Genre: Rock, Pop, Modern Electric Blues
Producteur – Dave Muscheidt , More Experience
Guitare acoustique – Martin Buess
Choeurs – Dave Muscheidt
Basse – Henry Imboden
Batterie, chœurs – Marco 'caco' Brander
Guitare, chant – Marcel Aeby
More Experience est un groupe Suisse qui ne vit que pour la musique de Jimi Hendrix et la perpétue de jolie manière!
Genre: Folk Rock, Soft Rock
Producteur: Michael Hamilton
Coproducteur; Paul Berolzheimer
Guitare acoustique, guitare électrique, chant: Billy Talbot
Basse électrique, chant:Jeffrey Chase
Guitare électrique, claviers, mellotron, chant: Matt Piucci
Guitare électrique, claviers, harmonica, flûte, chant: Erik Pearson
Batterie: Stéphane Junca
Guitare électrique, guitare acoustique, banjo, accordéon, chant: Tommy Carns
Ce sont les débuts du bassiste Billy Talbot (Crazy Horse) avec son groupe éponyme.
Ce n'est peut-être pas parfait, mais aucune des chansons ne semble déplacée dans son répertoire.
Il ne fait que refléter ce qui a été fait de mieux sur d'autres projets auxquels il a participé, laissant sa propre perspective fraîche et unique qui persiste quelque part en arrière-plan.
Dans l'ensemble, "Jo Sago" est superbe, et il reste un album à couper le souffle qui a été trop oublié de nos jours. Il est meilleur que le premier album du groupe. C'est l'histoire de l'adaptation d'un immigrant des Caraïbes dans l'Angleterre après l'année de la crise économique du début des années 70
Pourtant, le label Harvest l'a malheureusement saboté.
C'est un véritable 'rayon de soleil' musical.
pas trop d'accord: autant Asylum était déjanté et fou, autant Sago est un truc conceptuel étrange avec des dialogues (un peu comme the Cheerful Insanities of Giles Giles & Fripp), mais il manque l'esprit de folie.
Genre: Rock, Blues, AOR
Producteur exécutif – Ken Ciancimino
Producteur – Jon Butcher
Harmonica – Kellie Rucker
Tous les Instruments – Ben Schultz , Jon Butcher
Jon Butcher est l'un des rares guitaristes à encore pouvoir restituer l'esprit d'un Hendrix vintage.
"Electric Factory", c'est, tout simplement, du Blues électrique pur et dur.
La plupart des chansons sont excellente, surtout l'instrumental "Brian's Electric Factory", dans lequel Butcher et Ben Schultz déguainent leurs guitares sur un rythme entraînant.
C'est une belle prestation d'un grand talent.
Recommandé!
Genre: Rock, Latino, Soul Rock
Basse, guitare acoustique -- Burlin parle
Batterie -- Ken Weissman
Batterie, chant, percussions, piano -- Pepe Gomez
Guitare -- Charles Rook
Timbales, percussions, chant -- Mike Cruz
Timbales, Congas, Percussions, Chant -- Reinol Andino
Pour le deuxième album de Chango, "Honey Is Sweeter Than Blood", le chanteur Pepe Gomez a changé tous les membres sauf un, changé de label pour Mercury et s'est tourné vers le Soul Rock.
L'album est plus Hard et moins Latino que le premier. La voix est parfaite, les guitares hurlent et le chanteur s'accorde en harmonie avec.
Les amateur du Santana original, mais en plus Hard avec une voix inédite, apprécieront!
Genre: Blues, Country Blues
Guitare, Harmonica, Chant – John Hammond
Le bluesman blanc, John Hammond, a consacré toute sa vie à la recherche des grands noms du Blues et il s'est donné pour mission de préserver cet Art en le restituant avec justesse, en reproduisant non seulement le son, mais aussi le cœur qui a présidé à la création de ces chansons qui ont traversé le temps.
Il a préservé l'âme de cette musique en parvenant non seulement à recréer le son, mais aussi la douleur de vivre à une époque marquée par l'esclavage, le désespoir et la destruction de cette expérience.
Hammond dégage plus d'énergie à la guitare acoustique que certains groupes de Blues électrique!
Superbe chant, superbe guitare, superbe harmonica!
Amos Garrett est un guitariste, chanteur, compositeur et arrangeur de Blues et de Blues Rock qui joue un Blues élégant.
"Buried Alive In the Blues" est une compilation d'excellents morceaux corsés avec quelques cuivres, un chant et une écriture soignés, une guitare solide sur chaque morceau, un style Soul et tout cela fonctionne à merveille.
Amos complète ses chansons sans jamaixs gaspiller de notes, et ce disque est une belle vitrine de son talent.
Guitare acoustique – Geoff Whitehorn, John 'Rabbit" Bundrick
Basse – John "Rabbit" Bundrick, Kuma Harada
Cuivre – Jumping Jacks
Batterie – Henry Spinetti
Guitare – Geoff Webb, Geoff Whitehorn, Snowy White
Chant principal – John "Rabbit" Bundrick, Snowy White, Terry Wilson-Slesser
Guitare rythmique – Janne Schaffer
"Welcome to America" est composé de 17 titres de l'excellent claviériste John “Rabbit” Bundrick, qui a joué avec Free, The Who, Back Street Crawler et bien d'autres.
La ressemblance avec Crawler est indéniable. D'ailleurs, l'ambiance de cet album est très proche de celle de ce groupe; un ou deux morceaux les plus bluesy seraient tout à fait à leur place sur l'album "Second Street" de Back Street Crawler!.
Genre: Electronic, Rock, Art Rock
Producer – Robert Fripp
Robert Fripp est devenu l'une des figures les plus importantes de la scène rock progressive émergente en 1969 avec In The Court Of The Crimson King , le premier album de King Crimson, le groupe qu'il avait fondé.
Fripp le dirigea avec une approche visionnaire, toujours à la recherche et à l'essai de nouveautés.
Mais il faut attendre 1979, alors qu’il s'est exilé à New York en proie à une grosse fièvre musicale, pour qu'il se lance dans une carrière solo, ou du moins travailler sans collaborer avec d'autres.
Outre Brian Eno, on retrouve Peter Gabriel, Peter Hammill, Daryl Hall, qui s'est beaucoup impliqué dans l'écriture des chansons, ou encore Phil Collins!
Fripp fait la synthèse des trouvailles qu'il a expérimentées avec ceux pour qui il a joué et fait également ressortir la philosophie qu'il a étudiée, dont le signe explicite est l'utilisation d'enregistrements de John G.Bennett, un autre disciple de Gurdjieff.
A l'écoute d'"Exposure", la première chose qui vient à l'esprit est King Crimson.
Fripp expérimente et montre ses nouvelles trouvailles, notamment sur les instrus comme "Water Music I", "New York New York New York" et "Hååden Two".
"Exposure" est un album qui a un intérêt très fort d'un point de vue musical, dans le sens où il présente sa manière de jouer de la guitare et comment elle peut s'appliquer de façon concrète à un format plus conventionnel et rétrospectivement, les bases du futur King Crimson sont mises en place.
Producteur – Don Smith
Percussion -- Phil Jones
Harmonica -- David Osborn
Basse -- Brad Merritt
Guitare rythmique, chant -- Neil Osborne
Batterie -- Matt Johnson
Guitare solo, claviers, trompette, chœurs -- Phil Comparelli
Dans les années 90, 54‑40 avait tourné le dos à la Pop des années 1980 et le groupe adopta un son Blues Rock et Grunge Rock plus axé sur la guitare.
Sur "Dear Dea" de 1992, 54-40 a abandonné certaines de ses influences REM pour s'attaquer à des morceaux plus Hard Rock et plus anguleux comme "She La", "Nice to Luv You" et "Faithful", ce dernier avec un solo de guitare à la Neil Young.
Des chansons comme le captivant "Music Man", au rythme sensuel, et le plus discret "Apollo & Me", démontrent la capacité du groupe à composer des chansons Pop de qualité, pleines d'émotion et de profondeur.
Basse -- Martin F. Kibbee
Batterie, chœurs -- Richie Hayward
Guitare solo, guitare -- Warren Klein
Chant principal, guitare rythmique, bois, percussions -- Lowell George
The Factory n'est pas Little Feat, mais "Lightning - Rod Man" est un album de Rock sixties agréable qui devrait plaire aux amateurs de "Nuggets" et autres compilations du même genre.
Les fans de Little Feat pourraient être déçus car il est clair, d'après les notes des chansons, que Lowell ne considérait pas certains de ces enregistrements comme finalisés, mais même s'ils sont en cours de développement, ils sonnent plutôt bien. The Factory vaut vraiment le coup et, même s'ils n'ont jamais sorti d'album, cette compilation de leurs enregistrements est agréable à écouter.
Producteur -- Chris Eckman
Basse -- Alan Waggoner
Guitare, chant, orgue -- Terry Lee Hale
Pendant plusieurs années, Terry Lee Hale a fait partie de la scène solo de Seattle, jouant dans les clubs et les bars de la ville.
1993 a marqué le début de ses tournées sur le continent Européen en tant que première partie du groupe The Walkabouts.
Terry est devenu l'un des plus grands auteurs-compositeurs Américains et un guitariste exceptionnel.
Sur "Frontier model", il explore les musiques Folk et Country comme il sait si bien le faire!.
Genre: Jazz, Rock, Funk Soul, Blues, Soul-Jazz, Gospel, Piano Blues, Pop Rock, Soul
Producteur exécutif – Michael Torpedine
Basse -- Polo Jones
Batterie – Giorgio Francis
Claviers – David Sancious
Percussions – Rosario Jermano
Saxophone soprano – Eric Daniel
"Blue's" est sorti en 1987, sous le nom de "Zucchero Sugar Fornaciari".
Le succès que Zucchero avait connu dans les festivals de musique au début des années 1980 a finalement attiré l'attention des musiciens étrangers. Après un voyage aux États-Unis au milieu des années 1980, il revient avec un nouveau groupe comprenant des musiciens Américains et se concentrant sur le Blues.
Parmi eux se trouvait le claviériste David Sancious. La tournée qui a suivi la sortie de l'album comprenait des performances de Joe Cocker, Miles Davis, Eric Clapton et B.B. King.
Producteur – Neil Finn, Chad Blake, Tim Finn
Tous les instruments -- Tim et Neil Finn
Comparé aux albums méticuleusement conçus de Crowded House, "Finn" est un album décontracté et spontané des frères Finn.
Si les murs de leur maison familiale pouvaient parler, "Finn" est l'album de la chambre des garçons. Il capture une enfance passée à jouer de la guitare acoustique ensemble, à peaufiner quelques accords après une session des Beatles sur le radiogramme.
Les chansons sont comme des œuvres en cours de création, un aperçu de l'invention des frères.
"Off The Floor Live!" a été enregistré en live avec son Eh Team au Sidetrack Club à Edmonton.
Garrett et son Eh! Team, Ron Casat (piano), Gary Koliger (guitare), Brian Pollack (basse), Thom Moon (batterie) et la section cuivres avec Dave Babcock (saxophone ténor), Ken Hoffman (saxophone baryton) et Bill Jamieson (saxophone alto) sont en pleine forme.
Les standards défilent comme "Walkin' Blues", le vieux Hit de Santo & Johnny "Sleepwalk", récemment redécouvert par Brian Setzer, le vieux Hit R&B de Johnny Otis "Willie And The Hand Jive", "Grasshoppers in my Pillow" de Leadbelly, "Goose Grease" de Johnny Heartsman et deux chansons de Percy Mayfield, "Maybe It's Because of Love" et "That's What a Little Dream Can Do". Et, pour finir, l'hommage à John Lee Hooker, intitulé "Conversations With John Lee Hooker".
Du Blues sophistiqué, parfois un peu jazzy, parfois avec beaucoup de feeling Rock'n'Roll, mais toujours interprété de manière très détendue.
Producteur -- Alabama
Basse, chant -- Teddy Gentry
Batterie, chant -- Marc Herndon
Lead guitare, Claviers, Violon, Chant -- Jeff Cook
Chant principal, guitare -- Randy Owen
Lorsque RCA sortit "My Home's In Alabama' en 1980, Alabama était déjà un groupe soudé et cohérent, mais il est passé instantanément d'un groupe régional à succès à un goliath national.
L'album a véritablement lancé le groupe, atteignant le n° 3 du classement des albums Country et le n° 71 du classement Billboard tous genres confondus.
Malgré le succès de cet album, les huit albums suivants feront encore mieux car le meilleur est encore à venir.
Producteur – Jim Mason
Basse, chant – Mark Andes
Batterie – Michael Clarke
Guitare, chant – Larry Burnett , Rick Roberts
Chant, guitare solo – Jock Bartley
"Firefall" est un album éponyme du groupe Firefall, sorti en 1976 devenu culte: il n'a pas connu le succès commercial de certains de ses contemporains, mais il demeure un joyau aux harmonies sublimes et aux mélodies magnifiquement travaillées.
Il met en valeur le talent exceptionnel et le son unique du groupe. Il mêle avec aisance des éléments de Rock, de Folk et de Country, créant une expérience musicale euphonique et apaisante, proche de celle de groupes comme The Eagles, Crosby Stills & Nash et America.
"Firefall" a su vieillir au fil des ans, devenant un joyau méconnu qui mériterait une reconnaissance bien plus grande qu'il n'en obtiendra probablement jamais car il est suffisamment bon pour rivaliser avec des albums comme "Hotel California".
Les amateurs de Rock harmonieux des années 70 et les amateurs d'écriture soignée trouveront leur bonheur dans Firefall.
Jimmy Thackery 1985 - Sideways in Paradise
Genre: Acoustic, Country Blues, Delta Blues, Louisiana Blues, Blues Rock, Memphis Blues
Producteur – Jim Thackery , John Mooney , Jon Nagy
Choeurs, guitare douze cordes – Jonathan Nagy
Chant, mandoline, guitare douze cordes, steel guitar – John Mooney
Chant, guitare douze cordes, steel guitar, mandoline, mandocello, guitare [Guitare six cordes] – Jimmy Thackery
Jimmy Thackery s'est fait connaître comme le guitariste novateur des Nighthawks, l'un des groupes de Blues les plus travailleurs et les plus populaires des années 70 et 80. Il a acqui son talent en s'inspirant des meilleures sources: Outre Buddy Guy et Jimi Hendrix, Thackery cite Otis Rush, maître de la guitare de Chicago, comme une de ses principales influences. De plus, il a beaucoup appris en jouant sur scène aux côtés de légendes du Blues comme Muddy Waters ou James Cotton.
Thackery a enregistré "Sideways in Paradise" en Jamaïque en 1985 avec le maître de la slide guitar John Mooney.
Thackery fait preuve ici d'une remarquable aisance pour l'acoustique. On y trouve une profusion d'excellents morceaux. Les musiciens utilisent des steel guitars et des mandolines National et repoussent les limites du possible pour la musique acoustique traditionnelle.
Basse – Albert Molinaro
Batterie – Joe Yuele, Mark T. Williams, Ritchie Hayward
Batterie, percussions – Mark T. Williams
Guitare, chant – Coco Montoya
Harmonica, piano, chant – John Mayall
Cors – Darryl Leonard, Joe Sublett
Guitare solo – Albert Collins
Guitare solo, chant – Coco Montoya, Debbie Davies
Orgue – Al Kooper, Mike Finnegan
Orgue, piano – Benny Yee
Piano – Rob Rio
Guitare rythmique, chœurs – Debbie Davies
En 1995, après cinq ans dans le groupe d'Albert Collins et dix ans dans celui de John Mayall, le guitariste Coco Montoya avait étudié son domaine si longtemps qu'il méritait un doctorat en Blues.
Son premier album solo, "Gotta Mind to Travel", lui sert de thèse, un document impressionnant qui devrait passer avec succès devant n'importe quel jury.
Montoya est connu depuis longtemps pour son éloquence et son élégance, mais ce premier album révèle également une voix étonnamment puissante et souple, ainsi qu'un instinct de composition ingénieux.
Résultat: un talent déjà mature émerge dès son tout premier projet solo.
Genre: Rock, Blues, Folk, Blues Rock, Acoustic Rock, Chicago Blues
Producteur -- Willie Murphy
Chant, guitare acoustique, guitare slide -- Bonnie Raitt
Saxophone baryton -- Maurice Jacox
Harmonica -- Junior Wells
Batterie -- Steven Bradley
Guitare électrique -- Peter Bell, Russell Hagen
Basse sans frettes -- Freebo
Piano -- John Beach, Willie Murphy
Saxophone ténor -- AC Reed, Eugene Hoffman
Trombone -- Douglas "Toad" Spurgeon
Trompette -- Voyle Harris
Bonnie Raitt n’a écrit que 2 des 11 titres de son album éponyme de 1971, composé quasi-intégralement de reprises. Si elle n’est pas très prolifique dans le songwriting, en revanche, elle compense largement en étant une remarquable interprète et, en plus de chanter, elle joue de plusieurs instruments tels que la guitare, le piano, le tambourin et a même plusieurs fois produit ses disques.
L'album est un mélange de Blues et de Folk et des instruments tels que le piano, le saxophone, l’harmonica et les guitares acccompagnent joyeusement la chanteuse. Ses deux compositions personnelles montrent qu'elle n’est pas maladroite et son potentiel est entrevu sur la ballade bluesy "Thank You", fine et ne laissant pas insensible, et surtout sur "Finest Lovin’ Man", un pur morceau de Delta Blues bien rétro sur lequel l’harmonica et le piano sont très présents.
Les autres titres sont donc des reprises. Certaines datent des années 60, tandis que d’autres proviennent carrément des années 20.
Ce premier disque est plutôt sympathique et Bonnie montre de bonnes dispositions et son chant mélodique ne peut que se bonifier avec le temps.
S'il n’a eu aucun succès à l’époque, il a été accueilli plutôt favorablement par la critique et il a constitué une première pierre dans la carrière de Bonnie Raitt.