Il me semble que chaque exemplaire de ce disque devrait être livré avec un bon bédo. Désolé les amis, je pouvais pas le mettre sur Megaupload.
"La provocation à l’usage ou au trafic de stupéfiants, par la publicité ou l’incitation ou la présentation sous un jour favorable des produits classés stupéfiants, (quel que soit le support choisi : vêtements, bijoux, livres, etc.) est punie de cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende, même si l’incitation est restée sans effet (article L3421-4 du Code de la santé publique). Les peines sont aggravées lorsque les mineurs sont visés (sept ans d'emprisonnement et 150 000 euros d'amende). La provocation de mineurs de moins de 15 ans au trafic de stupéfiants est sanctionnée par une peine de dix ans d’emprisonnement et de 300 000 euros d’amende."
Ton compte est bon amigo !

Cher remy, je crains que tu ne te fourvoies. Le
bédo dont on parle ici est en fait le
bedeau:
employé laïque chargé d'une manière générale de maintenir le bon ordre dans une église pendant l'office, et plus particulièrement de précéder le clergé dans les processions ou les quêteurs pour leur ouvrir le passage parmi les fidèles.
Cette expression de bédo est typique de l'ancien Breton tel qu'il est parlé dans les lointains contreforts du pays Bigouden, dans l'extrême Ouest.
On comprend bien ici que Rouliane suggère qu'un bédo (donc!) ouvre le chemin spirituel et livre ainsi l’œuvre dans son mysticisme le plus essentiel à nos oreilles ébahies et dévotes.
C'est pourtant clair, non ?