Ouais. Aucune aspérité. Même pas un semblant d'acrimonie dans le propos, genre la société vous êtes tous méchants, ou ma copine m'a tatoué un soir d'été (allitération inside), ou un camion a accéléré
volontairement, en voyant mon fidèle chien Flapou traverser la route. Et maintenant Flapou est plat.Oui, il n'y a aucune tentative de dénonciation de quoi que ce soit, ce n'était ni le sujet, ni le cadre. Pour cela en l'occurrence, il y avait Lennon, MC5, Fela ou Third World War, et qui le faisaient plutôt bien.
Verdict: 1. Et je vais mettre Forever Changes de Love en urgence.Tu as pris le temps de l'analyse, tu as fait ressortir des éléments intéressants, et c'est très drôlement exposé. 1 sur 10, c'est sévère, mais c'est fondé. Par curiosité, "Forever Changes" tu le noterais combien, à proportion ? Personnellement, je trouve que c'est un grand album, malgré qu'il soit un tant soit peu surestimé (considération qui n'engage que moi, transposable à d'autres grands albums comme "Odessey & Oracle", que j'aime beaucoup pourtant).
Merci à toi, c'est un plaisir de te lire.

Forever Changes, un grand album ET surestimé. Soit il est grand, donc grand, soit surestimé.
Donc moins grand, voir petit. Il distille une certaine inquiétude baroque. Il est vrai que Arthur Lee tapait pas mal dans les gamelles comme on dit. Il n'enfourchait pas, lui, de poney avec son guide indien
(fantasme gay inavoué ?).
Je le noterais à 9.