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1969 - The Real McCoy
"The real McCoy" est une expression idiomatique et une métaphore utilisée dans une grande partie du monde anglophone pour signifier "la vraie chose" ou "l'article authentique", par exemple "he's the real McCoy" (il est le vrai McCoy).
Dans l'industrie du disque, il est connu sous le nom de "utility man" en raison de sa capacité à jouer avec suffisamment de talent sur de nombreux instruments différents en plus de l'harmonica; par exemple, il joue de la trompette sur "Rainy Day Women ♯12 & 35" de Dylan, du saxophone sur "Oh, Pretty Woman" de Roy Orbison, et de l'harmonica basse sur "The Boxer" de Simon and Garfunkel. Sur la bande originale de l'album Harum Scarum d'Elvis Presley en 1965, il joue de la guitare, de l'harmonica, de l'orgue et du vibraphone;
"The Real McCoy" de Charlie McCoy est sorti en 1969. On y trouve de la musique Country Rock instrumentale et un McCoy en train de s'affirmer.
Charlie est accompagné par la créme des musiciens de studio de Nashville et son interprétation du traditonnel "Orange Blossom Special" est excellente.
Les amateurs d'harmonica seront comblés, mais pas que...

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2009 - The Chronicles Of Love, Hate And Sorrow
Avec "The Chronicles Of Love, Hate And Sorrow", Domain a décidé de faire dans le concept. Il s'agit d'une relecture d'une oeuvre romantique de Goethe narrant les souffrances du jeune Werther.
La musique est un mélange entre un Heavy Metal accrocheur, un côté FM et mélodique, un côté épique et une bonne dose de guitare Néo Cassique empruntée à Malmsteen et toutes les compos sont accrocheuses.
Que du bon, mais il manque un petit quelque chose au niveau de la production ou au niveau des compos. L'album est excellent, mais Domain est peut-être un cran en dessous de ses plus récents albums.
Le lead guitariste Axel Ritt est dopé au style Néo Classique de Malmsteen, et ses solos de guitare à toute vitesse dégage malheureusement rarement beaucoup de feeling.
"The Chronicles of Love, Hate and Sorrow" est tout de même un bon album avec des compositions mélodiques accrocheuses.

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1996 - War Dance
L'album du groupe Rondinelli, "Wardance, enregistré en 1985, n'est sorti qu'en 1996.
Rondinelli est dirigé par le batteur Bobby Rondinelli et son frère Ted qui joue de la guitare. Ce groupe est très lié à Black Sabbath car Bobby a joué de la batterie sur deux albums de Sabbath en l'espace de deux ans, de 1993 à 1995. Ray Gillen, qui a chanté pour Sabbath en 1986 et 1987, chante sur cet album "War Dance". Il y a aussi Neil Murray à la basse, qui était aussi dans Black Sabbath.
"War Dance" est composé de quatre enregistrements en studio et de quatre enregistrements en live, dont le morceau d'ouverture 'Wardance' qui réapparaît à la fin du disque en live. D'un point de vue stylistique, Rondinelli joue un Heavy Rock qui oscille entre le dur et l'accrocheur, le morceau accrocheur 'Rock And Roll' étant un très bon morceau.
N.B.: Sur "Fly Paper" c'est Teddy Rondinelli qui tient le lead vocal à la place de Ray Gillen.
"War Dance" aurait très bien ne jamais sortir car Rondinelli n'avait pas réussi à décrocher un contrat avec sa demo et le groupe avait éclatté. Dans des circonstances normales, l'album n'aurait jamais vu le jour.
Heureusement, en 1996, il a finalement été publié avec les honneurs, et ce n'est que justice!

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1978 - Level Headed
"Level Headed", soàrti en 1978, a donné à Sweet, son dernier Hit dans le Top 10 avec le rêveux "Love Is Like Oxygen", un single qui suggérE que l'album qui l'accompagnE ESt un disque de Pop trippante grand public.
Au lieu de cela, il s'agit d'une partie d'une ambitieuse mosaïque sonore dans laquelle Sweet essaye un peu de tout, le tout enveloppé dans une esthétique Néo-Prog.
Sur le reste de l'album, le groupe se déchaîne en studio. Tout au long de la première moitié du disque, ils se livrent à une Pop accrocheuse, l'habillant d'un léger Psychédélisme, allongeant les mélodies avec des harmonies et des tourbillons de studio.
Ce n'est qu'une mise en bouche pour la deuxième face, où Sweet s'essaye à l'Art Rock d'inspiration classique avec "Anthem No. 1" et "Anthem No. 2", valse avec l'Europop "Lettres d'Amour", et anime les débats avec " Strong Love ", un air disco aux cuivres aiguisés.
Ce n'est plus le Sweet de l'ère classique, mais c'est précisément ce qui est bien avec "Level Headed" car les musiciens sont décalés et aventureux, trébuchant occasionnellement mais faisant toujours de la musique intéressante sur un album qui est tout sauf ce que le titre promet.
"Level Headed" reste l'un des albums les plus fascinants de Sweet, comparé à ce qui l'a précédé et à ce qui l'a suivi. "Ballroom Blitz", "Fox on the Run" et d'autres Hits précoces avaient influencé le Pop Metal de la fin des années 70 et des années 80, mais pour les fans purs et durs de Sweet, l'album est un joyau à conserver précieusement.

[Cooltrane]

1978 - Level Headed

J'ai eu cet album avec la pochette ricaine qui montrait le mécanisme de lecture cassette (cela faisait écho à l'album précédant, off The Record).

à part le Blitz, je trouve que Sweet a assez mal vieilli.

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1968 - The Crossroads Of Time
"The Crossroads Of Time" de The Eyes of Blue, sorti en 1968, est un album psychédélique typique de la fin des années 60, parcourant une grande partie de la carte musicale.
Des morceaux de Pop harmonique Britannique, de Soul, de Psychédélisme Oriental à la mode et de mélodies et d'arrangements imprégnés de Classique Progressif se bousculent dans le misage.
Le groupe Gallois avait un son plus basé sur l'orgue que beaucoup de ses pairs Britanniques, et le claviériste du groupe, Phil Ryan, a admis que Graham Bond avait eu une grande influence sur son style sur cet album.
L'apport de Bond ne s'est d'ailleurs pas limité à cela car il a également écrit deux des chansons, "Crossroads of Time" et "Love Is the Law", bien qu'elles aient été créditées à "D. Stewart", alias sa petite amie, Diane Stewart, toutes deux enregistrées un peu plus tard par Bond lui-même sur son album "Love Is the Law" de 1969.
La version de "Love Is the Law" par The Eyes of Blue est l'une des meilleures chansons de l'album. "Crossroads of Time" est également l'un des points forts, commençant par une explosion atomique et l'orgue du Fantôme de l'Opéra, bien que ses paroles soient des slogans hippies assez flagrants.
L'autre morceau le plus remarquable est l'une des reprises les plus excentriques de "Yesterday" des Beatles, arrangée pour sonner presque comme un hymne classique.
"The Crossroads Of Time" est malheureusement un album qui a très mal vieilli et qui sonne daté!..

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1997 - Peter Green Splinter Group
Peter Green a timidement repris le chemin de la scène et de l'enregistrement en 1996, et "The Peter Green Splinter Group" est le premier fruit de ce retour.
Le simple fait que Green se produise à nouveau est encourageant, mais l'album n'est malheureusement pas vraiment à la hauteur des attentes. C'estune collection de reprises de Blues et le disque est rempli de standards comme "Going Down" et "Dark End of the Street", livrés de manière professionnelle, mais sans beaucoup de flair.
Green lui-même joue de manière compétente, mais il n'y a que peu de moments où son jeu est inattendu et inspiré.
Cela peut sembler décevant, mais il est rassurant d'avoir des éclairs de génie, et ils suggèrent que Green pourrait enregistrer un véritable retour en forme si on lui en laisse le temps...

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1993 - Blindside Blues Band
C’est en 1993 à San Francisco qu’est né Blindside Blues Band sous l’impulsion du chanteur / guitariste Michael Onesko, du guitariste Scott Johnson, du bassiste Greg Chaisson (ex-Badlands) et du batteur (ex-Racer X, ex-Badlands).
Le premier album, éponyme, sort en 1993. L’époque est alors nettement moins favorable au Blues Rock, style dans lequel évolue Blindside Blues Band.
Les titres de l’album sont articulés autour de 3-4 minutes et sont servis par la voix chaude et puissante de Michael Onesko. Et le groupe s’y entend pour pondre des mid-tempos BluesRock groovy et chaleureux, comme l’attestent "Bad Premonition" et "Powerful Thing", portés par des guitares incandescentes, rugueuses et enrichis par quelques touches funky. Le brûlot "Flying" se révèle addictif à l’écoute avec son groove infernal, sa basse particulièrement mise en avant et son ambiance très live.
Deux des membres du groupe ayant auparavant officié au sein de formations Hard Rock, il n’est pas très étonnant de voir Blindside Blues Band se frotter à ce style. "Hit The Highway" est tiré vers le haut grâce à des riffs entêtants, enivrants, par ailleurs entrecoupés par des passages mélodiques. Sans surprise, "Back Against The Wall" demeure plaisant à l’écoute. Enfin, "Winners Take It All" s’inscrit dans une veine Blues Rock / Big Rock au swing infernal et elle fonctionne efficacement d’autant que le bassiste Greg Chaisson n’hésite pas à 'entrer en duel' avec les guitaristes. "Blues In My Soul" est une ballade bluesy chargée d’émotion, de mélancolie, d’amertume avec ses mélodies touchantes et elle peut être considérée comme une réussite.
Ce premier album, parsemé de somptueuses parties de guitares, est homogène et efficace.
Pour les amateurs de Blues Rock qui ne connaitraient pas ce groupe, "Blindside Blues Band" est idéal pour se familiariser avec sa musique.
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1973 - Texas
Ne pas confondre ce groupe Texan des années 70 avec le groupe Britannique des années 90 du même nom.
Pour les non-initiés, il y a de vraies perles sur l'unique album, éponyme, de Texas, sorti en 1973, notamment "Tough Kid", "Rock and Roll Eyes" et "Burger King Blues" qui est une véritable explosion.
Cet album n'est pas une innovation, mais il aurait mérité certainement plus d'attention qu'il n'en a reçu finalement.

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1971 - The Real McCoy
Charlie McCoy est l'un des meilleurs harmoniciste Country, sinon le meilleur.
Il a participé à de nombreux enregistrements d'artistes reconnus, dont Elvis Presley, Bob Dylan, Johnny Cash, Chet Atkins, Waylon Jennings, Roy Orbison, Leon Russell et Loretta Lynn. .
"The Real McCoy", sorti en 1971, est un album ayant le même titre que le disque de 1969, mais les morceaux ne sont différents.
Ceci dit, McCoy continue son petit bonhomme de chemin en jouant toujours sa musique favorite, la Country, avec parfois une pointe plus Rock...

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2011 - Beyond The Morning
Le chanteur et flûtiste Terry Cooke a formé lr groupe Armada en 1972 et il a été rejoint par le multi-instrumentiste Sammy Rimington, le guitariste Graham "Kirby" Gregory, le batteur Alan Wickett, le bassiste Rik Kenton et le claviériste John Donaldson.
12 titres inédits ont été lancés en 2011sur l'album "Beyond The Morning" par RPM. La plupart des titres sont de beaux morceaux jazzy de Psyché / Prog avec du saxo, de la guitare et du piano électrique, s'enfonçant souvent dans le Folk Rock. L'atmosphère va du Rock Psychédélique romantique influencé par les années 60 au Prog Rock complexe et stimulant dans la veine de Van der Graaf Generator, tout comme l'humeur de l'album, qui part d'airs joyeux et de mélodies éthérées pour se frayer un chemin à travers des arrangements progressifs sinistres et mystérieux, des parties instrumentales denses, des jams légères et beaucoup de climats changeants.
Musicalement, Armada joue du Prog Rock Britannique tel qu'il était référencé par les labels Vertigo, Neon ou Dawn de l'époque. Dès "One in Ten", la qualité du son est sensiblement déficiente et le reste jusqu'à la fin de "Dragon Child". Il s'agit néanmoins d'un opus étonnant, et on ne peut qu'imaginer à quel point il aurait pu être génial avec le temps de studio et l'effort de production adéquats.
Armada est un très bon groupe qui n'a pas publié d'enregistrement officiel dans les années 70, mais de vieux enregistrements sur bande, avec une très bonne qualité de son ont été retrouvés pour concocter ce disque.
Leur musique ressemble aux premiers albums de King Crimson et Caravan, avec une touche de Wishbone Ash. On entend beaucoup de saxophone ténor et alto, mais aussi beaucoup de guitare, un peu de flûte aussi, un album magnifique, une grande surprise pour l'année 2011, cette musique était dans certains tiroirs depuis bien trop longtemps.

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2002 - Our Cross Our Sins
Rondinelli avait été formé par les deux frères Rondinelli, Teddy, un guitariste chevronné des années 70 et Bobby, un batteur chevronné qui est surtout connu pour son travail avec Black Sabbath dans les années 90, mais qui a aussi joué avec Rainbow, Doro, Quiet Riot et qui est actuellement le batteur de Blue Oyster Cult. Les autres membres du Black Sabbath de Bobby sont Tony Martin, au chant, qui s'était fait un nom en enregistrant avec le Black Sabbath de Tony Iommi qui a existé de la fin des années 1980 jusqu'à la fin des années 1990, et le bassiste Neil Murray qui, en plus de Black Sabbath, avait joué avec Gary Moore, Whitesnake et le Brian May Band. Il s'agit donc d'une sorte de supergroupe dont tous les membres ont une très grande expérience du Hard Rock et du Metal.
"Our Cross Our Sins" de Rondinelli est sorti en 2002. Il y a beaucoup de riffs répétitifs à la Black Sabbath et un son de batterie vraiment énorme. La batterie est très en avant dans le mixage et elle aide à conduire les chansons avec un punch et une énergie incroyables. Il y a aussi beaucoup de tempo lent du type "Heaven and Hell" et le guitariste Teddy Rondinelli offre de gros riffs de guitare qui sont un vrai coup de chapeau à Tony Iommi. Son jeu de guitare solo est remarquable et il donne du piquant aux morceaux les plus faibles. Son jeu a un style très énergique et fougueux, avec un groove contagieux.
Certains riffs font penser à Whitesnake et même à Blue Murder par leur style et leur ambiance générale. Quelques titres ont un style U.F.O. de riffs classiques bluesy et mélodiques. La voix de Tony Martin est toujours aussi bonne et il chante dans le même style qu'à l'époque de Black Sabbath. Quelques titres sonnent comme s'ils avaient pu figurer sur un album de Sabbath des années 90, le style est très similaire.
Cet album contient de superbes chansons dans la tradition classique du Black Sabbath des années 1990 commz "Cross Purposes" et "Tyr". Le style est peut-être un peu plus mélodique et plus Blues, mais la magie de Sabbath apparaît brièvement tout au long de l'album. Quelques morceaux qui sont largement inférieurs au reste, mais ils sont heureusement sauvés par le jeu de guitare de Teddy Rondinelli. Certaines chansons sont également un peu longues, la plupart d'entre elles durant en moyenne entre 5 et 6 minutes.
Il n'y a rien de vraiment nouveau, mais czt opus prouve que ce style de Hard Rock / Metal mélodique aux riffs répétitifs pouvait encore exister en 2002.

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1969 - In Fields Of Ardath
"In Fields Of Ardath" de Eyes Of Blue, paru en 1969, est composé de Rock Anglais assez classique de 1969, avec un peu de Psychédélisme.
Sur cet album, le groupe tente d'élargir ses sons et ses idées avec des arrangements élaborés, incorporant plus d'influences de style. Il y a beaucoup d'orgue Hammond et d'harmonies.. Le résultat est un disque agréable avec beaucoup de bons moments.
La plupart du temps, il s'agit d'un excellent Psyché Rock avec une touche de Prog Rock, mené par les fantastiques guitares de Ray Williams et Gary Pickford Hopkins et l'orgue de Phil Ryan.
L'épopée d'ouverture "Merry Go Round", teintée de progressif, se présente comme une suite de chansons courtes. Parmi les autres morceaux progressifs, on trouve "Spanish Blues", légèrement influencé par le Jazz, "Door" et "Apache '69", l'instrumental psychédélique qui clôt l'album. "After The War", influencé par le Blues, et "The Light We See", aux accents psychédéliques, sont de solides Hard Rocks qui se démarquent. Le groupe s'oriente vers la Pop avec l'agréable 'Little Bird'. Le Country Rock 'Chances' est correct, mais sans plus...
Cet album est, surtout, destiné aux amateurs de voyages cosmiques...

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1998 - The Robert Johnson Songbook
"The Robert Johnson Songbook", sorti en 1998, est le premier enregistrement de Peter Green, avec son Splinter Group, entièrement composé de reprises de la musique écrite par le roi du Delta Blues. Malheureusement, bien qu'agréable, "The Robert Johnson Songbook" n'a pas la chaleur et l'âme de son successeur, "Hot Foot Powder".
N.B.: Paul Rodgers apparait en invité.

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1994 - Blindsided
Comme avec le précédent album de Blindside Blues Band, l'album "Blindsided", sorti en 1994, est produit par Mike Varney, Michael Onesko et Scott Johnson. Après tout, la formule proposée avait convaincu de nombreux aficionados de Blues-Rock.
Par rapport au précédent album, les titres sont un peu plus travaillés, plus longs et l’aspect Hard Rock se trouve un peu plus accentué.
"Blindsided" prend le contrepied des tendance en vogue en 1994 et il renvoie à plusieurs reprises à la période fin des aénnées 60 / milieu des 70.
Il convient de noter que les guitaristes abattent un travail phénoménal sans jamais tomber dans le tout-démonstration, alors que la production tranchante sert fort bien les compositions.
Ce disque a constitué un échappatoire salutaire pour les personnes qui ne voulaient pas suivre les styles dans le vent en 1994.

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2004 - 110
Gary Lee Clark, Jr. est un chanteur et guitariste établi à Austin, au Texas. Sa musique, selon ses propres dires, puise ses influences dans le Blues, le Jazz, la Country ou encore le Hip-Hop.
Ce guitar hero ne risque pas de rester longtemps dans l'ombre czr il a un feeling énorme.
Son potentiel musical se révèle doucement, mais surement..

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1980 - Mc Guinn - Hillman
Privés de Gene Clark après leur deuxième album, Roger McGuinn et Chris Hillman deviennent McGuinn-Hillman pour cet album éponyme paru en 1980.
Le producteur Jerry Wexler, une légende dans le domaine du R&B des années 1950, les a transformés en une unité beaucoup plus Soul et plus Hard que leurs travaux précédents ne l'auraient laissé supposer.
En effet, cet album est l'équivalent Roger McGuinn-Chris Hillman de "From the Inside" de Poco; ils travaillent quelques belles harmonies sur "Entertainment", bien que les moments déterminants de ce disque viennent sur les morceaux plus Hard tels que "Soul Shoes".
"Mc Guinn & Hillman" n'est pas un chef-d'œuvre perdu, mais il y a de bonnes chansons, comme "Angel" de Hillman, "King for a Night" de McGuinn, et leur interprétation de "Between You and Me" de Graham Parker, toutes étonnamment proches du son des Byrds...

[lienard]

Je les avais vu à cette époque à l'Ancienne Belgique et c'était excellent ..

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1972 - Charlie McCoy
L'album éponyme de Charlie McCoy, est sorti en 1972.
A l'heure actuelle, ce genre de disque peut paraitre un peu ringard, mais c'est, quand même,un disque d'harmonica Country avec beaucoup de chansons mélodramatiques, mais c'est le jeu qui le rend bon.
Il est agréable d'écouter ces standards de la Country Music avec un grand groupe derrière l'harmonica.
Les morceaux les plus intéressants sont "Woman (Sensuous Woman)", "Rocky Top" et "Danny Boy" pour le fantastique travail de Curly Chalker à la steel guitar.
On aime, ou on aime pas, mais il faut reconnaitre la qualité musicale de l'ensemble!

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2005 - ?
Sur l'album "?" d'Ange, sorti en 2015, le groupe parvient à sonner de manière fraîche, moderne et réellement inspirée.
Les 13 titres de l'album sont arrangés avec goût et très alternés: des textes parlés, un rythme carré et des claviers modernes dans "Le Couteau Suisse", un climat irrésistible avec une guitare acoustique, des ondes de Mellotron et le chant de Tristan Descamp dans "Ricochets", un songe avec un didgeridoo et une flûte dans "Les Eaux Du Gange", une guitare distordue, un chant féminin et un accordéon dans "Entre Foutre Et Foot", un rythme puissant avec des riffs de guitare propulsifs, un trombone et une flûte dans le complexe "Passeport", un rythme entraînant avec une guitare rythmique acoustique et des passages de synthétiseur Korg MS20 dans l'alternatif "Quand Est-Ce Qu'On Viendra D'Ailleurs?" et des voix expressives, ainsi qu'un grand final avec une guitare électrique hurlante dans "Jazzouillis".
La meilleure est certainement la longue chanson "Naufrage Du Zoadique", irrésistible et pleine de tension, avec une guitare sous pression.
C'est encore une bonne surprise pour moi!