Forum de rock6070

Tu en as dit trop ou pas assez QUI est l'auteur du "livre sans nom" ?? et ne me dis pas que c'est A. NONYME ou NONAME

Je précise que je ne l'ai pas encore lu et donc que je n'ai aucun indice ...

Tu en as dit trop ou pas assez QUI est l'auteur du "livre sans nom" ?? et ne me dis pas que c'est A. NONYME ou NONAME

Je précise que je ne l'ai pas encore lu et donc que je n'ai aucun indice ...


Si si c'est A (Alain, Albert ?) No Nyme, tu connaissais déjà ?
C'est le premier d'une trilogie, le second arrivera en 2011 (l'oeuil de la lune je crois), il est donc hyper productif

À savoir que les droits ont été achetés par Don Murphy de Team Angry Filmworks Inc, producteur, entre autres, de Tueurs-né de Oliver Stone, scénario de Tarantino, de Bully de Larry Clark, de From Hell avec Johnny Depp.....

On m'a offert ça ce week end :



Je me suis attendu à un vrai pétard mouillé, d'autant que le pote me l'a offert, croyant que j'aimais bien Didier Super.

La grosse claque. Oui, j'ai peut-être un peu honte de le dire, mais ce Livre m'a scotché. De voir ce qui est dit là-dedans me paraissait aujourd'hui inconcevable.

N'allez pas imaginer un livre calqué sur les chansons du bonhomme. C'est la vrai vie, comme son nom l'indique, de ce type, de ses débuts de chanteur à quasiment-aujourd'hui. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'on en découvre sur le phénomène que j'ai longtemps cru benêt même si volontairement idiot. Le mec, est nettement plus intelligent que ce qu'on a voulu nous en dire et, même si, dans cette BD, ça va super loin parfois, on sent qu'il y a mis toutes ses tripes pour foutre un gros coup de pied dans la fourmilière du Show-Business. Il dit TOUT. Et crache et pisse sur tout : les label, les producteurs, les managers, les tour-managers, et même le public "de base" qu'il considère comme des sous-cons.

Une phrase tirée de ce récit pour vous mettre l'eau à la bouche :

"Si un jour, t'arrives à faire la différence entre un artiste et une vedette, à savoir que l'artiste est un canal entre le cosmos et les cons (c'est-à-dire nous tous) tandis que la vedette intervient entre les cons et l'industrie, là, tu comprendras quelque chose, mais à mon avis, tu comprendras jamais" (Parole dite à un responsable de Universal qui lui propose de passer dans l'émission de Cauet).

On réalise alors que toute sa discographie n'est en fait l'oeuvre-support de ce pamphlet philactérisé : montrer que n'importe quel connard qui chante n'importe quelle connerie, peut signer un contrat avec une major, vendre des milliers de disques (40000 pour sont premier album, ce n'est quand même pas rien) et se laisser continuer conter fleurette tout en sabordant sa propre carrière (à savoir faire un deuxième album identique au premier mais avec orchestre symphonique, et un troisième avec des titres que même lui n'a pas aimé).

C'est assez énorme et je réalise alors que j'admire énormément ce type.

On réalise alors que toute sa discographie n'est en fait l'oeuvre-support de ce pamphlet philactérisé : montrer que n'importe quel connard qui chante n'importe quelle connerie, peut signer un contrat avec une major, vendre des milliers de disques (40000 pour sont premier album, ce n'est quand même pas rien) et se laisser continuer conter fleurette tout en sabordant sa propre carrière (à savoir faire un deuxième album identique au premier mais avec orchestre symphonique, et un troisième avec des titres que même lui n'a pas aimé).

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Il y a un album aussi de reprises ou il massacre quelques grands classiques. Ce type est monstrueux, je l'adore depuis l'époque de son premier album. Pour mieux connaitre ce type aller voir sur son site, il y avais mis une vidéo de lui lors d'un séjour en Inde ou il fait dire a des Indiens " merci Tsunami" a propos du tsunami de 2004-2005 qui a dévaste l'Asie. il se torche dans des billets de banque et frappe même une vache sacré.

Je suis dans ceci :



qui est un peu décevant. Sur le modèle du génial Please Kill Me de Legs McNeil (éditions Allia, la Rolls des collections sur la musique), c'est-à-dire un bout-à-bout de témoignages des acteurs de la scène, Robb essaie de recréer l'atmosphère du Manchester post-punk. Tout ce qui a trait au punk et aux Buzzcocks est passionnant, après quoi l'intérêt tombe, faute de matière et de témoignages intéressants (par exemple sur la Haçienda, New Order, etc.) J'en arrive aux Happy Mondays là, on va peut-être rigoler un peu, mais la période commence à moins m'intéresser.

On m'a offert ça ce week end :



Je me suis attendu à un vrai pétard mouillé, d'autant que le pote me l'a offert, croyant que j'aimais bien Didier Super.

La grosse claque. Oui, j'ai peut-être un peu honte de le dire, mais ce Livre m'a scotché. De voir ce qui est dit là-dedans me paraissait aujourd'hui inconcevable.

N'allez pas imaginer un livre calqué sur les chansons du bonhomme. C'est la vrai vie, comme son nom l'indique, de ce type, de ses débuts de chanteur à quasiment-aujourd'hui. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'on en découvre sur le phénomène que j'ai longtemps cru benêt même si volontairement idiot. Le mec, est nettement plus intelligent que ce qu'on a voulu nous en dire et, même si, dans cette BD, ça va super loin parfois, on sent qu'il y a mis toutes ses tripes pour foutre un gros coup de pied dans la fourmilière du Show-Business. Il dit TOUT. Et crache et pisse sur tout : les label, les producteurs, les managers, les tour-managers, et même le public "de base" qu'il considère comme des sous-cons.

Une phrase tirée de ce récit pour vous mettre l'eau à la bouche :

"Si un jour, t'arrives à faire la différence entre un artiste et une vedette, à savoir que l'artiste est un canal entre le cosmos et les cons (c'est-à-dire nous tous) tandis que la vedette intervient entre les cons et l'industrie, là, tu comprendras quelque chose, mais à mon avis, tu comprendras jamais" (Parole dite à un responsable de Universal qui lui propose de passer dans l'émission de Cauet).

On réalise alors que toute sa discographie n'est en fait l'oeuvre-support de ce pamphlet philactérisé : montrer que n'importe quel connard qui chante n'importe quelle connerie, peut signer un contrat avec une major, vendre des milliers de disques (40000 pour sont premier album, ce n'est quand même pas rien) et se laisser continuer conter fleurette tout en sabordant sa propre carrière (à savoir faire un deuxième album identique au premier mais avec orchestre symphonique, et un troisième avec des titres que même lui n'a pas aimé).

C'est assez énorme et je réalise alors que j'admire énormément ce type.Jamais lu ça, mais rien qu'en écoutant ou voyant des interviews, on réalise que c'est ça.

Voici 2 parutions de livres qui collent bien à l'atmosphère de forum :





Cet ouvrage de Tom ROBBINS complètement out line , paru en 1971 mais jamais en France , a la rumeur persistante , d'avoir été le livre de chevet d'ELVIS au moment de sa mort .

A lire absolument si on aime bien les ambiances déglinguées !

HP LOVECRAFT

Je lis beaucoup - et encore plus depuis que j'ai perdu mon emploi - derniers bouquins recommandables à mon sens :
"Qu'en pense Keith Richards?" de Mark Blake ( éditions Sonatine) ... Amusant au niveau des anecdotes
"Dernières nouvelles du blues" de Luc Baranger... De petits bijoux de nouvelles courtes et bien balancées ( du même auteur, je vous conseille aussi "En données corrigées des variations saisonnières")
Et puis pour tous ceux qui aiment les vinyls ( vous êtes quelques-uns ici je crois) et qui ne l'auraient pas déja lu :
HAUTE FIDELITE de Nick Hornby ( en 10-18 )... Un must.

Je me lance dans Belle du Seigneur d'Albert Cohen, depuis le temps qu'on me bassine avec. Souhaitez-moi bonne chance. (Ça commence très bien).

Je me lance dans Belle du Seigneur d'Albert Cohen, depuis le temps qu'on me bassine avec. Souhaitez-moi bonne chance. (Ça commence très bien).

Au début, vu le monstre, j'ai eu peur. Mais c'est un sacré livre quand même. Enfin moi, j'ai aimé, alors je te souhaite bonne chance et bonne lecture

Parceque le Live at the Star Club, Hamburg m'a retourné, et que je suis tombé dessus par hasard cet après midi, j'ai acheté ça :



Je commence insésemment sous peu ...

Hier soir, j'ai fini ceci:



Cela se passe autour de deux personnages:

- le premier : Renée, concierge d'un immeuble bourgeois, 7 rue de Grenelle, cinquante-quatre ans, veuve, laide, petite et grassouillette. Bref, elle possède le profil type des concierges, mais personne ne se douterait qu'elle est aussi intelligente que tous ces riches réunis.

- le second : Paloma, douze ans, habite l'immeuble 7 rue de Grenelle dans un appartement assez luxueux. Pour elle, le destin du monde et de l'humain est voué à l'immobilité et à la monotonie. C'est pourquoi elle veut en finir et décide de se suicider à la fin de l'année scolaire.

Divisé en une multitude de petits chapitres se rapportant aux journaux intimes de ces deux personnes, ce livre témoigne d'une grande force philosophique et existentielle. Cette subdivision de parties permet justement de reprendre l'ouvrage quand on veut, de le lire d'une traite ou sur plusieurs périodes, de le transporter avec soi et donc de le faire vivre comme son propre journal en quelque sorte. Afin de transporter quelques idéaux et qui sait, de les transmettre à une autre personne en quête de sens. Il sera question de moments révélateurs de l'existence, de quelques réflexions personnelles sur les goûts et les choix de chacun dans la société et d'une certaine prise de conscience sur l'essence de la vie mais sans pouvoir trouver de réponses. Et c'est ça la part du mystère, celle qui demeure sans limites ni règles, celle qui nous apporte le doute, la peur et l'angoisse, mais surtout la flamme de vivre et d'avancer. Mais pour y arriver, il faudra braver les idées reçues car c'est cela aussi, l'élégance du hérisson: ne pas se dévoiler pour qu'on vous recherche mieux afin que se dessine l'espoir d'une véritable construction dans les relations sociales. Briser les tabous et casser les préjugés, faire que chacun puisse se sentir à sa place par l'importance intérieure que nous pouvons lui accorder. C'est la grandeur de ce roman: transporter et transmettre la richesse de nos âmes en chacun.
Parce que c'est un livre franc, vrai et sincère, parce que c'est l'un des plus beaux qu'il m'ait été donné de lire, et parce qu'il m'a été transmis par un ami, on se dit qu'après, la vie vaut certainement la peine d'être vécue.

Entièrement d'accord avec toi Tu as eu l'occasion de voir le film, peut-être avant ? Parce que je l'ai vu après l'avoir lu, et du coup j'ai trouvé que c'était un massacre : je cherche à savoir si, quand on ne sait rien du livre, on peut l'apprécier.

Je suis dans ceci :



qui est un peu décevant. Sur le modèle du génial Please Kill Me de Legs McNeil (éditions Allia, la Rolls des collections sur la musique), c'est-à-dire un bout-à-bout de témoignages des acteurs de la scène, Robb essaie de recréer l'atmosphère du Manchester post-punk. Tout ce qui a trait au punk et aux Buzzcocks est passionnant, après quoi l'intérêt tombe, faute de matière et de témoignages intéressants (par exemple sur la Haçienda, New Order, etc.) J'en arrive aux Happy Mondays là, on va peut-être rigoler un peu, mais la période commence à moins m'intéresser.


J'l'ai commencé j'arrives vers les Buzzcocks... J'ai beaucoup aimé le premier chapitre sur la Northern Soul, style que j'affectionne particulièrement...
Après j'suis un gros fan de l'époque foutraque de Madchester j'espère que j'en aurais pour mon argent!
Sinon faut que j'achètes TOUT les Nick Hornby, le "Carton Jaune" à l'air excellent...