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[Phil]

Parait qu'en LIVE il faisait un peu trop l'étalage de sa technique !!

C'est l'époque qui voulait ça.

[alcat01]

Boogaloo band 1974 - Mama's Joy

Genre: Rock, Blues

Producteur, parolier et guitare rythmique – Robbie Freeman
Basse, piano – James Gibson
Batterie – Sherwin Rosman
Guitare solo, chant, musique et arrangements -- Mike Bazzani (Mike Lester)

Boogaloo band, c'est l'histoire de quatre Californiens qui se sont rencontrés par hasard à Paris lors de leurs vagabondages.
Le groupe joue un Boogie chaud et énergique qui rappelle un peu Canned Heat et Chicago. Furieux et agressifs, ils sèment le scandale tout au long de leurs tournées.
A l'époque, ils étaient très à l'aise sur scène et leur image dure avait ses adeptes...

[alcat01]

Black Crowes 1992 - The Southern Harmony And Musical Companion

Genre: Rock & Roll, Southern Rock, Hard Rock

Producteur – George Drakoulias, The Black Crowes
Basse – Johnny Colt
Choeurs – Barbara, Taj
Congas – Chris Trujillo
Batterie – Steve Gorman
Guitare – Marc Ford, Rich Robinson
Piano, piano électrique [B-3 Wurlitzer] – Ed Hawrysch *
Chant, harmonica blues, percussions – Chris Robinson (2)

Après le succès retentissant de "Shake Your Money Maker" qui avait positionné les Black Crowes comme un croisement réussi entre des Faces déjantés et des Rolling Stones à cran d'arrêt, avec une petite touche de réconfort sudiste, "The Southern Harmony And Musical Companion" est plus imposant, plus percutant, plus puissant et c'est du Rock classique dans tous les sens du terme.
L'album est suffisamment bon pour soutenir la comparaison avec les meilleurs albums de leurs héros de la fin des années 60 et du début des années 70.
Les chansons sont plus incisives et sincères cette fois-ci, la production est plus ample, le chant de Chris Robinson semble encore plus assuré qu'avant, et l'arrivée du guitariste Marc Ford fait des merveilles. Ses guitares rythmiques et celles de Rich Robinson s'harmonisent parfaitement, et ses solos oscillent entre une férocité et une fluidité presque douloureuse. Son rôle principal dans "Sometimes Salvation" fait exploser la chanson et semble pousser Chris Robinson pour atteindre des sommets de passion et de douleur.
Le groupe s'accroche à la tâche, peaufinant son modèle précédent et tâtant le terrain de nouvelles manières passionnantes. Il ajoute un Funk décalé et percutant à "Remedy", se laisse aller à des grondements de route endiablés avec "Hotel Illness", glisse un Gospel acoustique cosmique sur "Time Will Tell" et fait briller Led Zeppelin sur "My Morning Song", accompagné de choristes très investis.
Les Black Crowes affichent également une approche plus nuancée sur les ballades, avec des morceaux comme "Thorn in My Pride" plus organiques et ancrés grâce à des arrangements qui exploitent à merveille les percussions.
Mis à part le morceau d'ouverture de l'album, "Sting Me", "Southern Harmony And Musical Companion" n'est pas aussi percutant que "Shake Your Money Maker", mais pour les fans qui voulaient creuser plus profondément, devenir funky et atterrir aussi près que possible du cœur du Rock à pattes d'éléphant et imbibé de whisky, c'était presque parfait...

[alcat01]

Orleans 1979 - Forever

Genre: Pop Rock

Producteur – Orleans
Basse, chant – Lance Hoppen
Violoncelle – Maurice Bialkin
Batterie, percussions, chant – Wells Kelly
Guitare, chant – Larry Hoppen
Cuivres – The Leanhorns
Orgue, chant – R.A. Martin
Piano, chant – Bob Leinbach
Saxophone ténor, saxophone baryton – R.A. Martin
Trombone – Bob Leinbach
Trompette – Larry Hoppen
Alto – David Sackson
Violin – Joe Malin, Peter Buonconsiglio

"Forever" d'un Orleans post-Jon Hall, est un régal, une rupture avec les sonorités Folk qui avaient fait la renommée du groupe à l'origine, pour une plongée dans la musique qui a fait le succès de l'Atlanta Rhythm Section, de David Pack, d'Ambrosia et d'autres artistes Rock des années 70.
Cette évolution donne un son plus attractif commercialement que celui d'Atlanta Rhythm Section, mais Orleans n'a pas connu le succès mérité dans les années 80.
Les neuf titres sont un Rock élégant, avec des voix impeccables et un son qui puise dans le Blues, le Gospel et le Southern Rock, combinant ces vibrations de manière très fluide et adaptée à la radio, sans s'attarder sur un genre en particulier, mais en reprenant les éléments et en les fusionnant pour la radio Pop.
Le morceau-titre est l'histoire d'une amitié solide, portée par la voix puissante de Larry Hoppen, qui propulse la ballade vers un état de rêve.
Hoppen n'interprète que trois des neuf chansons, quatre sont interprétées par le pianiste Bob Leinbach et une par l'organiste RA Martin, Martin et Leinbach se partageant les rôles principaux sur "Keep On Rollin'" de Leinbach. Cette formule fonctionne, les voix de Leinbach et Hoppen ayant une qualité tonale similaire.
La voix de Leinbach sur le premier morceau de la seconde face, "Everybody Needs Some Music", est très joyeuse, avec ses modulations et ses cuivres.
On ne trouve pas un seul mauvais morceau dans cette élégante réorganisation d'un groupe qui a survécu au départ de son guide.
"Forever" est un album savoureux de mélodies et d'harmonies Pop, sublimé par le talent d'auteur-compositeur de Marilyn Mason, qui contribue à cinq titres, dont le brillant 'Slippin' Away", le titre éponyme "Forever" et le Hit "Love Takes Time".

[alcat01]

Joe Satriani 1989 - Flying In A Blue Dream

Genre: Hard Rock, Heavy Metal, Funk Metal, Blues Rock

Producteur – Joe Satriani, John Cuniberti
Batterie, percussions – Jeff Campitelli
Guitare, basse, claviers, banjo, harmonica, percussions, chant – Joe Satriani
Percussions, Sitar – John Cuniberti

Pour Joe Satriani, "Flying In A Blue Dream" aura nécessité seize semaines d’enregistrement. L’inspiration lui vient de ses propres expériences et c’est un rêve récurrent qu’il avait fait étant enfant dans lequel il se voyait voler dans un monde azuréen qui donnera son nom à l’album et au premier titre de celui-ci.
"Flying In A Blue Dream" est l’album des innovations et des prises de risque dans lequel Satriani se livre comme jamais.
C’est la première fois qu'il chante (à six reprises) avec plus ou moins de talent il faut bien le reconnaitre, et que le banjo (‘The Feeling’) et l’harmonica (‘Gig Bad Moon’) sont utilisés.
Dans ce disque, Satriani aborde de nombreux styles et ne se fixe que peu de barrières avec le Hard Rock dans ‘Big Bad Moon’ et plus léger avec ‘Ride’ ou ‘Can’t Slow Down’, le jovial ‘The Phone Call’, la funky ‘Strange’ et la ballade ‘I Believe’. Les quatre interludes, expérimentales (‘Headless’) ou introductives (‘The Forgotten’ et ‘Bells Of Lal’), donnent la respiration nécessaire à la digestion de ce long album.
Les compositions instrumentales sont bien ciselées et l’équilibre harmonique renforcé par le soin porté par les musiciens et la production accroit l’effet de puissance (‘One Big Rush’, ‘Back To Shalla-Bal’) et d’onirisme (la superbe ‘The Forgotten Part 2’).
Techniquement Satriani est au sommet avec le souci constant de servir le morceau et la mélodie.
Comme pour "Surfing With The Alien", Satriani a tenu à conclure son album par un hommage émouvant à son père, décédé pendant l’enregistrement de "Flying In A Blue Dream", avec la poignante ‘Into The Light’.
Le travail à la production allié à la présence de sonorités acoustiques permet d'apprécier l’énorme différence de rendu entre "Surfing With The Alien" et ce dernier.

[alcat01]

Doors 2013 - Behind Closed Doors: The Rarities

Genre: Classic Rock

"Behind Closed Doors: The Rarities" est un coffret 4 CDs fascinant d'extraits inédits et de versions alternatives de Doors. La plupart sont désormais disponibles dans les éditions améliorées des albums studio.
La principale révélation de ces prises incomplètes réside dans l'implication du groupe lors des sessions sur "L..A Woman" sur lesquelles Jim Morrison, en particulier semble très concentré et souvent aux commandes.
Ce coffret est absolument indispensable aux fand des Doors!

[cericpop]

A propos de Joe on vient de m'envoyer sur un autre forum un lien pour la dernière vidéo à laquelle il vient de participer pour un titre 'Encore, Thank You, Goodnight' qu'il a co-écrit avec Sammy Hagar. Un hommage à Eddie Van Halen.

[Cooltrane]

Euh, Alain, tout va bien?

[lienard]

Ben oui, on s'inquiète hein ..

[alcat01]

Merci de vous être préoccupés de moi, rassurez-vous, j'ai 70 ans, mais je vais très bien, je suis en bonne santé!
C'est juste que je suis très occupé et je n'ai plus trop le temps de m'occuper de ce post actuellement, car cela prend vraiment beaucoup de temps!
Et puis, il ne me reste plus beaucoup d'albums à réécouter...
Quand j'ai un peu de temps, Je farfouille dans mes cassettes audio, mes mds (mini-discs), mais cela prend aussi du temps!

[lienard]

Cool, nous voilà rassuré ..

[alcat01]

Mike Lester Band 1981 - Mike Lester Band

Genre: Pop Rock, Blues Rock

Producteur – Lestduktion
Basse – Chris Berton
Batterie – Chris Corot
Guitare solo – Bruno Besse
Chant principal, guitare – Mike Lester

Après deux albums avec le Boogaloo Band, Mike Lester (Mauro Bazzani) a fondé un nouveau groupe, Mike Lester Band avec l'aide de Chris Corot, ancien batteur de David McNeil et Bruno Besse, ancien guitariste d'Alice.
Rejoint par le bassiste Chris Berton, le groupe a enregistré l'album éponyme du groupe en 1981.
Rien de bien nouveau musicalrement parlant, mais ce disque est agréable à écouter et c'est bien ce que l'on demande en premier lieu!

[alcat01]

Monster Mike Welch 1996 - Axe To Grind

Genre: Blues

Producteur – Richard Rosenblatt, The Monster Mike Welch Band
Batterie – Warren David Grant
Basse, Contrebasse – Jon Ross
Guitare solo, chant – Mike Welch
Guitare rythmique, guitare – George Leroy Lewis

Le jeune guitariste de Blues, Monster Mike Welch, a sorti l'album "Axe To Grind" à 17 ans.
La musicalité est incontestablement au rendez-vous. Welch bénéficie d'une section rythmique bien rodée.
On y retrouve le superbe jeu de guitare de George Leroy Lewis. Sa présence constante offre une base rythmique extrêmement solide à Mike, qui s'appuie fortement sur des thèmes éprouvés de Stevie Ray Vaughn et Ronnie Earl.
"Axe To Grind" ne manque pas d'énergie, il y en a pour tous les goûts.
Avec son énergie juvénile débordante, Mike montre tout son talent. Avec son respect évident pour les maîtres, il rend hommage à un plus large éventail d'influences.

[alcat01]

Kenny Wayne Shepherd Band 1999 – Live On

Genre: Modern Electric Blues

Producteur – Jerry Harrison
Basse – Keith Christopher
Batterie – Sam Bryant
Guitare solo, chant – Kenny Wayne Shepherd
Chant principal – Noah Hunt
Basse – Arion Salazar, Les Claypool, Tommy Shannon
Batterie – Chris Layton
Guitare – Bryan Lee
Harmonica – James Cotton, Mickey Raphael
Claviers – Reese Wynans
Guitare slide – Warren Haynes
Chant – Pat Hodges, Stephanie Spruil

Kenny Wayne Shepherd est un prodige de la guitare Blues dès l'adolescence. Sa technique époustouflante attire l'attention, mais certains critiques la considèrent comme un style sans âme.
Son jeu rappelle Stevie Ray Vaughan et certains morceaux, peut-être un peu trop léchés, s'adressent autant au public Rock qu'aux amateurs de Blues Rock.
C'est pourquoi "Live On", sorti en 1999 concilie ces deux facettes de sa personnalité, mais le meilleur atout de cet album est qu'il est plus dur et plus fort que ses deux prédécesseurs.
On y retrouve encore pas mal de croisements – une reprise reprise de "Oh Well" de Fleetwood Mac – mais Shepherd semble non seulement développer son propre style, mais le jeu de son groupe est devenu plus brut, ou du moins mieux retranscrit sur disque.
Shepherd tombe encore un peu dans l'excès, mais il apprend à se maîtriser, et sa musique n'en est, bien sûr, que meilleure.

[alcat01]

Joe Satriani 1986 - Not of This Earth

Genre: Hard Rock

Producteurs – Joe Satriani, John Cuniberti
Batterie, percussions, sifflet – Jeff Campitelli
Guitare, basse, claviers, percussions – Joe Satriani
Percussions, chant – John Cuniberti

"Not Of This Earth" est un album de Joe Satriani qui bouscule et qui dérange. Une production glaciale et des sonorités délibérément brutes et synthétiques sont là pour créer la brisure. Satriani a l’audace de son jeune âge et l’impudence des tempéraments subversifs. Les guitaristes démonstratifs commencent à émerger en cette décennie mais la logique de groupe de Hard Rock est encore prégnante. La révolution est totale avec "Not Of This Earth" qui dicte un nouveau langage et adopte une approche progressive modale qui participe de ce nouveau son porteur de fortes mélodies.
La symbolique extra-terrestre inonde l’univers de Joe. Les évocations sont empruntes d’onirisme, de mysticisme céleste et de modernisme et elles figurent autant la virtuosité des exécutions que la technologie rendant possible la matérialité de l’inspiration.
Les magnifiques harmonies sont inspirées par sa femme Rubina, et les textures sont reconnaissables entre mille et l’émotion surgit de cet assemblage de 'bois et de métaux'.
"Not Of This Earth" est l'un des albums les plus diversifiés de Satriani et il mérite une écoute attentive. Sa noirceur abyssale et omniprésente a permis à tous ses thèmes harmoniques de traverser le temps.

[alcat01]

Judas Priest 1974 - Rocka Rolla

Genre: Hard Rock, Prog Rock, Classic Rock

Producteur – Rodger Bain
Basse – Ian Hill
Batterie – John Hinch
Guitare – K.K. Downing
Chant, Harmonica – Bob Halford

Premier album rudimentaire et peu précis de Judas Priest, sorti en 1974, "Rocka Rolla" commence à délimiter le territoire musical que ce groupe explorera durant le reste de la décennie: d'une noirceur effrayante, avec un groove précis et capable de s'étendre jusqu'à des morceaux épiques.
Le disque est trouble, peu précis et puissant dans ses attaques de riffs, et davantage axé sur le Blues; les emprunts stylistiques à Black Sabbath et Deep Purple sont évidents, même s'ils deviendront beaucoup moins apparents sur les albums suivants.
Les compositions alternent entre morceaux courts et suites étendues; certains sont corrects, mais dans l'ensemble, ils ne tracent pas de véritable direction et ont tendance à traîner sans but dans les morceaux plus longs.
Principalement une curiosité pour les fans inconditionnels, "Rocka Rolla" laisse cependant entrevoir le potentiel et l'originalité de Judas Priest.

[alcat01]

Patti Smith 1975 - Horses

Genre: Punk, Art Rock, Garage Rock

Producteur – John Cale
Batterie – Jay Dee Daugherty
Guitare – Allen Lanier, Tom Verlaine
Guitare, basse – Ivan Kral
Guitare solo – Lenny Kaye
Piano – Richard Sohl
Chant -- Patti Smith

Patti Smith est, en quelque sorte, une pionnière du Punk Rock: le Rock 'n' Roll simple et brut, avec le jeu de guitare rudimentaire de Lenny Kaye, l'esprit anarchique de son chant et la nature émotionnelle et imaginative de ses paroles préfigurent tout à fait le mouvement à venir.
Patti est une poètesse imprégnée du Garage Rock des années 60; "Land" s'inscrit dans la continuité de "The End" des Doors, la plaçant comme successeure de Jim Morrison, tandis que les refrains empruntés de "Gloria" et "Land of a Thousand Dances" sont plus en phase avec l'ère du sampling qu'ils ne l'étaient dans les années 70.
Le producteur John Cale a respecté le primitivisme de Patti d'une manière que les producteurs ultérieurs n'ont pas fait, et les structures de chansons libres et improvisées ont fonctionné avec ses vers libres pour créer quelque chose comme une nouvelle forme d'art musical / mot parlé: "Horses" est un hybride, le son d'un poète post-Beat, comme elle le disait, "...dansant sur la simple chanson rock & roll"...

[alcat01]

Lee Clayton 1978 - Border Affair

Genre: Rock, Folk, Country, Country Rock

Producteur – Neil Wilburn
Basse – Colin Cameron
Batterie – Danny Lane
Claviers – Andy McMahon
Guitare solo, harmonie vocale – Philip Donnelly
Pedal steel guitare – Jimmy Day
Guitare rythmique, harmonica, chant principal – Lee Clayton
Saxophone – Andrew Love
Trompette – Wayne Jackson

Lee Clayton appartient à la même élite que Waylon Jennings et autres Country Rockeurs du mouvement Outlaw.
Son esprit de défi et son indépendance sont évidents lorsqu'il chante "Tequila Is Addictive", mais il semble s'en moquer, s'en tenant à son propre répertoire, profondément personnel.
L'album a été enregistré à Nashville, mais la guitare solo et des piliers des Memphis Horns, Andrew Love et Wayne Jackson, le distinguent de loin de l'establishment. Sa sincérité compense les quelques petites lacunes de la tessiture vocale.

[Algernon]

Merci de vous être préoccupés de moi, rassurez-vous, j'ai 70 ans, mais je vais très bien, je suis en bonne santé!
Faut que ça dure ! Prends soin de toi, explorateur des abysses musicaux (? masculin ?).
...
Et puis, il ne me reste plus beaucoup d'albums à réécouter...

[alcat01]

Monster Mike Welch 1996 - These Blues Are Mine

Genre: Rock, Blues

Producteur – Richard Rosenblatt, The Monster Mike Welch Band
Basse – Jon Ross
Batterie – Warren David Grant
Guitare solo – Monster Mike Welch
Guitare rythmique, guitare – George Leroy Lewis

Mike Welch n'avait que 16 ans à la sortie de son album, "These Blues Are Mine", mais on ne le dirait pas à sa façon de jouer de la guitare car il a le talent dont rêvent certains professionnels chevronnés, et il a un grand respect pour eux.
Le gros problème, c'est quand il chante: il réussit à obtenir un timbre de voix Blues brut, mais il sonne trop souvent comme un enfant essayant d'acquérir une voix d'adulte.
Son groupe est, quant à lui, bien rodé et ses compositions sont incontestablement à la hauteur.