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Forum de rock6070 • Afficher le sujet - Le MANGA ( sur parpier ou animé )

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 Sujet du message: Le MANGA ( sur parpier ou animé )
MessagePosté: Mar Nov 08, 2011 11:50 pm 
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Il y a pas de raisons qu'il soit exclu , et autant ne pas le mélanger avec la BD , alors hop, il a son sujet !

Je ressort des vielles citations aussi .



Pour appréhender la plupart des manga, il faut les comparer aux jardins de sable
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Très simple en apparence, mais où tout y est réfléchis, à une symbolique, une place défini, où chaque lignes doit être maitrisé, par des années de pratique.

Pas mal de manga ont un seconde voir un troisième message que veut faire passer l'auteur, avec une subtilité toute nippone pour ne pas heurter son lecteur, et le faire réfléchir dessus de son propre chef, que plutôt de le lui livrer tout cuit dans le bec.

A savoir qu'il y a des milliers de manga publié dans l'année et seuls les plus attractif s'en sorte dans cette compétition, et pour arriver jusqu'à nos contrées, il passe une seconde sélection avec l'adhésion ou non du public occidental, autrement dit, les meilleurs sont publiés chez nous, ou les plus en accord avec nous et notre manière de voir.

C'est une bd avec un découpage très cinématographique, avec des sentiments sublimés, la culture nipponne étant très codifié dans la vie de tous les jours, les jap y mettent leur fantaisie et leur créativité qu'ils ne trouvent pas forcément dans leur vie avec leur rapport aux autres, où chacun à sa place définis, pour la cohésion sociale.

Les traits et le graphisme sont souvent simplistes à nos yeux, mais en fait tout dans l'essentiel (le trait le plus simple, mais le plus efficace pour lui donner vie), d'ailleurs le manga est la bd du mouvement, ou le dynamisme prime dans son ensemble, contrairement à l'image plus figé de la bd européenne ou "stéréotypé" du comics. (cependant la stéréotype existe aussi dans le manga, surtout dans l'esthétisme des perso, l'histoire veut que les grands yeux des perso des manga soit un hommage à Bambi de walt dysney, car Ozumo tezuka, un des grands maitre du genre, était un fan des long métrages américain et fut le précurseur de la mode du manga au Japon, en 40-50, auteur de Astro le petit robot, Princesse Saphir et Le Roi Léo qui fut à son tour pompé par Walt Dysney pour son fameux et plus grand succès le roi lion. et la boucle fut bouclé)

Tu as de tout type, car au japon tout le monde lis la bande dessiné, il n'y a pas de préjugé, c'est un support pour raconter une histoire comme les autres, de ce fait, les mangas peuvent traiter de tous l'aspect aux différents âge de la vie (travail, famille, sujet de société)
Et toute les passions, il y a par exemple des mangas traitant du vin ou de la boulangerie, du jeu de go, etc.

Tout le monde peut y trouver sont compte, même les pervers, car les nippons ne font pas dans le politiquement correct, car il estime que toute perversion peut être mis sur papier, du moment qu'il n'est pas concrétisé dans la vie. Ils acceptent le fait que l'homme à ses défauts, mais ils faut qu'ils les gèrent pour les ne pas en fait souffrir les autres et la société.

Personnellement j'adorais les mangas qu'en j'étais enfant, car contrairement aux autres dessins animé, j'avais l'impression qu'on ne me mentait pas et qu'on nous prenait pas pour des imbéciles : oui la vie n'est pas facile, le bonheur n'est pas un dû, il faut se faire sa place par sa propre volonté, et qu'elle peut être violente.

C'était un peu des valeurs nippones qui rentraient dans nos maisons, mais des valeurs réalistes que petit, on ne comprend pas le sens, mais qui reste assez présent pour être intégré par la suite, sans même s'en apercevoir, mais sans nous l'imposer pour autant.

pas aussi bas de gamme que ça, les histoires sont bien plus riches qu'ils n'y parait. C'est des bases simples, suggéré seulement , par l'histoire que l'on te raconte comme un conte pour enfants, mais qui peuvent te permettre d'en tirer un enseignement si tu te donnes la peine de le faire, ou inconsciemment ^^
Pour ceux qui ne connaissent pas, le manga culte :


AKIRA

Le mangaka :

Considéré comme l'un des importateurs de la culture manga en Occident, Katsuhiro Otomo est l'auteur de la célèbre série 'Akira'. Publiée de 1982 à 1990 dans Young Magazine, cette oeuvre est popularisée par le cinéma et les multiples traductions dont elle a fait l'objet. Ecrivain à l'univers sombre qualifié de 'postatomique', l'auteur de 'Fireball' crée un monde apocalyptique marqué par la violence urbaine. Egalement scénariste et réalisateur de films d'animation, le mangaka se charge lui même de l'adaptation de ses oeuvres et participe à la création de grands succès du cinéma japonais tels que 'Metropolis' ou 'Steamboy'. Figure de proue du manga moderne, Katsuhiro Otomo est un artiste incontournable de la culture nippone.


Ce manga est paru au japon en 1982 et s'est conclu en 1995, il est composé de 6 tomes en noir et blanc, et réédité en 14 volumes en couleur chez Glénat, bon là j'ai la flemme pour écrire moi-même le descriptif et la critique.

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Synopsis :

Tokyo est détruite par une mystérieuse explosion en décembre 1982 (1992 dans la version occidentale) et cela déclenche la Troisième Guerre mondiale, avec la destruction de nombreuses cités par des armes nucléaires.

En 2019 (2030 selon les versions colorisées américaine et française), Neo-Tokyo est une mégalopole corrompue et sillonnée par des bandes de jeunes motards désœuvrés et drogués. Une nuit, l’un d'eux, Tetsuo, a un accident de moto en essayant d'éviter un étrange garçon qui se trouve sur son chemin. Blessé, Tetsuo est capturé par l’armée japonaise. Il est l’objet de nombreux tests dans le cadre d’un projet militaire ultra secret visant à repérer et former des êtres possédant des prédispositions à des pouvoirs psychiques (télépathie, téléportation, télékinésie, etc.). Les amis de Tetsuo, dont leur chef Kaneda, veulent savoir ce qui lui est arrivé, car quand il s’évade et se retrouve en liberté, il n’est plus le même… Tetsuo teste ses nouveaux pouvoirs et veut s’imposer comme un leader parmi les junkies, ce qui ne plaît pas à tout le monde, en particulier à Kaneda.

En parallèle se nouent des intrigues politiques : l’armée essaye par tous les moyens de continuer le projet en espérant percer le secret de la puissance d’Akira, un enfant doté de pouvoirs psychiques extraordinaires (et de la maîtriser pour s'en servir par la suite), tandis que les politiques ne voient pas l’intérêt de continuer à allouer de l’argent à un projet de plus de 30 ans qui n'a jamais rien rapporté. Le phénomène Akira suscite également l’intérêt d’un mouvement révolutionnaire qui veut se l’approprier à des fins religieuses (Akira serait considéré comme un « sauveur » par ses fidèles). Kaneda va se retrouver malgré lui au centre d’une lutte entre les révolutionnaires et le pouvoir en place.
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Avis personnel :

On touche au chef d'oeuvre, tant par l'intrigue que la réflexion apporté par Otomo, critiquant l'avidité des hommes, aussi bien dans le contexte politique et religieux, ou propagandes se mêlent aux secrets défenses du pays, qu'au niveau de l'histoire des deux principaux protagonistes Kaneda et Tetsuo : victime d'une époque corrompu, à en devenir bourreau à leur tour, vecteurs d'une violence gratuite d'une bande de motard junkies, désabusée, sans avenir et livrer à eux même, ou seul le mépris oscillant avec le désintérêt d'une société malsaine et dure, répondent à leur colère, leurs frustrations et leurs insultes inutiles.
Au fil de l'histoire, chacun prenant une trajectoire bien différente :

Tetsuo, d'abord jeune garçon complexé et vénérant Keneda bien que jaloux de lui, devient la personnification du mal qui ronge cette société et le mal être d'une génération sans avenir, avec son esprit de revanche et de reconnaissance via ses pouvoirs, éveillés au cours du manga, entrainant le monde dans sa descende aux enfers.

Keneda, leader du groupe de motard et ami d'enfance de Tetsuo dont il se moque gentiment dès que l'occasion se présente, est un être de prime à bord tête brûlé, vantard, égo-centré mais sympathique et charismatique, vivant une vie d'adrénaline, se souciant très peu de son avenir et des conséquences de ses actes. Mais face aux bouleversements dont il est témoins, sans trop en comprendre le sens dans un premier temps, ni l'intérêt, il ouvre les yeux sur le monde qui l'entoure, des enjeux qui s'y jouent, dans une prise de conscience qui l'amène à s'engager bien plus loin que ses aspirations d'origines ne l'avaient aspiré. Pris entre les feux des différentes conspirations et passions qui déchirent l'histoire, il essayera de sauver Tetsuo de ses ennemis, puis finalement de lui-même.

Entre Science sans conscience et société amnésique étanchant sa soif de futilité avidement à son propre détriment

Akira parle avant tout d'éveil à la conscience, de son humanité, de ses faiblesses, de ce qui nous entoure, des forces ( sens propres comme au figuré) qui se cachent en nous, pour aspirer au changement de notre condition, mais aussi bien dans son aspect négatif et ambitieux, que dans son aspect positif et humaniste ; sur fond de révoltes populaires, de complots politiques et militaires, de conflits d'intérêts, de récupération religieuse, dans un monde violent qui s'est lui même mené et perdu au bord de l'apocalypse, en voulant obtenir des "armes" de plus en plus puissances, dont la personnification ultime est Akira, personnage énigmatique aux allures de petit garçon dont les pouvoirs psychiques, manipulés et amplifiés par l'armée, finissent par se retourner contre leurs propres créateurs.
Transposé dans un futur d'une société post-apocalyptique, qui n'a pas su tiré les leçon de sa propre histoire, qui fini par se répéter, comme une fatalité propre à l'homme ; ayant déjà subit une 3ième guerre mondiale (dont la cause est le premier éveil d'Akira à sa puissance qui détruit Tokyo, évoquant une attaque nucléaire sur la capitale nippone, mais dont les véritables raisons sont cachés au monde extérieur pour éviter qu'ils puissent comprendre le phénomène Akira et l'améliorer à leur avantage) se référant au contexte du monde des années 80-90 (pour les nostalgiques :p ) où Otomo nous pointe du doigt le potentiel de destruction qui sommeil dans l'humanité qui oublie ses erreurs, chacun se croyant dans son bon droit, aveuglés par des questions d'ambitions et d'envies bien superficielles, face aux catastrophes qu'ils déclenchent et ne pouvant que les regardaient, impuissant, se déroulaient, une fois le mécanisme déclenché par leur propre soin, d'une horloge du chaos prête à sonner les douze coups finaux du monde qu'ils n'ont su ni contrôler ni préserver, justement, par leur inconscience.

D'ailleurs l'anime qui est une synthèse du message d'Otomo, j'y vois une symbolique dans l'image de conclusion : une fragment d'ADN flottant dans l'espace, les fondements même de la vie à la recherche de sa raison d'être dans le vide sans pour autant avoir le contrôle de ce voyage, où les paroles de Tetsuo raisonne : "Je suis Tetsuo", comme une affirmation de sa propre existence malgré le chaos qui l'habite et celui de son parcours.


On ne peut parler d'[b]Akira sans son anime :[/b]

Le dessin animé en lui même ne raconte que les 3 premiers volumes.
1989. Akira - le film sort sur les écrans français. Et c'est un choc. Le film balaie tous les préjugés sur la japanimation dont la presse aime se délecter sans creuser davantage. Oui, il existe des dessins animés destinés à un public adulte, à la technique irréprochable et aux thèmes universels. Akira devient vite un long métrage culte. S'il ne reçoit pas le succès escompté lors de son passage au cinéma, la vidéo éditée par TF1 passe de mains en mains et le phénomène s'intensifie dans les lycées et les facultés. La culture manga, terme impropre si l'on n'évoque que les films d'animation japonais, prend racine dans l'hexagone. Personne n'a oublié la poursuite à moto qui ouvre le film, ni l'incroyable final à la noirceur prophétique. Katsuhiro Otomo a réussi son pari: faire tenir l'essence de son oeuvre littéraire en un long métrage de deux heures. Même si certains personnages secondaires ne sont qu'esquissés et que les thèmes abordés par le manga sont succinctement abordés, Akira tient magnifiquement la route et propose un monde fascinant, jamais vu alors au cinéma.

Otomo se reconnaît une seule influence majeure dans le Septième Art: Stanley Kubrick et surtout 2001, l'odyssée de l'espace dont il écrira une nouvelle version pour le projet Memories. Un film qui l'a profondément marqué et à qui il rend déjà hommage dans Akira par son final stupéfiant, trente secondes d'effets robostropiques qui s'achèvent sur la vision de la chaîne ADN qui flotte dans l'espace sur la musique fabuleuse de Shoji Yamashiro. Akira se termine ainsi par un ultime coup de force esthétique. Révolutionnaire pour l'époque sur le plan technique, le film n'a pas pris la moindre ride. L'animation demeure toujours un sommet de fluidité et la mise en scène de Katsuhiro Otomo confine au génie. La première apparition d'Akira dans un grand halo blanc, l'horrible mutation de Tetsuo ou encore la destruction de Tokyo sur fond d'opéra: tout frôle la perfection graphique. Le flash-back inattendu sur la jeunesse des différents protagonistes de l'histoire instaure une émotion rare, un contrepoint surprenant et idyllique à l'enfer vécu alors par les personnages. Katsuhiro Otomo a réussi son insensé pari et s'est inscrit en un film comme un auteur définitivement prophétique.
http://archive.filmdeculte.com/culte/culte.php?id=129

la bande annonce du manga :



Sortie en 1988 au japon, le dessin animé est tout simplement une perfection technique de l'animation traditionnel, ce que ne dit pas la critique, il y a aussi une référence aux droogies d'orange mécanique et de leur guerre de territoire, puis c'est qu'en Version originale, on constate avec étonnement, qu'ils ont été jusqu'à pousser le perfectionnisme en faisant coller les lèvres des personnages à leur parole (positionnement de la langue incluse sur certaines syllabes batez, donc je vous le conseille fortement en version sous-titré pour prendre la mesure de la prouesse de ce dessin animé).
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La bande son est une pure merveille, véritable reflet de la mentalité japonaise, bien ancré dans la tradition (vocalement et instrumentaux) mais résolument tourné vers l'avenir en apportant la touche de musique expérimentale et contemporaine (rythmique et apport d'autres instruments, s'inspirant de la balinaise), épousant parfaitement l'action, et les visés métaphysiques du manga, frolant avec le mysticisme.
Le thème le plus connu du manga

et le final grandiose de cet OST, le requiem, ça dure plus de 14 minutes :





Et si ça vous a donné envie de le voir le voici en streaming vf

http://www.megavideo.com/?c=myvideos

Sinon téléchargeable a priori (j'ai pas vérifié encore si c'était un bon lien) en Version originale sous titrée ici : http://www.megaupload.com/?d=ZY24QY7O

C'est à qui qu'on dit merci hein ?!

PS: Ce manga est actuellement en pré-production pour son adaptation live par les ricains, ce qui laisse sceptiques les fans du manga, voir les révoltent, elle comporterait 2 films racontant les 6 volumes.
Voici quelques image sortant du manga :

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La version couleur, l'éveil des pouvoirs de tetsuo :
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et le post sur le forum qui traite du manga :
http://www.allocine.fr/communaute/forum ... edia=.html

Metropolis et de tout beauté ! un chef d'oeuvre émouvant et sublime ! ( et la Bo jazzy est extra ! )

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Ecoutez moi ça !





Et le final ce conclu sur I Can't Stop Loving You de Ray Charles .

_________________
T.Leary

"J'aime tellement le progressif que j'en ai équipé mes verres de lunettes" Fenyxx


Dernière édition par Matt le Mer Nov 09, 2011 12:40 am, édité 3 fois.

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 Sujet du message: Re: Le MANGA ( sur parpier ou animé )
MessagePosté: Mar Nov 08, 2011 11:51 pm 
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Juste pour rire et faire tombé certains préjugé, parce que Matt en parle, désolée pour le long post, c'est quand même une histoire qui est publié depuis 12 ans, je peux pas faire autrement.

Naruto

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Manga de Masahi Kishimoto, qui est influencé par Dragon ball, mais eu surtout le déclic pour devenir mangaka en voyant Akira. Du coup, le mélange donne Naruto :

Un hommage à Akira dans un format qui rend hommage à Dragon Ball.

Une histoire qui se passe dans un monde rétro-futuriste de shinobi (ninja).
Naruto Uzumaki (un mélange de kaneda et sangoku en puissance) est un réceptacle de démon (métaphore de la bombe nucléaire car le démon est une arme destruction dangereuse à manipuler, il y a en a 9 en tout, que ce partagent les plus puissants pays), qui cherche la reconnaissance des gens, il a pour ami et rival Sasuke Uchiha (un melange de vegeta et de Tetsuo dans ses envies de revanche) dont le clan à été massacré par son frère Itachi, qu'il veut tuer pour se venger. ça s'est le début de l'histoire. Car tout ça se développe sur 58 tomes. Car au final, tout l'univers repose sur l'ambition de certains personnages (mad/tobi (tetsuo dans l'ambition de mettre le monde à leur pied)) à avoir l'arme ultime : un nouveau Rikkudo sennin (Akira) : Un être légendaire qui a été capable de vaincre et de devenir le réceptacle de juubi, une créature dont son issus tous les fameux démons. pour cela ils manipulent leurs génétiques pour devenir ou créer un nouveau rikkudo et en réunissant les démons pour le reformer, et Konoha (l'armée dans Akira), le village/garnison dont viennent les deux héros, essaye de le contrer et de cacher le savoir permettant l'obtention de ces pouvoirs aux autres villages et pays (les américains dans Akira).

Les enjeux du manga :

Ce manga apporte avant tout une réflexion sur la paix : par le biais de l'être légendaire, qui selon la légende aurait demandé à ses deux fils (dont les protagonistes les plus puissants du manga sont des descendants directs) Comment obtient on la paix ? l'ainé dit "par la force", le cadet dit "par l'amour" et se fut le second qui fut choisi comme héritier, entrainant une guerre fratricide avec son aîné qui contestait cette décision paternel.
Des siècles plus tard...
Un système de village/garnison servant chacun un pays est mis en place pour stabiliser le monde, le système shinobi, sensé pacifier le monde, (avec l'équilibre des forces, la bombe nucléaire, remplacé par les réceptacles de démon, cela s'appelle équilibre des bijuus, bijuu étant le noms des démons).
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Mais voilà, à quel prix obtient-on la paix ? La fin justifie-t-elle les moyens ?

Ses questions sont abordé en filigrane avec Naruto et Sasuke étant tous deux des victimes de ce système :

Naruto étant lui-même, une arme pour son village, bien malgré lui, craint et rejeté par les villageois ayant eu a subir quelques affres passés avec le démon qu'il porte et qui lui crée aussi bien des ennuis, va devoir faire en sorte de se faire accepté par eux, quitte a se rebellé contre le système, quand il le trouve injuste, est le changé de l'intérieur.

Sasuke a quant à lui choisi une autre voie, il s'exclut du système pour le combattre pour en avoir souffert lui aussi.

Et quant au grand "méchant" de l'histoire, connaissant parfaitement bien le système shinobi, ses failles, et la nature humaine il le manipule pour obtenir ce qu'il veut : imposer la paix par la force une bonne fois pour toute et à son profit. ( non c'est pas le méchant qui tape sur tout le monde parce qu'il est méchant, c'est un machiavel, d'ailleurs on a vu que deux combats de lui pour l'instant, le temps de 3 chapitres chacun... c'est pour dire) Via une organisation criminelle de ninja déserteurs puissants qu'il commande dans l'ombre, dont les pays ont largement profité, en les louant pour éliminer des ennemis potentiels, ou en les laissant acquérir le démon d'un village ennemi pour les affaiblir.

Konoha, le village des héros, sert le pays du feu, et le plus puissant d'entre tous, mais si la politique officielle est très louables, ce qui s'y fait dans l'ombre est beaucoup moins reluisant, pour maintenir sa paix et sa puissance.

un monde loin d'être manichéen, bien que le cheminement manichéen se situe plus sur le parcours des personnages. et la plupart des ennemi,s ne sont pas forcément des méchants, juste des personnes ayant des intérêts divergeant avec nos héros, et les méchants ont eux aussi leur propre motivations et parcours qui l'explique.
Naruto devra trouvé la réponse à la question du rikkudo sennin, sans compromettre l'idéal qu'il sert avec des méthodes discutables, génératrices de maux bien plus néfastes qui mettraient au final, un peu plus en danger ce qu'il voudrait protéger, en entrainant une spiral de haine que certaines personnes éprouveraient, s'ils étaient victime à leur tour des actions que notre héros mettrait en place pour défendre ce en quoi il croit.

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Le theme de l'obédience. Faut pas oublier que ce sont des soldats dans cette histoire, que le japon a subit à cause de la propagande sur des années, une histoire terrible pendant la seconde GM, faisant des japonais un peuple endoctriné et jusqu'au boutiste.

Est- ce que par devoir d'obéissance et d'allégeance, faut-il suivre un ordre même si on le trouve mauvais ou injuste ?

La réponse est clairement "Non" dans Naruto et ce des le début du manga avec la première leçon appris par les héros de leur maitre/enseignant Kakashi Hatake :

"Ceux qui ne respectent pas les règles et transgressent les lois sont considérés comme des moins que rien. Mais... Ceux qui ne pensent pas à leurs compagnons sont encore pires"

Or le code Ninja stipule que la réussite de la mission passe avant tout même la vie des ninjas qui l'accomplissent. Le personnage de Kakashi et son histoire permet de le comprendre, car lui même ayant subit le suicide de son père, suite à des pressions, car justement il avait refusé cette état de fait, en refusant de sacrifier ses compagnons pour une mission dangereuse, entrainant de grave conséquence pour Konoha qui lui furent reprocher, même par les personnes qui avait été sauvé par cette décision.
A sa mort, kakashi avait décidé de n'être qu'un instrument au service de son village, après cela, mais son coéquipier refusa de sacrifier une vie pour le bien de la réussite de la mission qu'il avait a accomplir à ce moment de l'histoire, en disant que c'était son père le vrai héros pour avoir tenu tête à un ordre injuste, et qu'il fallait changer la vision des gens et de l'autorité, que bien que soldat, ils ont leur libre arbitre pour faire de bons choix, quand ils pouvaient se le permettre et le faire pour de bonne raison, en ne tenant plus compte des règles, ou en refusant un ordre.

Kakashi reprendra alors la morale de ce co-équipier, mort au combat dans la suite de l'histoire et dont il se sent responsable, et l'enseignera à ses élèves, posant ainsi la première petite révolution pour vaincre la fatalité.

Bref un manga très optimiste.

Vous pouvez lire cette histoire courte sur quelques chapitres, avec un message très bon pour les gosses, si le coeur vous en dit, qui crée une parenthèse entre les deux partie : Kakashi gaiden :
http://www.naruto-one.com/Lecture_en_li ... apitre_239

Le déroulement

La premier partie Naruto : se déroule lorsque qu'ils n'ont que 12-13 ans et deviennent des apprentis shinobi, c'est toute la mise en place de l'univers, à travers le parcours initiatique des différents protagonistes, cela constituent les 217 premiers chapitres.

La deuxième partie Naruto shippuden : les héros ont 16-17 ans, l'intrigue principale qui se précise, n'étant que distillée dans la première partie par différentes histoires et protagonistes faisant leur apparition, qui prennent alors un lien de cause à effet dans la deuxième et leur sens véritable, l'initiation et la maturation des différents protagonistes continuent, mais toujours axé sur Naruto principalement.


Mon avis personnel

C'est un manga qui normalement ne s'adresse qu'au garçon de moins de 15 ans au japon, mais j'aime bien, car malgré les apparences trompeuses de manga à baston, d'amitié virile propre à séduire les garçons de cet âge, l'univers est un mélange subtil de bushido, ninjutsu, de mythologie shintoïste et bouddhiste, certaine référence historique nipponne et de notre monde actuelle, ainsi que de son contexte géo-stratégique politique et les conflits d'intérêt qui secouent cette planète, et au final on se prend aux jeux, car même les bastons sont très stratégique, étant des ninjas qui excellent dans l'art de la duperie et de l'information. Il y a un effort de l'auteur pour complexifié son manga pour suivre l'âge de ses lecteurs de la première heure, bien que l'histoire, comme tout manga de type shonnen, soit de nature manichéen et tend à se simplifier en deux camps bien distinct à la conclusion du manga, tout en restant accessible aux enfants qui se mettraient à le lire en cours de route et en restant attrayant pour le public dont l'âge n'est pourtant pas la cible, qui y voient alors toutes les subtilité qu'un enfant ne comprendra pas tout de suite.

C'est à mon sens l'un des points forts du manga, Kishimoto faisant en sorte, d'avoir une suggestion d'idées simples et claires pour le public visés, sans imposé une vision qui lui est propre, ça nous laisse alors toute la latitude de transposer notre propre réflexion pour trouver le sens réel de son propos et d'y apporter la notre. Ce manga permet donc deux lectures : une au premier degré, en se contentant de suivre les péripéties sans se prendre la tête et une au second degré capable d'émoustiller notre intellect pour lire entres lignes ce que l'auteur ne fait que suggérer et approfondir doucement dans le développement de son histoire.

L'intrigue du massacre du clan uchiha est certainement une des meilleurs du genre, avec des rebondissements et je pense qu'on n'a pas encore eu le fin mot sur cette l'histoire. Kishimoto en 12 ans, à réussi à distiller tout au long de son manga des indices, des suggestions, des faux semblant qui perdent le lecteur sur les véritables enjeux de son histoire, en entretenant le suspens sur l'intrigue principal, et souvent il faut relire certain chap pour qu'il prenne tous leur sens, après avoir eu de nouvelles données, un scénario bien maitrisé sur toute la globalité de l'histoire, une logique jamais démentis dans ses power up et justifiés, et avec les derniers chap sorti, même en génétique, on constate qu'il a fait des recherches sur le sujet pour l'y intégrer, au moins le basique. Et surtout en sachant qu'il sort toutes les semaines un chapitre, une cadence infernale. Bref, pas aussi simpliste que ça en à l'air pour un manga qui est sensé s'adresser au moins de 15 ans.
Le seul bémol, c'est que de temps à autres, certains faits sont mal amenés ou trop vite développer, dû certainement à cette parution hebdomadaire.

Malgré tout Naruto est un des meilleurs du genre, après faut aimer le genre.... évidemment.
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Mais si vous avez aimez Dragon Ball, alors aucun mal à vous mettre dans cette histoire, car elle est au niveau des protagonistes et de l'intrigue un peu plus relevé et largement plus recherchée, mais vous ne serez pas dépaysés pour autant. Et si en plus vous connaissez et aimez Akira, cela vous amusera d'y retrouver les références qui y sont faites, de faire les parallèles avec ce manga, tout aussi culte et d'un abord plus sérieux et métaphysique (sa transposition à l'écran est un chef d'oeuvre de l'animation traditionnelle, avec une bande originale mystique, avec une recherche dans les rythmique de la musique contemporaine et de musique traditionnelle japonaise, et vocalement proche du théâtre Nô).

Et en plus, si vous avez du temps à perdre et pas de sou, c'est disponible à lire gratos, ce qui est un avantage certains, quand vous être comme moi qui ne veut pas mettre d'argent dans ce genre de manga, (puis ça prend de la place 54 tome !) :
http://www.naruto-one.com/Lecture_en_li ... apitre_218
bon y a pas le chap 1 à 217, sont trouvables cela dit, mais au moins vous pouvez quand même suivre l'histoire.

Ce manga est le deuxième le plus vendu dans le monde, a peu près 100 à 120 millions d'exemplaires vendus à ce jours depuis ses 12 ans d'existence, surplanté largement par One piece, qui lui atteint les 250 millions de vente, ce dernier dépassant même Tintin. cependant ces chiffres ne sont pas exact car, l'un représente juste sa publication nippone, il me semble, pour"one piece", quant à Naruto, ce n'est que le chiffre de vente internationnal, il me semble; qu'il doit en être à 300 millions en tout, et l'autre à 400 à 450 millions. Ce qui vous donne à peu près une idée de l'impact de ses deux mangas, qui sont limite des institutions dans ce domaine.



C'est comme partout, y a du bons comme du mauvais, il faut juste s'enlever ses idées reçues et a priori sur le sujet, car y a vraiment des petites pépites dans les mangas, et une liberté de réflexion comme on trouve rarement dans la BD en générale, puisque pas mal d'idée de l'auteur sont que des suggestions à travers les différentes péripéties des personnages, en tous cas la plus part se contentent de vous laisser l'initiative de faire se travail de réflexion tout en restant attractif si vous ne voulez pas le faire, au delà de l'histoire qu'ils vous raconte et de son message premier.

D'ailleurs pour Naruto je vous conseille pas l'anime, les enfants pourrait l'aimer, mais si vous aimez la qualité graphique, comme bien souvent dans l'animation de masse qui passe à la télé, il n'est d'une qualité ni d'une fluidité, d'autant que les Hors séries sont d'une qualité aléatoire allant de bon à carrément nul et ils ne sont que des bouche trous permettant de mettre le manga papier et l'anime sans trop de décalage ( l'anime rattrapant la publication hebdomadaire), et n'ont donc aucun rapport avec le manga d'origine.
Cependant de temps à autre il y a un épisode qui sort du lot, souvent dans un combat attendu par les fans d'un personnage en particulier, et là, la production mais un point d'honneur à contenter les fans en le mettant en scène d'une manière irréprochable en terme de fluidité et de timing

Exemple par l'image combat de kakashi (le maitre de naruto) VS Hidan et kakuzu (des ninja déserteurs puissant de l'organisation criminelle ) :


Le rythme et le tempo du combat sont mis en évidence par un fan l'ayant synchroniser à une musique de daft punk. Bon ce sont des combat très ninjaesque de l'univers de Naruto via leur chakra, leur permattant certaine chose qu'un combat réaliste ne permettrait pas ^^

bref, faut être intéressé et aimer les techniques d'animations en général pour apprécier l'effort fait.

Et pour vous donnez une idée à travers l'hommage fait à la japanimation et aux mangas d'action, porteur de réflexions dans le cinéma américain, l'exemple le plus parlant est Matrix qui reprend les codes de dynamisme (temps suspendu pour rendre plus parlant et puissant une action par le contraste révélateur qu'il produit) et dans la narration de l'histoire à deux temps (au premier degré sans se prendre la tête en suivant l'action et en apportant par la suggestion une possibilité de réflexion sur le sujet) et sa construction type shonnen, ainsi que dans sa symbolique graphique.
D'ailleurs les Wachowski pour parachever cette hommage ont demandé et confié le soin aux meilleurs mangaka et réalisateur de la japanimation d'étoffer leur univers avec animatrix à travers 9 cours métrages :
bande annonce :


Il n'y a pas franchement de propriété littéraire et artistique au japon. Grosso modo, le mangaka, il travaille seule, dessins, scénar et le vend à un magazine, si le magazine le fait paraitre, il doit fournir un nombre conséquente de planche par semaine, ce qui fait que la plupart des mangaka sont quasi enchainé à leur table de dessin, ce qui amoindri la qualité graphique, ils sont cependant aidé par des assistants quand ils ont du succès et les éditeurs du manga ont un droit de regard, ils peuvent imposer leur exigences, au final certain créateur se laisse exploité et dépossédé et d'autre ce laisse pas faire, ou prenne leur temps.

Il pourtant des style complètement différent :
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J'adore le traitement graphique de Nihei (auteur japonais ayant percé au USA)

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Nihei a d'abord effectué des études d'architecture avant d'être Mangaka ce qui rend son univers unique et il est originaire de Fukushima pour l'anecdote :
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De Nihei j'ai deux oeuvres post-apocalyptique( horreur un peu ) du monsieur , cette fois ci en manga : Abara et Biomega , que j'adore .
Il lui arrive de ce perdre un peu dans le scénario , c'est son point faible, mais son trait de crayon me plait beaucoup à moi aussi , il est assez unique , à la fois brouillon mais aussi détaillé , même si des fois c'est un peu confus ( dans Abara par exemple , on a parfois du mal à comprendre ce que l'on voit ).

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Des mangakas ils y en a des centaines, forcement chacun a son propre style , de ceux qui sont brouillons ( voir beaucoup ) à ceux qui sont ultra précis( mon seul shojo est un manga dont la mangaka, une femme, mettait environ deux ans pour sortir ses livres tellement le dessins était hyper détaillé et carrément sublime, plein de finesse et d'élégance ) en passant par ceux qui caricature pas mal ... bref , pour tout le monde .

A côté de ça j'adore Nihei ( celui que Ju aussi aime beaucoup ), qui a son style propre à lui, légèrement brouillon, pas très précis c'est vrai mais pourtant sublime, qui à de vrai paysages post-apocalyptique impressionnant ( et son architecture est très , très original , futuriste ) .

Et il y a Urasawa par exemple qui a un dessins plus simple, plus réaliste, et justement très aéré , il respire ce manga . clinzz
De plus, c'est un mangaka qui a des histoire très travaillé, au scénario complexe, de vrai polar ( Monster et Pluto, le thriller Sf , et c'est aussi l'auteur du célèbre 20th Century Boys )

Le scénario, important aussi , certains sont simples, normaux, mais qui demande de l'attention quand même , d'autre sont d'une complexité que même un jeune ado aurait du mal à tout comprendre ( Death Note et un très bon exemple , il faut vraiment ce concentré pour suivre l'histoire, il y a énormément de lecture , à l'inverse d'un Naruto qui se lit en 20 min à peine, un tome de Death Note de la même taille et du même nombres de pages ce lis en au moins une heure voir plus ) , Même Naruto, il faut pas croire, le scénario et l'histoire est très très large , au début de la série c'est "mignon" et presque "simplet" on peut dire ça comme ça , une série pour jeune ado quoi , mais après, ça deviens vraiment une série très intéressante , pour grand . ( Naruto à évolué à la manière de la sage Harry Potter, le premier est très enfantin, le dernier beaucoup moins )
J'en ai un autre, MPD psycho, dont le sujet , grosso modo, est la multi personnalité ( plus les intrigues qui vont avec, il est très compliqué celui ci ) et pas pour les gosses , vraiment pas .

Pour conclure, je dirais que les mangas n'ont rien de plat dans leur dessins , et c'est encore moins niait .
Oui les lignes sont fines pour la plupart , mais le manga ( ceux que je lis en tout cas ) sont réalistes , certains très réalistes ( que ce soit dans les environnements, l'architectures , même les perso et l'histoire , il n'y a pas que de la SF ou du fantastique avec des robots et des héros aux super pouvoirs , beaucoup de manga on les pieds sur terre et ce base de chose de la vraie vie ) , et de ce fait il sont vraiment équilibré et il y a de la profondeur , comme du vrai .

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Le problème de certain mangakas , c'est le temps de parution , mais bon, quand un manga est très bien travaillé, ça fait plaisir de le lire même si l'attente et longue ( je ne lis pas Bersek mais je les déjà feuilleté, très beau dessins très détaillé , incroyable )
Et en plus de cela, ajoute de temps de parution en France , qui a souvent des mois ( voir des années ) de décalage à cause de la traduction , l'édition qui traine etc ...
C'est le cas de Neon Genesis Evangelion , série en 12 tome au Japon, le premier est sorti en France en 1998 , et le Tome 11 est sorti il y a exactement 3 ans. Depuis on n'a même pas une date pour la parution du tome 12 , l'éditeur Glénat traine comme pas possible !

Ma série MPD psycho a aussi une parution longue , de un par an , et c'est une série tellement complexe que entre chaque parution t'as largement le temps de tout oublier ( et ça c'est vraiment chiant , pour ça que j'attends l'intégrale pour tout relire ... mais quand ? ) .

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Résumé :
Les ténèbres d’une forêt plongée dans la nuit. Sous une pluie battante, un homme déterminé traque une victime terrifiée. La décision de Seiichi Kirishima est prise : ce soir, il va tuer sa femme.
Pourtant, un an plus tôt, c’était un homme heureux. Écrivain à succès, mari comblé et papa d’un jeune garçon… à l’époque, tout semble lui réussir. Mais ce bonheur sans faille n’est pas éternel. Le jour où son éditeur met fin à leur collaboration, les ténèbres s’immiscent dans la vie du jeune écrivain, vite criblé de dettes. Une terrifiante descente aux enfers commence, au fil des pages de ce qui pourrait bien être son dernier roman…

C'est un one-shot , il coute à peine 7.50€ ( jolie édition en plus ), très facile à lire, et qui est tellement prenant qu'on le lis d'une traite : il est intense, et l'on est absorbé par cette histoire qui fout la pétoche et qui angoisse ( au niveau d'un livre, c'est pas le même ressenti qu'un film bien sûr ) il y a du suspense .

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Les dessins sont absolument sublime, très détaillé et réaliste, et l'auteur a fait un extraordinaire travail sur l'ombre et la lumière ( le plus gros de l'histoire ce passe dans une grotte)
J'ai rarement vu un travail sur l'ombre aussi maitrisé qu'ici.
Les flash back et la narration sont eux aussi , maitrisé et bien inséré .
Et la fin, est bien troublante .
Ce manga est un chef d'oeuvre de l'épouvante , une très belle réussite .

Un peu de lecture ici : http://www.lexpress.fr/culture/livre/hi ... 46624.html

Et si ça vous intéresse , les première pages sont en lecture en ligne ici : http://www.manga-sanctuary.com/lecture/ ... out-1.html


Dans un tout autre genre, mais toujours en manga, j'avais adoré la série "Quartier lointain" de Jiro Taniguchi :

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Bien plus qu'un manga, c'est un roman graphique avec une narration hors paire. L'histoire d'un adulte qui se retrouve enfermé dans son corps d'enfant et qui va tout faire pour changer le cours de son histoire familiale. Poignant.


Jiro Taniguchi est un maitre du manga , un artiste . Il crée de très belle histoire , et ces dessin sont superbe . Je ne m'y suis pas encore intéressé, mais je ne vais pas tarder ( Quartier Lointain, le Sommet Des Dieux et de nombreuses autre oeuvres )

De Jiro j'ai seulement Icare ( l'homme volant ) , coécrit avec Moebius ( je ne te le présente pas je pense ) , c'est en fait son histoire, et il a demandé à Jiro de l'illustré .
Malheureusement, la déception est là, malgré le dessin, l'histoire qui est très belle et vraiment intéressante , c'est une oeuvre inachevée bien que prévu plus longue ( problèmes d'éditeur je crois bien ... ), et du coup réduite à une histoire trop courte qui nous laisse vraiment sur notre faim . Et de plus, les nombreuses pages avec de grand dessins (très beau certes ) mais avec très peu voir pas de textes font en plus que ce livre ce lis beaucoup trop vite .
Il n'y a pas vraiment de fin, c'est le genre de livre ou, arrivé à la dernière page, tu te dis " c'est pas possible , tout est la pour annoncé une suite, c'est presque obligatoire au vu du déroulement " et en fait non, c'est vraiment fini .
Dommage, elle avait du grand potentiel , qui fut gâché .

Très belle édition grand format cependant .

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Il y a plusieurs genres , policier ( flingue et tout ) thriller ,horreur ,drame , Sf , tranche de vie , comédie, histoire d'époque du Japon ?

Comme mangas que j'ai sur mes étagères .
Je pourrais te proposer Monster ( thriller énorme ! Ju sera d'accords, mais série longue, mais bien construite )
Du même auteur : Pluto ( l'histoire retravaillé de Astro le robot le plus fort du monde , plutôt court )
Lady Snowblood ( manga culte des année 70 qui a inspiré Tarantino pour son Kill Bill il est oupez oupez )
Du même auteur ( spécialiste des tranche de vies se déroulant avant la deuxième guerre mondial )
Folles Passions , La Plaine du Kantô , l'Apprenti Geisha .
Charisma ; histoire sur la manipulation d'un gourou escros de secte, très réussi .
Manhole thriller/policier biologique .
Emerging drame biologique ( contamination )

Des flingues, des filles , des flics , la dea , de l'action , du rire , de l'argent , de la drogue , des mexicains, des américains , des japonnais ... le très bourrin mais génial Wilderness ( pas encore fini cette série ) , digne d'un tarantino ce manga .

Ultra Heaven est un manga futuriste sur les drogues hallucinogènes , un bon délire ce manga et bien foutu .
Domû , manga culte du créateur d'Akira .
Biomega , manga de SF post apocalyptique sombre .
Hideout, manga d'horreur ( voir la page précédente )
Kasané, histoire de fantôme se déroulent il y a un ou deux siècles .
Ou encore Kurosagi, livraison de cadavre , ou une bande d'étudiant au talent particulier s'occupe des dernière volonté des morts oublier .

Là en ce moment je lis Hokusai , qui raconte une parti de la vie du grand peintre Hokusai Katsushika (1760-1849) célèbre pour sa magnifique estampe La Grande Vague de Kanagawa :
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Dernière édition par Matt le Mer Nov 09, 2011 12:28 am, édité 2 fois.

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 Sujet du message: Re: Le MANGA ( sur parpier ou animé )
MessagePosté: Mer Nov 09, 2011 12:09 am 
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 Sujet du message: Re: Le MANGA ( sur parpier ou animé )
MessagePosté: Mer Nov 09, 2011 12:13 am 
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:lol:

Tient si tu peux rajouter en dessous du texte sur les enjeux du manga dans naruto :

Le thème de l'obédience. Faut pas oublier que ce sont des soldats dans cette histoire, que le japon a subit à cause de la propagande sur des années, une histoire terrible pendant la seconde GM, faisant des japonais un peuple endoctriné et jusqu'au boutiste.

Est- ce que par devoir d'obéissance et d'allégeance, faut-il suivre un ordre même si on le trouve mauvais ou injuste ?

La réponse est clairement "Non" dans Naruto et ce des le début du manga avec la première leçon appris par les héros de leur maitre/enseignant Kakashi Hatake :

"Ceux qui ne respectent pas les règles et transgressent les lois sont considérés comme des moins que rien. Mais... Ceux qui ne pensent pas à leurs compagnons sont encore pires"

Or le code Ninja stipule que la réussite de la mission passe avant tout même la vie des ninjas qui l'accomplissent. Le personnage de Kakashi et son histoire permet de le comprendre, car lui même ayant subit le suicide de son père, suite à des pressions, car justement il avait refusé cette état de fait, en refusant de sacrifier ses compagnons pour une mission dangereuse, entrainant de grave conséquence pour Konoha qui lui furent reprocher, même par les personnes qui avait été sauvé par cette décision.
A sa mort, kakashi avait décidé de n'être qu'un instrument au service de son village, après cela, mais son coéquipier refusa de sacrifier une vie pour le bien de la réussite de la mission qu'il avait a accomplir à ce moment de l'histoire, en disant que c'était son père le vrai héros pour avoir tenu tête à un ordre injuste, et qu'il fallait changer la vision des gens et de l'autorité, que bien que soldat, ils ont leur libre arbitre pour faire de bons choix, quand ils pouvaient se le permettre et le faire pour de bonne raison, en ne tenant plus compte des règles, ou en refusant un ordre.

Kakashi reprendra alors la morale de ce co-équipier, mort au combat dans la suite de l'histoire et dont il se sent responsable, et l'enseignera à ses élèves, posant ainsi la première petite révolution pour vaincre la fatalité.

Bref un manga très optimiste.
Vous pouvez lire cette histoire courte sur quelques chapitres, avec un message très bon pour les gosses, si le coeur vous en dit, qui crée une parenthèse entre les deux partie : Kakashi gaiden :
http://www.naruto-one.com/Lecture_en_li ... apitre_239

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Dernière édition par GilAmour le Mer Nov 09, 2011 12:25 am, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Le MANGA ( sur parpier ou animé )
MessagePosté: Mer Nov 09, 2011 12:25 am 
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Ayé , bien placé ?

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 Sujet du message: Re: Le MANGA ( sur parpier ou animé )
MessagePosté: Mer Nov 09, 2011 12:27 am 
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ouep !
mais faut rajouter ce que j'ai mis en éditant avec la possibilité de le lire.

Pardon Very Happy
et merci mattou !

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 Sujet du message: Re: Le MANGA ( sur parpier ou animé )
MessagePosté: Mer Nov 09, 2011 12:31 am 
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AYE , BIEN PLACER ?! :lol: ( faut s'y retrouver au milieu de tout ces textes pour éditer ! ^^)

Joli boulot Matt (et GilAmour), tu vas donner envie à beaucoup.

Merci, mais c'est surtout Gilamour là, elle écrit beaucoup plus que moi, et du juste et très bien construit . ( Akira super ! )
Tu donne sacrement envie Ju !

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 Sujet du message: Re: Le MANGA ( sur parpier ou animé )
MessagePosté: Mer Nov 09, 2011 12:42 am 
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Tu donne sacrement envie Ju !

Merci ^^, c'est un plaisir de vous faire découvrir les mangas dans leur complexité avec mon analyse sur leur sujet, j'ai toujours adoré la compréhension de texte, me mettre à la place de chaque protagoniste pour avoir une compréhension et un avis d'ensemble sur un livre/bande dessiné/film et ma passion de l'Histoire ma appris l'analyse du contexte, et d'après ce que j'ai pu comprendre, j'étais pas mal dans cette pratique (c'est bien un des seuls talents que j'ai, alors autant qu'il me serve), mais ça reste qu'un avis personnel, hein
Donc le but c'est que vous alliez vous même vous faire votre idées sur la question languezz .

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Dernière édition par GilAmour le Mer Nov 09, 2011 2:04 am, édité 3 fois.

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 Sujet du message: Re: Le MANGA ( sur parpier ou animé )
MessagePosté: Mer Nov 09, 2011 12:46 am 
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Tu as vraiment la plume pour écrire sur les mangas , sérieusement , c'est super bien écrit moi qui connais aussi les mangas, je sais de quoi tu parles et tu le fais bien .
Tu veux me faire plaisir ( parce que là j'en serais ravi de le lire ) , et donner envie aux autres : Fais un compte rendu sur Naoki Urusawa ^^

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 Sujet du message: Re: Le MANGA ( sur parpier ou animé )
MessagePosté: Mer Nov 09, 2011 12:52 am 
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alors laisse moi le temps de le faire ^^

je te ferais, c'est carrément un de mes mangaka préféré, le blème c'est que je n'ai lu que 20th century boys de lui, et vu que l'anime de Monster, donc je vais de ce pas me commander PLuto qui est une histoire courte déjà inspiré par un manga que je connais bien en plus, donc cela sera encore plus flagrant à mes yeux pour repérer et préciser les qualités premières du mangaka , puis au moins pour avoir deux mangas à ma connaissance de lui sur papier.

En plus j'avais envie de le lire :p

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 Sujet du message: Re: Le MANGA ( sur parpier ou animé )
MessagePosté: Mer Nov 09, 2011 1:20 am 
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un autre que je trouve remarquable, "l'habitant de l'infini"



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Manji est un samouraï déchu, il assassina son maître le seigneur Horii lorsqu'il s'aperçut de la fourberie de celui-ci et depuis ce jour, il est traqué par les samouraïs restés fidèles à Horii. Durant sa fuite, il tua les cent officiers lancé à sa recherche et parmi eux le mari de sa sœur : Tatsumasa Saïto. Depuis lors, il veilla sur sa sœur, Machi, rendue folle par la mort de son époux. Voyant sa détresse et son manque de but, la prêtresse Yobikuni lui fit don d'un superbe cadeau : le Kesenchû. Le Kesenchû est un étrange parasite capable de donner la vie immortelle et de soigner toutes les blessures.

Après avoir reçu cette immortalité un deuxième évenement bouleverse la vie de Manji puisque sa sœur est assassinée par Hishiyasu Shido, le chef de la bande de rônins locale. Il parvint à tuer le meurtrier de sa sœur et désireux de perdre l'immortalité pour la rejoindre, il fit un pacte avec Yobikuni : pour racheter la mort des cent innocents tués de sa main, il s'engage à abattre mille scélérats.


C'est surtout un manga sur la quête du rachat à travers un samourai qui n'a qu'un seul souhait : rejoindre sa soeur dans la mort

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Bono se pointe vers moi et me dit « Ça va fiston ? » Je ne suis pas ton fiston, connard. Ce mec là a fait un ou deux bons disques, mais de là à m'appeler fiston... (Liam Gallagher, 1995)


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 Sujet du message: Re: Le MANGA ( sur parpier ou animé )
MessagePosté: Mer Nov 09, 2011 2:10 am 
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je note nunu, ça a l'air vraiment pas mal.


Ah, j'ai trouvé pluto en téléchargement sur internet, quand vous n'avez pas le culte de l'objet comme moi, et pas la place, ni l'argent, ça ne me pose aucun soucis personnellement, d'autant que l'industrie du manga, se suffit à elle-même, puisque à la base, elle n'est produite que pour le lectorat nippon, et que son exportation n'est qu'un bonus en plus pour les maison d'édition, ce qui fait que beaucoup de manga se retrouve en libre service sur la toile.

Et la loi est assez permissive avec ceux qui ne sont pas encore édités en France, car c'est au nombre lecteurs et de téléchargement d'un titre que les maisons d'édition française se basent pour savoir lequel licencier pour sa mise vente, étant sûre d'avoir des acheteurs potentiels et un succès garanti par l'attraction qu'il produit... comme quoi ils prennent qu'un minimum de risques en les publiant.

Par contre après ils font la chasse aux sites qui proposent les mêmes manga en scan, mais un compromis a été trouvé avec les sites les plus exposés, où seules les prépublications sont disponibles et les chapitre doivent être retirés quand ceux-ci sont en vente par tome les compilant, en France.

Les autres par contre risquent leur fermeture et une amende.

bref on trouvent tous son compte, car au final, en restant assez attentif, on peut faire des découvertes, et en sans obligation d'achat, mais quand on aime un manga, on a tendance à les collectionner, c'est pas des bandes dessinées trop chère, c'est surtout le cumul d'achat qui revient cher.

Bon je pense quand même que je me prendrais pluto, dés que j'aurais de la place pour le ranger, car j'adore l'auteur ^^

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Dernière édition par GilAmour le Mer Nov 09, 2011 2:13 am, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Le MANGA ( sur parpier ou animé )
MessagePosté: Mer Nov 09, 2011 2:12 am 
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Niveau anime, une série que j'ai beaucoup aimée, c'est Lain.

Une autre : Paranoia Agent, par le gars qui a fait les longs métrages anime Perfect Blue et Millenium Actress, Satoshi Kon.

Lain :



Paranoia Agent :



Perfect Blue :



Millenium Actress :


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 Sujet du message: Re: Le MANGA ( sur parpier ou animé )
MessagePosté: Mer Nov 09, 2011 2:15 am 
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un autre que je trouve remarquable, "l'habitant de l'infini"



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Manji est un samouraï déchu, il assassina son maître le seigneur Horii lorsqu'il s'aperçut de la fourberie de celui-ci et depuis ce jour, il est traqué par les samouraïs restés fidèles à Horii. Durant sa fuite, il tua les cent officiers lancé à sa recherche et parmi eux le mari de sa sœur : Tatsumasa Saïto. Depuis lors, il veilla sur sa sœur, Machi, rendue folle par la mort de son époux. Voyant sa détresse et son manque de but, la prêtresse Yobikuni lui fit don d'un superbe cadeau : le Kesenchû. Le Kesenchû est un étrange parasite capable de donner la vie immortelle et de soigner toutes les blessures.

Après avoir reçu cette immortalité un deuxième évenement bouleverse la vie de Manji puisque sa sœur est assassinée par Hishiyasu Shido, le chef de la bande de rônins locale. Il parvint à tuer le meurtrier de sa sœur et désireux de perdre l'immortalité pour la rejoindre, il fit un pacte avec Yobikuni : pour racheter la mort des cent innocents tués de sa main, il s'engage à abattre mille scélérats.


C'est surtout un manga sur la quête du rachat à travers un samourai qui n'a qu'un seul souhait : rejoindre sa soeur dans la mort

Le dessin à l'air beau ( je connaissais que le nom ) , histoire intéressante .

Super animé Perfect Blue .

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 Sujet du message: Re: Le MANGA ( sur parpier ou animé )
MessagePosté: Mer Nov 09, 2011 3:37 am 
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Messages: 1659
Ben, moi le manga se déguste animé. Teinté de poésie à la sauce Miyazaki.
Ou façon steak tartare.

Parce que j'ai grandi avec le club Dorothée ados.
Et qu'il y avait un truc que je voulais pas rater le mercredi après-midi c'était bien Ken le survivant.
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Doux être chétif bien que portant sept cicatrices se retrouve à aider son prochain façon secours populaire
mais pour les méchants c'est largement plus gore.


Sa façon de faire la bise s'il est un un poil énervé.
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Et, à ce stade il est de bonne humeur, le Ken.

Dans le même veine quoique suintant la testostérone mais le machisme assumé.
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Cobra


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