Forum de rock6070

Puisque nous sommes animés de la même passion, je me permets de vous proposer un site, sur lequel je bosse:

DESTINATION ROCk
www.destination-rock.com

Webzine tenu par des passionnés, Destination Rock heberge plus de 2000 chroniques allant de 1956 à 2008, triées par année, par style...

On y trouve du Elvis Presley, les Beatles, Metallica ou Gojira, des disques français, étrangers, des disques célèbres, inconnus, de tout quoi!

Il y a pas mal de trucs mis en place autours avec les In Mémoriam pour se rappeller des morts celèbres, des dossiers, interviews, news etc... Bref n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez....

Ah oui, je l'avais parcouru. Très bien, ce site !

Hey Hey!

En ce moment il y a des maxis collector d'Inspector Cluzo à gagner!

Venez y faire un tour!
www.destination-rock.com

Encore un mois passionné sur Destination rock avec quelques 30 chroniques de disques allant de la chanson à la Noise, en passant par le hard rock.
Les notes ? de 5.5 à 10 sur 10 pour des disques parus entre 1966 et 2009.

L’album du moment n’est d’autre que le de JJ Cale.

Au menu édito, un .

L’exclu DR : La question est posée !

Concours : Gagnez des maxis d’Inspector Cluzo !


Chroniques :

































Lives Report:

J'ai lu ton coup de gueule avec grand intérêt.

Premier point : c'est vrai qu'il y a des journalistes qui revendent les CD promo qu'ils reçoivent. Pour ma part, je n'y vois aucun mal tant qu'ils les revendent après la sortie du disque. Simple question d'intégrité. Il faut savoir que nombre de journalistes chroniquent ces disques en étant mal payés, et que c'est par ce métier qu'ils gagnent, mal, leur vie. Ils sont pigistes, souvent, dépendent du travail qu'on leur donne. Or, il se fait de plus en plus rare en raison de la crise qui touche aussi et beaucoup les médias. Ce petit complément de salaire leur est donc salutaire.

Et c'est vrai que l'industrie accuse les internautes d'être responsables de la mort du support physique quand elle-même ne se donne plus la peine d'envoyer aux médias de quoi faire leur boulot correctement. Au Québec, le dernier Souchon n'a pas été envoyé physiquement. Il fallait aller écouter les chansons sur un site du label, qui plantait. Les dernières chansons étaient inécoutables, il fallait demander à l'attaché de presse de les envoyer en MP3. La belle affaire. Et tu veux connaître les crédits ? Tu n'as pas la pochette ? Tu te débrouilles ! Ou tu écris des choses fausses dans ton article parce que tu ne savais pas. Peu importe, ce qui compte, c'est la note, et que tu en dises du bien. Le reste, pour eux, le professionnalisme, par exemple, c'est secondaire.

Mais moi, il y a surtout une chose qui me donne encore plus envie de gueuler. Cette industrie accuse donc les internautes d'être responsables de son agonie. Or, il faut voir la quantité absolument incroyable de pures saloperies que les maisons de disques sortent ! Une quantité faramineuse de CD de jeunes musiciens qui ne sont pas encore connus, et ne le seront jamais tant l'album est lamentable. Tu vois la pochette, tu comprends déjà que tout est dans l'emballage, qu'il n'y a rien de valable à l'intérieur. Sous produits de la Star Ac, petits jeunes sans talent pistonnés. Quand il y a des musiciens talentueux à qui les maisons de disques ne s'intéressent pas le moins du monde. Combien ça leur coûte de produire ces très nombreuses galettes épouvantables que les journalistes mettent directement à la poubelle après deux chansons, qui se feront incendier dans les médias, ou dont on ne parlera pas du tout ? Et qui finiront dans les bacs à soldes dans un an, puis à la benne à ordures parce que personne n'en veut ?

L'industrie est pleinement responsable de son agonie. Mauvais choix, mauvaises stratégies. Elle se met à dos les consommateurs en leur imposant des verrous qui ne servent en rien à contrer le piratage, mais l'encourage plutôt. Et ce sont maintenant les médias qui trinquent pour son manque total de lucidité. Qu'elle crève donc ! Et que poussent sur sa tombe un nouveau mode de diffusion qui saura convenir autant aux musiciens qu'au public. Mais c'est pas pour demain, les musiciens n'y étant pas prêts...

Ici Paris, superficielle ? C'est l'une des plus belles bombes de Noir Désir...

Inspector Cluzo ?!?!

Je touche quelque chose ?

Algernon : Tu as dix pourcent des frais d'envoi à ta charge, ça ta va?

Sinon merci pour ton coup de Gueule Witchy Cow, je me permets de le poster sur le site avec un lien sur votre forum, dans les commentaires.
Pour Noir dez, c'est l'avis du chroniqueur, n'hésites pas à lui en faire part... De mon coté j'écoutes peu Noir Dez et ne possède que le dernier live et 666.667 club.

Sinon merci pour ton coup de Gueule Witchy Cow, je me permets de le poster sur le site avec un lien sur votre forum, dans les commentaires.

Merci, c'est sympa, ça !


Pour Noir dez, c'est l'avis du chroniqueur, n'hésites pas à lui en faire part... De mon coté j'écoutes peu Noir Dez et ne possède que le dernier live et 666.667 club.

Bah, à chacun son opinion. Si toutes les chroniques allaient dans le même sens, on ne les lirait plus. C'est l'avis de ton chroniqueur, c'est correct, je ne suis pas d'accord mais je ne conteste pas.

Au passage, bravo encore pour votre site !

Ah bah ça m'aurait étonné que tu fasses pas un peu de pub pour le site tiens!

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Rock progressif… Sens propre : courant musical né en Grande-Bretagne à la fin des années 1960, ayant pour ambition d’introduire complexité et recherche au sein du rock’n’roll. Sens dévoyé : ramassis d’artistes poseurs et arrogants, coupables de morceaux interminables, s’apparentant plus à une purge musicale qu’à autre chose.
Force est de constater que les critiques adressées au rock progressif ont d’indéniables fondements. Mais il serait idiot de s’arrêter là, tant ce courant est riche et divers. Lors de ses jeunes années, tout semblait permis, et d’illustres musiciens pouvaient se lancer corps et âme dans l’aventure progressive, comme l’ont montré les créateurs de Renaissance. Aujourd’hui, les choses ont changé. La flamme des débuts s’est lentement éteinte, faisant place au cynisme commercial. Pourtant, quelques groupes contemporains continuent de faire vivre cette musique, malgré les modes successives. Il faut bien évidemment citer l’infernal duo de The Mars Volta, aussi excentrique que talentueux, mais également les jeunes loups de Wolfmother, fusionnant hard-rock basique et prog langoureux, ainsi que les techniciens de Circus Maximus, qui prouvent que le heavy metal peut parfaitement être accolé au rock progressif. Malgré les mauvaises langues qui clament la mort du genre depuis plusieurs décennies, le prog montre chaque jour qu’il est encore présent, et même qu’il ne se porte pas si mal que cela.

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Déchéance, n.f. Fait de déchoir, d’être déchu, moralement ou socialement ; état de dégradation, d’abaissement des facultés psychiques ou intellectuelles (Petit Larousse). Un exemple contemporain de déchéance peut être trouvé dans le lent et irréversible déclin de l’œuvre de Chris Cornell, chanteur américain de variétés. Débutant d’abord au cœur de la scène grunge de Seattle, avec son groupe Soundgarden, il vécut l’excitation de l’underground américain, livrant des concerts mémorables et des albums tout aussi légendaires. C’est en plein milieu d’une impressionnante gloire internationale que Soundgarden se sépare, laissant Cornell seul. Pour peu de temps, certes, car après un premier album solo le chanteur décide de former Audioslave avec les musiciens de Rage Against The Machine, un groupe au succès dément mais qui a franchi bien souvent les limites du mauvais goût. Après la disparition d’Audioslave, Cornell décide de changer totalement de direction musicale. C’est ainsi que paraît Scream, enregistré avec le producteur et compositeur Timbaland. On peut raisonnablement dire que cet album parachève la déchéance de Cornell, passé en une décennie de star incontestable du rock alternatif à crooner électronique absolument pas crédible. Ulyss

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