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2010 - Raised On Rock
En 2010, à la sortie de l'album "Raised On Rock", le Blindside Blues Band est dirigé par le guitariste chanteur Mike Onesko accompagné de Scott Johnson à la seconde guitare et Kier Staeheli à la basse, ainsi que d'Emery Ceo à la batterie.
Sur le plan du son, l'album est rempli d'hymnes Blues Hard Rock de premier ordre.
Blindside Blues Band s'est attelé à mettre en œuvre ce puissant programme dans une série de chansons qui non seulement résistent à des écoutes répétées, mais qui deviennent de plus en plus séduisantes à chaque écoute.
Des titres comme "War In The Streets", avec son stomp contagieux, "World On Fire" et son riff inspiré d'Hendrix et l'attaque lente et régulière de "Backstreet Rider" soulignent vraiment que ce groupe n'est pas seulement capable de composer du Hard Heavy Rock imprégné de Blues, mais qu'il le fait avec classe, précision et un feeling qui ne laisse aucun doute sur le fait que tous les membres du groupe vivent pour ce style de musique.
"Raised On Rock" contient aussi une variété qui n'est pas toujours présente dans ce genre, avec de vrais Rocks entraînants comme "Wave On", tempérés par le groove profond et stylé du classique de Johnny Cash "Folsom Prison Blues" ou les chansons plus réservées, mais tout aussi efficaces, "Love Is Worth The Blues" de Leslie West.
Le son et les guitares d'Onesko et Johnson sont une joie à écouter. Pour tout amateur sérieux de Blues authentique des années 70, c'est un album à ne rater sous aucun prétexte!

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1969 - Empty Sky
"Empty Sky", paru en 1969, est le premier véritable album solo qu'Elton John enregistre après avoir quitté Bluesology; il marque également le début de sa longue et fructueuse collaboration avec le parolier Bernie Taupin.
Cet album est tout à fait représentatif de l'ère post-Sgt. Pepper's. Avec ses arrangements et ses textes ambitieux, il est clair que John et Taupin voulaient faire de cet album une déclaration majeure.
"Empty Sky" ne contient pas de joyaux oubliés, mais il laisse entrevoir le potentiel considérable d'Elton John.

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2005 -The other Side
Les enregistrements de Chris Hillman des années 1990 ont montré clairement que ce qu'il préfère, c'est se détendre avec un bon groupe de bluegrass (généralement avec son ami Herb Pedersen) et jouer de la guitare ou de la mandoline sur une pile de chansons à la manière classique.
C'est la formule de "The Other Side", sorti en 2005, que Hillman a décrit comme un album de "chansons pour apaiser et élever l'âme", et bien qu'il soit difficile de dire où la reprise acoustique d'ouverture de "Eight Miles High" s'inscrit dans ce modèle, la plupart des morceaux sont de nouvelles compositions de Chris Hillman / Steve Hill qui, d'une manière douce mais directe, traitent de questions de foi.
La façon dont Hillman aborde le Bluegrass Gospel montre qu'il s'agit d'un genre avec lequel il est à l'aise depuis longtemps, et il y a une gracieuse alternance entre le décontracté et le passionné sur ces sessions, où les musiciens prennent leur picking et leur message très au sérieux tout en restant dans un groove confortable et facile à vivre tout au long de l'album.
"The Other Side" est une collection joyeuse et tranquille de morceaux de Bluegrass Gospel avec des détours occasionnels vers des sujets de cœur, et si ni Hillman ni ses coéquipiers ne transpirent beaucoup sur ces enregistrements, cela ne veut pas dire qu'ils ne se donnent pas à fond à leur manière discrète, et c'est vraiment de la musique à son plus grand niveau d'inspiration.

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1977 - Country Cookin'
Sur "Country Cookin'" sorti en 1977, Charlie McCoy continue à jouer de la Country Music comme lui et son groupe de session de Nashville savent si bien le faire!...

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2014 - Influence
Philip Sayce revient avec un autre chef-d'œuvre, "Influence", sorti en 2014.
L'album se targue de quelques joyaux magnifiquement texturés, Sayce rendant hommage à ses idoles avec des reprises agréablement obscures et d'impressionnantes compositions originales.
Après quelques écoutes, il est clair que, conformément au concept de l'album, il a intelligemment écrit de nouvelles chansons dans le style de ses héros plutôt que de reprendre paresseusement les mêmes classiques épuisés. Les résultats sont parfaitement cohérents, avec "Green Power" de Little Richard qui lance des grooves de l'aine et de la soul gospel des cieux, tandis que Better Days de Graham Nash ronronne d'optimisme et que Sailin' Shoes de Little Feat est un videur de salle de bar qui se déhanche.
Après leur collaboration sur "Steamroller", Sayce fait à nouveau équipe avec le producteur Dave Cobb qui donne à l'album son immédiateté caractéristique et sa fièvre énergique et spontanée.
Il a également coécrit tous les morceaux originaux avec Sayce, et des titres comme "I'm Going Home", "Easy On The Eyes" et "Evil Woman" montrent qu'ils sont faits pour s'entendre dans un environnement Blues Rock paradisiaque.
Sayce mûrit en tant que guitariste, mariant un style qui sonne comme s'il devait exploser de ses doigts avec un sens perspicace du moment où il doit se calmer et se déchaîner.
Avec "Influence", Sayce fusionne superbement la Soul, le Gospel et le Rock pour asseoir sa réputation d'un des plus chauds représentants du Blues élémentaire et passionnément expressif du moment.

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1975 - Split Coconut
"Split Coconut" de Dave Mason, sorti en 1975, n'est pas aussi bon que ses trois premiers albums, mais il est très funky et il mérite, malgré tout, d'être écouté par tous les fans de Mason.
Le morceau suivant "Crying, Waiting, Hoping", de Buddy Holly, est certainement le pire de l'album avec son ambiance calypso et ses tambours en arrière-plan qui n'apportent rien au tableau, si ce n'est que Mason s'est amusé pendant qu'il enregistrait cette chanson et qu'il avait envie de la partager. "You can lose it" et "She's a friend" sont des chansons Pop Rock agréables. Sur "Save your love", le travail de la guitare est vraiment excellent, mais malheureusement le fondu enchaîné se produit au milieu du solo et c'est dommage.
La deuxième face commence fort avec "Give me a reason why", un autre excellent morceau pour un grand solo de guitare, cette fois-ci par Jim Krueger, mais il reste dans le même style que celui de Mason et s'adapte très bien à la chanson. "Two guitar lovers" est l'autre reprise de l'album et c'est aussi une belle chanson avec le travail de guitare entrelacé de Krueger et Mason, très classe. Des parties de claviers amusantes de Jay Winding sur le morceau suivant "Sweet Music" font de ce morceau l'un des points forts. La dernière chanson, "Long Lost Friend", probablement la deuxième plus forte, est très évocatrice de Lynyrd Skynyrd dans sa construction et elle constitue un excellent final.

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1971 Resurrection Of Vacation
Vacation est un groupe Belge, originaire de la région de Charleroi, composé du lead guitariste Luigi Collu, du bassiste Sonny "Bono" Ignoti et d'Alain Wéry à la batterie. Son style musical puise son inspiration dans le Blues mais également dans le Rock dit progressiste de Blue Cheer, Cream ou Jimi Hendrix.
Dès 1971, le trio s'est mis au travail en composant une bonne douzaine de morceaux dont certains sont enregistrés sous forme de démos dans un studio de la RTB.
Les musiciciens complètent leur répertoire avec du nouveau matériel et décident de se lancer dans l'aventure de l'auto-production. Ils financent eux-mêmes leur album qu'ils baptisent Resurrection Of Vacation.
Mal distribué et ne jouissant pas de la promotion qu'il aurait mérité, le LP ne se vendra pas au de-delà du cercle restreint des amateurs de Rock de Charleroi et de ses environs.
Seule consolation: les critiques sont élogieuses. Le groupe conforte ainsi sa réputation de groupe Rock avec lequel il faut compter...

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2011 - Smokehouse Sessions - Volume Two: The Blues Is Evil
'Smokehouse Sessions - Volume Two: The Blues Is Evil', sorti en 2011, présente le Blindside Blues Band sous un jour lumineux.
"Evil" et "I Ain't Superstitious" offrent un doublé plaisant de Willie Dixon, auquel s'oppose quelque chose de moins évident de Jimi Hendrix, "Hear My Train A Comin'", tout comme le plus solide "King of the Sky" relativise lentement des Blues comme "Working So Hard". La diversité est assurée, d'autant plus que les musuciens se concentrent sur le fait de garder les morceaux relativement compacts. Seul "To the Station" ne fait pas l'impasse sur des intermèdes de jam à la fin.
En fin de compte, le Blindside Blues Band reste, avant tout, un sujet pour les purs et durs...
Les "Smokehouse Sessions" permettent d'accéder le plus facilement possible à la discographie quasiment inflationniste de Blindside Blues Band.

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1970 - Elton John
L'album éponyme d'Elton John, sorti en 1970, est un disque plus ciblé et plus abouti que son premier opus, et il est devenu, à juste titre, son premier succès.
L'écriture de John et de Bernie Taupin est devenue plus immédiate et plus réussie; en particulier, la musique d'Elton est devenue plus précise et plus diversifiée, sauvant les paroles souvent nébuleuses de Taupin.
"Take Me to the Pilot" n'a peut-être pas beaucoup de sens du point de vue des paroles, mais John a le bon sens d'ancrer ses mots volontairement énigmatiques dans une mélodie entraînante à base de Blues.
Outre le sens accru de l'art de la chanson, le changement le plus notable est l'ajout des arrangements de cordes grandioses de Paul Buckmaster. Ses orchestrations ne sont jamais subtiles, mais elles n'écrasent pas le chanteur et ne rendent pas les chansons mièvres. Au contraire, elles sont à la hauteur des ambitions de John et Taupin, comme l'illustre le standard instantané "Your Song". Même avec les cordes et les chœurs qui dominent le son de l'album, Elton parvient à faire du Rock sur une bonne partie du disque.
Bien qu'il y ait quelques chansons peu développées, "Elton John" reste l'un de ses meilleurs albums.

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2017 - Bidin my Time
Il est difficile d'imaginer un meilleur producteur pour Chris Hillman que Tom Petty, qui a prêté une fière allégeance aux Byrds avec son premier album en 1976. C'est la même année que Hillman a entamé sa carrière solo, laissant derrière lui les Byrds et les Flying Burrito Brothers.
Hillman a connu le succès commercial dans les années 80 au sein du Desert Rose Band. Une fois que ce groupe eut fait son temps, Hillman et Herb Pedersen se sont mis à enregistrer et à faire des tournées dans diverses configurations.
Pedersen avait produit "The Other Side', l'album de 2005 que Hillman pensait être son adieu, mais Pedersen a convaincu Petty de produire un nouvel album et Hillman a accepté, ce qui a donné le chaleureux et merveilleux "Bidin' My Time", sorti en 2017.
Conçu comme une promenade intentionnelle dans les dernières pages de Hillman, l'album s'ouvre sur "The Bells of Rhymney", l'une des nombreuses chansons des Byrds présentes sur l'album. "She Don't Care About Time", une chanson écrite par Gene Clark, est présente aux côtés de la rareté "Here She Comes Again", pour laquelle Hillman joue de la basse pour la première fois depuis des décennies.
Ce sont des évocations conscientes du jangle caractéristique des Byrds, mais dans l'ensemble, le cœur de "Bidin' My Time" appartient à la Folk et à la Country des derniers disques de Hillman.
C'est un son douillet qui est délivré avec la précision de professionnels chevronnés, et le fait d'avoir de vieux morceaux, y compris de douces reprises de "Walk Right Back" des Everly Brothers et de "Wildflowers" de Tom Petty, entre les excellents nouveaux morceaux de Hillman contribue à faire de l'album un résumé discret de tout ce qu'Hillman a accompli au cours de sa carrière longue et variée.

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1979 - Appalachian Fever
"Appalachian Fever" de Charlie McCoy, sorti en 1979, est un joli album de Country Music et de Country Rock.
McCoy est toujours accompagné par l'élite des musiciens de Nashville...

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2016 - Scorched Earth: Volume 1
"Scorched Earth: Volume 1", sorti en 2016, est un album live que les fans de Philip Sayce attendaient depuis bien longtemps. Sayce n'avait sorti qu'un demi-album live jusqu'alors avec "Ruby Electric".
L'album contient sept titres enregistrés en live lors d'une tournée au Silver Dollar Room à Toronto.
L'album s'ouvre sur une version dépouillée de "Steamroller", qui enchaîne avec la montée d'adrénaline de "Powerful Thing". "Blues Ain't Nothing But A Good Woman On Your Mind", extrait d'"Influence", est un Blues croustillant, sale et Rock. "Standing Around Crying" suit et se transforme en "Aberystwyth", qui est devenu un incontournable de ses concerts. C'est l'exemple parfait d'un bon morceau de studio qui devient excellent en live, car Sayce déploie vraiment ses ailes et se laisse aller à la magie de la guitare. Le groove funky de "Beautiful", tiré de l'album "Steamroller", est le suivant et c'est encore un morceau qui fonctionne très bien en live. Il en va de même pour "A Mystic". Sayce enchaîne avec "Out Of My Mind", tiré d'"Influence", qui est un morceau déchirant rendant hommage à Jimi Hendrix. "Scorched Earth" se termine par "Alchemy", l'instrumental emblématique de Sayce. C'est une conclusion en douceur pour un album en feu.
"Scorched Earth" est un titre très approprié car Sayce brûle littéralement sur scène.

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1976 - Certified Live
Grâce à ses tournées incessantes au milieu des années 1970, Dave Mason s'est constitué un public de concerts qui ne s'est pas nécessairement traduit par un public d'acheteurs de disques, et ce double album live, sorti à une époque où les doubles albums live faisaient fureur, avait pour but de résoudre ce problème.
"Certified Live" démontre que Mason dispose d'un groupe de tournée soudé et d'un répertoire de standards du Rock dans lequel puiser, ainsi que d'acquisitions aussi intéressantes que "Take It To The Limit" des Eagles et "Gimme Some Lovin'" du Spencer Davis Group.
Bien qu'il n'ait pas réalisé la percée de carrière escomptée, il va donner à Mason le temps de concevoir l'album studio qui réalisera cette percée, et il a également donné à Columbia des versions de chansons plus anciennes de Mason telles que "Feelin' Alright?", "Pearly Queen", "Sad And Deep As You" et "Only You Know And I Know".
N.B.: Jim Krueger joue de la guitare "voicebox" à la Frampton sur "Goin' Down Slow".

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1975 - High Voltage
"High Voltage" est le premier album du groupe Australien AC/DC. Cet album est sorti le 17 février 1975 uniquement en Australie.
Le disque a été mis en vente par Albert Production et n'a jamais été réédité sous un autre label.
Un autre album également nommé "High Voltage" reprenant leurs deux premiers albums (deux chansons de "High Voltage" et sept de "T.N.T.") est publié en 1976 pour l'Europe et les États-Unis.

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2012 Generator
"Generator, sorti en 2012, marque le retour du Blindside Blues Band au label Blues Bureau offrant un nouvel assortiment de morceaux basés sur le Blues joué à la guitare. En plus du guitariste / chanteur Mike Onesko, du bassiste Kier Staeheli, et du batteur Emery Ceo, le célèbre artiste solo de Blues, Jay Jesse Johnson, apporte également son style flashy de guitare Blues.
Sur une rythmique de plomb, les deux guitaristes rivalisent de virtuosité en alternant leurs solos avec une puissance et une conviction évidentes.
Il s'agit d'un excellent Blues Rock rétro caractérisé par de superbes chansons, un groupe et des vocaux puissants, et des solos brûlants.
Le dernier titre, un instrumental "Bonus Jam" est un florilège de chorus en tout genre, jubilatoire au possible pour ceux qui aiment les guitares mordantes bourrées de feeling.
Le Blindside Blues Band ne cherche pas à enjoliver ses compositions par une orchestration compliquée, son Blues Rock se veut direct et énergique et c'est réussi grace à quatre musiciens très convaincants.

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1970 -Tumbleweed Connection
"Tumbleweed Connection", sorti en 1970, a été enregistré dans le sillage du décollage spectaculaire de la carrière d'Elton John en Amérique, des titres comme "Ballad Of A Well-Known Gun" et "Country Comfort", avec steel guitare, reflètent la nouvelle fascination d'Elton et du parolier Bernie Taupin pour leur patrie d'adoption, en particulier le travail d'artistes comme The Band et Creedence Clearwater Revival.
D'autres titres comme "Burn Down The Mission" et "Amoreena" explorent l'obsession de Taupin pour le passé mythique de l'Amérique.
Il y a aussi de la place pour des ballades simples, notamment "Love Song", écrite par Lesley Duncan et rendue à la perfection par la voix déchirante d'Elton.

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1978 - Xitintoday
"Xitintoday" de Nik Turner's Sphynx, sorti en 1978, est un disque qu'il faut écouter, c'est un disque important, voire marquant.
De Nik Turner, saxophoniste et flûtiste de Hawkwind, on s'attendrait à quelque chose de plus lourd, mais ce merveilleux album est très calme et spatial, et dans le dernier morceau, il est même un peu Rock, mais ceala n'a rien à voir avec Hawkwind. Avec la moitié de Gong, Steve Hillage, Mike Howlett, Tim Blake, Miquette Giraudy et Harry Williamson qui n'a pas joué avec Gong mais est devenu plus tard un membre important de Mother Gong, plus l'ancien batteur de Hawkwind, Alan Powell et Morris Pert de Brand X aux percussions, la formation est exquise.
Mais la plus grande surprise est Turner lui-même. Sa flûte domine clairement l'album, et l'on ressent vraiment les anciens dieux Egyptiens évoqués par elle. La musique utilise beaucoup le vocoder, ce qui ajoute au sentiment d'être entouré d'êtres surnaturels.
Ce n'est pas un album à écouter en fond sonore; il faut l'écouter tard le soir, à la lumière d'une bougie, et les dieux se révèleront.
"Xitintoday" est un véritable must méconnu!...