Le dernier concert des Ramones, 32 titres, 64 minutes soit deux minutes par titre. 3 morceaux atteignent quand meme la durée de 3 minutes. pas la meilleure perf des Ramones, Joey se contenant plus de gueuler des insanités entre et dans les morceaux (ce qui explique le sticker parental advisory sur la pochette) que de chanter correctement (Blitzkrieg Bop est expédié a la va comme je te pousse par exemple)
Sauf que la pochette est presque un ratfink probablement d'Ed Roth car il a fait beaucoup "d'écoles".
Comme tu l'indiques c'est pas leur meilleur live, même pas sauvé par un paquet de fituringues !
C'est con parce que quand tu prend la setlist tu as tous les gros tubes des Ramones. Ca aurait pu faire office de best of live si ca avait été de meilleure qualité.
Le meilleur Live Officiel des Ramones pour moi c'est le Ramones It's AliveLive at the Rainbow Theatre in London, England on December 31st, 1977Sire Records produit par le grand producteur Ed Stasium, le dernier avec Tommy Ramones à la batterie qui reviendra comme producteur du groupe quelque années après, le son est monstrueux tout comme le tracklisting et l'enchainement des morceaux
Joyeux Mondialiste Droit de l'Hommiste et Internationaliste convaincu, amateur d'étrangetés Vinyliques tournant en 33 et 45 tours en provenance des quatre coins de la planète et des 7 continents
Le rythme presque enjoué, cette façon d'avancer, presque une marche victorieuse, comme pour un défilé, martial...
Ou bien une ronde endiablée, ou une farandole...
Le poème fonctionne comme dans un film, un plan large qui grossit lentement, jusqu'au détail final qui livre sa vérité.
Ce "coup de zoom" est magnifiquement rendu par la version très rythmée que Sapho propose,
La voix tendue, énergique et sans détour.
Un poème que l'on dit souvent avec douceur, presque sur le ton de la confidence, qui ménage le drame,
se voit ici bousculé et chamboulé, la force de la chanson offre une nouvelle force aux vers de Rimbaud.
Sapho - Le Dormeur du Val
Intéressant commentaire sur la chanson. J'ai eu souvent l'occasion de le dire ici : à de rares exceptions, j'ai beaucoup de mal avec les poèmes mis en musique. La poésie a sa propre "musicalité" et peut se dispenser de notes, puisqu'elle draine avec les mots sa mélodie propre.
Sapho, dans une veine bien de son époque, entre disons Jean Guidoni et Armande Altaï "surjoue" volontairement, à la Cabaret, mais elle a le mérite, comme tu le dis, de proposer une relecture musicale du chef d'oeuvre de Rimbaud.
Mais quel groupe The Moody Blues bien content de l'avoir celui-ci...
Sorti en 1971, une véritable perle...
Autant j'aime bcp Lost Chord , Threshold et For Our Children, autant, après ce stade-là, j'aime plus trop - trop de redites et pas assez de nouvelles idées.
à partir de Question, je trouve cela redondant (répétititititititif)... sans compter que Octave et les albums des 80's, je les trouve ou bien sans intérêt ou atroces (Voyageur et Present).
Jamais trouvé Days Of Future Past fort intéressant non plus, sauf pour l'avènement du Mellotron.
Le rythme presque enjoué, cette façon d'avancer, presque une marche victorieuse, comme pour un défilé, martial...
Ou bien une ronde endiablée, ou une farandole...
Le poème fonctionne comme dans un film, un plan large qui grossit lentement, jusqu'au détail final qui livre sa vérité.
Ce "coup de zoom" est magnifiquement rendu par la version très rythmée que Sapho propose,
La voix tendue, énergique et sans détour.
Un poème que l'on dit souvent avec douceur, presque sur le ton de la confidence, qui ménage le drame,
se voit ici bousculé et chamboulé, la force de la chanson offre une nouvelle force aux vers de Rimbaud.
Sapho - Le Dormeur du Val
Intéressant commentaire sur la chanson. J'ai eu souvent l'occasion de le dire ici : à de rares exceptions, j'ai beaucoup de mal avec les poèmes mis en musique. La poésie a sa propre "musicalité" et peut se dispenser de notes, puisqu'elle draine avec les mots sa mélodie propre.
Sapho, dans une veine bien de son époque, entre disons Jean Guidoni et Armande Altaï "surjoue" volontairement, à la Cabaret, mais elle a le mérite, comme tu le dis, de proposer une relecture musicale du chef d'oeuvre de Rimbaud.
Oui, il existe de très belles réussites, chez Ferré, notamment, je ne le nie pas, loin de là ; mais c'est comme l'adaptation cinéma d'un roman. Aussi réussie soit-elle, je n'y vois souvent que "trahison" (mot un peu fort, je le concède)... C'est que la poésie, le roman, la lecture en règle générale, est affaire de sensibilité trop personnelle. Qu'un autre, fût-il doué, respectueux de l’œuvre, s'en empare me dérange. Mais effectivement, des artistes parviennent à faire entendre davantage le texte original grâce à leur interprétation.
Le rythme presque enjoué, cette façon d'avancer, presque une marche victorieuse, comme pour un défilé, martial...
Ou bien une ronde endiablée, ou une farandole...
Le poème fonctionne comme dans un film, un plan large qui grossit lentement, jusqu'au détail final qui livre sa vérité.
Ce "coup de zoom" est magnifiquement rendu par la version très rythmée que Sapho propose,
La voix tendue, énergique et sans détour.
Un poème que l'on dit souvent avec douceur, presque sur le ton de la confidence, qui ménage le drame,
se voit ici bousculé et chamboulé, la force de la chanson offre une nouvelle force aux vers de Rimbaud.
Sapho - Le Dormeur du Val
Intéressant commentaire sur la chanson. J'ai eu souvent l'occasion de le dire ici : à de rares exceptions, j'ai beaucoup de mal avec les poèmes mis en musique. La poésie a sa propre "musicalité" et peut se dispenser de notes, puisqu'elle draine avec les mots sa mélodie propre.
Sapho, dans une veine bien de son époque, entre disons Jean Guidoni et Armande Altaï "surjoue" volontairement, à la Cabaret, mais elle a le mérite, comme tu le dis, de proposer une relecture musicale du chef d'oeuvre de Rimbaud.
En effet le poème possède sa propre musique, celui-ci particulièrement, d'une magnifique beauté formelle mais avec des libertés également.
Sapho prend le parti du contrepied et s'en sort magnifiquement, il y a là comme une sorcellerie, c'est certain !
Le rythme presque enjoué, cette façon d'avancer, presque une marche victorieuse, comme pour un défilé, martial...
Ou bien une ronde endiablée, ou une farandole...
Le poème fonctionne comme dans un film, un plan large qui grossit lentement, jusqu'au détail final qui livre sa vérité.
Ce "coup de zoom" est magnifiquement rendu par la version très rythmée que Sapho propose,
La voix tendue, énergique et sans détour.
Un poème que l'on dit souvent avec douceur, presque sur le ton de la confidence, qui ménage le drame,
se voit ici bousculé et chamboulé, la force de la chanson offre une nouvelle force aux vers de Rimbaud.
Sapho - Le Dormeur du Val
Intéressant commentaire sur la chanson. J'ai eu souvent l'occasion de le dire ici : à de rares exceptions, j'ai beaucoup de mal avec les poèmes mis en musique. La poésie a sa propre "musicalité" et peut se dispenser de notes, puisqu'elle draine avec les mots sa mélodie propre.
Sapho, dans une veine bien de son époque, entre disons Jean Guidoni et Armande Altaï "surjoue" volontairement, à la Cabaret, mais elle a le mérite, comme tu le dis, de proposer une relecture musicale du chef d'oeuvre de Rimbaud.
Je sauverais Baudelaire mis en musique par Ferré
Me met immanquablement les poils
Sublime en effet! Sur ce titre Léo théorise une partie de sa pensée sur le sujet:
Préface
La poésie est une clameur
Elle doit être entendue comme la musique
Toute poésie destinée à n'être que lue
Et enfermée dans sa typographie n'est pas finie
Elle ne prend son sexe qu'avec la corde vocale
Tout comme le violon prend le sien avec l'archet qui le touche
R-27096690-1684252378-5454.jpg (57.42 Kio) Vu 3768 fois
5th Season est un nouveau groupe Finlandais dans la plus pure tradition Pink Floyd et Airbag...
Avec ce premier album sorti en 2023 c'est déjà mon coup de cœur du moment...
Sûrement un groupe à suivre évidemment, Espérons-le pour la suite...
Pour le découvrir il est sur Spotify et Bandcamp !
Je l'avais découvert récemment, alors quand je l'ai vu en version remastered Deluxe Edition et pour 12€50...
Trop, trop content que je suis avec un second cd avec rien que des inédits +live...
Pour rester avec Léo Ferré, voici une version un peu jazzy de "Où va cet univers ? "
C'est le bassiste Yves Rousseau qui met en musique et ça provient de l'album "Live at festival jazz sous les pommiers" qui réunit les "Résidents":
Airelle Besson à la trompette, Franck Tortiller au vibraphone, Théo Ceccaldi au violon, Anne Paceo à la batterie, Bojan Z aux claviers, Louis Winsberg à la guitare, Fidel Fourneyron au trombone, Andy Sheppard au sax ténor, Thomas de Pourquery au chant et au sax alto et enfin Yves Rousseau à la basse, donc.
THE CHRONICLES OF FATHER ROBIN peut être considéré comme un supergroupe de prog rock norvégien, puisque composé de membres issus de WOBBLER, TUSMORKE, JORDSJO mais également des post rockers de THE SAMUEL JACKSON FIVE.
C'est évidemment une trilogie..
C'est bien foutu, mais je trouve que cela aurait dû être meilleur...
La voix du chanteur est pour moi...limite !!
Maintenant faut voir la suite...
Pour rester avec Léo Ferré, voici une version un peu jazzy de "Où va cet univers ? "
C'est le bassiste Yves Rousseau qui met en musique et ça provient de l'album "Live at festival jazz sous les pommiers" qui réunit les "Résidents":
Airelle Besson à la trompette, Franck Tortiller au vibraphone, Théo Ceccaldi au violon, Anne Paceo à la batterie, Bojan Z aux claviers, Louis Winsberg à la guitare, Fidel Fourneyron au trombone, Andy Sheppard au sax ténor, Thomas de Pourquery au chant et au sax alto et enfin Yves Rousseau à la basse, donc.
Pour rester avec Léo Ferré, voici une version un peu jazzy de "Où va cet univers ? "
C'est le bassiste Yves Rousseau qui met en musique et ça provient de l'album "Live at festival jazz sous les pommiers" qui réunit les "Résidents":
Airelle Besson à la trompette, Franck Tortiller au vibraphone, Théo Ceccaldi au violon, Anne Paceo à la batterie, Bojan Z aux claviers, Louis Winsberg à la guitare, Fidel Fourneyron au trombone, Andy Sheppard au sax ténor, Thomas de Pourquery au chant et au sax alto et enfin Yves Rousseau à la basse, donc.
Excellent ... il y a une dizaine d'années (ailleurs) j'avais essayé de populariser Ferré avec Ferré Ce Rap ... pas évident de trouver un public prêt pour un style alternatif !
Place aux branques : La Mouche crevée (Lefdup et Lefdup) - Les Fachos Font Chier ! (album Siamois des oreilles de 1994 en live chez NPA ou en studio)
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
Pour rester avec Léo Ferré, voici une version un peu jazzy de "Où va cet univers ? "
C'est le bassiste Yves Rousseau qui met en musique et ça provient de l'album "Live at festival jazz sous les pommiers" qui réunit les "Résidents":
Airelle Besson à la trompette, Franck Tortiller au vibraphone, Théo Ceccaldi au violon, Anne Paceo à la batterie, Bojan Z aux claviers, Louis Winsberg à la guitare, Fidel Fourneyron au trombone, Andy Sheppard au sax ténor, Thomas de Pourquery au chant et au sax alto et enfin Yves Rousseau à la basse, donc.
Excellent ... il y a une dizaine d'années (ailleurs) j'avais essayé de populariser Ferré avec Ferré Ce Rap ... pas évident de trouver un public prêt pour un style alternatif !
Place aux branques : La Mouche crevée (Lefdup et Lefdup) - Les Fachos Font Chier ! (album Siamois des oreilles de 1994 en live chez NPA ou en studio)
Ah Oui! Ça dépote sévère ton affaire, mais ça décrasse en même temps les oreilles!
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5th Season est un nouveau groupe Finlandais dans la plus pure tradition Pink Floyd et Airbag...
Avec ce premier album sorti en 2023 c'est déjà mon coup de cœur du moment...
Sûrement un groupe à suivre évidemment, Espérons-le pour la suite...
Pour le découvrir il est sur Spotify et Bandcamp !
Je me suis laissé séduire par ce nouveau groupe. Les instruments arrivent bien dans leur séquence. L' album est assez varié. A écouter fort pour bien l'apprécier.
Influence oui de Pink Floyd, de Genesis aussi.
Merci Pachy pour cette très belle découverte.