Les albums live, vous les aimez comment ?
Posté : mer. 19 mars 2025 09:06
Option 1 pour moi.
Même avis, et j'ajoute seuls les artistes ressentent pour tel ou tel titre si ils ont été en phase avec le public et au meilleur de leur forme (dixit Andy Partridge et Syd Barrett
Pour ma part je n’achète que rarement de disques semi officiels et des bootlegs Live mais j'ai un grand faible pour les Peel Sessions de John Peel et certaine BBC sessions la tu est certain d'avoir de la qualité puisque c'était souvent des live en StudioJitoma Je suis plutôt porté sur les publications dites archival (exemples les dernières sorties d'enregistrements de concerts de Can, en particulier le concert parisien de 1973), mais en général je ne suis pas trop regardant, je les apprécie en tant que tels, c'est-à-dire qu'ils peuvent être trafiqués plus ou moins subtilement, si le résultat est un bon album de rock & roll, je suis content.
1: Seventeen 2: Satellite 3: Feelings (No Feelings) 4: Just Me (I wanna be me) 5: Submission 6: Nookie (Anarchy in the UK) 7: No future (God save the queen) 8: Problems 9: Lots of fun (pretty vacant) 10: Liar 11: Who was it (EMI) 12: New York (Looking for a kiss) BONUS CD TRACKS 13 Anarchy in the UK (July 1976 demo) 14: Pretty vacant (july 1976 demo) 15: No fun (oct 1976)
Ou Rock and Roll Animal (et Lou Reed Live) ?
Je pense tout pareil ..alcat01 a écrit : ↑ven. 21 mars 2025 13:26J'ai mis longtemps à les apprécier à leur juste valeur!
J'aime particulièrement les albums bruts de décoffrage, à condition que ce ne soit pas une bouillie sonore.
Je n'aime pas trop les disques où les musiciens font carrément un copier / collé de leurs enregistrements studio...
Quant à la question initiale, peu importe si c'est un enregistrement d'un seul concert ou pas, l'important, c'est le feeling et le ressenti qui s'en dégagent...
Idemlienard a écrit : ↑ven. 21 mars 2025 20:40Je pense tout pareil ..alcat01 a écrit : ↑ven. 21 mars 2025 13:26J'ai mis longtemps à les apprécier à leur juste valeur!
J'aime particulièrement les albums bruts de décoffrage, à condition que ce ne soit pas une bouillie sonore.
Je n'aime pas trop les disques où les musiciens font carrément un copier / collé de leurs enregistrements studio...
Quant à la question initiale, peu importe si c'est un enregistrement d'un seul concert ou pas, l'important, c'est le feeling et le ressenti qui s'en dégagent...![]()
Tout-à-fait d'accord avec toi concernant les prises BBC, qui par bonheur, fonctionnement oblige vis-à-vis du quota de diffusion d'enregistrements live en raison de la puissance du syndicat des musiciens britanniques, a permis d'avoir des albums entiers par deux ou trois générations d'excellents groupes. Et avec une qualité sonore exemplaire. Pour ma part, j'ai d'abord flashé, encore gamin, sur les sessions de Hendrix avec l'album Radio One, puis c'est venu en rafale ininterrompue pendant des années.Punker paname a écrit : ↑ven. 21 mars 2025 13:03Pour ma part je n’achète que rarement de disques semi officiels et des bootlegs Live mais j'ai un grand faible pour les Peel Sessions de John Peel et certaine BBC sessions la tu est certain d'avoir de la qualité puisque c'était souvent des live en Studio![]()
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J'ai un grand respect pour les live faits à partir des broadcasts radios ou TV, que ce soit mPunker paname a écrit : ↑ven. 21 mars 2025 13:03Pour ma part je n’achète que rarement de disques semi officiels et des bootlegs Live mais j'ai un grand faible pour les Peel Sessions de John Peel et certaine BBC sessions la tu est certain d'avoir de la qualité puisque c'était souvent des live en StudioJitoma Je suis plutôt porté sur les publications dites archival (exemples les dernières sorties d'enregistrements de concerts de Can, en particulier le concert parisien de 1973), mais en général je ne suis pas trop regardant, je les apprécie en tant que tels, c'est-à-dire qu'ils peuvent être trafiqués plus ou moins subtilement, si le résultat est un bon album de rock & roll, je suis content.![]()
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alcat01 a écrit : ↑ven. 21 mars 2025 13:26J'ai mis longtemps à les apprécier à leur juste valeur!
J'aime particulièrement les albums bruts de décoffrage, à condition que ce ne soit pas une bouillie sonore.
Je n'aime pas trop les disques où les musiciens font carrément un copier / collé de leurs enregistrements studio...
Quant à la question initiale, peu importe si c'est un enregistrement d'un seul concert ou pas, l'important, c'est le feeling et le ressenti qui s'en dégagent...
ma chronique (datant de 2007) de l'albumPunker paname a écrit : ↑sam. 22 mars 2025 23:00Jitoma,Cooltrane et Piranha je suppose que vous êtes tous trois fans du Live de Massacre Killing Time enregistré au Théâtre Dunois à Paris en 1980, une claque que ce disque![]()
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Faut dire qu'il y avait du Level pour ce disque soit Fred Frith , Bill Laswell, et Fred Maher![]()
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Massacre Killing Time
At the very end of Aksak Maboul, Fred Frith (and his Henry Cow cohort Chris Cutler) will retain their Belgian connections and start the Honeymoon Killers, but in the meantime, the guitarist will start Massacre with the then-new bass wizard Bill Laswell and rather unknown drummer Maher for a one shot album recorded after on their short tour supporting their mentor. This Massacre project was a bit the result of a demand of Blegvad for a support group. Whether this was effectively a one-shot from the start or it turned out to be so for almost two decades remains a mystery to this writer, but the fact is that Massacre's only album, Killing Time was alone in the store's stocks for quite a while.
Ultra technical is the first word that comes to mind when listening to Massacre, along with dissonant, un-melodic, overly complex, self-centered and many more. Indeed these words do not sound that positive, but they must be also accompanied with a bunch of others such as stunning, groundbreaking, virtuoso, adventurous, bold etc.. Of course, Killing Time is not for beginners or even novices, but rather for confirmed progheads that know they will be able to digest more or less quickly. This almost completely instrumental (just a few vocalizing) guitar trio's album is full of fairly short tracks (except for As Is) outlining their tightness as a group, which may appear a little strange at first, but very few moments are improvised, the vast majority being written. Contrarily to what could be expected from an instrumental trio, there are no one-man solos and very few accompanied solos and when there are, they generally come from Cutler and remain short and avoid any kind of indulgence or complacency. Even at their most accessible (the title track for example), Massacre remains quite difficult for those not used to dissonance and constantly changing rhythms.
Although largely forgotten nowadays, Massacre's first album's historical importance might still not be that obvious, but can we imagine all these US techno-prog projects with Bozzio , Levin, Sheridan and whoever else indulged, without Killing Time's existence. I dare think not. Not that I would call this album all that essential, but quite worthy still.
Quand ce sont des olibrius qui passent chez Aksak Maboul o dans d'autres configurations de chez Crammed Disks, j'y retourne toujours joyeusement et les yeux fermés, jamais déçu par cette belgitude d'enfer ... qui avec The Residents et d'autres RIO et expérimentaux du même acabit . .. c'est dans ces branques qu'ont trouve la meilleure soupe musicale qui plaît au cinglé d'underground dans mon genre !Cooltrane a écrit : ↑dim. 23 mars 2025 09:40ma chronique (datant de 2007) de l'albumPunker paname a écrit : ↑sam. 22 mars 2025 23:00Jitoma,Cooltrane et Piranha je suppose que vous êtes tous trois fans du Live de Massacre Killing Time enregistré au Théâtre Dunois à Paris en 1980, une claque que ce disque![]()
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Faut dire qu'il y avait du Level pour ce disque soit Fred Frith , Bill Laswell, et Fred Maher![]()
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Massacre Killing Time
At the very end of Aksak Maboul, Fred Frith (and his Henry Cow cohort Chris Cutler) will retain their Belgian connections and start the Honeymoon Killers, but in the meantime, the guitarist will start Massacre with the then-new bass wizard Bill Laswell and rather unknown drummer Maher for a one shot album recorded after on their short tour supporting their mentor. This Massacre project was a bit the result of a demand of Blegvad for a support group. Whether this was effectively a one-shot from the start or it turned out to be so for almost two decades remains a mystery to this writer, but the fact is that Massacre's only album, Killing Time was alone in the store's stocks for quite a while.
Ultra technical is the first word that comes to mind when listening to Massacre, along with dissonant, un-melodic, overly complex, self-centered and many more. Indeed these words do not sound that positive, but they must be also accompanied with a bunch of others such as stunning, groundbreaking, virtuoso, adventurous, bold etc.. Of course, Killing Time is not for beginners or even novices, but rather for confirmed progheads that know they will be able to digest more or less quickly. This almost completely instrumental (just a few vocalizing) guitar trio's album is full of fairly short tracks (except for As Is) outlining their tightness as a group, which may appear a little strange at first, but very few moments are improvised, the vast majority being written. Contrarily to what could be expected from an instrumental trio, there are no one-man solos and very few accompanied solos and when there are, they generally come from Cutler and remain short and avoid any kind of indulgence or complacency. Even at their most accessible (the title track for example), Massacre remains quite difficult for those not used to dissonance and constantly changing rhythms.
Although largely forgotten nowadays, Massacre's first album's historical importance might still not be that obvious, but can we imagine all these US techno-prog projects with Bozzio , Levin, Sheridan and whoever else indulged, without Killing Time's existence. I dare think not. Not that I would call this album all that essential, but quite worthy still.