol was performed in Coventry as part of a mystery play called The Pageant of the Shearmen and Tailors. The play depicts the Christmas story from chapter two in the Gospel of Matthew. The carol refers to the Massacre of the Innocents, in which Herod orders all male infants under the age of two in Bethlehem to be killed. The lyrics of this haunting carol represent a mother's lament for her doomed child. (Wikipedia)
Un chant de Noël datant du XVIe siècle. Le chant fut interprété à Coventry comme la partie d’un mystère intitulé “La fête des tailleurs et des couturiers”. Ce mystère raconte l’histoire de Noël dans le deuxième chapitre de l’Evangile selon saint Matthieu. Il se réfère à l’épisode du Massacre des Innocents, dans lequel Hérode ordonne que soient tués, à Bethléem, tous les enfants mâles de moins de deux ans. Les paroles, captivantes, restituent les lamentations d’une mère pour son enfant condamné à périr.

http://en.wikipedia.org/wiki/Coventry_carol

3/ Good King Wenceslas
(Instr.)

4/ The little drummer boy

Come, they told me
Pa, rum, pa, pum, pum
A newborn king to see
Pa, rum, pa, pum, pum
Our finest gifts we bring
Pa, rum, pa, pum, pum
To lay before the king
Pa, rum, pa, pum, pum
Rum, a pum pum
Rum, pa, pum, pum
So to honor him
Pa, rum, pa, pum, pum
When we come

Viens, m’ont ils dit
Un nouveau roi est né
Nous apportons nos plus beaux cadeaux
Nous allons les poser devant lui
Et ainsi l’honorer
Quand nous viendrons


Little baby
Pa, rum, pa, pum, pum
I am a poor boy, too
Pa, rum, pa, pum, pum
I have no gift to bring
Pa, rum, pa, pum, pum
That's fit to give a king
Pa, rum, pa, pum, pum
Rum, pa, pum, pum
Rum, pa, pum, pum
Shall I play for you
Pa, rum, pa, pum, pum
On my drum

Petit bébé,
Moi aussi je suis pauvre
Je n’ai pas de cadeau à offrir
Qui convienne à un roi
Alors je jouerai pour vous
Un air de tambour


Mary nodded
Pa, rum, pa, pum, pum
The ass and lamb kept time
Pa, rum, pa, pum, pum
I played my drum for him
Pa, rum, pa, pum, pum
I played my best for him
Pa, rum, pa, pum, pum
Rum, pa, pum, pum
Rum, pa, pum, pum
Then he smiled at me
Pa, rum, pa, pum, pum
Me and my drum
Me and my drum

Marie approuva
L’âne et le bœuf battirent la cadence
Je jouai pour lui
Je jouai de mon mieux pour lui
Alors, il me sourit
A moi et à mon tambour


>>> The lyrics tell the apocryphal story of a poor young boy who, unable to afford a gift for the infant Jesus, plays his drum for the newborn with the Virgin Mary 's approval. (Wikipedia)
Les paroles content l’histoire, apocryphe, d’un pauvre garçon qui, ne pouvant offrir de cadeau à l’enfant Jésus, joue de son tambour pour lui; la vierge Marie approuve ce geste.

http://en.wikipedia.org/wiki/The_Little_Drummer_Boy

5/ I wonder as I wander

I wonder as I wander out under the sky
How Jesus the Saviour did come for to die
For poor on'ry [ordinary] people like you and like I;
I wonder as I wander out under the sky

Je m’émerveille comme je flâne au-dehors sous le ciel
Que Jésus le Sauveur soit venu mourir ici
Pour de simples gens comme vous et moi
Je m’émerveille comme je flâne au-dehors sous le ciel


When Mary birthed Jesus 'twas in a cow's stall
With wise men and farmers and shepherds and all
But high from God's heaven, a star's light did fall
And the promise of ages it then did recall.

Quand Marie enfanta Jésus, c’était dans une étable
Avec des hommes sages, des fermiers et des pasteurs
Mais dans le ciel de Dieu, là-haut, tomba la lumière d’une étoile
Qui rappela l’espoir des jours anciens


If Jesus had wanted for any wee thing
A star in the sky [sly ?] or a bird-on-the-wing*
Or all of God's angels in heaven for to sing
He surely could have [seen] it, 'cause he was the King

Que Jésus eut souhaité la moindre chose
Une étoile dans le ciel, de l’herbe à lait
Ou tous les anges de Dieu chantant dans le ciel
Il l’aurait sûrement obtenu, car il était le Roi


I wonder as I wander out under the sky
How Jesus the Saviour did come for to die
For poor on'ry [ordinary] people like you and like I;
I wonder as I wander out under the sky

Je m’émerveille comme je flâne au-dehors sous le ciel
Que Jésus le Sauveur soit venu mourir ici
Pour de simples gens comme vous et moi
Je m’émerveille comme je flâne au-dehors sous le ciel


* bird-on-the-wing :
http://www.thefreedictionary.com/bird-on-the-wing

>>> "I Wonder as I Wander" has its origins in a song fragment collected on July 16 ,1933 by folklorist and singer John Jacob Niles. While in the town of Murphy in Appalachian North Carolina, Niles attended a fundraising meeting held by evangelicals who had been ordered out of town by the police. In his unpublished autobiography, he wrote of hearing the song: «A girl had stepped out to the edge of the little platform attached to the automobile. She began to sing. Her clothes were unbelievable dirty and ragged, and she, too, was unwashed. Her ash-blond hair hung down in long skeins.... But, best of all, she was beautiful, and in her untutored way, she could sing. She smiled as she sang, smiled rather sadly, and sang only a single line of a song.» (Wikipedia)
“I wonder as I wander” trouve ses origines dans le fragment collecté le 16 juillet 1933 par le folkloriste et chanteur John Jacob Niles. Alors qu’il se trouvait à Murphy, en Caroline du Nord, dans les monts Appalaches, et qu’il assistait à une réunion tenue par des évangélistes, chassés de la ville, pour la collecte de fonds. Dans son autobiographie, demeurée inédite, il raconte ainsi la découverte de cette chanson: «Une fille se tenait sur bord d’une petite plate-forme attachée à l’automobile. Elle commença à chanter... Ses vêtements étaient incroyablement sales et déchirés; elle était sale aussi: ses cheveux d’un blond cendré pendaient en longues mèches. Mais, par-dessus tout, elle était belle, et, à sa façon, sans qu’elle n’ait rien appris, elle savait chanter... Elle souriait en chantant, plutôt tristement, et chanta un seul vers de la chanson.»

http://en.wikipedia.org/wiki/I_Wonder_As_I_Wander

6/ Bring a torch, Jeannette, Isabella
(Instr.)

7/ Down in yon forrest

Down in yon forest there stands a hall
The bells of paradise I heard them ring
It's covered all over with purple and pall
And I love my Lord Jesus above anything

Là-bas, dans cette forêt, est une demeure
J’ai entendu sonner les cloches du Paradis
Elle est couverte de crêpes mauves et de voiles
Et j’aime mon Seigneur Jésus par-dessus tout


In that hall there stands a bed
The bells of paradise I heard them ring
It's covered all over with scarlet so red
And I love my Lord Jesus above anything

Dans cette demeure se trouve un lit
J’ai entendu sonner les cloches du Paradis
Il est couvert de draps d’un rouge écarlate
Et j’aime mon Seigneur Jésus par-dessus tout


At the bed side there lies a stone
The bells of paradise I heard them ring
Which the sweet virgin Mary knelt upon
And I love my Lord Jesus above anything

Au côté du lit se trouve une pierre
J’ai entendu sonner les cloches du Paradis
Sur laquelle la douce vierge Marie est agenouillée
Et j’aime mon Seigneur Jésus par-dessus tout


Under that bed there runs a flood
The bells of paradise I heard them ring
The one half runs water and other runs blood
And I love my Lord Jesus above anything

Sous ce lit coule le flot d’une rivière
J’ai entendu sonner les cloches du Paradis
Une partie roule le l’eau, l’autre roule du sang
Et j’aime mon Seigneur Jésus par-dessus tout


At the bed's foot there grows a thorn
The bells of paradise I heard them ring
Which ever blows* blossoms since He was born
And I love my Lord Jesus above anything

Au pied du lit grandit une épine
J’ai entendu sonner les cloches du Paradis
Que chaque brise fait fleurir, depuis qu’Il est né
Et j’aime mon Seigneur Jésus par-dessus tout


Over that bed the moon shines bright
The bells of paradise I heard them ring
Denoting our Saviour was born this night
And I love my Lord Jesus above anything

Au-dessus de ce lit brille la lune
J’ai entendu sonner les cloches du Paradis
Elle révèle que cette nuit notre Sauveur est né
Et j’aime mon Seigneur Jésus par-dessus tout


* coup de vent

>>> [It] is a traditional English Christmas carol dating to the Renaissance era. (Wikipedia)
C’est un chant traditionnel anglais datant de la Reanaissance.

http://en.wikipedia.org/wiki/Down_In_Yon_Forest

8/ The carol of the birds
(La chanson des oiseaux)

When rose the eastern star
The birds came from a-far
In that full might of glory
With one melodious voice
They sweetly did rejoice
And sang the wonderous story
Sang, praising God on high
Enthroned above the sky
And his fair mother Mary

Quand se levait l’étoile du Berger
Les oiseaux venaient d’horizons lointains
Dans cette pleine puissance de gloire
Et d’une voix mélodieuse
Doucement, ils se réjouissaient
Et chantaient la merveilleuse histoire,
Ils chantaient, louant Dieu dans le ciel,
Trônant au firmament,
Louaient aussi sa mère, la belle vierge Marie


The eagle left his lair
Came winging through the air
His message loud arising
And to his joyous cry
The sparrow made reply
This answer sweetly voicing
"Overcome are death and strife
This night is born new life"
The robin sang rejoicing

L’aigle quitta son repaire
Il vint, fendant l’air de son aile,
Glatissant fermement son message
Et à son joyeux cri
Le moineau répondit,
De sa voix douce, il dit:
«La mort et le conflit n’existent plus
Cette nuit est né une vie nouvelle»
Et le rouge-gorge chanta, se réjouissant


When rose the eastern star,
The birds came from a-far...

Quand se levait l’étoile du Berger
Les oiseaux venaient d’horizons lointains...


>>> The Carol of the Birds (El Cant dels Ocells) is a traditional Catalonian Christmas carol. Since it did not originate as a song in English, any English version is a translation. (Mudcat Cafe)
The Carol of the Birds (El Cant dels Ocells) est un chant traditionnel catalan. Toutes les versions anglaises sont des traductions.

9/ Angels we have heard on high
(Instr.)

10/ Ave Maria
(Franz Schubert)

Ave Maria! Jungfrau mild,
Erhöre einer Jungfrau Flehen,
Aus diesem Felsen starr und wild
Soll mein Gebet zu dir hinwehen.
Wir schlafen sicher bis zum Morgen,
Ob Menschen noch so grausam sind.
O Jungfrau, sieh der Jungfrau Sorgen,
O Mutter, hör ein bittend Kind!
Ave Maria!

Ave Maria! Douce vierge,
Ecoute la prière d'une jeune femme,
De ce rocher immobile et sauvage
Ma prière doit être emportée vers toi.
Nous dormons en sûreté jusqu'au matin,
Même si des hommes sont encore si cruels.
Ô vierge, vois le chagrin d'une jeune femme,
Ô mère, entends un enfant suppliant!
Ave Maria!


Ave Maria! Unbefleckt!
Wenn wir auf diesen Fels hinsinken
Zum Schlaf, und uns dein Schutz bedeckt
Wird weich der harte Fels uns dünken.
Du lächelst, Rosendüfte wehen
In dieser dumpfen Felsenkluft,
O Mutter, höre Kindes Flehen,
O Jungfrau, eine Jungfrau ruft!
Ave Maria!

Ave Maria! Sans souillures!
Quand nous nous affaissons sur ce rocher
Jusqu'à dormir, et que ta protection nous couvre,
Ce rocher dur nous apparaîtra doux.
Tu souris, des relents de rose flottent
Dans cette étouffante crevasse rocheuse,
Ô mère, écoute les supplications d'un enfant,
Ô vierge, une jeune femme appelle!
Ave Maria!


Ave Maria! Reine Magd!
Der Erde und der Luft Dämonen,
Von deines Auges Huld verjagt,
Sie können hier nicht bei uns wohnen,
Wir woll'n uns still dem Schicksal beugen,
Da uns dein heil'ger Trost anweht;
Der Jungfrau wolle hold dich neigen,
Dem Kind, das für den Vater fleht.
Ave Maria!

Ave Maria! Vierge pure!
Les démons de la terre et de l'air,
Sont chassés de la grâce de tes yeux,
Ils ne peuvent ici habiter avec nous,
Nous voulons nous plier calmement au destin,
Là où ton réconfort sacré nous effleure;
La vierge veut incliner grâcieusement devant toi,
L'enfant, qui prie pour le père.
Ave Maria!


>>> «[It] was composed in about 1825 when Schubert was twenty-eight years old. That was only three years before his death at the young age of 31. It is part of a setting of several songs Schubert wrote for Sir Walter Scott's "Lady of the Lake". (HeavenlyHarpist website)
Cette chanson fut composée en 1825, alors que Schubert avait vingt-huit ans; c’était trois ans avant sa mort. Elle fait partie d’un ensemble de plusieurs autres chansons que Schubert écrivit pour le roman de Walter Scott, “La dame du lac”.

http://www.heavenlyharpist.com/mp3/ave-maria.htm

11/ Mary’s wandering

Once Mary would go wandering,
To all the lands would run,
That she might find her son,
That she might find her son.

Il est un temps où Marie vagabondait,
Elle courait en tous les lieux
Où pouvait se trouver son fils,
Où pouvait se trouver son fils


Whom met she as she journeyed forth?
Saint Peter, that good man,
Who sadly did her scan,
Who sadly did her scan.

Et qui rencontrait elle, alors qu’elle avançait en voyage?
Saint Pierre, ce brave homme,
Qui tristement répondit à sa quête,
Qui tristement répondit à sa quête


"Oh, tell me have you seen him yet -
The one that I love the most -
The son whom I have lost,
The son whom I have lost?"

«Oh, dites-moi, l’avez-vous vu
Celui que j’aime le plus
Le fils que j’ai perdu,
Le fils que j’ai perdu?»


"Too well, too well, I've seen thy son;
'Twas by a palace gate.
Most grievous was his state,
Most grievous was his state."

«Bien sûr, bien sûr, j’ai vu ton fils
C’était à la porte d’un palais
Il souffrait, son état était grave,
Il souffrait, son état était grave»


"Oh, say, what wore he on his head?"
"A crown of thorns he wore;
A cross he also bore,
A cross he also bore."

«Oh, dis-moi, que portait-il sur la tête?»
«Il portait une couronne d’épines;
Il était aussi chargé d’une croix,
Il était aussi chargé d’une croix»


"Ah me! and he must bear that cross,
Till he's brought to the hill,
For cruel men to kill,
For cruel men to kill."

«Ah, malheur, et il devait porter cette croix
Jusqu’à ce qu’il soit conduit sur la colline
Et qu’il soit tué par des hommes cruels,
Et qu’il soit tué par des hommes cruels»


"Nay, Mary, cease they weeping, dear:
The wounds they are but small;
But heaven is won for all,
But heaven is won for all!"

«Non, Marie, cesse tes pleurs,
Ses blessures sont grandes
Mais par elles, il a gagné le ciel,
Mais par elles, il a gagné le ciel»


Once Mary would go wandering,
To all the lands would run,
That she might find her son,
That she might find her son.

Il est un temps où Marie vagabondait,
Elle courait en tous les lieux
Où pouvait se trouver son fils,
Où pouvait se trouver son fils


>>> Chanson traditionelle allemande

12/ Deck the halls
(Instr.)

13/ Away in a manger

Away in a manger, no crib for a bed
The little Lord Jesus laid down His sweet head

Au loin, dans une crèche, sans berceau pour lit
Le petit Seigneur Jésus repose Sa douce tête


The stars in the heaven looked down where He lay
The little Lord Jesus asleep on the hay

Les étoiles dans le ciel regardent où Il est étendu
Le petit Seigneur Jésus endormi sur la paille


The cattle are lowing, the Baby awakes
But little Lord Jesus no crying He makes

Les bêtes meuglent et réveillent le Bébé
Mais le petit Seigneur Jésus reste sans crier


I love Thee, Lord Jesus look down from the sky
And stay to my craddle, ‘til morning is nigh.

Je t’aime, Seigneur Jésus regarde du haut du ciel
Et reste près de mon berceau, jusqu’à la venue du matin.


>>> «[It] is a religious Christmas carol first published in 1885 and used widely throughout the English-speaking world.» (Wikipedia). “Away in a manger” is always the first carol that children are taught. [...] The author is unknown. The music [...] was composed by William J. Kirkpatrick in 1895. (http://www.carols.org.uk)
Ce religieux chant de Noël fut publié pour la première fois en 1885, et il s’est répandu à travers tous les pays de langue anglaise. C’est le premier chant de Noël que l’on apprend aux enfants. L’auteur des paroles est inconnu. La musique a été composée par William J. Kirkpatrick en 1895.

http://en.wikipedia.org/wiki/Away_in_a_Manger

14/ Adeste Fidelis
(Instr.)

15/ Cantique de Noël
(Minuit, chrétiens)

Minuit, chrétiens, c'est l'heure solennelle
Où l'Homme-Dieu descendit jusqu'à nous,
Pour effacer la tache originelle,
Et de son Père arrêter le courroux.
Le monde entier tressaille d'espérance,
A cette nuit qui lui donne un Sauveur.
Peuple, à genoux, attends ta délivrance
Noël! Noël! Voici le Rédempteur (bis)

De notre foi que la lumière ardente
Nous guide tous au berceau de l'Enfant,
Comme autrefois une étoile brillante
Y conduisit les chefs de l'Orient.
Le Roi des rois naît dans une humble crèche :
Puissants du jour, fiers de votre grandeur,
A votre orgueil, c'est de là que Dieu prêche.
Courbez vos fronts devant le Rédempteur (bis).


Le Rédempteur a brisé toute entrave,
La Terre est libre et le Ciel est ouvert.
Il voit un frère où n'était qu'un esclave,
L'amour unit ceux qu'enchaînait le fer.
Qui lui dira notre reconnaissance?
C'est pour nous tous qu'il naît, qu'il souffre et meurt.
Peuple, debout ! Chante ta délivrance.
Noël! Noël! Chantons le Rédempteur (bis).

>>> “Minuit, chrétiens” est un cantique de Noël. Dans certains endroits, il est chanté par un baryton ou un ténor solo lors de la première messe de Noël. Ce chant a été composé aux alentours de 1843 par Placide Cappeau; négociant en vin et poète, résidant à Roquemaure dans le Gard. La musique est d'Adolphe Adam. (Wikipédia)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Minuit_Chr%C3%A9tiens

16/ What child is this
(Greensleeves)

What child is this, who laid to rest,
on Mary’s lap is sleeping?
Whom angels greet with anthems sweet
while shepherds watch are keeping?
This, this is Christ the king,
Whom shepherds guard and angels sing;
Haste, haste to bring Him laud
The babe, the son of Mary!

Quel enfant est-ce, qui étendu pour se reposer
sur les genoux de Marie s’y est endormi?
Que les anges saluent en chantant de douces hymnes
tandis que les pasteurs le regardent et le veillent?
C’est lui, c’est Christ le roi
Que veillent les pasteurs et que chantent les anges;
Hâtez, hâtez-vous pour le célébrer
Le petit enfant, le fils de Marie!


Why lies He in such mean estate
where ox and ass are feeding?
Good Christian, fear; for sinners here
the silent Word is pleading.
Nails, spear shall pierce him through,
the cross be borne for me, for you;
Hail, hail the Word made flesh,
the babe, the son of Mary!

Pourquoi est-il étendu en si médiocre endroit,
Là où le bœuf et l’âne sont nourris?
Bon Chrétien, peur*; pour les pécheurs,
Plaide le Monde silencieux.
Les clous, la lance peuvent le transpercer [lui, Jésus Christ]
Il peut porter la croix pour vous et moi;
Acclamons, acclamons le Monde fait chair,
Le petit enfant, le fils de Marie!

* soit un bon chrétien, n’aie crainte?


So bring Him incense, gold, and myrrh;
Come, peasant, king, to own Him.
The King of kings salvation brings;
Let loving hearts enthrone Him.
This, this is Christ the king,
Whom shepherds guard and angels sing;
Haste, haste to bring Him laud
The babe, the son of Mary!

Aussi apporte-lui de l’encens, de l’or et de la myrrhe
Viens, paysan ou roi, et appartiens-lui
Le Roi des rois apporte le salut
Que les cœurs aimants élèvent pour lui un trône
C’est lui, c’est Christ le roi
Que veillent les pasteurs et que chantent les anges;
Hâtez, hâtez-vous pour le célébrer
Le petit enfant, le fils de Marie!


..........................................................................................
Désolé, j’ai du mal à saisir ce dernier couplet, et n’ai pas réussi à le trouver via Internet!

>>> Ce chant de Noël très populaire fut composé — parmi d’autres — en 1865, par William Chatterton Dix, à l’issue d’une soudaine et presque fatale maladie; il dut garder le lit plusieurs mois et sombra dans une profonde dépression. Cette hymne fut plus tard chantée sur l’air de “Greensleeves”.

http://en.wikipedia.org/wiki/What_Child_Is_This

17/ Silent night

Silent night, holy night
All is calm, all is bright
Round your Virgin Mother and Child
Holy Infant so tender and mild
Sleep in heavenly peace,
Sleep in heavenly peace!

Nuit silencieuse, nuit sacrée
Tout est calme, tout est brillant
Autour de la Vierge Mère et de l’enfant.
Enfant Sacré, si tendre et si doux,
Dors dans la paix du ciel,
Dors dans la paix du ciel!


Silent night, holy night
Son of God, love's pure light
Radiant beams from Thy holy face
With the dawn of redeeming grace
Jesus, Lord, at Thy birth,
Jesus, Lord, at Thy birth!

Nuit silencieuse, nuit sacrée
Fils de Dieu, pure lumière d’amour,
Ton saint visage rayonne de clarté
Avec l’aube de grâce rédemptrice,
Jésus, Seigneur, au jour de Ta naissance,
Jésus, Seigneur, au jour de Ta naissance!


Silent night, holy night
Shepherds quake at the sight
Glory stream from heaven afar
Heavenly hosts sing, “Alleluia!
Christ, the Saviour is born
Christ, the Saviour is born!”

Nuit silencieuse, nuit sacrée
Les pasteurs frissonnent à la regarder
La gloire emplit le firmament
Les hôtes du ciel chantent «Alléluia!
Christ, le Sauveur est né,
Christ, le Sauveur est né!»


>>> "Silent Night" (German: Stille Nacht, heilige Nacht) is a popular Christmas carol. The original lyrics of the song Stille Nacht were written in German by the Austrian priest Father Josef Mohr and the melody was composed by the Austrian headmaster Franz Xaver Gruber. In 1859, John Freeman Young published the English translation that is most frequently sung today. The version of the melody that is generally sung today differs slightly (particularly in the final strain) from Gruber's original. (Wikipedia)
“Silent Night” (en allemand: “Stille Nacht, heilige Nach”) est un chant de Noël populaire. Les paroles originales furent écrites, en allemand, par le prêtre autrichien Joseph Mohr; la mélodie fut composée par le proviseur autrichien Franz Xaver Gruber. En 1859, John Freeman Young en publia une traduction anglaise — celle qui est la plus chantée aujourd’hui. Depuis, la mélodie a subi quelques variations (notamment l’accent final).

http://en.wikipedia.org/wiki/Silent_night

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Merry Christmas, kiddies!

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Dernière édition par carcamousse le Mer Jan 06, 2010 1:49 pm, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Joan Baez — “Noël” (1966)
MessagePosté: Ven Déc 25, 2009 2:17 pm 
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joli post en tout cas, merci oupez

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 Sujet du message: Re: Joan Baez — “Noël” (1966)
MessagePosté: Ven Déc 25, 2009 3:15 pm 
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 Sujet du message: Re: Joan Baez — “Noël” (1966)
MessagePosté: Ven Déc 25, 2009 3:47 pm 
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Je connais pas cet album, les albums de noel c pas mon truc. mais je vais essayer de me pencher dessus

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 Sujet du message: Re: Joan Baez — “Noël” (1966)
MessagePosté: Ven Déc 25, 2009 4:12 pm 
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j'aime bien les extraits, Entre ça et le Zim ma playlist de la journée va être ...Spéciale :lol:

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 Sujet du message: Re: Joan Baez — “Noël” (1966)
MessagePosté: Ven Déc 25, 2009 4:27 pm 
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Belle idée (encore une) Carcamousse. Merci et bonnes fêtes. Et avec un dessin de Norman Rockwell... il y a dans nos yeux comme une petite étincelle

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Il est parfaitement superflu de connaître les choses dont on parle. Je dirais même que la sincérité en général dénote un certain manque d'imagination.


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 Sujet du message: Re: Joan Baez — “Noël” (1966)
MessagePosté: Ven Déc 25, 2009 8:25 pm 
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Je connais pas cet album, les albums de noel c pas mon truc. mais je vais essayer de me pencher dessus
Moi non plus. Je déteste. Mais là, c'est autre chose. J'écoute O come, O come, Emmanuel, et c'est magnifique. On est à mille lieux des albums commerciaux de Noël.


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 Sujet du message: Re: Joan Baez — “Noël” (1966)
MessagePosté: Ven Déc 25, 2009 8:28 pm 
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Et là, j'écoute Down in yon forrest. Renversante ! Eh bien, merci Carcamousse, tu viens de me faire aimer UN album de Noël.


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