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1997 - Man On the Floor
"Man On The Floor" de Monti Amundson & The Blubinos, sorti en 1997, comprend 11 chansons fortes et solides bourrées de jeu de guitare Blues Rock exceptionnelle avec des vocaux sdulful.
C'est sans aucun doute de son meilleur disque à ce jour. Monti Amundson est un excellent guitariste obscur qui maintient le flambeau du Blues Rock en vie.
"Man On The Floor" est un document musical impressionnant sur ce musicien extraordinaire et il est rempli de Blues Texan brûlant.
"Man On The Floor" est hautement recommandé aux fans de Stevie Ray Vaughan,
Johnny Winter, Rory Gallagher, Eric Clapton, Robin Trower et tellement d'autres guitaristes de Blues Rock connus.
L'accent étant mis sur les chansons et le talent de Monti Amundson, son Blues vient directement du cœur.
"Man On The Floor" est un disque superbe, dynamique, diversifié et mature de Blues Rock à guitares lourdes, plein de profondeur, d'âme et de puissance Blues à écouter absolument...

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2019 - Masterpiece
"Masterpiece" d'Albert Castiglia , sorti en 2019, a été coproduit par Mike Zito et il a élevé Castiglia à l'échelon supérieur de la communauté mondiale du Blues.
L'album a été inspiré en partie par la rencontre de Castiglia avec une fille dont il ignorait l'existence, et cette expérience a sans aucun doute contribué au contenu émotionnel de ces sessions. Il traite également des atmosphères politiques et sociales du monde moderne et de la déception et de l'aliénation ressenties par tant de gens.
Castiglia est bien plus qu'un simple guitariste et il est grand temps que le monde entier le reconnaisse. C'est un auteur-compositeur exceptionnel qui a su créer un son original sans quitter l'idiome Blues Rock ni édulcorer ses idées. Peu de musiciens peuvent en dire autant ou le faire comme il le fait sur ces chansons.
"Masterpiece" est indispensable!...

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1971 - Indian Reservation
La composition de John D. Loudermilk "Indian Reservation (Lament of the Cherokee Reservation Indian)", une chanson de protestation Amérindienne, n'a pas grand-chose à voir avec la musique ou l'image des Raiders.
Mais un succès est un succès, et la chanson est devenue numéro 1 à l'Eté 1971, ressuscitant brièvement ce qui avait été une carrière d'enregistrement presque moribonde pour les Raiders à cette époque.
L'inévitable album fut une affaire bizarrement assemblée, comprenant des versions des Raiders de chansons comme "The Shape of Things to Come", du film Wild in the Streets, pour lequel le chanteur Mark Lindsay avait été sélectionné pour le rôle principal, et "Eve of Destruction" de Barry McGuire. Puis il y a "Prince of Peace" de Leon Russell et le récent Hit de Stevie Wonder "Heaven Help Us All".
Rien de tout cela ne ressemble vraiment à du matériel des Raiders, mais cela ressemble au genre de choses que Lindsay reprenait sous son propre nom.

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1988 - Running
"Running", sorti en 1988, est certainement une bonne représentation du travail effectué par le Desert Rose Band à l'époque de sa splendeur.
Avec de solides compositions de Chris Hillman et une reprise de "Hello Trouble" de Buck Owens, cet album est une œuvre définitive. Avec des Hits comme "I Still Believe in You", "Summer Wind" et "She Don't Love Nobody" de John Hiatt, rien ne manque, que ce soit au niveau de la performance, de la production ou du matériel.
"Running" est basé sur l'expérience des membres du groupe en tant que musiciens, auteurs-compositeurs et chanteurs qui étaient, et sont toujours, une partie importante de la communauté musicale de Bakersfield-Los Angeles. Hillman et Herb Pedersen ont tous deux un curriculum vitae impressionnant et ont notamment travaillé avec les Byrds, Gram Parsons, Buck Owens et Emmylou Harris. Quant à Steve Duncan, Bill Bryson, Jay Dee Maness et John Jorgenson, ils ont tous les trois une brillante expérience de musiciens Californiens et sont reconnus comme tels.
"Running" est certainement l'œuvre dont les auditeurs se souviendront avec le plus d'affection et de nostalgie.

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1982 - Vacant Heart
Little Bob est l'un des artistes les plus fiers de chanter en Anglais et d'être né en France; élevé au Havre, il porte cette influence industrielle de la ville portuaire aussi bien que les groupes /artistes natifs de Detroit ou du New Jersey comme le MC5, Bob Seger ou Bruce Springsteen;
Bob a complètement rénové son groupe au moment de la sortie de "Vacant Heart" en 1982: réduit à un quatuor, l'idée est de produire un son aussi serré et immédiat que possible dans un disque enregistré à Londres.
La liste des morceaux, principalement composée par Bob, comprend beaucoup de R&Roll et de R&Blues à toute vitesse, des morceaux accrocheurs avec de nombreux chœurs, parfois alimentés par une crudité et une rage de type Punk, l'occasionnelle ballade mid-tempo avec "Soul Attitude", mais aussi quelques morceaux plus ambitieux, notamment sur la première face, allant en territoire Américain avec de l'orgue et de l'harmonica ou du piano électrique, un travail de guitare très passable de la part du nouveau venu Gilles Mallet, aussi bien sur des plans influencés par Chuck Berry que sur un travail pentatonique plus incendiaire, bien que conforme aux règles, et même un exemple de la façon dont leur jeu de scène explosif pouvait conduire le public jusqu'à la ligne rouge ("Ten Million People in Paris").
Aussi banal que cela puisse paraître, il s'agit toujours de l'œuvre honnête et très professionnelle d'un type qui a toujours préféré crier la passion qu'il avait dans l'âme (et il savait le faire dans la meilleure tradition des grands hurleurs américains), plutôt que de se plier à la tyrannie de la mode.

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1998 - Medicine Hat
Sur "Medicine Hat" de Sunset Heights, sorti en 1998, la stratocaster survitaminée à la Fuzz est surpuissante. Il y a même un super solo très efficace sur "All Alone" avec une wha-wha omniprésente.
Le style de musique reste du Blues Rock Texan.
Le petit point faible reste le chant du guitariste chanteur, mais attention cela reste, magré tout, plus que correct.
"Medicine Hat" présente 12 titres d'un Blues Rock dense et puissant. La rythmique est bien marquée, la guitare est tranchante et volubile, et la voix bien en place.
Pas de temps mort, les titres défilent à peu près dans le même style, mais jamais sans lasser tant les musiciens s'expriment intensément et captivent par leur virtuosité.
C'est, en définitive, un excellent album de Blues Rock.

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2017 - Blues-O-Delic Celebration - A Tribute To The Blues
Blindstone rend un hommage musical sérieux sur "Tribute To The Blues intitulé Blues-O-Delic Celebration", sorti en 2017.
Ce disque comprend 13 titres qui mettent en lumière les racines musicales Blues Rock du groupe. Il comprend un ensemble de reprises de chansons de Blues des artistes suivants : Les Trois King : B.B., Freddie et Albert, ZZ Top, Leslie West, Rocky Hill, Guitar Shorty, The Gales Brothers, Shuggie Otis, Peter Green et Jimi Hendrix.
De nombreux morceaux sont obscurs et inconnus, mais ils sont tous d'une solidité à toute épreuve et constituent un excellent trio musical de Blues-O-Delic Celebration.
Blindstone est toujours dirigé par Martin J. Andersen, un véritable guitar hero des temps modernes qui est un maître du riff. Il n'est pas seulement un excellent guitariste, c'est aussi un excellent chanteur. La section rythmique, Jesper Bunk à la basse et Sigurd Jøhnk-Jensen à la batterie, s'intègre parfaitement à la machine à groove de Blindstone.
En prime, sur la version de Hey Joe qui clôt ce disque, Martin a invité son père Jens et son fils Magnus à jouer de leurs guitares avec lui sur ce morceau classique. Le résultat final montre trois générations s'amusant sérieusement, célébrant une chanson qui a une signification très spéciale pour les trois Andersen jouant de la guitare.
Hautement recommandé à tous ceux qui aiment et apprécient la musique sérieuse, basée sur le Blues et le Heavy guitar Rock.

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1982 - My Town
Au milieu des années 1980, la région de Boston a produit une petite poignée de groupes qui ont suivi le sillage des Real Kids de Beantown; des groupes roots avec des morceaux originaux solides, jouant sans fioritures. L'un des meilleurs était the Dawgs.
Phil Haynen, auteur-compositeur, chanteur et guitariste, en est le chef spirituel, fournissant les chansons et l'énergie qui alimentent ce petit quatuor.
"My Town", sorti en 1982, a été leur seul passage en studio, mais pour un premier album, c'est un effort remarquablement solide. La voix rauque de Haynen est l'instrument principal sur tous les morceaux, donnant du détail à la batterie et aux guitares qui sonnent comme des radios transistorisées.
C'est un album sombre qui garde un brin de foi en la fleur qui pousse sur le trottoir au milieu du centre-ville de Beantown.
C'est un groupe culte qui vaut la peine d'être découvert.

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2020 - Wild And Free
"Wild And Free" est un album live d'Albert Castiglia, sorti en 2020.
Castiglia libère complètement sa musicalité et cela reflète exactement l'un des points culminants de sa carrière.
Le disque est le résultat de deux concerts enregistrés au club The Funky Biscuit à Boca Raton, en Floride, un lieu très proche du cœur de Castiglia et l'endroit idéal, pour le blues-rocker américain, pour montrer son niveau artistique.
"Wild And Free" montre un artiste qui ne veut pas lever le pied de l'accélérateur musical, même pour une seconde. De "Hoodoo On Me", avec un travail impressionnant de la section rythmique, en passant par le Chicago Blues swagger exprimé sur "Get Your Ass In The Van" et jusqu'à une démonstration extraordinaire de l'habileté de Castiglia à la guitare sur la chanson "Keep On Swinging", le disque ne cesse de fournir ce niveau d'énergie brute, transpirante et imparable qui devrait toujours être au centre d'un album live.
Il y a aussi la qualité exceptionnelle de Castiglia en tant que chanteur, qui mérite d'être mentionnée séparément.
À une époque comme celle-ci, où le monde est complètement à l'arrêt pour des raisons très regrettables, y compris la musique live, Wild And Free est un disque qui fournit aux nouveaux et aux anciens fans d'Albert Castiglia et de Blues Rock en général, l'ensemble des informations sur le talent de Castiglia et sur ce que devrait être un spectacle en live. La musique doit être sauvage, avant d'être libre, afin de permettre à la pureté artistique d'émerger. C'est ce qu'Albert Castiglia a fait avec brio sur ce superbe disque.

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1979 - Nightout
"Nightout" d'Ellen Foley, sorti en 1979, a été produit et arrangé par Ian Hunter et Mick Ronson, tous deux revenus sous les feux de la rampe grâce à l'album 'Your Never Alone With A Schizophrenic' de Hunter.
Leur travail est tout simplement génial, utilisant la plupart des membres du groupe de Ian Hunter et tirant leur chapeau à Phil Spector, le résultat est un album plein à ras bord d'angoisse adolescente, d'attitude et de passion.
Le morceau d'ouverture " We Belong To The Night " rend hommage aux années 1960 avec un mur de son à la Phil Spector et un soupçon de Meatloaf ( Ellen chante sur la chanson 'Paradise by the Dashboard Light" de "Bat Out of Hell') pour s'assurer que les fans qui viennent de ce côté se sentent comme chez eux.
Il y a une version Rock de "Stupid Girl" des Rolling Stones, mais c'est sur les semi-ballades que la voix d'Ellen est la plus fragile et que cet album fonctionne si bien.
"What's A Matter Baby", "Nightout" et "Sad Song" sont également de merveilleuses interprétations, mais le meilleur morceau semble être "Don't Let Go", une reprise de l'album "Schizophrenic" de Ian Hunter.
L'autre morceau marquant est la version de "Young Lust" de Philip Rambow, où Ellen donne l'impression de penser chaque mot!
Il est certain que beaucoup de gens ont acheté cet album en raison de l'implication de Mick Ronson et Ian Hunter. Le jeu de guitare de Ronson est impeccable et, en tant qu'équipe de production, cet album incontournable a contribué à asseoir leur réputation dans ce domaine.

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1990 - Pages of Life
"Pages of Life", sorti en 1990, est un album studio du groupe de Country Rock Américain, the Desert Rose Band. Il a été produit par Paul Worley et Ed Seay.
C'est le disque le plus réussi du groupe sur le plan commercial, mais aussi leur dernier album studio à se classer dans les Charts. Il a atteint la 17e place du classement des meilleurs albums Country et a été le seul album du groupe à entrer dans le Billboard 200 Albums Chart Américain, où il a atteint la 187e place. Il est resté dans le Top 200 pendant quatre semaines au total.
Six des titres ont été écrits par Hillman et son collaborateur habituel Steve Hill. "Missing You" a ensuite été réenregistré par Hillman et Herb Pedersen pour la compilation "Songs for Sophie: A Collings Collective" de 2005. "Just a Memory" est la seule chanson du Desert Rose Band à être écrite par John Jorgenson. "Darkness on the Playground" contient un message antidrogue.
L'album comprend deux reprises. "Our Baby's Gone" est une reprise de la chanson Folk de Pedersen sur sa fille, initialement enregistrée avec Emmylou Harris pour son album "Southwest" de 1976 et elle est chantée par Pedersen. "Desert Rose", écrit par Hillman et Bill Wildes, est apparu à l'origine sur l'album "Desert Rose" de Hillman en 1984.
Le matériel est solide et l'exécution excellente.
"Pages of Life" vaut largement la peine d'être écouté, c'est certain!...

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1970 - Bill Fay
Bill Fay est un chanteur Anglais songwriter et pianiste qui est relativement resté dans l’anonymat.
Son album éponyme, paru en 1970, est composé de 15 titres qui permettent de passer un bon moment en compagnie d’un très bon chanteur au charme indiscutable sans se prendre la tête sur des arrangements tortueux.
Le chant de Fay fait indéniablement penser à un croisement entre Peter Hammill et Steve Winwood mais les compositions s’inscrivent plus dans le style songwriters, Pop Folk, et variétés que dans des développements alambiqués à la sauce Prog.
Tout au long de cet album, Bill est accompagné par un orchestre qui pourrait faire penser, par moments, aux dernières productions de Neal Morse avec toutefois moins d’envolées lyriques.
Ces arrangements orchestraux sont particulièrement bien réussis car ils sont parfaitement bien en phase avec le chant. Cela donne un aspect presque classique à certains morceaux, tout en diminuant le côté morbide de quelques paroles comme dans le superbe "The Sun is Bored'.
N.B.: Les deux bonus qui agrémentent la fin du cd sont issus d’un single sorti en 70.

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1999 - Sunset Heights
L'album éponyme de Sunset Height, sorti en 1999, est le dernier album du groupe qui s'est séparé ensuite.
Comme pour la précédente production, du groupe original, il ne reste que le bassiste Jason Youngblood, l'excellent guitariste Vince Converse étant remplacé par l'estimable Rick Hall natif de l'Ohio.
Mais le feeling, la folie n'y sont plus, le groupe déroule un Blues Rock percutant sans pour autant éveiller un intérêt extraordinaire.
Certes les solos de guitare sont incisifs, prenants, très bien exécutés, la rythmique est précise, le quatuor assure un maximum, mais les compositions semblent un peu trop prévisibles.
"Sunset Heights" reste, magré tout, un bon album, une dernière salve d'honneur avant la séparation définitive d'un groupe...

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2019 - Deliverance At The Crossroads
"Deliverance at the Crossroads" de Blindstone, paru en 2019, est certainement le meilleur album du groupe jusqu'à présent.
Blindstone, groupe de Heavy Blues Rock, peut plaire aux fans de Metal, de Rock, de Hard Rock, et de Rock classique. Il fusionne de manière transparente des riffs puissants et épais avec du groove et de la mélodie.
Chaque chanson est quasiment incroyable! Le trio, très soudé et sans limites, est vraiment bon et le groupe s'est amélioré à chacun de ses enregistrements.
Et, comme d'habitude, la section rythmique assure avec Jesper Bunk à la basse et Sigurd Johnk-Jensen à la batterie.

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1983 - On The Road To You
The Dawgs est un groupe de Garage Rock et de Rock classique originaire de Beverly, dans le Massachusetts, formé à la fin des années 70.
Très populaire aux États-Unis, mais aussi en Europe, dans les années 1980.
"On The Road To You", sorti en 1983 et produit par Elliott Easton et Cub Koda, est considéré comme le meilleur du groupe.
The Dawgs est un groupe culte qui vaut la peine d'être découvert.
Phil Haynen, auteur-compositeur, chanteur et guitariste, en est toujours le chef spirituel, fournissant les chansons et l'énergie qui alimentent la formation.

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2022 - I Got Love
Albert Castigila est un maître et son exécution est si naturelle qu'elle semble sans effort. Il fait jaillir des riffs de guitare et des lignes mélodiques enflammés, tout en chantant.
Ses chansons sont bourrées de puissance instrumentale, mais ce sont des compositions entièrement développées, et non de simples véhicules pour la pyrotechnie des six cordes. Il est aidé dans ses efforts par une section rythmique tendue, musclée et palpitante. La bassiste Justine Tompkins a rejoint le groupe en 2019, et "I Got Love" marque les débuts en studio d'une formation qui comprend également le batteur de Roomful of Blues, Ephraim Lowell, à la batterie.
Lewis Stephens ajoute subtilement de l'orgue Hammond B3 et du piano acoustique, notamment sur les titres "Long Haul Daddy" et "Take My Name Out of Your Mouth", qui clôturent l'album, mais à la base, "I Got Love" est un Power Trio de Blues rugissant.
La voix expressive d'Albert ne varie pas beaucoup en texture d'une chanson à l'autre. Son travail à la guitare est tout autre: son timbre et son jeu de guitare sont réglés avec précision pour répondre aux exigences de chaque chanson.
Tout au long de "I Got Love", Castiglia est un caméléon, changeant de couleur de son sans effort. Son style est si varié que le disque peut parfois sembler être le produit non pas d'un, mais de trois guitaristes de premier plan. Mais sa voix puissante est le ciment de l'ensemble.

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1981 - Spirit Of St. Louis
Ellen Foley est une chanteuse extraordinaire et bien établie qui, malgré la piètre performance de son premier album, "Night Out" en 1979, produit par Ian Hunter et Mick Ronson, qui n'a pas été classé aux États-Unis et n'a pas fait partie du Top 50 en Grande-Bretagne, a quelque chose d'autre à faire valoir.
Il ne faut pas oublier qu'elle chantait sur le Hit de Meat Loaf "Paradise by the Dashboard Light".
Le groupe the Clash est présent sur "Spirit of St Louis", sorti en 1981 et produit par Mick Jones. D'ailleurs, Joe Strummer et Jones ont écrit la moitié des 12 chansons et leur ami Tymon Dogg en a écrit une autre.
Mais l'album part dans tous les sens. C'est un patchwork et la voix de Foley est mieux adaptée au style Européen / cabaret / scène.
À cet égard, la présence de Piaf ("Mon Légionnaire") sur le même album que "Shuttered Palace" de Strummer-Jones est tout à fait logique. Il en va de même pour l'aspect dramatique de "In the Killing Hour", qui s'apparente à du Boléro.
Les morceaux Rock? comme "Beautiful Waste of Time" de Dogg, ne sont pas vraiment mémorables.
Ce qui en ressort, c'est que c'est un album qui n'a pas de cohérence, qui n'a pas eu de succès et qui n'a pas été sérieusement classé, que ce soit dans son pays d'origine ou en Grande-Bretagne.
"Spirit of St Louis" est un album étrange où l'on soupçonne que tout le monde avait le cœur à l'ouvrage, mais pas tout à fait la tête...

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1991 - True Love
"True Love" du Desert Rose Band, sorti en 1991 a reçu peu de soutien de la part des radios Country, malgré l'inclusion de titres prêts pour la radio comme "You Can Go Home", "Twilight Is Gone" et "True Love".
Le fait est que l'album a été mis de côté à la naissance, écrasé par la nouvelle vague de héros coiffés de chapeaux de cow-boys qui s'étaient lancés sur les talons de Garth Brooks.
C'est triste, parce que c'est un digne ajout à l'héritage de ce groupe Country Rock séminal et à la solide série de cinq ans de singles Country couronnés de succès.

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1971 - Time Of The Last Persecution
"Time Of The Last Persecution", sorti en 1971, est un excellent second album de l'auteur compositeur Bill Fay, proche de Nick Drake.
Certains des morceaux de l'album sont excellents, tels que "'Til the Christ come back", "Laughing man", "Pictures of Adolf again" et, bien évidemment, "Time of the last persecution", certainement le meilleur morceau de l'album, qu'un Peter Hammill aurait pu écrire et qui, à lui tout seul, justifie le fait de posséder l'album. "Come a day" est aussi très bon, ainsi que "Let all the other teddies know", qui renvoie à "Time of the last persecution".
Cet opus est hautement recommandé.

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1979 - #3
Alabama avait connu des débuts modestes en 1977, mais c'est à la fin du Printemps 1979, que le groupe a atterri chez MDJ Records, où les membres du groupe ont enregistré leurs premiers nouveaux morceaux depuis deux ans.
La chanson "My Home's In Alabama", aux accents de rock sudiste, en fait partie. Elle.rend hommage à leur maison et raconte leurs luttes qui les a fait connaître.
L'album "# 3" de The Alabama Band, est paru en 1979 et "My Home's in Alabama" n'a atteint que la 17e place, mais elle a largement contribué à faire du groupe une superstar et lui a permis de signer un contrat avec RCA Records.
La carrière du groupe était lancée...