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Yellow Hand 1970 - Yellow Hand

Genre: Folk Rock

Basse, chant – Mickey Armstrong
Guitare solo, guitare rythmique, chant – Pat Flynn
Chant principal, percussions – Jerry Tawney
Orgue, piano – Kenny Trujillo
Percussions, Batterie – Oscar Tessier
Guitare rythmique, chant – Joe Campese

L'albulm éponyme de Yellow Hand, sorti en 1970, serait insignifiant sans la présence d'une demi-douzaine de chansons de Stephen Stills et Neil Young , initialement écrites et enregistrées à l' époque de Buffalo Springfield, mais jamais officiellement publiées par ce groupe (à l'exception de "Down to the Wire", parue sur la compilation "Decade" de Young). On peut vraiment se demander comment Yellow Hand a pu les obtenir.
Le groupe distille avec un réel brio des morceaux Folk Rock plutôt bons, avec des arrangements et des voix Rock classiques des années 1970.
Le disque est complété par trois chansons sans grand intérêt composées par le chanteur Jerry Tawney.
La plupart des raretés affiliées à Buffalo Springfield ("Neighbor Don't You Worry" , "We'll See", et "Come On" de Stills, "Down to the Wire" et "Sell Out" de Young) ont circulé sous forme de bootlegs, notamment sur "Stampede" de Buffalo Springfield.
Il semble que ce soit le seul endroit où écouter, sous quelque forme que ce soit le "Hello, I've Returned" de Stephen Stills...

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Buddaheads 1996 – Play Hard

Genre: Blues Rock

Producteur – Larry Lee
Producteur, Guitare, Basse, Percussions, Chant – Alan Mirikitani
Basse – Johnny Griparic
Batterie – Lee Spath
Guitare, guitare acoustique 12 cordes – Bobby Schneck
Claviers, accordéon, orgueHammond B3, piano électrique [Wurlitzer], chœurs – Teddy "Zig Zag" Andreas

The Buddaheads est un groupe de Blues Rock progressif mené par l'auteur-compositeur-interprète Alan (BB Chung King) Mirikitani.
Considéré comme l'un des meilleurs guitaristes-chanteurs de toute la Californie du Sud, celui-ci écrit également des chansons avec son partenaire d'écriture depuis 10 ans, Dennis Walker.
Le groupe est composé de musiciens parmi les meilleurs et les plus connus de Los Angeles. Lee Spath est à la batterie (il a joué sur de nombreux morceaux de Robert Cray) et Johnny Griparic (The Cult, Slash's Snakepit) à la basse.
Parmi les autres musiciens invités, on trouve Gerald Johnson à la basse (Steve Miller, Pointer Sisters, Crosby, Stills, Nash and Young, Dave Mason) et Alvino Bennet à la batterie (LTD, Stevie Wonder, Robin Trower, etc.).
"Play Hard", paru en 1996, est fait pour les amateurs de Blues Rock et de bonnes chansons avec des guitares flamboyantes...

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The Master's Apprentices 1972 -- A Toast To Panama Red

Genre: Prog Rock
Producteur – Jeff Jarratt
Basse, chant – Glenn Wheatley
Batterie, percussions, chant – Colin Burgess
Guitare solo, guitare acoustique et chant -- Doug Ford

L'album "Toast to Panama Red", de The Master's Apprentices, sorti en 1972, est intitulé ainsi en hommage à ladite variété de marijuana d'Amérique Centrale.
Cet album suit en grande partie la même direction de Heavy Rock basé sur des riffs que son prédécesseur, mais avec des éléments plus psychédéliques et une grandeur plus progressive.
Le morceau principal en deux parties, "Games We Play", contraste avec des couplets acoustiques contemplatifs et des passages de guitare heavy, avant de monter en puissance avec un chœur et la narration.
C'est globalement un album moins accessible que "Choice Cuts" et, à certains égards, un album moins réussi dans l'ensemble.
Le LP a, plus tard, été salué comme un des meilleurs produits de progressif Australien de la période, mais il a été largement ignoré à l'époque. Les ventes ont peut-être été gènées par la couverture affreuse, dont Keays même admit plus tard que ce n'était pas un choix idéal, car trop criard, comparé au bon choix qu'avait été celle de "Choice Cuts".

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Veludo 1975 - Veludo Ao Viva

Genre: Prog Rock

Producteur – Zaher Zein
Basse – Nelsinho Laranjeiras
Batterie – Gustavo Schroeter
Guitare – Paul De Castro
Claviers – Elias Mizrahi

Doté d'un son progressif et extrêmement complexe, Veludo n'a pas réussi à attirer l'intérêt des maisons de disques et leur seule apparition live documentée au Teatro da Fundacao Getulio Vargas en 1975 lors d'un festival Prog a été capturée en raison de certains fans portant des magnétophones.
Cette performance n'a jamais été publiée sur vinyle à l'époque, la seule sortie appropriée de cette performance provient de l'édition CD 98' de Sonopress sous le titre simpliste ''Ao vivo''.
Ce concert de 75 minutes comprend cinq morceaux assez longs avec un travail instrumental étendu, basé régulièrement sur les exercices d'orgue Hammond, de piano et de synthé Moog de Mizrahi, mettant en vedette un bon nombre de mouvements de guitare anormaux, psychédéliques /jazzy et explorant les frontières de la musique classique, du jazz, de l'avant-garde et du rock psychédélique.
Le groupe aimait créer des palettes uniques et audacieuses avec des textures expérimentales discrètes suivies de jams grandiloquentes, toujours avec les claviers en évidence, tandis que les morceaux plus longs contiennent également quelques morceaux d'oscillateurs électroniques, non loin des exécutions live de Keith Emerson.
Il s'agit essentiellement de Prog Rock teinté de Kraut, mené par le clavier, avec des arrangements lâches, de nombreux climats flexibles et des livraisons instrumentales puissantes.
Cet album est recommandé car c'est une perle presque inconnue des années 70 et totalement différente de ce à quoi on pourrait s'attendre d'un groupe de Prog Rock Brésilien.

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Delaney Davidson 2010-- Self Decapitation

Genre: Folk, Country

"Self Decapitation" de Delaney Davidson, sorti en 2010, est essentiellement de la Country Alternative avec quelques influences Folk d'Europe de l'Est en plus. La production est assez inventive, mais l'écriture aurait pu être plus mémorable.
Davidson a fait exploser l'idée du One Man et il a invité des gens à enregistrer l'album comme : Dan (Woggle) Elektro, Reverend Beat-Man, Garage Kid, Fanfare Kalashnikov, Eric McFadden...
Le morceau d'ouverture, "Around the World" est une explosion boueuse de cuivres défoncés, de cordes post-Punk éraillées et de Rock-n-Roll proto-gothique. La voix de Davidson est taillée sur mesure pour raconter une histoire, en grande partie la sienne.
Parmi les quelques reprises, on retrouve le traditionnel "In The Pines", sur lequel Davidson fait ressortir le chant funèbre intérieur de la chanson.
Le single "Around The World" commence comme une marche funèbre de La Nouvelle-Orléans jouée à un rythme inadapté, avant de s'installer confortablement dans un territoire de Western horrifique et spaghetti...

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Cactus 2007 -- Fully Unleashed / The Live Gigs Vol. II

Genre: Blues Rock, Classic Rock

Batteur, Producteur – Carmine Appice
Guitare – Jim McCarty, Ron Leejack
Chant – Rusty Day
Basse– Tim Bogert

Alors que le Vol.1 rassemblait des performances des débuts de Cactus (dont un morceau de ce coffret), le Vol.2 reproduit une seule performance de deux heures de Cactus à Buffalo le 26 juin 1971. Enregistré à l'origine par l'ingénieur du son Eddie Kramer, le son capture fidèlement la guitare percutante de Jim McCarty et la batterie percutante de Carmine Appice dans un cadre de concert qui met en valeur les forces et les faiblesses du groupe.
Rejoints à cette date par le second guitariste Ron Leejack, qui venait de rejoindre le quatuor existant mais qui n'a pas fait long feu, le son est plus ample, plus puissant et un peu plus rauque que celui habituel de Cactus, composé de trois musiciens et d'attaques vocales.
Les cinq musiciens s'étendent pour le meilleur et pour le pire, sur presque tous les morceaux, poussant souvent les morceaux vers l'excès qui semblait si bien s'épanouir au sein du groupe.
Tout cela correspond exactement aux attentes des fans, même si le groupe ne semble pas savoir quand s'arrêter. Seule performance intégrale disponible de la formation originale (plus Leejack), c'est une prestation solide, parfois palpitante, parfois terriblement surmenée.
Mais pour les fans fidèles du groupe, c'est un témoignage fidèle d'un spectacle déchaîné de Cactus, et il présente le groupe dans ce qu'il faisait de mieux, sans doute au sommet de sa carrière...

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The Union 2010 - The Union

Genre: Hard Rock

Peter Shoulder – chant, guitare, piano, orgue Hammond, banjo, porte qui claque
Luke Morley – chant, guitare, harmonica, percussions, ingénierie supplémentaire
Chris Childs – guitare basse
Phil Martini – batterie

Alliant jeunesse et expérience, The Union est né des cendres de l'un des groupes contemporains les plus sous-estimés de la scène blues-rock britannique, Winterville.
Peter Shoulder, chanteur de ce trio qui n'avait enregistré qu'un seul album avant de se séparer en 2007, et Luke Morley, auteur-compositeur, guitariste et producteur principal des vétérans du Rock Londonien Thunder, s'étaient rencontrés en 2001 et ils avaient passé les huit années suivantes à collaborer dès que leurs engagements respectifs le leur permettaient.
Mais ce n'est qu'après la séparation de Thunder en 2009 que le duo a commencé à enregistrer sous le nom de The Union. Rejoints par Chris Childs et Phil Martini, ils ont donné leur premier concert la même année au Relentless Garage de Londres, puis se sont produits aux festivals Sonsiphere et High Voltage, ainsi que lors de leur propre tournée en tête d'affiche, avant de sortir leur premier album éponyme en 2010.
Composé des singles "Step Up to the Plate", "Watch the River Flow" et "This Time Next Year", cet album a adopté une orientation éclectique mêlant Blues, Americana, Folk et Rock acoustique à leur sonorité plus hard et reconnue.
Après avoir remporté le prix du Meilleur Nouveau Groupe de l'Année aux Classic Rock Awards, ils ont assuré la première partie DE Thin Lizzy, Triggerfinger et Whitesnake lors de leurs tournées Européennes.

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Firebird 2010 - Double Diamond

Genre: Blues Rock, Stoner Rock, Hard Rock

Producteur – Arno Krabman
Basse – Greyum May
Batterie, percussions – Ludwig Witt
Guitare, chant – Bill Steer

"Double Diamond" de Firebird, sorti en 2010,est un album de Rock classique avec une touche de modernité.
Ludwig Witt est un batteur rock incroyable, doté d'une capacité étonnante à mener le groupe où qu'il aille sans éclipser personne. Loin d'être tape-à-l'œil, les rythmes de Witt sont parfaitement arrangés et constituent la véritable colonne vertébrale de presque tous les morceaux. Il prend véritablement le devant de la scène lors des solos de guitare, lorsque la guitare rythmique s'efface comme à l'accoutumée en trio.
Il travaille main dans la main avec le bassiste Greyum May, qui maîtrise lui aussi toutes les ficelles de la basse blues rock. La basse s'intensifie également pendant les pauses et s'accorde parfaitement avec les lignes de guitare accrocheuses de Bill Steer qui est un guitariste très solide et un chanteur correct. Sa voix est claire, nette et intense, mais assez limitée dans sa tessiture et il pose des riffs très complexes.
Bien mixée, la musique est chaleureuse et authentique, et l'album semble presque live. Des chansons bien structurées et des performances solides sont au cœur de 'Double Diamond" qui est définitivement recommandé !

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The Buddaheads 2004 – Mumbo Jumbo

Genre: Blues Rock

Basse – Johnny Griparic
Batterie, percussions – Lee Spath
Chant, guitare, basse, saxophone – Alan Mirikitani

Alan Mirikitani, alias BB Chung King, est une légende de la guitare électrique à Los Angeles et le leader de The Buddaheads. Rares sont ceux qui ont joué avec autant d'assurance, de maîtrise et de goût. Pourtant, la guitare ne représente qu'une infime partie de son talent. C'est aussi un excellent chanteur, un auteur-compositeur de renommée mondiale, ayant écrit pour Shamekia Copeland, Curtis Salgado, Ruth Brown, Bettye Lavette et bien d'autres. C'est aussi un producteur accompli, un arrangeur brillant et un ingénieur du son très recherché.
"Mumbo Jumbo", sorti en 2004, réunit tous les aspects de son immense talent.
Ses 14 compositions, essentiellement axées sur la guitare, lui offrent une grande liberté pour surprendre, bouleverser et surprendre par l'intensité de son jeu et l'émotion de sa voix.
Les chansons sont toutes bien écrites, avec des mélodies et des refrains magnifiques. De plus, elles sont directes et simples, avec des paroles qui peignent des tableaux colorés et évoquent des émotions sincères, de la douleur à la joie, du Blues à l'ambiance festive brute et agressive, et se terminent par une douce ode pleine d'amour à son plus jeune fils, William.

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The Master's Apprentices 1988 -- Do What You Wanna Do

Genre: Blues Rock

Producteur – Peter Blyton
Guitare acoustique, guitare électrique – Doug Ford
Basse – Gavin Webb, Glenn Wheatley
Batterie, percussions – Colin Burgess
Claviers, basse – Roger Faynes
Sarod – Adrian McNeil
Saxophone – Joe Camilleri
Chant, harmonica – Jim Keays

Jim Keays et Doug Ford ont reformé the Masters Apprentices en 1988.Ils réalisent un album avec des nouvelles chansons et de nouvelles versions de leurs chansons classiques, dont ils tirent le single "Birth of the Beat".
"Do What You Wanna Do" est leur premier album en 17 ans, et il comprend une face enregistrée en public, et une autre face en studio.
L'éternelle "Because I Love You" également acquit une nouvelle importance à cette époque par l'intermédiaire de son utilisation dans une série de publicités pour une célèbre marque de jeans.

[ornen]

Merci de parler de Master's Apprentices, groupe que j'ai découvert par le biais d'une compil, Now that it's over, qui m'a fait rechercher les autres albums. J'ignorais l'existence de Do what you wanna do. Choice cuts reste mon préféré.

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The Rods 1980 -- Rock Hard

Genre: Hard Rock, Heavy Metal

Producteur – Carl Canedy , David Feinstein
Basse, chant – Garry Bordonaro
Batterie, chant – Carl Canedy
Guitare, chant principal – David "Rock" Feinstein

The Rods est un groupe Américain de Punk hardcore.
David "Rock" Feinstein s'était fait connaître du grand public après avoir joué dans Elf avec son cousin Ronnie James Dio.
Le son des Rods différe considérablement de celui d'Elf, adoptant un son Heavy Metal plus traditionnel comparé au son Boogie Rock d'Elf.
Leur premier album sort indépendamment sous le nom de "Rock Hard" en 1980 et l'année suivante, le groupe est signé par Arista Records, qui réorganisera les pistes de l'album et le publiera sous le simple titre The Rods.
"Rock Hard", sorti en 1980, est, en fait, quasiment le même album que "The Rods", avec un titre, une pochette et une liste de titres différents. Les morceaux de "Rock Hard", également présents sur "The Rods", sont en réalité les mêmes enregistrements, mais avec Stephen Starmer à la basse.
Par rapport à la liste des titres de The Rods, les reprises "Sit Down Honey" et "You Better Run" ainsi que "In Your Panties" et "Gettin' Higher" sont incluses, tandis que la reprise de "Nothing Going On In The City" de et celle de "Ace In The Hole" de Robert Fleischman sont absentes; ces deux chansons ayant été enregistrées peu après la sortie de "Rock Hard" avec Garry Bordonaro à la basse...

[Titis]

Des Master's Apprentices j'en possède qu'un seul mais il est génial , c'est l'album de 1971 que j'ai trouvé en broc pour quelques Francs début des années 80 , je l'ai pris sans connaitre juste parce que je trouvais la pochette sympa

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MiMi 2011 – Road To Last Night

Genre: Pop

Producteur – Franz Plasa, Peter Hoffmann, Philipp Schwär
Chant - Mimi Müller-Westernhagen

"Road To Last Night" de MiMi (Mimi Müller-Westernhagen), sorti en 2011, est un album au charme désuet, avec des chansons fantastiques qui mettent de l'ambiance et une voix magnifique. Un talent incroyable.
La musique Rock propose de belles ballades interprétées par la voix claire et polyvalente de MiMi, rappelant parfois celle de Sinéad O'Connor. C'est une artiste qui sort de l'ordinaire, avec des chansons d'une beauté exceptionnelle.
La musique unique, tantôt rêveuse, tantôt superficiellement enjouée, est agréable à écouter, mais pas indispensable.
Dans l'ensemble, "Road To Last Night" est agréablement sans prétention et sans contrainte.
C'est un véritable bol d'air frais dans la musique Rock de l'époque!

[alcat01]

Content de retrouver mon PC!

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Cactus 2010 -- Ultra Sonic Boogie 1971

Genre: Hard Rock, Classic Rock

Basse, choeurs – Tim Bogert
Batterie, chœurs – Carmine Appice
Guitare – Jim McCarty
Chant, harmonica – Rusty Day

Cactus avait enregistré trois albums, en tout ry pour tout, avant de se séparer, et ce coffret de neuf titres récemment découvert comble en quelque sorte l'espace qu'aurait pu occuper un album live à l'époque. "Ultra Sonic Boogie", sorti en 2010, a été enregistré en live devant un petit public aux Ultra Sonic Studios de Long Island pour être diffusé par la station locale WUR, et il montre ce groupe puissant dans une ambiance détendue et enjouée.
Avec la section rythmique Appice et Bogert derrière lui, Day aurait pu chanter n'importe quoi au hasard et ça aurait probablement fonctionné.
Des chansons comme "Big Mama Boogie" ne sont pas vraiment des déclarations littéraires, mais ce set montre la puissance du groupe sur scène avec un McCarty étincelant, et Cactus n'était pas là pour faire des déclarations de toute façon; il s'agissait surtout de faire danser le public et que celui-ci prenne du bon temps!...

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Hatfield And The North 1974 - Hatfield And The North

Genre: Jazz-Rock, Psychedelic Rock, Prog Rock

Producteur – The Hatfields, Tom Newman
Basse, chant – Richard Sinclair
Batterie – Pip Pyle
Guitare – Phil Miller
Orgue, piano – Dave Stewart
Pixiephone – Jeremy Baines
Saxophone, Flûte – Geoff Leigh
Chant – Amanda Parsons, Ann Rosenthal, Barbara Gaskin

L'album éponyme de Hatfield & the North, sorti en 1974, est très progressif.
On y trouve des tonnes de parties typiques de piano électrique. On y trouve aussi de l'orgue wah-wah typique de Canterbury. Les claviers joués par Dave Stewart consistent principalement en des séries mélodiques de notes courtes, comme révèle l'omniprésence du piano électrique. A la batterie, Pip Pyle joue des rythmes très complexes qui se renouvellent. Le chant spécial masculin et féminin donne définitivement un caractère pratiquement unique à l'album. Le chant principal de Richard Sinclair est excellent comme toujours.
Beaucoup de chansons se mélangent, donnant à l'album une sensation épique, et rendant parfois même difficile la compréhension: à peine une chanson se termine que la suivante commence.
Mais tout s'enchaîne si bien que ça n'a pas d'importance. Le claviériste Dave Stewart est la clé du succès et son jeu complexe conduit la musique mieux que dans n'importe quel autre groupe...

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Pacific Sound 1972 – Forget Your Dream!

Genre: Psychedelic Rock

Producteur – JP Louvin
Batterie – Diego Lecci
Guitare, basse, percussions – Mark Treuthardt
Claviers – Roger Page
Chant – Chris Meyer

Sur "Forget Your Dream!", sorti en 1972, le groupe Suisse, Pacific Sound, offre à l'auditur un bon mélange de Rock Psychédélique et de Rock Progressif, avec quelques touches de Blues Rock parci, par là.
L'orgue Hammond domine le son de cet album et il sonne très bien. C'est probablement le point fort de cet album. L'écriture n'a rien d'exceptionnel, mais ces chansons sont toutes très agréables.
Au début des années 70, Krokodil, Toad et Brainticket étaient les figures de proue, mais il existait aussi quelques groupes moins connus, et Pacific Sound était l'un de ces groupes, originaire de Môtiers, dans l'ouest francophone du pays.
Les quatre amis, Chris Meyer, Mark Treuthardt, Diego Lecci et Roger Page avaient débuté en 1970 en jouant du Rock Psychédélique des années 60.
L'inspiration évidente du groupe vient du groupe Allemand voisin, Murphy's Blend, avec ses grooves puissants et ses excès d'orgue dominants qui donnaient à l'ensemble un côté Heavy psyché!
"Forget Your Dream!" comprend huit titres pour une durée de moins de 33 minutes. Les morceaux vont des morceaux Rock à l'orgue plus bluesy, mélange de Hendrix et de Murphy's Blend, aux morceaux plus lents, qui semblent surtout inspirés par Procol Harum.
Les influences Anglo-Saxonnes sont, bien sûr, dominantes. Le groupe sonne comme un groupe moyen mais compétent de l'époque, cherchant à se faire une place dans le monde surpeuplé du Rock. Le maillon faible du groupe est clairement le chanteur Chris Meyer, dont les capacités stylistiques limitées sont évidentes.
Loin d'être un album essentiel de l'époque, c'est une relique intéressante qui mérite de ne pas être oubliée...

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The Buddaheads 2007 – Raw

Genre: Blues Rock

Choeurs – Kelly Rucker
Basse – Gerard Johnson, Johnny Griparic, Richard Cousins
Batterie, percussions – Lee Spath
Claviers – Teddy Andreadis
Chant, guitare, basse, saxophone – Alan Mirikitani
Piano – Jim Pew
Chant – Gerard Johnson

The Buddaheads s'envolent littéralement avec l'album "Raw", sorti en 2007. Tout porte à croire que c'est leur meilleur album à ce jour.
On y trouve 13 titres des plus solides, plus 3 titres bonus revisitant les classiques du groupe: "Can't Keep a Hold On You", "Chicken Head" et "Devil's Playground", tous enregistrés en live.
C'est un disque très intéressant dès le départ, plein de bonne humeur, ou qui transmet cette ambiance, avec un excellent son...

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Alan White 1976 - Ramshackled

Genre: Jazz, Rock, Funk / Soul, Jazz-Rock

Producteur – Alan White, Bob Potter
Choeurs – Joanne Williams, Madeleine Bell, Vicki Brown
Basse, percussions – Colin Gibson
Guitare, chant – Peter Kirtley
Claviers, chant – Kenny Craddock
Saxophone, flûte – Bud Beadle, Steve Gregory
Tambours – Andy Phillips
Cordes – Mountain Fjørd Limited
Trompette – Henry Lowther
Chant – Alan Marshall

Alan White est connu comme le batteur de Yes depuis longyemps. Son premier et seul album solo, "Ramshackled", sorti en 1976, a été enregistré à une époque où tous les membres de Yes prenaient une pause bien méritée après les rigueurs de l'enregistrement de l'album "Relayer" de 1975.
Parmi les musiciens invités apparaissent Steve Howe et Jon Anderson, qui jouent tous deux sur "Spring - Song of Innocence".
On y trouve aucun élément du son classique de Yes car ce n'est absolument pas progressif. En revanche, c'est du Jazz Funk entraînant.
"Ramshackled" contient quelques moments forts comme "Spring - Song of Innocence" pour clôturer la face A, et "Darkness" pour clôturer la face B, et, dans son ensemble, c'est un bon album...