Kid Loco, cette claque à l'époque, grand cet album, assurément.
En ce moment,
Un hymne de la contestation actuelle en Algérie interprété par les supporters d'un club de foot. Un mix du chant des partisans version algéroise et de chants argentins. Entendu et revisité depuis la série de "La casa de papel". Cette version vaut le détour pour tout amateur, et pas que, du jeu de pieds-ballon :
Kid Loco, cette claque à l'époque, grand cet album, assurément.
En ce moment,
Un hymne de la contestation actuelle en Algérie interprété par les supporters d'un club de foot. Un mix du chant des partisans version algéroise et de chants argentins. Entendu et revisité depuis la série de "La casa de papel". Cette version vaut le détour pour tout amateur, et pas que, du jeu de pieds-ballon :
Je n'avais pas encore écouté Kid Loco, une belle surprise de mon côté, idem pour la chorale des fouteux...
Par contre j'ai écouté le dernier Swans (une fois) et il m'a semblé en deçà de la trilogie The Seer (2012), To Be Kind (2014) et The Glowing Man (2016), j'ai eu le sentiment de descendre une marche de l'escalier, même s'il reste de bons moments (je vous rassure l'atmosphère est noire à souhait).
J'ai la version vinyle mais elle contient un titre de moins que la version Cd (ll' entêtant Some news Things), il ne faut donc pas oublier d'utiliser le coupon de téléchargement!
Kid Loco et Swans !
Ce Kid Loco, merveille absolue, et très sensuel effectivement. Un de mes gros classiques.
Ce dernier Swans, je le trouve très bon après quelques écoutes (en vinyle également). Il est déroutant de prime abord : beaucoup plus calme que les précédents, même carrément "doux" (ce qui a de quoi surprendre avec ce groupe). Mais même comme ça, pas de doute, c'est bien Swans, on les reconnaît sans sourciller.
Le 106 mars, le millième doudou vivant a été certifié par l'Office informel des enfants crédibles. Alain Damasio
Kid Loco et Swans !
Ce Kid Loco, merveille absolue, et très sensuel effectivement. Un de mes gros classiques.
Ce dernier Swans, je le trouve très bon après quelques écoutes (en vinyle également). Il est déroutant de prime abord : beaucoup plus calme que les précédents, même carrément "doux" (ce qui a de quoi surprendre avec ce groupe). Mais même comme ça, pas de doute, c'est bien Swans, on les reconnaît sans sourciller.
Oui, Swans garde son identité mais je n'ai pas été "saisi" comme avec les précédents qui semblaient énormes dans la démesure, mais je le réécouterai...
Pour rester dans une ambiance assez proche, je viens d'écouter le dernier Oiseaux-Tempête "From Somewhere Invisible". Un peu plus court qu'à l'habitude il prolonge bien l'atmosphère des précédents albums, des voyages, après la Grèce, la Turquie et le Liban nous voici plongés dans un ailleurs indéfini, le voyage est musical également, des rêveries mais aussi des tensions, on passe facilement du rose au morose, encore que du rose y'en a pas beaucoup...
Vraiment un bel album, très dense, plus qu'à l'habitude...
OISEAUX-TEMPÊTE // He Is Afraid And So Am I
OISEAUX TEMPÊTE - We, Who Are Strewn About In Fragments
Le premier album de Steve Harley & Cockney Rebel, The Human Menagerie de 1973.
J’avais oublié à quel point il était grand. J’aime bien quand ce genre de pépite sort de mon esprit un long moment, c’est à nouveau une grande claque lorsque je les redécouvre
Sebastian
"A force de frapper l'enclume, de regarder passer les lunes, tu sais parler de nos aïeux comme s'ils n'avaient jamais été vieux ..."
Christian Decamps
En attendant d'aller voir le film avec mon ex(avatar) Eva Green (prononcez Grèn), dont on dit le plus grand bien, du film et de l'actrice, je m'écoute cette bande du prolifique Ryuichi. Ambientique, dronesque, planètentante.
Le Premier titre - Launch
En attendant d'aller voir le film avec mon ex(avatar) Eva Green (prononcez Grèn), dont on dit le plus grand bien, du film et de l'actrice, je m'écoute cette bande du prolifique Ryuichi. Ambientique, dronesque, planètentante.
Le Premier titre - Launch
En attendant d'aller voir le film avec mon ex(avatar) Eva Green (prononcez Grèn), dont on dit le plus grand bien, du film et de l'actrice, je m'écoute cette bande du prolifique Ryuichi. Ambientique, dronesque, planètentante.
Le Premier titre - Launch
Pas encore vu, Ryuichi va nous emmener au moins aussi loin que les étoiles !
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
L'obsession depuis une semaine, c'est le disque qui tourne le plus depuis vendredi dernier. Lu une bio de Robbie Basho parue sur Section26 dans laquelle était citée le nom de Sandy Bull que je ne connaissais pas. Intrigué par la pochette de "E Pluribus Unum" et le label (Vanguard, tout de même) je me suis attelé à l'écoute. Adhésion totale et directe à l'esprit et à la couleur du disque. Si la face une évoque évidemment les bardes américains Fahey, Basho à travers ce drone entêtant, on est en 1969 et on sent les influences blues rock psychédélique : La reverb, la base rythmique et les plans guitares rappellent Al Kooper, les Super Sessions et certains plans de Canned Heat. On peut voir la face A comme une carte postale americana, la face B en revanche est intéressante pour l'exploration musicale qu'opère Sandy Bull en progression et qui s'attèle à une musique d'influence arabe à grand renfort d'oud électrifié et instruments orientaux. On est pas loin de l'Exotica (dans le sens noble du terme, pas le muzak) plus psychédélique et blues que pop même si on pense à Bill Plummer (Journey To The East), ou au disque des Mongols sur Chant Du Monde.
C'est un disque instrumental composé de deux pistes et dans l'ensemble c'est downtempo, et très chill. C'est envoûtant et on glisse sans mal dans cette espèce de torpeur bercé par le drone et la reverb.
José González, né en 1978, est un chanteur suédois. Sa musique est caractérisée par des mélodies calmes accompagnées uniquement à la guitare. Il est aussi notamment reconnu pour ses nombreuses collaborations avec le groupe de trip hop Zero 7. Aujourd'hui, il est considéré comme l'une des références « néo-indie-folk
José González - Veneer
Délicieusement féminin, glamour, musique et pochette !
Le Grand Bazar Vinylique : pleins de 45 tours EP & SP avec de vrais morceaux de vinyles dedans !
Citation : "Elle est pas électrique ta guitare... c'est une vieille, elle est encore à vapeur" Dupont et Pondu (1964) C.V. (archives2) : ICI
Le groupe folk prog pop SEALSIA venant de Arles. En 1976 ils enregistrent à Paris une bande 8 titres d'ou sera tiré un seul et unique acétate.
Cet album magnifique dans le genre viens de paraître chez Caméléon Records (1 ex à la maison) Une idée de cadeau pour les fêtes
Le Grand Bazar Vinylique : pleins de 45 tours EP & SP avec de vrais morceaux de vinyles dedans !
Citation : "Elle est pas électrique ta guitare... c'est une vieille, elle est encore à vapeur" Dupont et Pondu (1964) C.V. (archives2) : ICI