Forum de rock6070

Je relis un classique : Le château de Kafka.

Un peu de mal avec ce livre car ça me met mal à l'aise, j'ai l'impression de vivre un rêve éveillé. Et puis à mon travail notre organisation de travail est très Kafkaienne pire que les fonctionnaires.

Mon préféré avec la novella Le Terrier.

Je relis un classique : Le château de Kafka.

Un peu de mal avec ce livre car ça me met mal à l'aise, j'ai l'impression de vivre un rêve éveillé. Et puis à mon travail notre organisation de travail est très Kafkaienne pire que les fonctionnaires.

Mon préféré avec la novella Le Terrier.

Marrant, c'est celle que j'aime le moins. Par contre, la colonie pénitentiaire est géniale.

ça me met mal à l'aise, j'ai l'impression de vivre un rêve éveillé. Et puis à mon travail notre organisation de travail est très Kafkaienne pire que les fonctionnaires.

Alors ne lis surtout pas "Le Procès"...

J'ai fini "Une seconde chance" de Mary Higgins Clark et je vais commencer "Cellulaire" de Stephen King.

je vais commencer "Cellulaire" de Stephen King.

Le pire S.King que j'ai jamais lu

je vais commencer "Cellulaire" de Stephen King.

Le pire S.King que j'ai jamais lu
Vraiment pourri, ces dernières années il a commis quelques horreurs

Le Salon du Wurtemberg, Pascal Quignard.
Un roman où les souvenirs sont essentiels, et j'aime bien : je dévore.

Je me lance dans:


Très intéressant pour le moment.

je vais commencer "Cellulaire" de Stephen King.

Le pire S.King que j'ai jamais lu

Mon avis :
Drôle d'expérience avec ce livre !
En effet, dès le début, je me suis rendue compte que ce livre ne me plaisait pas. Pourquoi ? Car beaucoup de violence qui paraît gratuite dans un contexte banal, de la vie de tous les jours.
Mais je me suis dit qu'après tout, c'était quand même Stephen King, et que ça valait peut être quand même la peine de persévérer.
Mais bon, 400 pages, ça fait long quand on n'accroche pas.
Mais j'ai persévéré. Et à partir de la page 100 environ, j'ai aimé, je n'ai plus lâché le livre. Toute cette violence du début, avait une explication dans un contexte de science fiction, de scènes totalement irréelles. Et là, ça change tout.
Stephen King décrit les scènes avec autant de détails que d'habitude, allant jusqu'à l'horreur. Ce livre m'a fait peur plusieurs fois !
Et quand j'ai fini le livre, j'ai pu me dire une chose : coup de coeur pour ce roman !


J'ai fini "Cellulaire" et j'ai commencé "Ce que vivent les roses" de Mary Higgins Clark.

J'ai fini "Ce que vivent les roses" de Mary Higgins Clark et je vais commencer "Le bal de la victoire" d'Agatha Christie.

C'est avec un grand plaisir que je vous annonce que le livre magnifique d'amour de Patti SMITH a remporté le NATIONAL BOOK AWARD ( le goncourt des states ! ) .



Y a quelqu'un qui l'a lu ici ?

Cordialement

HP LOVECRAFT

Je viens d'acquérir ce bouquin
ROK 50 ans de musique électrifiéé en Bretagne de 1960 à nos jours Tome 1 1960/1989
Ecrit par un collectif d'une trentaine d'auteurs (journalistes musiciens ou passionnés ) dirigé par Olivier Polard et Frank Darcel (exMarquis de Sade )
Une véritable anthologie du rock en Bretagne avec témoignages ,photos et disques sortis .Une vrai bible de 340 pages
On y apprend des choses intéressantes (Ex : le chapitre consacré à Zoo l'historique de la création et du parcours de ce groupe etc.....)

Je suis en ce moment dans le "Dictionnaire amoureux du rock" de De Caunes, vraiment un régal. Un style égal à lui-même (on se croirait revenu par moments au bon vieux temps de ses pignolades sur Canal +). Je suis parfois chagriné par quelques appréciations lapidaires, du type "No Pussyfooting" de Fripp & Eno qualifié de "supra-chiant", ou par le dénigrement systématique du rock progressif (à l'exception surprenante et ma foi constructive du "Foxtrot" de Genesis), voilà, on n'a pas les mêmes goûts, ça arrive. Quoiqu'en matière de goûts, voilà bien un terrain sur lequel De Caunes est malgré tout quelqu'un de sûr et inattaquable (même si je reste sceptique en ce qui concerne Djian et Eicher). Mais les évocations de ses aventures de batteur au sein de Whoa Babe !, ou de ses larcins - plutôt massifs - à la FNAC Wagram ou au Bon Marché sont passionnantes, et il y a quelques portraits, comme celui de Lowell George, qui sont très intéressants. Et il consacre quand même un article entier au "Blues From Laurel Canyon" de Mayall, c'est réjouissant !

Je suis en ce moment dans le "Dictionnaire amoureux du rock" de De Caunes, vraiment un régal. Un style égal à lui-même (on se croirait revenu par moments au bon vieux temps de ses pignolades sur Canal +). Je suis parfois chagriné par quelques appréciations lapidaires, du type "No Pussyfooting" de Fripp & Eno qualifié de "supra-chiant", ou par le dénigrement systématique du rock progressif (à l'exception surprenante et ma foi constructive du "Foxtrot" de Genesis), voilà, on n'a pas les mêmes goûts, ça arrive. Quoiqu'en matière de goûts, voilà bien un terrain sur lequel De Caunes est malgré tout quelqu'un de sûr et inattaquable (même si je reste sceptique en ce qui concerne Djian et Eicher). Mais les évocations de ses aventures de batteur au sein de Whoa Babe !, ou de ses larcins - plutôt massifs - à la FNAC Wagram ou au Bon Marché sont passionnantes, et il y a quelques portraits, comme celui de Lowell George, qui sont très intéressants. Et il consacre quand même un article entier au "Blues From Laurel Canyon" de Mayall, c'est réjouissant !


J'ai failli l'acheter, j'ai hésité, apparemment j'aurais pas dû.