Forum de rock6070

Lu pendant les vacances :




Pete is a freelance writer hired by a publishing house to edit a new cookery book/travel guide for Thailand. Once ensconced in Bangkok, Pete is introduced to the red-light district by friend Nigel, where Pete meets pole dancer/prostitute Joy in the Zombie Bar. Pete is smitten despite advice from the resident expats that it's best not to get emotionally involved with a bar babe. And despite all the evidence, some provided by a private detective, that Joy is simply using Pete as a cash ATM, that she's married to a Thai man, and that she has sex with other farang (foreign) customers when he's out of town, Pete remains enamored of his PRIVATE DANCER. He desperately wants to believe her excuses, lies, and proclamations of true love - "I love you and have you in my heart only one. Miss you all the time."

Bien flippant, surtout quand on le lit sur place : "Never, never, never get involved with a lady bar."


Et je termine ça :


L'Étrange Défaite. Témoignage écrit en 1940 est un témoignage sur la bataille de France écrit en 1940 par Marc Bloch, officier et historien, qui a participé aux deux guerres mondiales. Dans ce livre, il ne raconte pas ses souvenirs personnels, mais il s'efforce, en témoin objectif, de comprendre les raisons de la défaite française lors de la bataille de France pendant la Seconde Guerre mondiale. Rédigé sur le moment, L'Étrange Défaite a marqué les esprits dès sa parution par la pertinence des constats qui y sont faits.
Malgré le manque d'informations à sa disposition et le désavantage de l'analyse à chaud, Marc Bloch fait une analyse des causes de la défaite de 1940 qui n'a pas été profondément remise en cause à ce jour.

Bien mais un peu répétitif.

Et je termine ça :


L'Étrange Défaite. Témoignage écrit en 1940 est un témoignage sur la bataille de France écrit en 1940 par Marc Bloch, officier et historien, qui a participé aux deux guerres mondiales. Dans ce livre, il ne raconte pas ses souvenirs personnels, mais il s'efforce, en témoin objectif, de comprendre les raisons de la défaite française lors de la bataille de France pendant la Seconde Guerre mondiale. Rédigé sur le moment, L'Étrange Défaite a marqué les esprits dès sa parution par la pertinence des constats qui y sont faits.
Malgré le manque d'informations à sa disposition et le désavantage de l'analyse à chaud, Marc Bloch fait une analyse des causes de la défaite de 1940 qui n'a pas été profondément remise en cause à ce jour.

Bien mais un peu répétitif.

Excellent bouquin, je l'avais lu quand j'étais en Fac d'histoire dans le cadre d'un devoir, c'était sujet libre et j'avais choisi de commenter ce livre. je dois d'ailleurs avoir garder le devoir vu que ça a du être une de mes meilleures notes de l'année.

Par-delà le sourire thaï et le wai plein de grâce, s’étend un paysage ravagé par la violence, un monde où le fait de perdre la face et le jeu des rivalités entraînent presque toujours une issue fatale, où aucun présage n’annonce le danger qui, la plupart du temps, est invisible, voire inimaginable.
Survolez au grand jour la surface de Bangkok, et le monde du noir vous semblera à des années-lumière. Cette surface est raffinée, agréable et amusante. Mais creusez plus profondément, et le paradis tropical cédera la place à un purgatoire froid et enténébré, peuplé d’âmes en peine – des âmes échouées, cabossées et ostracisées.
Les durs à cuire, les flics honnêtes comme les véreux, les ratés, les tourmentés, les petites gens comme les plus puissants, les transsexuels et les épouses secondaires, les expatriés et les créatures de l’au-delà, tous trouvent leur place dans Bangkok Noir. Mais le cœur de ce recueil, ce sont les doutes existentiels qui rongent les personnages.
Des écrivains spécialistes de la Thaïlande ont uni leurs talents créatifs pour montrer que le noir ne connaît aucune frontière géographique. Dans leurs récits aux atmosphères pénétrantes, vous découvrirez une grande variété de voix et de perceptions du noir.

Qui l'a lu ?
A priori, c'est tentant.

Le Lad => viewtopic.php?f=27&t=807&start=1500

En pleine lecture de l'autobiographie de Huncke : Guilty of Everything.
Si Burroughs n'avait pas existé, peut être que le grand public se serait un tantinet plus intéressé à la vie de Huncke, écrivan O combien plus passionnant.

En pleine lecture de l'autobiographie de Huncke : Guilty of Everything.
Si Burroughs n'avait pas existé, peut être que le grand public se serait un tantinet plus intéressé à la vie de Huncke, écrivan O combien plus passionnant.
Ce livre est passionnant, très bien écrit et sans aucune lassitude.
Harvest l'avait conseillé il y a un moment déjà, avec une critique sur !

P.s: Au passage je suis en pleine lecture de:

En pleine lecture de l'autobiographie de Huncke : Guilty of Everything.
Si Burroughs n'avait pas existé, peut être que le grand public se serait un tantinet plus intéressé à la vie de Huncke, écrivan O combien plus passionnant.
Ce livre est passionnant, très bien écrit et sans aucune lassitude.
Harvest l'avait conseillé il y a un moment déjà, avec une critique sur !

J'ai lu quelques pages de la version française pour comprendre que c'est un livre à lire dans sa langue d'écriture, car la traduction fait perdre le côté tranchant du texte.
Une édition d'occasion de 1990, achetée chez un bouquiniste aux States

Je viens d'entamer ça :



Et, pour quand les passages trop théoriques vont me gonfler, j'ai ça :



J'ai aussi chopé un roman (de fiction) sur Filippo Lippi, mais ça a malheureusement l'air d'être une belle daube...

Je viens de finir ça :



C'est pratique, c'est écrit gros.
J'admire ce type qui passe souvent pour un méchant mais qui, pourtant, tombe juste dans ses attaques, parfois basses, il faut l'avouer. Mais à la lecture de ce bouquin, qui regroupe l'ensemble de ses interventions dans l'émission de Fogiel pendant la saison 2005-2006, on constate que la bassesse de ses attaques n'est venue que vers la fin de la saison, à croire que soit il était en perte d'inspiration (ou d'attaque épineuse) soit que la prod' l'a poussé à le faire.

J'admire, disais-je, ce type depuis le temps où il était dans l'émission de Ruquier sur France Inter, où il portait le pseudo de Monsieur le Tallec. Sa cible favorite (mais facile il faut le dire) était Julien Lepers à l'époque.

J'ai décroché quand il est passé à la télé, d'une part parce que les émissions dans lesquelles il passait me plaisaient guère et d'autre part parce que j'avais peur qu'il en fasse trop (la télé exagère toujours tout les excès et force toujours les traits de caractère).

J'ai donc lu ces chroniques avec intérêt et un certain plaisir. C'est vrai qu'il a souvent tendance à prendre les gens pour des cons, mais je ne peux lui en porter grief : la télé en est plein et les invités de l'émission ONPP étaient sélectionnés pour ça. Le seul reproche que je lui fait est qu'il ait fait des attaques sur le physique, lui qui en a toujours souffert.

Un livre qui se lit d'une traite et dont certains passages mériteraient d'être diffusés à un plus large public, notamment celui, visionnaire, de la métaphore de la France et de ses amants à répétitions (que sont ses présidents).

Walden de Thoreau (1854).

Exemplaire relié (c'est rare chez moi), ramené d'Australie.
Je l'ai trouvé la veille de partir après l'avoir vainement cherché dans tous les op' shops du pays.

Walden, donc, ou comment vivre simplement au plus proche de la nature.
Lecture qui pointe du doigt les impasses dans lesquelles la société a depuis continué à s'engouffrer.
Le tout dans un style magnifiquement sobre.
Le premier paragraphe :
When I wrote the following pages, or rather the bulk of them, I lived alone, in the woods, a mile from any neighbor, in a house which I had built myself, on the shore of Walden Pond, in Concord, Massachusetts, and earned my living by the labor of my hands only. I lived there two years and two months. At present I am a sojourner in civilized life again.


Sinon, je viens de commencer Une prière américaine, recueil des textes des chansons des Doors et autres poèmes écrits par Jim Morrison.
D'un côté, le texte original, de l'autre, la traduction française.

Walden de Thoreau (1854).

Exemplaire relié (c'est rare chez moi), ramené d'Australie.
Je l'ai trouvé la veille de partir après l'avoir vainement cherché dans tous les op' shops du pays.

Walden, donc, ou comment vivre simplement au plus proche de la nature.
Lecture qui pointe du doigt les impasses dans lesquelles la société a depuis continué à s'engouffrer.
Le tout dans un style magnifiquement sobre.
Le premier paragraphe :
When I wrote the following pages, or rather the bulk of them, I lived alone, in the woods, a mile from any neighbor, in a house which I had built myself, on the shore of Walden Pond, in Concord, Massachusetts, and earned my living by the labor of my hands only. I lived there two years and two months. At present I am a sojourner in civilized life again.


Sinon, je viens de commencer Une prière américaine, recueil des textes des chansons des Doors et autres poèmes écrits par Jim Morrison.
D'un côté, le texte original, de l'autre, la traduction française.

Il y a des passages très fatigants dans ce bouquin.

Il y a des passages très fatigants dans ce bouquin.
Peut être, c'est parfois un peu technique, mais on devrait montrer ça aux jeunes, pour qu'ils arrêtent de nous faire chier avec leur Into the Wild.

Il y a des passages très fatigants dans ce bouquin.
Peut être, c'est parfois un peu technique, mais on devrait montrer ça aux jeunes, pour qu'ils arrêtent de nous faire chier avec leur Into the Wild.

Bowie, Beatnik depuis 1953

Au moins 53.

Cela dit la fatigue me rend un poil vénère, et hier j'étais fatigué.