The Wilds, duo Indie Rock ! avec Mark Alberts guit-chant et Audrey Shine basse-chant. Des vocaux sauvages, une basse puissante, des riffs de guitares ancrés dans le Rock et le Garage Blues, quelques loops minimalistes et c'est tout. Après des covers enflammées de titres allant de "That's All Right Mama" ou "Rock me baby" à "About a Girl" de Nirvana, voici leur première création : "Don't Go" enregistrée sur le vif au Klub le 27 janvier 2024 à Paris.
Mark : "C'est le tout nouveau titre de The Wilds, notre duo Mark Alberts/Audrey Shine qui déchire, orienté Indie Garage Rock. Enregistré en live au Klub le 27 janv 2023 à Paris, avec juste un Iphone, ça sonne ! Le public était déchainé, et nous aussi. Très heureux de le faire découvrir sur le forum."
MARK ALBERTS / THE WILDS
Re: MARK ALBERTS / THE WILDS
"Rock To The Bone" le 33t vinyle de THE WILDS est arrivé !!! Magnifiques splatters disques collectors
Edition limitée, chaque exemplaire est unique. Rendez-vous au demain au Guitare Village Fest, pour les dédicaces 
Disponible ici : https://cdetvinyle.fr/products/rock-to- ... vinyle-33t
Edition limitée, chaque exemplaire est unique. Rendez-vous au demain au Guitare Village Fest, pour les dédicaces 
Disponible ici : https://cdetvinyle.fr/products/rock-to- ... vinyle-33t
Re: MARK ALBERTS / THE WILDS
L’album « Rock To The Bone » de THE WILDS sortira le 6 juin via Rocking-Chair – Inouie Distribution.
« C’est « Rock me Baby » qui a allumé la mèche. On l’a enregistrée en live. J’ai attrapé ma Gibson SG et j’ai poussé le Blues Junior pour avoir un son bien crade. Audrey a branché sa basse Hofner dans un Vox de 1970, et a tordu tout ça avec une pédale overdrive. Deux micros pour les voix et le son était là ! Sale, organique. On a juste rajouté des vrais claps à la fin. À partir de là, tout a changé. Cette idée de tordre le son, et de proposer une cover d’un titre mythique avec un parti pris original, minimaliste, proche du garage rock et du blues a été comme une révélation. Alors on a foncé : Elvis, Screamin’ Jay Hawkins, The Doors, Nirvana, The Crystals. Des reprises, mais tellement « destroyées », martyrisées, malaxées qu’on les reconnait à peine ».
La deuxième révélation a été le choix de la boite à rythme et de loops très simples, qui rendent le projet percutant et original. Les compostions de THE WILDS sont arrivées dans un deuxième temps car il leur a fallu travailler dur pour être au niveau des premiers titres. « Shots of Love » et « That Girl is Killing Me », les deux premiers titres de l’album enfoncent le clou.
Le répertoire de THE WILDS est un mix de standards complètement réinventés et de compositions originales explosives. Co-réalisé par Mark Alberts et Michel « Mitch » Olivier (A. Bashung…) en région parisienne, le duo propose un album au son brut renouant avec les racines profondes et sauvages du rock sous influences T Rex, The White Stripes, Dick Dale et The Kills sans oublier cette accroche pop qui fait la différence.
Line up : Mark Alberts (guitare & chant), Audrey Shine(basse & chant)
https://thewildsmusic.com/
https://www.cultura.com/p-rock-to-the-b ... 41278.html
« C’est « Rock me Baby » qui a allumé la mèche. On l’a enregistrée en live. J’ai attrapé ma Gibson SG et j’ai poussé le Blues Junior pour avoir un son bien crade. Audrey a branché sa basse Hofner dans un Vox de 1970, et a tordu tout ça avec une pédale overdrive. Deux micros pour les voix et le son était là ! Sale, organique. On a juste rajouté des vrais claps à la fin. À partir de là, tout a changé. Cette idée de tordre le son, et de proposer une cover d’un titre mythique avec un parti pris original, minimaliste, proche du garage rock et du blues a été comme une révélation. Alors on a foncé : Elvis, Screamin’ Jay Hawkins, The Doors, Nirvana, The Crystals. Des reprises, mais tellement « destroyées », martyrisées, malaxées qu’on les reconnait à peine ».
La deuxième révélation a été le choix de la boite à rythme et de loops très simples, qui rendent le projet percutant et original. Les compostions de THE WILDS sont arrivées dans un deuxième temps car il leur a fallu travailler dur pour être au niveau des premiers titres. « Shots of Love » et « That Girl is Killing Me », les deux premiers titres de l’album enfoncent le clou.
Le répertoire de THE WILDS est un mix de standards complètement réinventés et de compositions originales explosives. Co-réalisé par Mark Alberts et Michel « Mitch » Olivier (A. Bashung…) en région parisienne, le duo propose un album au son brut renouant avec les racines profondes et sauvages du rock sous influences T Rex, The White Stripes, Dick Dale et The Kills sans oublier cette accroche pop qui fait la différence.
Line up : Mark Alberts (guitare & chant), Audrey Shine(basse & chant)
https://thewildsmusic.com/
https://www.cultura.com/p-rock-to-the-b ... 41278.html
-
Punker paname
- Membre VIP
- Messages : 6827
- Enregistré le : dim. 6 sept. 2020 21:53
- Localisation : Planete terre
Re: MARK ALBERTS / THE WILDS
Un grand Cimer pour la découverte Phil 
il n'y à pas à ch..... ils ont plus que le bon Son
il n'y à pas à ch..... ils ont plus que le bon Son
Joyeux Mondialiste Droit de l'Hommiste et Internationaliste convaincu, amateur d'étrangetés Vinyliques tournant en 33 et 45 tours en provenance des quatre coins de la planète et des 7 continents
Re: MARK ALBERTS / THE WILDS
THE WILDS : Rock To The Bone (2025)
Ces deux-là, je parle d'Audrey Shine et Mark Alberts, il fallait qu'ils se rencontrent pour nous présenter un jour ou l'autre enfin le fruit de leur collaboration qui prit forme en 2021 chez un ami par une belle soirée d'été. Une collaboration qui, ensuite va révéler une véritable complicité affichée entre nos deux joyeux lurons et qui se matérialisera ("enfin", oserais-je dire) par la réalisation de cet album intitulé Rock To The Bone tout fraichement sorti ce 6 juin. Ils se font appeler les Wilds ("Les Sauvages") et par conséquent, ne comptez pas sur eux pour composer des mélodies sucrées et pompeuses. Bien au contraire.
Ainsi, laissez-moi donc vous présenter cet opus qui, comme vous allez l'entrevoir, nous propose dix titres mâtinés de rock tellurique tout aussi enivrants et savoureux les uns que les autres. Produits par le très renommé Mitch Olivier au CV long comme le bras, les Wilds ont mis les petits plats dans les grands et n'ont rien laissé au hasard. Une photo "live" sur le recto de la pochette et un regard féroce affiché par nos deux protagonistes vêtus de cuir vont invariablement donner le ton à cet album. Au verso, apparaît un gant de boxe sur fond de vinyle comme pour signifier que l'on va assister à une âpre "bagarre", amicale et musicale, celle-ci (Carl Franz, si tu me lis, tu m'diras combien, je te dois pour les droits d'auteur lol....). A l'intérieur, pour ce qui concerne l'édition vinyle limitée à 200 exemplaires numérotés (j'ai le numéro 5), Audrey et Mark ont même pensé aux collectionneurs en proposant des splatters tous différents.
Sur les dix pièces qui composent ce premier exercice (car nous espérons qu'il y aura dans un futur proche une suite), quatre sont des compositions personnelles fort alléchantes qui lorgnent tantôt vers une délicieuse recette de riffs assassins décochés sans détour par une Audrey et un Mark incisifs, tantôt vers des mélodies particulièrement efficaces, syncopées, variées, entêtantes et agrémentées d'un chant rageur de la part de notre duo de choc, nos deux amis n'ayant qu'une seule préoccupation en tête : l'envie d'en découdre avec ceux qui oseront poser une oreille sur cette oeuvre à tout point de vue, rafraichissante.
Grâce à ces compositions originales, Audrey et Mark se créent un son qui est le leur, du gros son même qui tient en trois petits mots : puissance, mélodie et complicité indéfectible. Ecoutez-les en l'occurrence sur ce Shots Of Love qui a la lourde charge d'ouvrir l'album, vous serez à même de constater que le triptyque précédemment évoqué, est pleinement respecté.
Cet album, c'est même bien plus que cela. En effet, je le réitère, il s'agit d'un véritable combat..... sur le ring (il suffit de visionner le clip de That Girl Is Killing Me pour s'en rendre compte), un combat musical celui-là. Justement, parlons-en de ce deuxième titre sus mentionné sur lequel s'engage un duel sans merci entre la basse vrombissante et pachydermique d'Audrey et la guitare rugissante de Mark. Malgré tous les efforts de ce dernier qui s'acquitte entre autres d'un solo cristallin d'excellente facture, cela s'avèrera être insuffisant face à une "Tigresse de la Quatre Cordes" qui a sorti ses griffes acérées, plus déterminée que jamais. Déterminée oui mais sensible aussi lorsqu'elle aborde ce Bad Love Heroes qu'elle, animée d'une émotion ô combien palpable, interprète de fort belle façon sans pour autant sombrer dans une mièvrerie exacerbée. C'est à la fois prenant et BEAU au sens noble du terme. Lorsque cette composition s'achève, on en sort la gorge nouée. Quatre titres qui laissent présager que le combo en a encore dans sa besace.
Côté reprises, celles-ci sont revisitées de façon très personnelle autrement dit à la sauce "The Wilds" si vous préférez. Mais quand j'écris "sauce", je ne parle pas d'une mixture sans saveur mais de sauce savamment épicée, pimentée, corsée même, une sauce qui vous arrache et vous brûle le palais buccal à chaque bouchée. Ca ne s'appelle pas THE WILDS pour rien. Pour faire court, ça accentuerait même la calvitie d'un moine bouddhiste en villégiature dans la région parisienne.
Prenons l'exemple de That's All Right Mama, à la base une composition blues d'Arthur Crudup, qui devint ensuite l'un des titres fondateurs du Rock And Roll avec un grand "R" sous la houlette du jeune Elvis Presley, l'interprétation ici proposée prend une autre dimension, plus moderne, dirons-nous. En effet, plutôt que de reprendre note pour note ce classique intemporel, nos deux amis optent pour une version "Destop" à la T.Rex (Get It On n'est pas très loin). Décapante voire "destopisante" à souhait, en quelques minutes, tout est dit ce qui aura pour conséquence que l'auditeur mettra un certain temps voire un temps certain à s'en remettre avant de passer au titre suivant qui n'est autre que Then She (initialement "He") Kissed Me composé par le célèbre producteur Phil Spector à l'attention des Crystals. Démarrant sur un rythme à la Train Kept A Rollin sur fond de rockabilly, entrecoupé ceci d'une courte accalmie, on peut très bien envisager que ce titre qui, indubitablement fait mouche à la première écoute, aura un effet dévastateur sur le public en live. C'est au tour ensuite de Light My Fire des Doors d'être revisité dans une réinterprétation totalement dépouillée voire reptilienne. Le Roi Lézard aurait été content à n'en point douter. Tour à tour, Mark et Audrey se chargent du lead vocal pour ensuite chanter de concert accompagné d'un solo subtil à la "Billy Gibbons" de la part du premier mentionné. Une version étonnante et attachante à la fois.
Je savais Mark, fan de Nirvana, considérant leur Unplugged comme un petit chef d'oeuvre d'interprétation dans cet exercice ô combien exigeant et c'est donc en toute logique que nos deux musiciens talentueux se fendent d'un About A Girl complètement remodelé, transformé et regénéré via un tempo saccadé et entrainant qui ravira les esgourdes de l'auditeur averti. Solo subtil à la Krieger dans l'approche, le morceau s'achève dans un déluge de décibels absolument apocalyptiques. Et ce n'est pas terminé. The Wilds n'en ont pas fini de nous étonner avec ce Rock Me Baby (repris il y a fort longtemps par un David Coverdale, ex-vocaliste de Deep Purple et Whitesnake), un Rock Me Baby qui s'avère être des plus telluriques et qui mettra tout le monde d'accord. Son épais, rythmique de plomb et chant à la limite de l'hystérie collective (bah oui, chez les Wilds, on partage tout), font de cette reprise, une fois tous ces paramètres conjugués les uns aux autres, une véritable pépite.
On ne pouvait pas mieux finir qu'avec l'excellent I Put A Spell On You de Screaming Jay Hawkins. Le groupe en délivre ici une version gorgée de feeling et ce, grâce à la voix d'Audrey qui vous transporte dans des contrées célestes, épaulée qu'elle est par un Mark qui lui aussi, la rejoint aussitôt pour un final stratosphérique.
Si l'on devait émettre un souhait à l'égard de cette association, c'est qu'elle se poursuivre encore longtemps car je les sais tous les deux fourmillant d'idées pour de futures réalisations. En attendant, procurez-vous cet album disponible dans toutes les bonnes crèmeries et n'hésitez pas à aller les voir s'ils passent près de chez vous, vous passerez un super moment !!!!!!!!!!!!!
Ces deux-là, je parle d'Audrey Shine et Mark Alberts, il fallait qu'ils se rencontrent pour nous présenter un jour ou l'autre enfin le fruit de leur collaboration qui prit forme en 2021 chez un ami par une belle soirée d'été. Une collaboration qui, ensuite va révéler une véritable complicité affichée entre nos deux joyeux lurons et qui se matérialisera ("enfin", oserais-je dire) par la réalisation de cet album intitulé Rock To The Bone tout fraichement sorti ce 6 juin. Ils se font appeler les Wilds ("Les Sauvages") et par conséquent, ne comptez pas sur eux pour composer des mélodies sucrées et pompeuses. Bien au contraire.
Ainsi, laissez-moi donc vous présenter cet opus qui, comme vous allez l'entrevoir, nous propose dix titres mâtinés de rock tellurique tout aussi enivrants et savoureux les uns que les autres. Produits par le très renommé Mitch Olivier au CV long comme le bras, les Wilds ont mis les petits plats dans les grands et n'ont rien laissé au hasard. Une photo "live" sur le recto de la pochette et un regard féroce affiché par nos deux protagonistes vêtus de cuir vont invariablement donner le ton à cet album. Au verso, apparaît un gant de boxe sur fond de vinyle comme pour signifier que l'on va assister à une âpre "bagarre", amicale et musicale, celle-ci (Carl Franz, si tu me lis, tu m'diras combien, je te dois pour les droits d'auteur lol....). A l'intérieur, pour ce qui concerne l'édition vinyle limitée à 200 exemplaires numérotés (j'ai le numéro 5), Audrey et Mark ont même pensé aux collectionneurs en proposant des splatters tous différents.
Sur les dix pièces qui composent ce premier exercice (car nous espérons qu'il y aura dans un futur proche une suite), quatre sont des compositions personnelles fort alléchantes qui lorgnent tantôt vers une délicieuse recette de riffs assassins décochés sans détour par une Audrey et un Mark incisifs, tantôt vers des mélodies particulièrement efficaces, syncopées, variées, entêtantes et agrémentées d'un chant rageur de la part de notre duo de choc, nos deux amis n'ayant qu'une seule préoccupation en tête : l'envie d'en découdre avec ceux qui oseront poser une oreille sur cette oeuvre à tout point de vue, rafraichissante.
Grâce à ces compositions originales, Audrey et Mark se créent un son qui est le leur, du gros son même qui tient en trois petits mots : puissance, mélodie et complicité indéfectible. Ecoutez-les en l'occurrence sur ce Shots Of Love qui a la lourde charge d'ouvrir l'album, vous serez à même de constater que le triptyque précédemment évoqué, est pleinement respecté.
Cet album, c'est même bien plus que cela. En effet, je le réitère, il s'agit d'un véritable combat..... sur le ring (il suffit de visionner le clip de That Girl Is Killing Me pour s'en rendre compte), un combat musical celui-là. Justement, parlons-en de ce deuxième titre sus mentionné sur lequel s'engage un duel sans merci entre la basse vrombissante et pachydermique d'Audrey et la guitare rugissante de Mark. Malgré tous les efforts de ce dernier qui s'acquitte entre autres d'un solo cristallin d'excellente facture, cela s'avèrera être insuffisant face à une "Tigresse de la Quatre Cordes" qui a sorti ses griffes acérées, plus déterminée que jamais. Déterminée oui mais sensible aussi lorsqu'elle aborde ce Bad Love Heroes qu'elle, animée d'une émotion ô combien palpable, interprète de fort belle façon sans pour autant sombrer dans une mièvrerie exacerbée. C'est à la fois prenant et BEAU au sens noble du terme. Lorsque cette composition s'achève, on en sort la gorge nouée. Quatre titres qui laissent présager que le combo en a encore dans sa besace.
Côté reprises, celles-ci sont revisitées de façon très personnelle autrement dit à la sauce "The Wilds" si vous préférez. Mais quand j'écris "sauce", je ne parle pas d'une mixture sans saveur mais de sauce savamment épicée, pimentée, corsée même, une sauce qui vous arrache et vous brûle le palais buccal à chaque bouchée. Ca ne s'appelle pas THE WILDS pour rien. Pour faire court, ça accentuerait même la calvitie d'un moine bouddhiste en villégiature dans la région parisienne.
Prenons l'exemple de That's All Right Mama, à la base une composition blues d'Arthur Crudup, qui devint ensuite l'un des titres fondateurs du Rock And Roll avec un grand "R" sous la houlette du jeune Elvis Presley, l'interprétation ici proposée prend une autre dimension, plus moderne, dirons-nous. En effet, plutôt que de reprendre note pour note ce classique intemporel, nos deux amis optent pour une version "Destop" à la T.Rex (Get It On n'est pas très loin). Décapante voire "destopisante" à souhait, en quelques minutes, tout est dit ce qui aura pour conséquence que l'auditeur mettra un certain temps voire un temps certain à s'en remettre avant de passer au titre suivant qui n'est autre que Then She (initialement "He") Kissed Me composé par le célèbre producteur Phil Spector à l'attention des Crystals. Démarrant sur un rythme à la Train Kept A Rollin sur fond de rockabilly, entrecoupé ceci d'une courte accalmie, on peut très bien envisager que ce titre qui, indubitablement fait mouche à la première écoute, aura un effet dévastateur sur le public en live. C'est au tour ensuite de Light My Fire des Doors d'être revisité dans une réinterprétation totalement dépouillée voire reptilienne. Le Roi Lézard aurait été content à n'en point douter. Tour à tour, Mark et Audrey se chargent du lead vocal pour ensuite chanter de concert accompagné d'un solo subtil à la "Billy Gibbons" de la part du premier mentionné. Une version étonnante et attachante à la fois.
Je savais Mark, fan de Nirvana, considérant leur Unplugged comme un petit chef d'oeuvre d'interprétation dans cet exercice ô combien exigeant et c'est donc en toute logique que nos deux musiciens talentueux se fendent d'un About A Girl complètement remodelé, transformé et regénéré via un tempo saccadé et entrainant qui ravira les esgourdes de l'auditeur averti. Solo subtil à la Krieger dans l'approche, le morceau s'achève dans un déluge de décibels absolument apocalyptiques. Et ce n'est pas terminé. The Wilds n'en ont pas fini de nous étonner avec ce Rock Me Baby (repris il y a fort longtemps par un David Coverdale, ex-vocaliste de Deep Purple et Whitesnake), un Rock Me Baby qui s'avère être des plus telluriques et qui mettra tout le monde d'accord. Son épais, rythmique de plomb et chant à la limite de l'hystérie collective (bah oui, chez les Wilds, on partage tout), font de cette reprise, une fois tous ces paramètres conjugués les uns aux autres, une véritable pépite.
On ne pouvait pas mieux finir qu'avec l'excellent I Put A Spell On You de Screaming Jay Hawkins. Le groupe en délivre ici une version gorgée de feeling et ce, grâce à la voix d'Audrey qui vous transporte dans des contrées célestes, épaulée qu'elle est par un Mark qui lui aussi, la rejoint aussitôt pour un final stratosphérique.
Si l'on devait émettre un souhait à l'égard de cette association, c'est qu'elle se poursuivre encore longtemps car je les sais tous les deux fourmillant d'idées pour de futures réalisations. En attendant, procurez-vous cet album disponible dans toutes les bonnes crèmeries et n'hésitez pas à aller les voir s'ils passent près de chez vous, vous passerez un super moment !!!!!!!!!!!!!
Re: MARK ALBERTS / THE WILDS
Résumé FNAC :
"Un son brut, minimaliste, dépouillé, renouant avec les racines profondes et sauvages du Rock. Le répertoire de The Wilds est un mix de standards complètement réinventés et de compositions explosives qui trouveraient sans rougir leur place dans la BO de Peaky Blinders ou dans un film de Tarantino. Une basse puissante, des riffs de guitare telluriques, 2 voix à l'unisson : une potion rock high voltage à consommer à haute dose. Style Musical : Garage Rock - Punk Blues - Indie Rock Influences : The White Stripes - The Black Keys Splatter Vinyle Collector"
"Un son brut, minimaliste, dépouillé, renouant avec les racines profondes et sauvages du Rock. Le répertoire de The Wilds est un mix de standards complètement réinventés et de compositions explosives qui trouveraient sans rougir leur place dans la BO de Peaky Blinders ou dans un film de Tarantino. Une basse puissante, des riffs de guitare telluriques, 2 voix à l'unisson : une potion rock high voltage à consommer à haute dose. Style Musical : Garage Rock - Punk Blues - Indie Rock Influences : The White Stripes - The Black Keys Splatter Vinyle Collector"
-
gabuzomeuzomeu
- Membre VIP
- Messages : 10807
- Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 17:36
- Localisation : Dans les rades
- Contact :
Re: MARK ALBERTS / THE WILDS
Merci Phil !
Il y a tout à la fois chez eux, le son crade, la fuzz, l'énergie brute "à l'os", leur manière de remodeler ces reprises.
A la manière des White Stripes pour le souci de rendre hommage aux vieux du rock (Screamin et Elvis) et à celle de T.Rex pour glamiser le look et la guitare, je doit dire que ça fait mouche !
Ca faisait longtemps que dans ces dix titres, il n'y a rien de moins bon dans l'album ... tout ce vaut ! Un album qui ne remplit pas avec un titre top et du moins bon !![:]](./images/smilies/8.gif "Dan.San")
C'est tellement bon que j'en remet une couche qui n'est pas sur l'album ... parce ils sont capables d'en faire d'autres très vite !
Au live à Gagny, je les espère bientôt à Villemomble ou à Drancy et aussi bons
Il y a tout à la fois chez eux, le son crade, la fuzz, l'énergie brute "à l'os", leur manière de remodeler ces reprises.
A la manière des White Stripes pour le souci de rendre hommage aux vieux du rock (Screamin et Elvis) et à celle de T.Rex pour glamiser le look et la guitare, je doit dire que ça fait mouche !
Ca faisait longtemps que dans ces dix titres, il n'y a rien de moins bon dans l'album ... tout ce vaut ! Un album qui ne remplit pas avec un titre top et du moins bon !
C'est tellement bon que j'en remet une couche qui n'est pas sur l'album ... parce ils sont capables d'en faire d'autres très vite !
Au live à Gagny, je les espère bientôt à Villemomble ou à Drancy et aussi bons
- cover.jpg (967.82 Kio) Vu 2031 fois
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
Re: MARK ALBERTS / THE WILDS
Bruno Labati Pro - Let It Buzz
Sortie du jour (6/6/25) : The Wilds "Rock To The Bone"
C'est "Rock me Baby" qui a allumé la mèche. On l'a enregistrée en live. J'ai attrapé ma Gibson SG et j'ai poussé le Blues Junior pour avoir un son bien crade. Audrey a branché sa basse Hofner dans un Vox de 1970, et a tordu tout ça avec une pédale overdrive. Deux micros pour les voix et le son était là ! Sale, organique. On a juste rajouté des vrais claps à la fin. À partir de là, tout a changé. Cette idée de tordre le son, et de proposer une cover d'un titre mythique avec un parti pris original, minimaliste, proche du garage rock et du blues a été comme une révélation. Alors on a foncé : Elvis, Screamin' Jay Hawkins, The Doors, Nirvana, The Crystals. Des reprises, mais tellement "destroyées", martyrisées, malaxées qu'on les reconnait à peine".
La deuxième révélation a été le choix de la boite à rythme et de loops très simples, qui rendent le projet percutant et original. Les compostions de The Wilds sont arrivées dans un deuxième temps car il leur a fallu travailler dur pour être au niveau des premiers titres. « Shots of Love » et « That Girl is Killing Me », les deux premiers titres de l'album enfoncent le clou.
Le répertoire de The Wilds est un mix de standards complètement réinventés et de compositions originales explosives qui trouveraient sans rougir leur place dans la BO de Peaky Blinders ou dans un film de Tarantino. Co-réalisé par Mark Alberts et Michel « Mitch » Olivier (A. Bashung…) en région parisienne, The Wilds proposent un album au son brut renouant avec les racines profondes et sauvages du rock sous influences T Rex, The White Stripes, Dick Dale et The Kills sans oublier cette accroche pop qui fait la différence.
Sortie du jour (6/6/25) : The Wilds "Rock To The Bone"
C'est "Rock me Baby" qui a allumé la mèche. On l'a enregistrée en live. J'ai attrapé ma Gibson SG et j'ai poussé le Blues Junior pour avoir un son bien crade. Audrey a branché sa basse Hofner dans un Vox de 1970, et a tordu tout ça avec une pédale overdrive. Deux micros pour les voix et le son était là ! Sale, organique. On a juste rajouté des vrais claps à la fin. À partir de là, tout a changé. Cette idée de tordre le son, et de proposer une cover d'un titre mythique avec un parti pris original, minimaliste, proche du garage rock et du blues a été comme une révélation. Alors on a foncé : Elvis, Screamin' Jay Hawkins, The Doors, Nirvana, The Crystals. Des reprises, mais tellement "destroyées", martyrisées, malaxées qu'on les reconnait à peine".
La deuxième révélation a été le choix de la boite à rythme et de loops très simples, qui rendent le projet percutant et original. Les compostions de The Wilds sont arrivées dans un deuxième temps car il leur a fallu travailler dur pour être au niveau des premiers titres. « Shots of Love » et « That Girl is Killing Me », les deux premiers titres de l'album enfoncent le clou.
Le répertoire de The Wilds est un mix de standards complètement réinventés et de compositions originales explosives qui trouveraient sans rougir leur place dans la BO de Peaky Blinders ou dans un film de Tarantino. Co-réalisé par Mark Alberts et Michel « Mitch » Olivier (A. Bashung…) en région parisienne, The Wilds proposent un album au son brut renouant avec les racines profondes et sauvages du rock sous influences T Rex, The White Stripes, Dick Dale et The Kills sans oublier cette accroche pop qui fait la différence.
Re: MARK ALBERTS / THE WILDS
Mark te remercie.gabuzomeuzomeu a écrit : ↑lun. 9 juin 2025 13:05Merci Phil !
Il y a tout à la fois chez eux, le son crade, la fuzz, l'énergie brute "à l'os", leur manière de remodeler ces reprises.
A la manière des White Stripes pour le souci de rendre hommage aux vieux du rock (Screamin et Elvis) et à celle de T.Rex pour glamiser le look et la guitare, je doit dire que ça fait mouche !
Ca faisait longtemps que dans ces dix titres, il n'y a rien de moins bon dans l'album ... tout ce vaut ! Un album qui ne remplit pas avec un titre top et du moins bon !
C'est tellement bon que j'en remet une couche qui n'est pas sur l'album ... parce ils sont capables d'en faire d'autres très vite !
Au live à Gagny, je les espère bientôt à Villemomble ou à Drancy et aussi bons
cover.jpg
Re: MARK ALBERTS / THE WILDS
Mark : "Parfois les rêves se réalisent : Super chronique dans ROLLING STONE !!!
de notre album "The Wilds - Rock To The Bone""
de notre album "The Wilds - Rock To The Bone""
Re: MARK ALBERTS / THE WILDS
"About a Girl" , Nirvana by The Wilds, et une photo furieusement wild de Philippe Gil au Guitare Village Fest 2025. Album " Rock To The Bone" dispo sur le lien dans notre bio 
. À vous de jouer !
. À vous de jouer ! Re: MARK ALBERTS / THE WILDS
The Wilds : "Nous sommes dans l'Encyclopédie du Rock en France !!!
Merci à Christophe Goffette qui a conçu et imaginé cette nouvelle bible du Rock Français."
Merci à Christophe Goffette qui a conçu et imaginé cette nouvelle bible du Rock Français."
Re: MARK ALBERTS / THE WILDS
Rock'n'Roll Show au Klub (Paris) le samedi 13 septembre 2025 :
THE WILDS : Garage rock duo. Nouvel album encensé par la presse (Rolling Stone - GuitarPart). Un son brut renouant avec les racines sauvages du rock et du Blues , sous influences T. Rex, The Black Keys.
MIDDLE CLASS MONSTERS : la passion du rock'n'roll et la sophistication de la power pop. Avec Laurent Ciron ex-Dogs, Olivier Meyrand (ex-Parabellum) et Pascal Manganaro (Marteaux Pikettes)
YETI : Trio qui nous vient d'Orléans ! Avec plus de 200 concerts, ils nous transmettent leur énergie contagieuse et sans fard, à la croisée du Punk et du Rock.
THE WILDS : Garage rock duo. Nouvel album encensé par la presse (Rolling Stone - GuitarPart). Un son brut renouant avec les racines sauvages du rock et du Blues , sous influences T. Rex, The Black Keys.
MIDDLE CLASS MONSTERS : la passion du rock'n'roll et la sophistication de la power pop. Avec Laurent Ciron ex-Dogs, Olivier Meyrand (ex-Parabellum) et Pascal Manganaro (Marteaux Pikettes)
YETI : Trio qui nous vient d'Orléans ! Avec plus de 200 concerts, ils nous transmettent leur énergie contagieuse et sans fard, à la croisée du Punk et du Rock.
