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Firefall 2009 Reunion Live

Genre : Rock classique

Basse, chœurs – Mark Andes
Basse, chant, chœurs, guitare – Bil Hopkins
Congas, Timbales, Percussions – Joe Lala
Batterie, percussions – Sandy Ficca
Guitare solo, chant, chœurs – Jock Bartley
Chant principal, chœurs, guitare – Larry Burnett, Steven Weinmeister
Saxophone, flûte, claviers, harmonica, chant – David Muse

"Firefall Reunion Live" présente certaines des meilleures musiques de Firefall créées dans les années 1970.
L'album est dédié au batteur original de Firefall, Michael Clarke, décédé il y a de nombreuses années.
Avec un concert magique, Firefall fait revivre une époque plus jeune, où les mélodies dominent et la musicalité s'envole. Les membres originaux de Firefall ont rejoint le groupe actuel, ensemble depuis vingt ans, devant une salle comble au Boulder Theater le 9 avril 2008 pour ce concert mémorable et enrichissant.
Les voix et les talents musicaux sont d'un niveau exceptionnel; les solos offrent des interactions spontanées et enflammées entre guitares solo, saxophone et flûte.
Ces chansons sont toujours aussi fortes; la performance et la maîtrise du groupe sont véritablement exceptionnelles.

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Jimmy Thackery And The Drivers 2003: True Stories

Genre: Modern Electric Blues

Producteur – Jimmy Thackery, Randy Labbe
Choeurs – Reba Russell
Basse, orgue [B3] – Ken Faltinson
Batterie – Mark Stutso
Chant, guitare – Jimmy Thackery
Saxophone – Jimmy Carpenter
Chant – Mark Stutso

"True Stories" de Jimmy Thackery est la suite tout à fait logique de "We Got It".
Sur ce disque débridé, Thackery agrémente son Blues d'éléments Rock, Soul et Country. La présence du saxophoniste Jimmy Carpenter ajoute à l'album un côté Rock qui aurait manqué au disque sans lui.
Parmi les 11 titres phares, on retrouve "Crazy 'Bout a Saxophone" de Carpenter, l'original de Thackery, "Got It Going On", et "The Messiah Will Come" de Roy Buchanan, véritable chef-d'œuvre du disque, d'une durée de près de neuf minutes et demie.

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Fleetwood Mac 1969 - English Rose

Genre: Blues Rock

Producteur – Mike Vernon

En 1969, lorsqu'il fut temps de sortir un deuxième album de Fleetwood Mac aux États-Unis, le producteur Mike Vernon et le groupe ne se contentèrent pas d'envoyer l' album "Mr. Wonderful".
Le groupe venait de s'agrandir d'un membre, devenant un quintuor, avec l'arrivée du guitariste Danny Kirwan, fin 1968, alors que "Mr. Wonderful" le présentait comme un quatuor.
Cela devint l'album "English Rose", proposant trois instrumentaux écrits par Kirwan, ainsi que le Hit single Britannique "Albatross", et leur précédent single, "Black Magic Woman", qui avait été un Hit du Top 40 Britannique, bien qu'il soit inconnu aux États-Unis.
On y trouve la moitié de "Mr. Wonderful", le morceau d'ouverture, "Stop Messin' Round" et "I've Lost My Baby", représentant les morceaux les plus forts de ce disque.
"English Rose" s'est finalement avéré être un album plus fort que son prédécesseur, bien que sans Hit single en Amérique pour stimuler les ventes et lui donner de la visibilité, il a à peine effleuré les classements du Top 200 LP aux États-Unis.
Curieusement, malgré le chevauchement avec "Mr. Wonderful", "English Rose" est sorti en Angleterre environ six mois plus tard, probablement pour compenser la perte du contrat du groupe de Blue Horizon.

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Bonnie Raitt 1994 - Longing in Their Hearts

Genre: Blues Rock, Folk Rock

Producteur -- Don Was, Bonnie Raitt

Sur "Longing in Their Hearts", Bonnie Raitt contribue plus que d'habitude à la composition de chansons: elle en a écrit quatre et elle a mis en musique les paroles de son mari pour une cinquième. Elle s'inspire aussi d'auteurs aussi talentueux que Richard Thompson et Paul Brady, le tout pour un recueil consacré à la dévotion. Chanson après chanson, la passion s'exprime, généralement avec bonheur; ce n'est surtout pas l'album d'une femme déprimée.
Même lorsqu'elle réprimande un parent dans sa propre "Circle Dance", elle offre pardon et compréhension. Dans cette chanson, comme dans d'autres, l'objet de ses émotions semble rarement parfait, mais elle l'accepte et l'aime malgré tout.
Le coproducteur Don Was propose une production détaillée où des éléments isolés, comme un accordéon, une harmonie vocale de Levon Helm ou David Crosby, colorent efficacement les arrangements et complètent le chant toujours empreint d'émotion de Bonnie.

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Iron Maiden 1981 - Killers

Genre: Heavy Metal, Hard Rock

Producteur – Martin "Headmaster" Birch
Basse – Steve Harris
Batterie – Clive Burr
Guitare – Adrian Smith, Dave Murray
Chant – Paul Di'Anno

Pour "Killers", Iron Maiden a procédé à quelques changements d’importance.
Dennis Stratton a quitté le groupe et son remplaçant, Adrian Smith, est un ami d'enfance de Dave Murray, le second guitariste du groupe. Et ces deux-là vont former, pour un bon moment, une des paires de guitaristes les plus célèbres du Metal.
Le son est plus propre que sur le premier album mais il reste bien puissant.
Iron Maiden a fait appel à Martin Birch (producteur entre autres du "Machine Head" de Deep Purple).
"Killers" est le seul album qui contient deux instrumentaux.
La majorité des morceaux sont composés par Steve Harris, la plupart antérieurs au premier album. Steve est quasiment le seul compositeur, Paul Di’Anno n’étant co-crédité que sur le titre éponyme.
Iron Maiden avait été déçu des ventes qui sont inférieures à ce qui était espéré car il contient son lot de bons, voire excellents morceaux comme le titre éponyme, "Murders In The Rue Morgue", "Innocent Exile" ou le second single, "Purgatory".
"Killers" obtiendra finalement un bon accueil, après les nombreux concerts du groupe autour du monde...

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Scott Ellison 2012 - Walkin' Through The Fire

Genre: Blues

Producteur – Scott Ellison
Coproducteur – Charles Tuberville, Walt Richmond

Scott Ellison ne fait pas de concessions avec son album "Walkin' Through Fire".
Ce solide opus de quinze titres est un disque de fête qui fera danser les auditeurs. Chaque morceau met en valeur le jeu de guitare et le hurlement rauque d'Ellison, qui sonne parfois comme un mélange de Delbert McClinton et de Bob Dylan, notamment le morceau à deux temps "No Way To Live".
On doit à son partenaire Walt Richmond les arrangements précis et le mixage sonore, ainsi que l'ajout savoureux des cuivres de "Hot Tamale", bien que l'utilisation de la batterie électronique manque parfois d'authenticité.
L'esprit d'Ellison est également présent avec le venin mordant et cinglant du Hit Barrel House, "You Talk Too Much", et le terriblement sarcastique "The Man Who Shot Mustang Sally".
"Walkin' through the Fire" est une belle compilation de Blues Rock et de Soul par un artiste trop méconnu...

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Roger Mc Guinn 1973 - Roger McGuinn

Genre: Folk, Country

Producteur -- Roger McGuinn

L'album éponyme de Roger McGuinn, paru en 1973, fut à bien des égards une bouffée d'air frais après les derniers jours des Byrds.
C'est un retour aux sources qui met en valeur son chant puissant et fluet, son jeu de guitare et son talent pour écrire du Folk Rock sincère et interpréter des chansons traditionnelles et contemporaines originales.
Jamais le Folk n'a été plus présent que sur l'acoustique "I'm So Restless", qui bénéficie de l'harmonica de Dylan lui-même.
Les quatre autres Byrds originaux jouent sur "My New Woman", qui est quasiment une réunion du quintuor original, avec l'ajout du saxophone du jazzman Charles Lloyd ; David Crosby fait des apparitions discrètes sur d'autres morceaux.
Mais l'album n'est pas un triomphe absolu. Certains morceaux sont moins réussis, le synthétiseur Moog de McGuinn est parfois superflu, son chant semble parfois trop fragile, et rien de tout cela n'égale les meilleurs Byrds.
Des influences inattendues se font entendre dans les harmonies des Beach Boys de "Draggin'", avec Bruce Johnston des Beach Boys au piano et aux chœurs, le Blues 'Vietnamien' de "Hanoi Hannah" et le Gospel Rock de "Stone"...

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Firefall 2020 - Comet

Genre: Classic Rock, Country Rock, Folk Rock, Pop Rock

Producteur --Jock Bartley
Choeurs – Steve Weinmeister
Basse, chant – Mark Andes
Batterie, percussions – Sandy Ficca
Flûte, saxophone, piano, orgue, synthétiseur – David Muse
Percussions – Tudie Calderon
Chant, guitare acoustique – Gary Jones
Chant, guitare électrique – Jock Bartley

Sur "Comet", Firefall est toujours aussi performant avec des harmonies décontractées, des refrains entraînants et des morceaux Country Rock. Les Rock énergiques et les ballades plaintives bénéficient tous du professionnalisme du groupe.
La ballade "Never Be the Same" revient sur une relation sincère et bien interprété , qui rappelle certains des meilleurs morceaux de ce groupe.
En fait, une grande partie de "Comet" évoque ou rappelle le passé.
"Way Back When" rend hommage aux artistes de la fin des années 60: le premier couplet et le refrain datent de 1965, le deuxième de 1967 et le troisième de 1969. Le chanteur et compositeur Jock Bartley cite des noms aussi divers que les Beatles, les Byrds, Aretha Franklin et Marvin Gaye.
Firefall offre également un regard rétrospectif captivant. Le bassiste Mark Andes qui faisait partie de ce groupe à la fin des années 60 et au début des années 70, est aux commandes, aux côtés du chanteur invité Timothy B. Schmidt sur "Nature's Way" de Spirit.
Les harmonies vocales sont toujours là, avec trois chanteurs principaux différents, ainsi que plusieurs invités. Outre Schmidt, on retrouve également John McFee, membre des Doobie Brothers, Donnie Lee Clark de Pure Prairie League, Jim Waddell et Steven Weinmeister, anciens membres de Firefall, et bien d'autres.
"There She Is" est chantée entièrement en chœur.
"Comet" est le premier nouvel album de Firefall depuis longtemps, mais cela valait vraiment la peine d'attendre...

[Cooltrane]

La majorité des morceaux sont composés par Steve Harris, la plupart antérieurs au premier album. Steve est quasiment le seul compositeur, Paul Di’Anno n’étant co-crédité que sur le titre éponyme.

Je ne savais pas. Je le réécouterai donc avec ceci en tête.

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Jimmy Thackery & Tab Benoit 2004 - Whiskey Store Live

Genre : Blues Rock

Producteur -- Randy Labbe
Basse – Carl Dufrene
Batterie – Darryl White, Mark Stutso
Guitare, chant – Jimmy Thackery, Tab Benoit
Orgue – Ken Faltinson
Saxophone – Jimmy Carpenter

La tournée de promotion de l'album "Whiskey Store" de 2002 avec les guitaristes Jimmy Thackery et Tab Benoit, est immortalisée sur l'album "Whiskey Store Live" paru en 2004.
Ce disque reprend six titres de l'album studio, mais ceux-ci sont remaniés et étendus de manière si radicale (le morceau titre est presque triplé pour atteindre neuf minutes de folie), qu'il est loin d'être une reprise rentable.
Si la formidable section rythmique de Double Trouble déjà expérimentée de est restée à la maison, le saxophoniste Jimmy Carpenter rejoint le groupe, tout comme le claviériste de B-3, Ken Faltinson et tous deux enflamment considérablement le concert.
Tad Benoit, qui assure la majorité du chant, propose des versions de classiques comme "I Got Loaded" et "These Arms of Mine" d' Otis Redding, ainsi que son propre "Bayou Boogie" fulgurant, remplaçant ainsi quelques chansons moins brillantes de l'album studio.
Jimmy Thackery est également en pleine forme, animant les versions shuffle de Chicago de "Leopard Skin Pillbox Hat" de Dylan et de "Strange Things Happen" de Percy Mayfield avec son attaque puissante et son chant rocailleux.
Le son Telecaster plus précis de Benoit et son chant marécageux aux accents Louisianais contrebalancent l'approche bourrue de Thackery, et les guitares rivales se complètent encore mieux qu'en studio.
C'est une performance entraînante d'une heure et quart qui met en valeur les points forts et l'approche de chaque guitariste. Mais surtout, elle montre comment leurs styles différents peuvent mettre en valeur la musique sans la surcharger de solos sinueux...

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Fleetwood Mac 1969 - The Pious Bird of Good Omen

Genre: Blues Rock

Producteur – Mike Vernon
Basse – John McVie
Batterie – Mick Fleetwood
Guitare – Danny Kirwen
Guitare, chant, harmonica – Peter Green
Guitare slide, chant, piano – Jeremy Spencer

Le troisième album Européen de Fleetwood Mac, "The Pious Bird of Good Omen", est une compilation de 12 titres, singles, Faces B, et une sélection de certains travaux que le groupe avait fait avec Eddie Boyd, digne de ce nom des débuts du groupe sous Peter Green.
En se hissant à la 18e place au Royaume-Uni, l'album a propulsé la version de Fleetwood Mac de "Need Your Love So Bad" de Little Willie John dans les Charts Anglais pour la troisième fois, se maintenant à la 42e place...

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Bonnie Raitt 1998 - Fundamental

Genre: Blues Rock, Pop Rock

Producteur – Bonnie Raitt, Mitchell Froom, Tchad Blake
Basse – Joey Spampinato
Batterie, percussions – Pete Thomas
Guitare, Basse – David Hidalgo
Claviers – Mitchell Froom
Guitare rythmique – Steve Donnelly
Chant, guitare slide – Bonnie Raitt

Pour trouver de nouvelles sonorités susceptibles de séduire un nouveau public, Bonnie Raitt semble avoir rompu avec le producteur Don Was, pour "Fundamental", engageant les génies de la Pop expérimentale Mitchell Froom et Tchad Blake.
Ceux-ci privilégient souvent la production au détriment du morceau, ajoutant des couches d'effets et d'instruments originaux qui tendent à obscurcir les chansons et les performances.
S'ils n'en font pas trop sur "Fundamental", ils ont trop insisté sur leur propre style. L'album est parsemé de bonnes chansons, mais il est difficile de les distinguer sous cette production floue et trouble.
Au final, l'album devient un peu fastidieux, tant les sons usent les oreilles. C'est dommage, car Bonnie reste un artiste essentiel, mais Froom et Blake ne lui ont pas permis de compter sur ses talents pour ce disque...

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Iron Maiden 1982 - The Number of the Beast

Genre: Heavy Metal

Producteur – Martin "Farmer" Birch
Basse – Steve Harris
Batterie – Clive Burr
Guitare solo – Adrian Smith, Dave Murray
Chant – Bruce Dickinson

"The Number of the Beast" marque la naissance d'Iron Maiden, une machine à Metal implacable propulsée vers de nouveaux sommets par l'arrivée de Bruce Dickinson, l'ancien leader de Samson.
La performance lyrique de Dickinson a contribué à propulser le groupe dans la stratosphère.
"The Number of the Beast" a fait d'Iron Maiden le groupe de prédilection des puristes en quête d'un Metal sans compromis.
Le groupe a repris le modèle que Judas Priest avait créé à la fin des années 70 et il a poussé le tout plus vite et plus fort.
L'intensité de l'album est constante, la technique musicale est sans égale pour l'époque car doté d'un chanteur capable de chanter une mélodie avec une virtuosité remarquable. L'écriture de Steve Harris devient plus ambitieuse, abandonnant largement la violence urbaine d'antan au profit de thèmes épiques, tirés de l'histoire, de la science-fiction et de l'horreur.
Bien que certains moments de "The Number of the Beast" soient nettement plus forts que d'autres, l'album dans son ensemble représente un sommet pour le Heavy Metal, trouvant l'équilibre parfait entre une mélodicité accessible et une technique et une intensité exigeantes.
Tout s'est parfaitement mis en place pour Iron Maiden, et l'album est devrnu une pierre angulaire du genre.

[Cooltrane]

Iron Maiden 1982 - The Number of the Beast

J'ai une anecdote amusante à propos du titre de l'album et un voisin

Celui-ci était un fana de Maiden (et métal en général), et les maisons du quartier de Toronto étaient toutes 4 façades et la numérotation augmente de 6 ou 8 par adresse. Le fana de Maiden habitait au 662 mais entre la suivante (670, je crois), habitait un écureuil gris assez peu farouche (surtout avec des fruits secs en poche), et nous l'avions baptisé Eddie, car il était au 666 (un gros chêne).

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Iron Maiden 1982 - The Number of the Beast

J'ai une anecdote amusante à propos du titre de l'album et un voisin

Celui-ci était un fana de Maiden (et métal en général), et les maisons du quartier de Toronto étaient toutes 4 façades et la numérotation augmente de 6 ou 8 par adresse. Le fana de Maiden habitait au 662 mais entre la suivante (670, je crois), habitait un écureuil gris assez peu farouche (surtout avec des fruits secs en poche), et nous l'avions baptisé Eddie, car il était au 666 (un gros chêne).

belle anecdote!

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Scott Ellison 2015 - Elevator Man

Genre: Blues

Sur "Elevator Man", Scott Ellison montre que l'univers du Blues contemporain, à l'instar de l'univers physique, continue de s'étendre vers l'extérieur de manière accélérée. Il aborde son Blues en jouant de la guitare standard et de la slide guitare. Son style s'étend du Boogie Louisianais austère de "Holler for Help" à la Soul Memphissienne de "Behind That Smile".
Ellison interprète son "My Little Sheba" comme une blague salace entre amis, tandis que "Jesus Loves Me" crie pardon pour ses péchés de Blues.
Sa prestation acoustique de "Fishsticks And Jelly" est agrémentée d'une savoureuse slide guitare électrique qui rappelle l'arrangement par les Rolling Stones de "You Gotta Move" de Mississippi Fred McDowall, sur "Sticky Fingers" de 1971.

[Phil]

Iron Maiden 1982 - The Number of the Beast

Genre: Heavy Metal

Producteur – Martin "Farmer" Birch
Basse – Steve Harris
Batterie – Clive Burr
Guitare solo – Adrian Smith, Dave Murray
Chant – Bruce Dickinson

"The Number of the Beast" marque la naissance d'Iron Maiden, une machine à Metal implacable propulsée vers de nouveaux sommets par l'arrivée de Bruce Dickinson, l'ancien leader de Samson.
La performance lyrique de Dickinson a contribué à propulser le groupe dans la stratosphère.
"The Number of the Beast" a fait d'Iron Maiden le groupe de prédilection des puristes en quête d'un Metal sans compromis.
Le groupe a repris le modèle que Judas Priest avait créé à la fin des années 70 et il a poussé le tout plus vite et plus fort.
L'intensité de l'album est constante, la technique musicale est sans égale pour l'époque car doté d'un chanteur capable de chanter une mélodie avec une virtuosité remarquable. L'écriture de Steve Harris devient plus ambitieuse, abandonnant largement la violence urbaine d'antan au profit de thèmes épiques, tirés de l'histoire, de la science-fiction et de l'horreur.
Bien que certains moments de "The Number of the Beast" soient nettement plus forts que d'autres, l'album dans son ensemble représente un sommet pour le Heavy Metal, trouvant l'équilibre parfait entre une mélodicité accessible et une technique et une intensité exigeantes.
Tout s'est parfaitement mis en place pour Iron Maiden, et l'album est devrnu une pierre angulaire du genre.

Oui, une pierre angulaire du genre, c'est ainsi que l'on peut qualifier cet album même si je pense que l'aboutissement suprême sera atteint deux ans plus tard avec Powerslave notamment via ces morceaux emblématiques que sont Rime Of The Ancient Mariner, Powerslave, Aces High et la tournée (que je verrai dans ce lieu minable que l'on appelait l'Espace Balard) qui donnera lieu au mythique double live Live After Death. Sinon, il y a eu une réédition de l'album en 2022 avec en bonus le concert intégral qui avait été donné à l'Hammersmith Odeon de Londres le 20 mars 1982.

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Iron Maiden 1982 - The Number of the Beast

Genre: Heavy Metal

Producteur – Martin "Farmer" Birch
Basse – Steve Harris
Batterie – Clive Burr
Guitare solo – Adrian Smith, Dave Murray
Chant – Bruce Dickinson

"The Number of the Beast" marque la naissance d'Iron Maiden, une machine à Metal implacable propulsée vers de nouveaux sommets par l'arrivée de Bruce Dickinson, l'ancien leader de Samson.
La performance lyrique de Dickinson a contribué à propulser le groupe dans la stratosphère.
"The Number of the Beast" a fait d'Iron Maiden le groupe de prédilection des puristes en quête d'un Metal sans compromis.
Le groupe a repris le modèle que Judas Priest avait créé à la fin des années 70 et il a poussé le tout plus vite et plus fort.
L'intensité de l'album est constante, la technique musicale est sans égale pour l'époque car doté d'un chanteur capable de chanter une mélodie avec une virtuosité remarquable. L'écriture de Steve Harris devient plus ambitieuse, abandonnant largement la violence urbaine d'antan au profit de thèmes épiques, tirés de l'histoire, de la science-fiction et de l'horreur.
Bien que certains moments de "The Number of the Beast" soient nettement plus forts que d'autres, l'album dans son ensemble représente un sommet pour le Heavy Metal, trouvant l'équilibre parfait entre une mélodicité accessible et une technique et une intensité exigeantes.
Tout s'est parfaitement mis en place pour Iron Maiden, et l'album est devrnu une pierre angulaire du genre.

Oui, une pierre angulaire du genre, c'est ainsi que l'on peut qualifier cet album même si je pense que l'aboutissement suprême sera atteint deux ans plus tard avec Powerslave notamment via ces morceaux emblématiques que sont Rime Of The Ancient Mariner, Powerslave, Aces High et la tournée (que je verrai dans ce lieu minable que l'on appelait l'Espace Balard) qui donnera lieu au mythique double live Live After Death. Sinon, il y a eu une réédition de l'album en 2022 avec en bonus le concert intégral qui avait été donné à l'Hammersmith Odeon de Londres le 20 mars 1982.

Merci pour le renseignement!

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Roger Mc Guinn 1974 - Peace on You

Genre: Classic Rock

Producteur – Bill Halverson, Suzanne Halverson
Choeurs – Dan Fogelberg
Basse – Lee Sklar
Batterie, percussions – Russ Kunkel
Claviers – Paul Harris
Guitare rythmique [12 cordes], guitare solo – Roger McGuinn
Guitare rythmique [12 cordes], guitare solo, chœurs – Donnie Dacus

Pour l'album "Peace on You" de 1974, de nombreuses influences différentes entrent dans l'univers musical de Roger Mc Guinn. Il collabore étroitement avec l'auteur-compositeur Jacques Levy, qui, comme lui, a fait partie de l'univers musical chaotique de Bob Dylan à cette époque.
Bien que Levy ait des fans qui pensent qu'il a apporté de grandes richesses aux royaumes d'artistes tels que McGuinn, les offrandes de l'équipe d'écriture de McGuinn et Levy sur cet album, telles que "Together" et "The Lady", sont remplies d'images plutôt ringardes et de sentiments superficiels.
On y retrouve une touche de sauce Turtles grâce aux contributions vocales de Howard Kaylan et Mark Volman. Le titre du morceau de Al Kooper est un cadeau pour la critique et le public: "(Please Not) One More Time". Un certain Donnie Dacus propose deux chansons sans aucun intérêt, tandis que le titre de l'album, signé du chanteur Country Charlie Rich et mis en avant à outrance par la pochette, est lui aussi assez décevant...

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Firefall 2023 - Friends & Family

Genre: Country Rock

Avec "Friends & Family", Firefall livre un album de qualité composé de reprises solides qui rend hommage à leurs pairs et inspirations de longue date.
Bien arrangés, les 13 titres qui composent "Friends & Family" se fondent dans une playlist Country Rock impressionnante et variée, inspirée de la Côte Ouest par des auteurs-compositeurs-interprètes.
Parmi les meilleurs morceaux, on peut noter "Long Train Running" des Doobies Brothers, "Part of the Plan" de Dan Fogelberg, "Heart of the Night" de Poco, "Angry Eyes" de Loggins & Messina et "Ooh Las Vegas" de Gram Parsons.
"Friends & Family" est recommandé aux fans de Firefall et du Soft Rock des années 70.