Larry Coryell The Real Great Escape (1973)
La tentative de Larry Coryell d'aller au-delà du public jazz dans l'arène Pop / Rock est une vérutable déception car, malheureusement, Coryell ne sait pas chanter, bien qu'il fasse une tentative courageuse sur ces chansons.
Le groupe est renforcé par des cuivres sur certains morceaux, Steve Marcus joue quelques solos de saxophone, et il y a des aperçus de l'habileté de Coryell à la guitare, mais la musique n'est pas très bonne.
"The Real Great Escape" ressemble un peu à Dreams, un autre groupe de jazzmen dont l'incursion dans le Rock n'a pas très bien fonctionné.
Cet album est peatiquement ignoré par tous, sauf les inconditionnels de Coryell...
1980: Defector
L'album "Defector" de 1980 de Steve Hackett ne s'éloigne pas beaucoup musicalement des débuts de Genesis, contenant une bonne dose de Rock Progressif. Cinq instrumentaux à base de flûte et de clavier apparaissent, ainsi que cinq morceaux chantés où Hackett assure le chant.
Parmi ceux-là, "The Toast" sonne un peu comme Pink Floyd, c'est léger, avec la flûte de John Hackett qui enlève toute menace à une ligne mélodique qui aurait facilement pu figurer sur "Dark Side of the Moon".
"Defector" s'écoute, mais ce n'est pas un grand album, Hackett nous avait habitué à mieux!...
Escape (1981)
L'abum "Escape" de Journey, paru en 1991, a propulsé le groupe résolument dans l'arène AOR, combinant le jeu de guitare agréable de Neal Schon avec les claviers de Jonathan Cain. Ajouter à cela le chant passionné de Steve Perry, qui est la véritable force vitale de cet album quasi révolutionnaire avec trois singles classés dans le Top 10 du Billboard, "Don't Stop Believing" atteignant la neuvième place, qui met en avant la ferveur de la voix de Perry, dont le thème sur les hauts et les bas d'une relation, "Who's Crying Now" sur lequel l'ardeur de Perry est renforcé par le travail de guitare de Schon, ce qui en fait une bonne chanson Rock atteignant la quatrième place, et "Open Arms", une des plus belles ballades du Rock, "Open Arms", atteignant la deuxième place et s'y maintenant pendant six semaines.
En règle générale, les chansons sont plus Rock, avec plus d'accroches et une cadence plus Hard par rapport à leur ancien son.
En dehors des singles, il y a une certaine électricité qui circule dans le reste de l'album. Les chansons sont intemporelles et, dans l'ensemble, elles ravivent l'innocence de la romance juvénile et la rébellion de l'enfance, grâce à une écriture sincère et à une solide musicalité.
Don McLean (1972)
En 1972, lorsqu'il enregistre son album, "Don McLean", celui-ci tente de poursuivre sur la lancée d'"American Pie" qui s'est imposé dans les Charts et qui a donné naissance à deux Hits, "American Pie" et "Vincent" qui s'est classé numéro un au Royaume-Uni et dans le Top 20 aux États-Unis.
Pourtant, il est resté l'artiste qu'il était avant que l'épique "American Pie" ne fasse sensation avec ses longs couplets allégoriques et son refrain entraînant. Sa vision du monde continue de refléter la gueule de bois des années 60, où la déception et l'échec ont remplacé l'espoir et la lutte.
Cette vision se poursuit dans "Don McLean", qui commence avec le Rock "Dreidel", une description sévère de la vie. Vient ensuite la chanson "Bronco Bill's Lament", de style Country, chantée par la voix d'un cow-boy hollywoodien qui considère sa carrière comme une imposture, une autre métaphore de la perte et de la trahison. Et ainsi de suite.
McLean a allégé la morosité par l'humour en reprenant la chanson fantaisiste des années 1920 "On the Amazon" de la comédie musicale Britannique "Mr. Cinders", dont les paroles absurdes emploient des mots multisyllabiques comme s'il s'agissait de noms d'animaux ("On the Amazon the prophylactics prowl / On the Amazon the hypodermics howl"). Et il offre de l'espoir dans ses chansons d'amour, notamment "If We Try". Cette charmante ballade a été publiée en tant que deuxième single et est entrée dans les Charts. Si "If We Try" avait été le premier single au lieu de "Dreidel", l'album aurait pu avoir beaucoup plus de succès.
N.B.: Outre la structure musicale étrange et les paroles pessimistes de la chanson, la plupart des gens ne savaient pas ce qu'était un dreidel. Il s'agit, en fait, d'un jouet juif pour enfants.
En l'état, Don McLean a, malheureusement été considéré comme une déception artistique et commerciale pour la suite d'"American Pie".
2002: Vapor Trails
Avec l'aide du producteur Paul Northfield, Rush revient en Mai 2002 avec "Vapor Trails", écrit et enregistré à Toronto.
Pour annoncer le retour du groupe, le single tiré de l'album, "One Little Victory" a été conçu pour attirer l'attention des auditeurs en raison de la vivacité de la guitare et des tempos de la batterie.
N.B.: "Vapor Trails" marque le premier enregistrement en studio à ne pas inclure une seule partie de synthétiseur, d'orgue ou de clavier depuis le début des années 1970.
Alors que l'album est presque entièrement axé sur la guitare, il est surtout dépourvu de tout solos de guitare classiques, une décision consciente faite par Lifeson pendant le processus de composition.
Selon le groupe, l'ensemble du processus de développement de "Vapor Trails" a été extrêmement usant et il a pris environ quatorze mois à terminer, c'est de loin le temps le plus long jamais passé à l'écriture et l'enregistrement d'un album studio.
Le disque reçoit des louanges modérées!...
1973: There Goes Rhymin' Simon
Conservant l'énergie musicale de "Paul Simon", mais utilisant un son plus produit, "There Goes Rhymin' Simon", paru en 1973, a permis à Paul Simon d'écrire et d'interpréter avec assurance et de s'aventurer dans la musique Soul et R&B.
Il renoue avec les harmonies vocales des disques de Simon & Garfunkel en faisant appel à des chanteurs de Gospel. Sur "Love Me Like a Rock" et "Tenderness" (qui semble avoir été écrit pour Art Garfunkel), les Dixie Hummingbirds font des chœurs importants, et sur "Take Me to the Mardi Gras", le révérend Claude Jeter apporte une partie de falsetto que Garfunkel aurait pu prendre en charge, mais pas avec autant de chaleur. Pour plusieurs morceaux, Simon s'est rendu aux Muscle Shoals Sound Studios pour jouer avec l'orchestre maison, ce qui lui a permis d'obtenir une variété de styles, du Gospel de "Love Me Like a Rock" au Dixieland de "Mardi Gras".
"There Goes Rhymin' Simon" est un album de chansons positives et optimistes sur la foi, la romance et l'engagement, qui se termine, comme il se doit, par une berceuse ("St. Judy's Comet") et une déclaration d'amour maternel ("Loves Me Like a Rock").
2000: Across The Water
Arrivé chez le label Tone-Cool, après une longue collaboration avec Thomas Ruf, Bernard Allison a opté pour un son résolument plus Rock et des arrangements plus commerciaux (production de Jim Gaines).
Sur son album "Across The Water", paru en 2000, on ne retrouve plus beaucoup de Blues, les guitares sont lourdes, et les ballades sont plutôt banales. On peut retenir, néanmoins, "Meet me half way"...
Selon le groupe, l'ensemble du processus de développement de "Vapor Trails" a été extrêmement usant et il a pris environ quatorze mois à terminer, c'est de loin le temps le plus long jamais passé à l'écriture et l'enregistrement d'un album studio.
Le disque reçoit des louanges modérées!..
Album inécoutable because une production totale pourrave avec compression au maximum, mais c'était déjà un peu le cas avec Test for Echo...
Par contre, si l'album a pris autant de temps, c'est parce que Neil Peart à perdu sa femme et sa fille au crabe, à un an d'écart. Celà lui a pris du temps de s'en remettre. Il a fait la tournée nord-américaine suivante à moto, prenant des chemins différents que les semi-remorques de matos et le bus.
Introducing Eleventh House with Larry Coryell (1974)
De 1972 à 1975, The Eleventh House a été l'un des groupes les plus solides de la fusion, dirigé par le guitariste Larry Coryell.
Ce premier enregistrement de Eleventh House a été enregistrée par, outre Coryell, le trompettiste Randy Brecker, le claviériste Mike Mandel, avec le bassiste Danny Trifan et le batteur Alphonse Mouzon dans les rôles d'accompagnateurs.
L'influence de Miles Davis, Weather Report et Herbie Hancock est évidente, mais Eleventh House propose également un son qui lui est propre. Les solos de Brecker sont souvent à la fois fougueux et lyriques. Coryell et Mandel se marient assez bien, et les grooves originaux de ce set ont souvent des personnalités distinctes.
C'est un excellent album!
1981: Cured
L'album "Cured" de Steve Hackett, parud en 1981, est celui qui se rapproche le plus d'un véritable album solo de Hackett.
Après avoir dissous le groupe avec lequel il avait enregistré les deux albums solo réussis, "Spectral Mornings" et "Defector", Hackett n'a gardé que le claviériste Nick Magnus pour l'aider sur cet opus. Magnus joue des claviers, Hackett s'occupe de la guitare et de la basse, et la batterie est assurée par une boîte à rythmes.
Mais le changement le plus notable se situe au niveau du chant. Sur les albums précédents, le guitariste avait parfois fait une incursion vocale, mais "Cured" est le premier album sur lequel Hackett s'occupe lui-même de toutes les voix principales. Combiné à un soutien musical renouvelé et à un style d'écriture plus direct, le nouveau son a déconcerté certains fidèles d'Hackett.
En fait, une grande partie de l'album est de la musique Pop plutôt commerciale, qui ne ressemble guère aux travaux précédents de Hackett. Pourtant, si on lui en laisse la chance, le nouveau son de Hackett est tout à fait convaincant, en particulier lorsqu'il joue les chansons en live.
Les principales concessions à son style antérieur sont les instrumentaux "The Air-Conditioned Nightmare" et "A Cradle of Swans", ce dernier étant un morceau de guitare classique en solo.
1979: Mick Taylor
Le premier album éponyme de Mick Taylor, paru en 1979, est assez différent de ce que l'on pourrait imaginer pour un ancien Rolling Stone et même un ancien Bluesbreakers.
On peut se demander si cela est dû au conformisme des titres les plus légers ("Leather Jacket", "Baby I Want You", etc.) ou au fait que sa voix est beaucoup plus moyenne que celle de Jagger ou de Mayall. Quoi qu'il en soit, Taylor est un album indéniablement attrayant et souvent surprenant.
Le point fort de l'album est le jeu de guitare époustouflant de Taylor. Sa fusion des styles Blues et Rock, et son travail à la slide guitare, sont constamment impressionnants. "Slow Blues", "Giddy-Up" et "Spanish / A Minor" comportent des solos de guitare particulièrement époustouflants. Sur le plan lyrique, Taylor est un peu léger, mais compétent. De même, certaines musiques sont parfois ringardes, tentant de se fondre dans le son de l'époque. Néanmoins, la première tentative d'enregistrement en solo de Mick Taylor est un bel effort qui se bonifie avec le temps.
Playin' Favorites (1973)
Après trois albums de chansons originales, Don McLean a enregistré "Playin' Favorites",paru en 1973, qui est un album composé d'anciennes chansons favorites écrites par d'autres.
On y trouve des chansons Folk traditionnelles, des airs de Buddy Holly, une chanson de Hank Williams et d'autres vieilles chansons obscures. C'est un album très Folk et Bluegrass.
Le travail de la guitare et du banjo sonne très bien et c'est très agréable du début à la fin. Cependant, les chansons que McLean a écrites lui-même sont largement supérieures. L'album vaut la peine d'être écouté rien que pour "Mountains O'Mourne", mais il faut aussi écouter "Living With the Blues", "Everyday" et "Ancient History"...
2004: Feedback
Pour célébrer son trentième anniversaire en Juin 2004, Rush a enregistré "Feedback", un EP studio enregistré dans la banlieue de Toronto avec huit reprises des artistes tels que Cream, The Who et The Yardbirds, entre autres, en fait, des groupes dont ils s'inspirèrent au moment de leur création.
C'est, malheureusement, un album bien moyen!
1974: Paul Simon in Concert: Live Rhymin'
La tournée solo de Paul Simon, qui fait suite à deux albums solo qui ont connu un grand succès commercial, est un moyen pour Simon de prendre ses distances avec le duo Simon and Garfunkel, et, simultanément, en interprétant des chansons comme "The Boxer" et "Homeward Bound", de se réapproprier son catalogue d'auteurs-compositeurs.
Reflétant les explorations musicales qu'il a poursuivies depuis ce duo, Simon a invité le groupe Brésilien Urubamba et le groupe de Gospel, Jessy Dixon Singers. Le résultat n'est pas parfait: personne n'a besoin d'entendre "Jesus Is the Answer", (de Willy Dixon) sur un album de Paul Simon, et s'il était inévitable qu'il tente sa propre version de "Bridge Over Troubled Water", il était également prédestiné qu'il n'arriverait pas à égaler l'original de Garfunkel.
Bien que l'album soit, comme la plupart des albums live, artistiquement redondant (il n'y a rien de nouveau, et aucune des versions live n'améliore les versions studio), il a servi de déclaration de carrière et a eu une fonction marketing, permettant à Simon, qui travaillait relativement lentement, de gagner du temps entre les sorties de nouveaux albums studio.
Ne pouvait-ce être autre chose que cela? (moyen)
C'est le péril de faire ce genre d'exercice. C'est assez fun à écouter une ou deux fois, et surprenamment, je l'ai gardé.
Pour moi, il signifie un retour à un Rush meilleur (une forme de retour en grâce), surtout avec leurs deux derniers albums à venir.
S&A et CWA sont leurs meilleurs depuis Signals, mais pas meilleurs (loin s'en faut) que Moving Pictures.
2002 : Storm of Life
L'album "Storm of Life" de Bernard Allison est certainement l'un des meilleurs albums de Blues de l'année 2002.
Il contient tout ce dont un grand album de Blues a besoin. La voix et la guitare d'Allison sont savoureuses, grinçantes et bien rodées, preuve de la quantité de travail et du dévouement qu'il a consacrés à son apprentissage auprès de Koko Taylor et de son père. Et le choix des chansons est superbe.
"Fistful of Dirt" est un shuffle mid-tempo très Rock avec un message profond sur la vie dans les moments difficiles, "Mean Town Blues" prouve amplement qu'Allison peut revendiquer l'héritage de la slide électrique Texane de Johnny Winter, et "Snake Bit Again" est un véhicule remarquable pour le chant grinçant et direct d'Allison.
"Storm of Life" montre que Bernard Allison est capable d'être un talent vraiment original dans le Blues. À découvrir absolument!...
The Restful Mind (1975)
Larry Coryell avait enregistré plusieurs sessions pour le label Vanguard au cours des années 70, avec des résultats variables. Il a cependant réussi à produire deux classiques, "Spaces" et "The Restful Mind".
Avec le soutien du groupe Oregon (à l'exception de Paul McCandless), qui était également signé chez Vanguard à cette époque, Coryell est réfléchi et détendu. Sa tendance à se rabattre sur son jeu a toujours été un point faible, mais elle est heureusement absente. Les deux morceaux "Improvisation" sont des moments forts de la carrière de Coryell, qui, avec les autres sélections de qualité, font de cet album l'un de ses meilleurs, et certainement l'un des plus méconnus.
1982: Highly Strung
Sur "Highly Strung" de Steve Hackett, paru en 1982, le son est dynamique et beaucoup plus précis que sur "Cured": la production fait un bond en avant, et la qualité de composition semble au rendez-vous: "Camino Royale" est un morceau attachant, varié, conduit par des instruments incisifs; la performance de Ian Mosley à la batterie est pour beaucoup dans la réussite de "Highly Strung".
En délaissant le coté Pop formaté qui encombrait "Cured", Hackett repart en exploration musicale, en introduisant plus de mordant dans son propos. Il emmène l'auditeur jusque dans les contrées de l’Arena Rock, avec des morceaux pêchus construits pour donner tout leur mordant sur scène ("Walking Through Walls", "Give It Away"). Il surprend avec l’utilisation de sons électro ("Cell 151"), et s’amuse à dynamiter sa réputation de guitariste sérieux en se déchaînant sur "Guitar Boogie".
Hackett montre des progrès dans le punch vocal ("Walking Through Walls"), un domaine qui fut un de ses points faibles. Et il s’autorise un clin d’œil à lui-même ("Hackett To Pieces"), mais aussi à Camel ("Always Somewhere Else"). Il y a également un duo claviers-guitare assez intéressant sur "Group Therapy".
Pour autant, les compositions manquent peut-être d’un peu d’ambition pour scotcher l’auditeur. L’absence de son frère John et de sa flûte enlève aussi de la magie des productions du début: dommage!...
1990: Stranger In This Town
"Stranger in This Town" de Mick Taylor a été enregistré principalement en Suède au cours de l'Eté 1989, à l'exception de "Little Red Rooster", enregistré en Allemagne, et de "You Gotta Move", le Blues traditionnel que l'on retrouve sur "Sticky Fingers" des Rolling Stones, enregistré à Philadelphie en Décembre 1989.
Il s'agit d'un album de Blues, et c'est l'un des meilleurs de Taylor. Coproduit par le guitariste et Phil Colella, il met en scène l'ancien sideman de Jeff Beck, Max Middleton, aux claviers, Shane Fontayne à la guitare, Wilbur Bascomb à la basse et Eric Parker à la batterie. Seul "You Gotta Move" est interprété par des musiciens différents, Joel Diamond aux claviers et Blondie Chaplin, un Beach Boy, à la guitare.
Le producteur de Keith Richard, Rob Fraboni, a remixé le morceau-titre, ainsi que la version de près de six minutes de "Jumpin' Jack Flash". C'est la chanson la plus Rock de l'album, la voix de Taylor s'y prêtant bien.
Il interprète "I Wonder Why" et "Laundromat Blues" d'Albert King, qu'il cite dans les notes de pochette comme "une grande influence, un homme sage que je respecte et que j'admire". Il qualifie Jimi Hendrix de génie, d'authentique et de "plus grand guitariste qui ait jamais vécu", et lui rend hommage avec une superbe version de "Red House", combinée à "Goin' Down Slow" de James Oden. L'ambiance Santana que Taylor a apportée à "Can't You Hear Me Knocking" des Stones se retrouve dans sa coécriture "Goin' South", qui, avec ses dix minutes et vingt secondes, contient l'un des meilleurs travaux de Taylor à la guitare sur le disque.
Maze avait un contrat de distribution avec A&M au Canada lorsque cet album est sorti en 1990, mais le label n'avait pas les ressources nécessaires, à cette époque pour offrir un si bel album à un public de masse.
Si "Stranger in This Town" était sorti sur Columbia lorsqu'il a quitté les Rolling Stones, il aurait eu l'occasion de jouir de la popularité d'un Buddy Guy ou d'un B.B. King, et le grand public aurait eu une meilleure connaissance de cet artiste superbe et très sous-estimé...
mick taylor déçu par son premier album , revendu , par contre ce live que j ai en cd est tres bon , vu deux fois en live et a chaque fois bien car a priori c etait pas toujours le cas
