
Petit hommage A Ahmad Jamal avec cet album de 1968 avec Frank Gant et Jamil Sulieman
Cool à vous d'être passé par ici, cet album le mérite, c'est sûr! C'est malgré tout la première fois que je parle de l'un de ses albums...
Certes un grand pianiste nous a quittés et tu fais bien de nous y faire penser...
Со всеми этими классическими отсылками мы могли бы получить своего рода легкую аудирование, путь, по которому часто шли величайшие, Джон Зорн даже делает из этого большую специальность, хотя дома легкое прослушивание часто легче слушать, чем играть. ...gabuzomeuzomeu a écrit : ↑dim. 23 avr. 2023 13:26
Gareth Sager Feat. David "Flash" Wright - Ghost Ship Trance Lamentations (2022)
Gareth Sager : Guitarist, keyboardist, songwriter.
In his early years, Sager became acquainted with the works of Erik Satie, Frédéric Chopin and Claude Debussy, an influential starting point revisited and expanded upon with 2017's solo piano album 88 Tuned Dreams.
After The Pop Group first disbanded in 1980, Sager formed the conceptual collective Rip Rig + Panic, headed by a young Neneh Cherry. They released three albums and a run of singles. During these years Sager also played saxophone on "A-Train", a track featured on The Flying Lizards' Fourth Wall. In 1985 Rip Rig + Panic (with Neneh Cherry) changed their name to Float Up CP releasing one final album and single before amicably disbanding.
Soon after, Sager helped initiate Head, transforming his work once again and pursuing a soused, anthemic pop under the influence of The Pogues, Captain Beefheart and the traditional sea shanties and folk tunes of Sager's base for many years, Bristol.
In a solo capacity, as CC Sager, Pregnant and as Gareth Sager respectively, Sager's work has been championed and comprehensively collated by Glasgow institution and John Peel favourite Creeping Bent. He was also engaged in manifold collaborations with the late Scottish punk poet and 'tragedian' Jock Scot, including regular live performances at Edinburgh Festival Fringe, as well as a record, Caledonian Blues, released by Geoff Barrow's Invada Records.
Rikikipèdia.
Douglas a écrit : ↑ven. 7 févr. 2020 21:30
On le sait le travail de John Zorn donne lieu à de nombreuses productions, c’est un musicien très prolifique et sa soif de composer semble inaltérable, à tel point que ses œuvres sont souvent regroupées par thèmes, chaque volume s’intégrant dans un ensemble plus grand.
Voici par exemple "Secret Lives", le onzième volume des « Filmworks », comme le nom l’indique il s’agit de musique de film. La série des Filmworks est aujourd’hui achevée, elle compte désormais vingt-cinq volumes dont la publication s’est déroulée entre 1995 et 2013. Les "bande sons" ont été importantes pour John Zorn car elles ont généré des revenus (souvent petits) et lui ont permis d’enregistrer, le plus souvent avec un brio extrême, des musiques assez populaires, voire « mainstream » (ce qui ne veut pas dire au rabais), ça lui a également permis de faire travailler nombre de musiciens exceptionnels, comme ici.
C’est la musique d’un documentaire sur les « justes », ainsi nommés car ils sauvèrent, au péril de leur vie, des enfants juifs pendant la seconde guerre mondiale. C’est Aviva Slesin la cinéaste, elle et ses producteurs ont des idées arrêtées sur la musique qu'ils souhaitent pour le film, mais cela ne convient pas à John Zorn… Il a vu et aimé le documentaire, il se sent concerné jusque dans sa chair et il est rare qu’un projet lui tienne autant à cœur, il demande qu’on lui fasse confiance : il sait la musique qui tiendra le film.
Il fait appel au pianiste Jamie Saft et à son épouse Vanessa qui chante, ainsi qu’au « Masada String Trio » : Erik Friedlander au violoncelle, Greg Cohen à la basse et Mark Feldman au violon. Le volume est exceptionnel, servi par des musiciens qui réussissent à transmettre les émotions grâce à une sensibilité, une précision et une cohésion rare, on passe par le drame, la tristesse et l’espoir, des formes simples, classiques ou discrètement klezmer, vingt et un titres et autant d’occasions de porter les sentiments, les sensations et de sauver l’innocence perdue de l’enfance…