1998 Lyve from Steel Town
CMC Records publie "Lyve From Steeltown" un double CD de nouveaux classiques et de recent Hits de Skynyrd enregistrés avec accompagnement du home vidéo.
Enregistré lors de leur tournée de 1997, "Lyve from Steel Town" capture la dernière incarnation de Lynyrd Skynyrd en train d'interpréter ses plus grandes chansons: "That Smell", "Saturday Night Special", "What's Your Name", "Gimme Three Steps", "Sweet Home Alabama", "Free Bird", ainsi qu'une poignée de morceaux récents.
Le disque est très agréable à écouter, le groupe est en bonne forme et il joue toujours avec une bonne dose d'énergie.
1974 Relayer
Rick Wakeman avait été remplacé par le Suisse Patrick Moraz, un musicien de Jazz électrique caractéristique qui avait précédemment fait partie du trio Refugee, aux côtés de deux anciens membres de The Nice.
Yes sort alors en 1974 un très chaotique "Relayer", sur lequel figure "The Gates of Delirium", un morceau d'une vingtaine de minutes, une sorte de bataille cosmique, véritable épopée, basée sur le roman "Guerre et Paix" de Léon Tolstoï, considéré par certains comme l'apothéose du Rock Progressif.
Dans les faits, Moraz était arrivé assez tard dans Yes pendant les sessions pour le prochain album du groupe, "Relayer", qui fut enregistré dans le studio de la propre maison de Chris Squire.
Il s'inscrit tout d'abord parfaitement bien dans l'orientation que Yes poursuivait avec l'album, c'est à dire le contexte Jazz-Fusion.
Il faut dire que pendant ces dernières tournées, Yes avait croisé la route avec des groupes de Fusion comme Return to Forever et Mahavishnu Orchestra.
L'album est beaucoup plus énergique que "Tales from Topographic Oceans", démontrant un jeu d'ensemble puissant et de nouveaux ingrédients musicaux tels que la guitare flamenco électrique et mettant davantage l'accent sur les percussions bizarres (y compris un support de pièces d'automobile).
1987 1987
Avec son album de 1987 sans véritable nom ("Serpens Albus" au Japon, "1987" ailleurs), Whitesnake a composé un opus dont le son est encore plus Heavy Metal que sur l’opus précédent.
Le Blues a, pour ainsi dire, complètement disparu: Ainsi, Whitesnake remet au goût du jour deux anciens morceaux, "Here I Go Again" et "Crying In The Rain" (tirés de l'album "Saint and Sinners"), qui sont dopés par la guitare de Sykes et qui sonnent bien plus Metal que leurs versions originales, avec plus de synthés et plus de chœurs.
Cette version de "Here I Go Again" a été numéro 1 dans le Billboard 100 aux U.S.A.
"1987" reste encore aujourd’hui le plus gros succès du groupe.
Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte écrit pae Orion
Nektar (1976)
En 1976, Nektar sort un album appelé tout simplement "Nektar".
Le disque est musicalement un peu dans la lignée du précèdant, "Recycled", mais avec beaucoup moins d'impact... Les compositions sont plus banales...
C'est, cependant, un bon album, mais il est loin d'être dans les meilleurs du groupe...
1981: Hard Promises
Si l'album "Hard Promises" de Tom Petty and The Heartbreakers, paru en 1981; n'a pas l'ampleur de "Damn the Torpedoes", c'est surtout parce que son prédécesseur a bénéficié d'un bon timing et d'un ensemble de chansons exceptionnellement fortes.
"Hard Promises" contient pourtant un nombre impressionnant de bonnes chansons et un très bon son qui en font, malgré tout, l'un des meilleurs albums de Tom Petty.
1976 The Welsh Connection
Man avait changé de label avec MCA Records, et Phil Ryan était revenu aux claviers, mais comme ils savaient qu'aucun bassiste n'étaient disponibles, le groupe dût faire passer une audition pour la première fois de son histoire. Les auditions se passèrent mal, jusqu'à l'audition finale de John McKenzie de the Global Village Trucking Company, qui fut immédiatement engagé.
Ils enregistrèrent dans la foulée "The Welsh Connection" qui atteignit le numéro 40 dans les Charts Britanniques.
1972 : R.E.O./T.W.O.
Dès que le deuxième album de REO Speedwagon, "T.W.O.", démarre avec "Let Me Ride", il est clair que le groupe a fait des progrès significatifs dans l'acquisition d'une personnalité. Cela est dû en partie au fait que le chanteur Terry Luttrell a été remplacé par Kevin Cronin, dont la voix de ténor plaintive est nettement différente du gargarisme bluesy de Luttrell, et en partie au fait que trois des chansons, des rocks dramatiques à plusieurs sections, sont plus distinguées que le boogie pédestre du premier album. Ce boogie n'a pas été abandonné - le groupe retire le swing de "Little Queenie" de Chuck Berry, ce qui le rapproche du bruit sourd et anonyme qui caractérise "Flash Tan Queen" de Gary Richrath, ainsi qu'une grande partie du reste de l'album. Bien que REO ne réussisse pas toujours à ouvrir sa musique - "Being Kind (Can Hurt Someone Sometimes)" s'enlise dans le brouillard - les deux side-openers de Cronin, "Let Me Ride" et "Music Man", montrent la voie vers le son classique du groupe.
Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Stephen Thomas Erlewine
Sur "Edge of Forever", paru en 1999, les guitaristes Medlocke et Thomasson de Lynyrd Skynyrd se font entendre avec leurs sons de guitare uniques.
La chanson d'ouverture "Workin'" assaille les sens avec une attaque de guitare massive qui accroche l'auditeur dès le début. Le chant de Johnny Van Zant est aussi proche de celui de son défunt frère Ronnie et sur la chanson suivante, " Full Moon Night ", le son Swamp Rock contient une influence certaine des débuts de Skynyrd, mais aussi des touches des sons de Blackfoot et de THE Outlaws. "Preacher Man" est un morceau rafraîchissant et différent.
Le chahut qui entoure le Southern Rock prend toute son ampleur sur "Mean Streets", Gary Rossington, Thomasson et Medlocke jouant de la guitare en véritables rebelles. Vient ensuite "Tomorrow's Goodbye", une ballade de Country moderne. Cette chanson est le point culminant de l'album, avec Johnny Van Zant chantant pour sauver la planète, et il y a même une mention de son frère Ronnie dans les paroles, accentuée par une des notes de guitare de Rossington "Freebird" qui sort du champ gauche et vous va droit au cœur. Le titre est une chanson du millénaire qui revient à l'ancien son de Skynyrd, tandis que "Gone Fishin'" est l'un des moments les plus faibles de l'album. La chanson suivante, "Through It All", est également un peu faible par rapport au reste de l'album. "Money Back Guarantee " bénéficie d'un excellent travail au piano de la part de Bill Powell, et "Get It While the Gettin's Good" est un Rock très agréable, qui mène à la power ballade "Rough Around the Edges", un autre des meilleurs morceaux de l'album. "FLA" clôt l'ensemble, un Rock Boogie-Woogie qui clôt de manière appropriée un bon disque de Rock.
Alors que certains pensent que Lynyrd Skynyrd est mort avec l'accident d'avion de 1977, une seule écoute de "Edge of Forever" prouve que leur héritage est bien vivant en 1999, et que Lynyrd Skynyrd a encore plus que quelques bonnes idées dans sa tête collective.
Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Michael B. Smith
1977 Going for the One
Début 1977, le groupe se reforme, avec, de nouveau, Wakeman aux claviers, et, cette fois, sort l'album "Going for the One".
Pour celui-ci, il existe une certaine confusion sur la chaîne des événements qui se sont succèdés, qui finalement aboutit au licenciement de Moraz par le groupe pour être remplacé par Rick Wakeman.
Il semblerait que le groupe ait perdu ses illusions avec l'approche jazzy de Moraz lorsqu'elle est appliquée au répertoire 'pré Relayer' (y compris son utilisation extensive du 'pitch-bending').
On a également dit qu'il ne rentrait pas facilement dans la façon de travailler du groupe et la communication.
Le mérite de Moraz sur le disque se trouve sur une grande partie de la musique de "Going for the One", et Howe a fait remarquer que le groupe "cherchait à enlever autant de Patrick à partir des chansons que possible", donc il semblerait bien que Moraz ait effectivement contribué aux séances initiales.
En définitive, Moraz fini au sommet de l'ambigu "merci à ..." liste sur la pochette.
Moraz continuera à avoir du succès en se joignant à The Moody Blues peu de temps après son départ de Yes.
A ce moment-là, Wakeman partage le management avec Yes, et il a été suggéré que cela avait joué un rôle important dans l'organisation de son retour.
Après une quantité considérable de négociation, il finit par rejoindre le groupe comme musicien de session de base.
Wakeman redevient un membre du groupe permanent après avoir entendu et avoir été impressionné par le nouveau matériel, qu'il considérait comme étant plus énergique et plus intéressante que "Tales from Topographic Oceans".
Outre le morceau de 15 minute "Awaken", la plupart des chansons sur "Going for the One" sont relativement courtes, mêmr le madrigalesque "Wonderous Stories" (qui était sorti en single au Royaume-Uni en 1977 et avait atteint le Top Ten).
"Going for the One" est aussi le premier album, depuis The Yes Album, à ne pas présenter une nouvelle oeuvre de Roger Dean, bien qu'il affiche le logo que Dean a conçu. Au lieu de cela, l'œuvre de la pochette a été gérée par la firme de conception Hipgnosis.
1977 Going for the One
Début 1977, le groupe se reforme, avec, de nouveau, Wakeman aux claviers, et, cette fois, sort l'album "Going for the One".
Pour celui-ci, il existe une certaine confusion sur la chaîne des événements qui se sont succèdés, qui finalement aboutit au licenciement de Moraz par le groupe pour être remplacé par Rick Wakeman.
Il semblerait que le groupe ait perdu ses illusions avec l'approche jazzy de Moraz lorsqu'elle est appliquée au répertoire 'pré Relayer' (y compris son utilisation extensive du 'pitch-bending').
On a également dit qu'il ne rentrait pas facilement dans la façon de travailler du groupe et la communication.
Le mérite de Moraz sur le disque se trouve sur une grande partie de la musique de "Going for the One", et Howe a fait remarquer que le groupe "cherchait à enlever autant de Patrick à partir des chansons que possible", donc il semblerait bien que Moraz ait effectivement contribué aux séances initiales.
En définitive, Moraz fini au sommet de l'ambigu "merci à ..." liste sur la pochette.
Moraz continuera à avoir du succès en se joignant à The Moody Blues peu de temps après son départ de Yes.
A ce moment-là, Wakeman partage le management avec Yes, et il a été suggéré que cela avait joué un rôle important dans l'organisation de son retour.
Après une quantité considérable de négociation, il finit par rejoindre le groupe comme musicien de session de base.
Wakeman redevient un membre du groupe permanent après avoir entendu et avoir été impressionné par le nouveau matériel, qu'il considérait comme étant plus énergique et plus intéressante que "Tales from Topographic Oceans".
Outre le morceau de 15 minute "Awaken", la plupart des chansons sur "Going for the One" sont relativement courtes, mêmr le madrigalesque "Wonderous Stories" (qui était sorti en single au Royaume-Uni en 1977 et avait atteint le Top Ten).
"Going for the One" est aussi le premier album, depuis The Yes Album, à ne pas présenter une nouvelle oeuvre de Roger Dean, bien qu'il affiche le logo que Dean a conçu. Au lieu de cela, l'œuvre de la pochette a été gérée par la firme de conception Hipgnosis.
De cet album, je ne retiens que les magnifiques "Awaken" et "Turn Of The Century", pour mézigue 2 des meilleurs titres du groupe (après l'éprouvant "Relayer")... Encore un album de Yes que je n'apprécie pas dans sa globalité, malgré la présence de très bon titres (c'est comme pour "Tormato", mais j'y reviendrai ). Avec le Yes d'après "Tales...", y a toujours des pépites qui surnagent dans la fange ! Ah, non, sauf dans "Open Your Eyes", ma détestation ultime chez ce groupe !
A partir d'un certain âge, si on vous donne 10 ans de moins, un conseil : prenez-les !.
1989 Slip Of The Tongue
En 1989, Whitesnake a publié "Slip Of The Tongue"
Commercialement parlant, c(est un véritable succès. L'album est devenu le troisième Disque de Platine du groupe. Musicalement, cependant, l'ensemble est tellement imprégné de la production des années 80, compression énorme, claviers MIDI, etc., qu'il semble qu'il ne reste plus grand-chose de la personnalité métallique du groupe, basée sur le Blues.
L'album semble daté, plein de sons et d'effets exagérés qui n'ont pas grand-chose à voir avec l'approche du Hard Rock et du premier Brit Metal, avec ses guitares et ses basses lourdes, qui sont la marque de fabrique du groupe.
L'adéquation entre Stevie Vai et Whitesnake est plus que discutable car son approche chargée est en désaccord avec la façon dont le groupe s'exprime.
Pourtant, les fans se sont régalés à l'époque, mais "Slip of the Tongue" reste malheureusement un album bien de son temps.
Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Thom Jurek
La première sortie de disque sur une Major (Polydor) de Nektar, "Magic is a Child" (1977) est plus éclectique, bien que avec des chansons plus courtes et des rythmes assez simples, de nombreux fans pensant que c'est trop orienté pop; les textes de l'album portent sur un large éventail de sujets, la mythologie scandinave et la magie, ou, plus terre à terre, des sujets tels que les chemins de fer, les chauffeurs de camion, et aussi une chanson anti drogue.
Globalement, les fans considérent l'album comme un ratage et il s'est avéré être la fin de la brève popularité de Nektar, bien que quelques autres albums soient sortis, pour la plupart des albums live et des compilations.
Pour moi, il est aussi bon que la plupart de leurs autres albums...
^^^^
Pour Nektar, j'arrête avant celui-ci. La plupart des fans seront d'accord avec moi. J'ai bien écouté deux ou trois albums plus récents (XXIèS), mais rien de vraiment probant.
La chronique de GFTO d'Alcat choisie est assez bien documentée, et j'aurais aimé savoir de qui elle est, mais c'est pas indispensable non plus
De cet album, je ne retiens que les magnifiques "Awaken" et "Turn Of The Century", pour mézigue 2 des meilleurs titres du groupe (après l'éprouvant "Relayer")... Encore un album de Yes que je n'apprécie pas dans sa globalité, malgré la présence de très bon titres (c'est comme pour "Tormato", mais j'y reviendrai ). Avec le Yes d'après "Tales...", y a toujours des pépites qui surnagent dans la fange ! Ah, non, sauf dans "Open Your Eyes", ma détestation ultime chez ce groupe !
Perso, si je trouve la pochette (int et ext) de Hypgnois très forte, je n'aime pas du tout le titre de l'album (le morceaux titre étant d'ailleurs assez insupportable because le son insupportable (Telecaster et lapsteel, je crois) de la guitare de Howe qui ne fait que rajouté à la voix de Jon (potable).
Sinon, en effet, seuls Awaken et Turn of the Century en valent vraiment la peine, et à eux deux, ces titres font déjà + de 50% de l'album.
Awaken fut pendant longtemps mon morceau préféré, même si ajd, j'en réfère d'autres.
Pour les deux suivants (Tormato & Drama), c'est pas vraiment mauvais, mais on est dans l'indigne (la production sonique des deux est très discutable - tout comme une partie de GFTO) et question de compositions, seul Silent Wings Of Freedom (de Tormato) aurait mérité une place sur cet album-ci.
à partir du catastrophique 90125, je n'aime pas grand chose à part les deux Keys To Ascenscion - surtout pas le Onion (qui fait pleurer tellement c'est mauvais ... et risible - le texte d'intention). Bref, ils auraient terminé leur carrière discographique avec Drama (en 80), cela m'aurait assez bien convenu. Idem pour Genesis avec Duke (80), Jethro Tull avec Stormwatch (79), Moody Blues avec Octave (78), et Floyd avec Final Cut (83).
Si j'avais eu de la chance de voir le groupe à Toronto deux fois (pour GFTO et Drama - pas génial avec les deux Buggles, c'était quasi leur premiers concerts ensemble), j'ai eu l'occasion de les voir entre 95 et 05, six ou sept fois à Bxl ou Anvers (concert symphonique en 2002). Et bien tu ne me croiras sans doute pas, mais c'est la tournée Close Your Ears que j'ai préféré, car ils n'ont joué qu'un titre de cet album, le reste étant des grandes années et Owner Lonely Fart. La tournée suivante (pour The Ladder) était avec Wakeman (au lieu de Igor Koroshev), mais moins sympa niveau set list.
Sympa ton ressenti sur Yes ! Curieusement (car c'était pas gagné au départ), j'aime beaucoup "Drama". Le titre d'ouverture, "Machine Messaiah" (et non pas "Messiha", private joke politique franco-franchouillarde) est une petite tuerie, écoutée à fond les ballons ! Même niveau chant, on croirait entendre Jon et Chris ! Après "Drama", ça se gâte (l'horrible période Rabin, le gonflant Billy Sherwood...). Et, je trouve, ça s'arrange quand même pas mal sur les derniers albums ("Fly From Here" (la version "Return Trip" avec Trevor Horn au chant à la place de Benoit David), "The Quest" et "Mirror..."
A partir d'un certain âge, si on vous donne 10 ans de moins, un conseil : prenez-les !.
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Pour Nektar, j'arrête avant celui-ci. La plupart des fans seront d'accord avec moi. J'ai bien écouté deux ou trois albums plus récents (XXIèS), mais rien de vraiment probant.
La chronique de GFTO d'Alcat choisie est assez bien documentée, et j'aurais aimé savoir de qui elle est, mais c'est pas indispensable non plus
De cet album, je ne retiens que les magnifiques "Awaken" et "Turn Of The Century", pour mézigue 2 des meilleurs titres du groupe (après l'éprouvant "Relayer")... Encore un album de Yes que je n'apprécie pas dans sa globalité, malgré la présence de très bon titres (c'est comme pour "Tormato", mais j'y reviendrai ). Avec le Yes d'après "Tales...", y a toujours des pépites qui surnagent dans la fange ! Ah, non, sauf dans "Open Your Eyes", ma détestation ultime chez ce groupe !
Perso, si je trouve la pochette (int et ext) de Hypgnois très forte, je n'aime pas du tout le titre de l'album (le morceaux titre étant d'ailleurs assez insupportable because le son insupportable (Telecaster et lapsteel, je crois) de la guitare de Howe qui ne fait que rajouté à la voix de Jon (potable).
Sinon, en effet, seuls Awaken et Turn of the Century en valent vraiment la peine, et à eux deux, ces titres font déjà + de 50% de l'album.
Awaken fut pendant longtemps mon morceau préféré, même si ajd, j'en réfère d'autres.
Pour les deux suivants (Tormato & Drama), c'est pas vraiment mauvais, mais on est dans l'indigne (la production sonique des deux est très discutable - tout comme une partie de GFTO) et question de compositions, seul Silent Wings Of Freedom (de Tormato) aurait mérité une place sur cet album-ci.
à partir du catastrophique 90125, je n'aime pas grand chose à part les deux Keys To Ascenscion - surtout pas le Onion (qui fait pleurer tellement c'est mauvais ... et risible - le texte d'intention). Bref, ils auraient terminé leur carrière discographique avec Drama (en 80), cela m'aurait assez bien convenu. Idem pour Genesis avec Duke (80), Jethro Tull avec Stormwatch (79), Moody Blues avec Octave (78), et Floyd avec Final Cut (83).
Si j'avais eu de la chance de voir le groupe à Toronto deux fois (pour GFTO et Drama - pas génial avec les deux Buggles, c'était quasi leur premiers concerts ensemble), j'ai eu l'occasion de les voir entre 95 et 05, six ou sept fois à Bxl ou Anvers (concert symphonique en 2002). Et bien tu ne me croiras sans doute pas, mais c'est la tournée Close Your Ears que j'ai préféré, car ils n'ont joué qu'un titre de cet album, le reste étant des grandes années et Owner Lonely Fart. La tournée suivante (pour The Ladder) était avec Wakeman (au lieu de Igor Koroshev), mais moins sympa niveau set list.
1982 : Long After Dark
En 1982, Tom Petty est retourné en studio pour enregistrer un nouvel album, "Long After Dark". Mais, cette fois, Tom Petty & the Heartbreakers sonnent vraiment fatigués.
Même s'il y a quelques touches de New Wave, le groupe n'a pas vraiment changé de style: c'est toujours du Rock de terroir à la Rolling Stones, à la Byrds.
Malheureusement, Petty a connu un passage à vide sur cet opus. Avec ses guitares tourbillonnantes en tonalité mineure, "You Got Lucky" est un classique et "Change of Heart" n'est pas loin d'égaler ces sommets, mais les autres chansons s'élèvent rarement. Comme les Heartbreakers sont un très bon groupe, cela signifie que le disque sonne plutôt bien lorsqu'il est joué, mais à part ces quelques points forts, rien n'est mémorable une fois l'album terminé...
C'est une déception après la réussite des précédents albums...
Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Stephen Thomas Erlewine
