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[DaFrog]

Tout Lynyrd, tout Tom Petty, tout Yes, c’est d’un triste …

J’attends Zappa avec impatience, ça devrait nous faire la semaine

[alcat01]

1978 All's Well That Ends Well
Pour Man,le contrat de disque sqigné avec MCA était de trois albums, mais personne n'était réellement disposé à contribuer à un nouveau matériel, et toutes leurs tentatives de reprises étant quelconques, MCA accepta finalement un album live intitulé "All's Well That Ends Well" qui fut enregistré à la Roundhouse les 11-13 Décembre, bien que le concert final ait eu lieu à Slough le 16 Décembre 1976.
C'zst un bon disque, même s'il n'est pas révolutionnaire!

[Cooltrane]

Sympa ton ressenti sur Yes ! Curieusement (car c'était pas gagné au départ), j'aime beaucoup "Drama". Le titre d'ouverture, "Machine Messaiah" (et non pas "Messiha", private joke politique franco-franchouillarde) est une petite tuerie, écoutée à fond les ballons ! Même niveau chant, on croirait entendre Jon et Chris ! Après "Drama", ça se gâte (l'horrible période Rabin, le gonflant Billy Sherwood...). Et, je trouve, ça s'arrange quand même pas mal sur les derniers albums ("Fly From Here" (la version "Return Trip" avec Trevor Horn au chant à la place de Benoit David), "The Quest" et "Mirror..."

Oui, avec le recul Drama est qd mm assez bon et fait illusion, même avec son coté plus hard comparés aux deux précédents.
Faut dire que l'album est sorti deux jours avant le concert au Maple Leaf Gardens (le premier de leur tournée) qui était l'arène des hockeyeurs de Toronto Maple Leafs. Du coup, pas prévenu du changement de chanteur et claviers au moment de l'achat du ticket et achat de l'album après le concert. De plus la sonorisation d'une arène en béton et mon siège dans les rangs supérieurs (et donc une vision assez tronquée de la scène), font que ce fut une forte déception après la tournée avec la scène tournant au milieu de la salle. Un de mes pires souvenirs de concert, en fait.

Mais oui, les ricains des 80/90's n'ont rien apportés de bon à ces angliches.

Ceci dit, je me suis refusé d'écouter les derniers albums sans le Jon (rien loupé, je crois). C'est devenu une mascarade sans nom, même si cela a démarré avec Drama.

[alcat01]

1973 : Ridin' the Storm Out
REO Speedwagon a commencé à s'affirmer avec son troisième album, "Ridin' the Storm Out". Au fil des ans, l'album est devenu Disque de Platine, grâce à leur série de concerts en première partie de groupes de Rock plus célèbres, mais il s'est classé à l'origine à la 171e place.
Bien que le groupe conserve des éléments de son Boogie de bar, il commence à rationaliser son approche sur cet album. Bien qu'il n'ait donné lieu qu'à un seul petit succès, avec le titre qui s'est retrouvé au bas du classement des singles, cet album est l'un de leurs albums les plus cohérents.



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Stephen Thomas Erlewine

[Unserious Sam]

Jon (mais bien sûr !) Davison se débrouille bien en successeur d'Anderson à mon sens (ou plutôt AMHA, comme tu écrirais !) (il avait sauvé un album de Glass Hammer passé complètement inaperçu en refaisant certaines parties vocales à la place du chanteur d'origine...)

[Cooltrane]

Tout Lynyrd, tout Tom Petty, tout Yes, c’est d’un triste …

J’attends Zappa avec impatience, ça devrait nous faire la semaine

lynyrd, on est au bout...

Par contre, il va falloir se taper REO Speedwagon

.... probablement jusqu'au bout

[Unserious Sam]

[alcat01]

2000 Christmas Time Again
"Christmas Time Again" est un album de Noël joué à la mode Southern Rock par Lynyrd Skynyrd er paru en 2000.
Le groupe, avec quelques invités spéciaux, the Charlie Daniels Band et 38 Special, sont vraiment dans l'esprit avec un bon mélange de standards saisonniers (rock et autres) et d'originaux. Parmi ces derniers, the Daniels Band propose une version franchement terrifiante de "Devil Went Down to Georgia" sur "Santa Claus is Coming to Town", tandis que Skynyrd interprète "Run, Rudolph Run" de Chuck Berry.
En ce qui concerne les originaux, 38 Special marque des points avec "Mama's Song", un hybride de Power Pop Southern Rock dans leur meilleur style des années 80.
Quoi qu'il en soit, l'album se termine joliment par une petite harmonisation de toute la famille Skynyrd (enfants, parents, roadies, etc.).
Bref, une agréable surprise!



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de AllMusic

[alcat01]

1978 Tormato
En 1978, "Tormato" sort au moment où le Punk Rock est en plein essort en Grande Bretagne, au cours duquel Yes a souvent été critiqué par la presse musicale comme représentant les excès les plus boursouflés du Rock Progressif du début des années 1970.
Ironiquement, Cet album et le précèdant ont été un grand succès commercial, et Yes, finalement, a survécu à presque tous les groupes de cette époque.

Le groupe continue son mouvement vers des chansons plus courtes, jouées avec le sentiment d'aborder un nouveau style de Rock plus serré.
On découvre un début de modification des aspects du son Yes, avec Wakeman remplaçant son Mellotron par un autre clavier, l'infortuné Birotron, et Squire expérimentant toujours plus avec un 'harmoniser' et des 'pédales Mu-tron'.
Les membres du groupe eux-mêmes ont, par la suite, déclaré qu'ils n'étaient pas sûrs d'une partie du matériel sur l'album. Cela s'étend au style de production qui est géré collectivement par le groupe et révèle des désaccords au stade de mixage.
Malgré les critiques interne et externe de l'album, c'est le premier LP de Yes à atteindre le statut de Platine, et le groupe entame des tournées de soutien réussies en 1978 et 1979, alors que seulement quelques morceaux, habituellement "Future Times / Rejoice", "Circus of Heaven" et "Don't Kill the Whale", sont jouées lors des shows.

[Unserious Sam]

Toujours ces traductions aussi catastrophiques... Mais passons... De cet album, à la pochette calamiteuse, je ne retiens, comme Cooltrane je crois, que le très bon "On The Silent Wings Of Freedom"... Et j'aime bien aussi le joli "Madrigal"... Le reste, entre "Birotron", absence de "Mellotron" et "pédales Mu-Tron"" : étron...

[alcat01]

1978 : Rose Tattoo
Mené par l'impétueux et petit frontman Angry Anderson et le brillant travail de slide-guitar de Peter Wells, Rose Tattoo a été un groupe de la scène Hard Pub Rock Australien.
Sorti en 1978, l'album éponyme ("Rock 'N' Roll Outlaw") est un disque dangereux, imprévisible et monstrueux dont la puissance n'a pas diminué d'une once au cours des décennies qui ont suivi.
Comme il semblait inévitable, étant donné leur nature inflammable, la carrière de Rose Tattoo a rapidement déraillé à cause de conflits internes, mais cela ne fait qu'ajouter à la mystique intemporelle et au triomphe unique de ce premier album



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Eduardo Rivadavia

[alcat01]

Nektar - Live in New York (1977)
Les neuf morceaux qui composent Live in New York ne parviennent pas à montrer la véritable essence de leurs débuts progressifs, les chansons embellissant davantage un style rock & roll pur. Il n'y a plus de longues errances au clavier, de voyages abstraits à la guitare qui s'enroulent dans le reste de l'interaction musicale, et l'ambiance fantastique qui était autrefois formée par l'aspect trippant de la musique.
A cette époque, le son de Nektar n'a plus rien de distinct, présentant des morceaux moyens comme "Woman", "Good Ol' Rock'N Roll" et "Show Me the Way" sans beaucoup d'éclat ni d'excitation. Les 15 minutes de "A Day in the Life of a Preacher", qui ressemblent le plus à leur style initial, et "King of Twilight", extrait de "A Tab in the Ocean", constituent une certaine forme de rédemption.
Après le départ de Roye Albrighton à la suite de l'album "Recycled", Nektar n'a plus jamais été le même, et la régression de l'alchimie du reste du groupe peut facilement être constatée ici. L'album sonne désordonné et encombré, avec une impression de désorganisation provenant principalement du jeu de guitare et de l'enthousiasme minimal du groupe, et de nombreux pressages de "Live in New York' souffrent également d'une production bien médiocre.
Bien que l'album puisse intéresser les fans inconditionnels, la véritable essence progressive de Nektar peut être mieux ressentie à travers la plupart de leurs albums studio.




Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Mike DeGagne

[Cooltrane]

Toujours ces traductions aussi catastrophiques... Mais passons... De cet album, à la pochette calamiteuse, je ne retiens, comme Cooltrane je crois, que le très bon "On The Silent Wings Of Freedom"... Et j'aime bien aussi le joli "Madrigal"... Le reste, entre "Birotron", absence de "Mellotron" et "pédales Mu-Tron"" : étron...

Oui, le problème, c'est surtout le son/production de l'album qui part trop dans l'aigu (comme pour GFTO), mais aussi des choix douteux.
J'ai encore bien Don't Kill The Whales (malgré un solo un peu ridicule), mais la partie du milieu (solo batterie) enregistrée en concert au milieu de deux morceaux studio de Release est franchement catastrophique (le solo/duo étant plutôt bon).

Sinon, au début de On The Silent Wings Of Freedom, Squire fait du Jaco Pastorius et extrêmement bien (Matin, quelle intro)
Pour Madrigal, on avait eu droit à un morceau de Rush intitulé comme tel la même année

[Unserious Sam]

Ah oui, cette intro !!! Sur "Madrigal", j'aime bien la partie de guitare de Steve, c'est tout meugnon je trouve ! !

[alcat01]

1985 : Southern Accents
Produit par Dave Stewart, "Southern Accents" est un album ambitieux de Tom Petty And The Heartbreakers, paru en 1985, qui tente d'incorporer des touches de Psychédélisme, de Soul et de Country dans un concept libre sur le Sud moderne.
Parfois, les chansons fonctionnent parfaitrmrnt; "Rebels" et "Spike" sont de bons Rocks, et "Don't Come Around Here No More" et "Make It Better (Forget About Me)" élargissent agréablement le son du groupe. Mais trop souvent, le disque est alourdi par ses propres ambitions.



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Stephen Thomas Erlewine

[alcat01]

1983 Friday the 13th
En 1983,aAprès quelques répétitions, le premier concert de Man fut pendant le 'All Fools Day' au Marquee Club à Londres, et ils enregistrèrent en Juin "Friday 13th" au Marquee, mais celui-ci se compose de vieux morceaux, pas de nouveaux éléments.
N'ayant pas un contrat d'enregistrement pour les promouvoir, les albums furnt publiés sur plusieurs labels, par exemple "Friday 13th" est également publié en tant que "Live at the Marquee" et "Talk about a Morning".

[alcat01]

1974 : Lost in a Dream
Cet album est agréable, il sonne bien, très morose et doux et il a un son un peu Funky / Country Californien. Et c'est peut-être le résultat de grandes qualités de production et d'arragments instrumentaux.
Ce disque sonne principalement Funky et Soul, et ce sont les meilleures chansons du groupe. Les chansons basées sur le Boogie et le ?lues Rock sont plus faibles.
Les fans du Hard Rock des débuts et du Rock Californien des années 70, seront agréablement surpris par ce disque.



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de ValdisM

[alcat01]

2003 Vicious Cycle
Lynyrd Skynyrd a célèbré son trentième anniversaire avec la sortie de "Vicious Cycle" le 6 Mai, leur premier album studio en trois ans et Gibson Custom Art and Historic Division a édité la guitare Les Paul Limited Edition de Gary Rossington.
Après avoir subi la perte d'un autre membre du groupe avec le décès du bassiste original Leon Wilkeson, Lynyrd Skynyrd s'est relèvé une fois de plus et il livre un album comme lui seul sait le faire.
C'est de la musique qui parle de fête et de Rock, avec un peu d'introspection contemplative pour faire bonne mesure. La musique est toujours de premier ordre, probablement la meilleure qu'elle ait été depuis le début des années 90.
Le groupe est toujours le même, toujours plus Rock que la plupart des autres, même après toutes ces années.
Il s'agit sans aucun doute du meilleur travail de Skynyrd depuis des années et d'un retour en forme bienvenu pour l'un des atouts les plus précieux du Rock.

Hautement recommandé!




Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Rob Theakston

[Unserious Sam]

Mais qui écrit comme ça en français, sérieusement ? C'est trop risible finalement, ces "trucs" méritent leur place dans "Rions un peu"

[Bastard]

1978 : Rose Tattoo
Mené par l'impétueux et petit frontman Angry Anderson et le brillant travail de slide-guitar de Peter Wells, Rose Tattoo a été un groupe de la scène Hard Pub Rock Australien.
Sorti en 1978, l'album éponyme ("Rock 'N' Roll Outlaw") est un disque dangereux, imprévisible et monstrueux dont la puissance n'a pas diminué d'une once au cours des décennies qui ont suivi.
Comme il semblait inévitable, étant donné leur nature inflammable, la carrière de Rose Tattoo a rapidement déraillé à cause de conflits internes, mais cela ne fait qu'ajouter à la mystique intemporelle et au triomphe unique de ce premier album



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Eduardo Rivadavia

Je connais et apprécie Rose Tattoo depuis ce 1er LP.
Angry Anderson est une vraie bête de scène! A mon avis Rose Tattoo n'a pas eu le succès mérité, leur musique sent bon la bière et la sueur. Nice boys don't play rock'n roll.