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Wings 1978 London Town
Réduit au trio principal de McCartney, McCartney et Laine après le succès de la tournée "At the Speed of Sound", "London Town" voit Wings se défaire légèrement de la façade du groupe, réalisant leur effort le plus orienté vers la chanson depuis "Band on the Run" qui, non sans coïncidence, a été enregistré avec ce même trio.
Et bien que ses points forts ne brillent pas autant que ceux de ses deux prédécesseurs immédiats, il est certainement plus fort que "At the Speed of Sound", et, à sa manière, aussi satisfaisant que "Venus and Mars".
Ce que "London Town" a en sa faveur, c'est la décision de Wings de s'installer dans un Soft Rock lisse, s'appuyant sur des productions brillantes et riches en synthétiseurs alors qu'il augmente le quotient mélodique.
Cela donne à l'album une saveur européenne distincte, un sentiment qui s'intensifie lorsque les paroles sont prises en compte dans l'équation, et cela donne à "London Town" une saveur différente de celle de presque tous les autres disques de son catalogue.
C'est une collection décontractée, presque sans effort, de Pop professionnelle et, à ce titre, c'est toujours un excellent album.

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Eloy Metromania 1984
En 1984, l'enregistrement du nouvel album d'Eloy, "Metromania", fait ressortir de nouveaux désaccords de plus en plus marqués dans le groupe, qui décide finalement de se séparer fin 1984, à l'échéance de son contrat avec EMI.
"Metromania" est un album dans un style plus Heavy Metal Rock, mais toujours avec beaucoup de claviers, et l'utilisation de vocoder donne à cet album un son malheureusement trop 'années 80'. Certains le qualifie de Space Metal.

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Harvey Mandel 1972 The Snake
Le cinquième album de Mandel, comme les meilleurs efforts de Jeff Beck dans les années 70, ajoute des nuances bluesy et jazzy à une base Rock. Mais The Snake est plus fermement ancré dans le Blues Rock que, par exemple, Blow by Blow. Le jeu de Harvey, parfois renforcé par le violoniste Don "Sugarcane" Harris, est toujours impressionnant, mais les compositions (toutes sauf une instrumentale) ne sont pas vraiment captivantes et s'égarent peut-être un peu trop.
C'est tout de même l'un des meilleurs enregistrements de fusion à base de Rock de Mandel.

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2001: BBC Sessions 1964-1977
En 2001 sort un double album de The Kinks intitulé "The Songs We Sang for Auntie: BBC Sessions 1964-1977".
Logiquement, le Hit "You Really Got Me" ouvre les festivités de cet album issu des BBC Sessions.
La suite nous démontre que le groupe avait beaucoup plus à offrir. Ce disque parvient à remplir cette ambition et offre de surcroît de superbes versions, joués de manière magistrale et avec un enregistrement de très bonne qualité, comme la plupart des sessions de la BBC.
Le premier disque est assez impressionnant avec une succession en live de titres planétaires qui ont fait trembler la scène Rock de Londres dès 1964. Les Kinks prouvent qu'ils n'avaient rien à envier au Beatles ou aux Stones,
Le second disque présente une musique nettement moins intéressante, reflet de leur évolution musicale plus ou moins bien inspirée.

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Pat Travers 1998 Blues Tracks, Vol. 2
Si vous avez aimé le premier "Blues Tracks" de 1992, vous adorerez "Blues Tracks 2". Cette fois, le matériel est composé uniquement de reprises, mais suffisamment intensifié pour en faire de véritables classiques de Pat Travers. Le batteur cette fois-ci n'est autre que Liberty DeVito (Billy Joel) et ça se voit. Liberty est certainement un batteur puissant.
De "I Guess I'll Go Away" de Johnny Winter à "Whipping Post" des Allman Brothers Band en passant par "Purple Haze" de Jimi Hendrix, vous ne pouvez pas vous tromper. Les artistes originaux seraient fiers d'être représentés par les réécritures audacieuses et flamboyantes de Pat Travers de leurs classiques.

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If 2 (1970)
La sortie de "If" a été suivie la même année (1970) par celle de "If 2", également publié sur Island et Capitol.
Quel album incroyable que celui-ci! Pour tous les amateurs de Jazz, Prog, Rock, ou Pop, ce disque est un indispensable!
Il continue dans le même excellent thème de Jazz Rock que l'on trouve sur le premier album, mais avec un côté Rock un peu plus Heavy, que leur précèdente publication.
Il est plein de plaisirs et de surprises musicales merveilleusement structurées avec l'élaboration de quelques long solos.
"Sunday Sad" est certainement la plus belle chanson de 1971. Plus de huit minutes de bonheur, mais comme elle évolue à travers des phases et des remous, elle ne perd jamais son objectif, appuyée en celà par la flûte et une voix fabuleusement forte mais aussi mélodieuse.

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1978: All Night Long
L'album "All Night Long" de Sammy Hagar est meilleur que bien des albums live de Hard Rock, non seulement parce que Hagar est à son meilleur niveau lorsqu'il est sur scène, mais aussi parce que la set list ne comprend que ses meilleures chansons, éliminant ainsi le 'filler' qui a tendance à encombrer ses albums.
Aucun déchet!

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Wings 1978 Back to the Egg
"Back to the Egg" est la tentative de Paul McCartney de revenir au Rock & Roll après le 'Rock mou' de "London Town".
Rassemblant une nouvelle formation de Wings, McCartney dirige le groupe à travers un ensemble de ses chansons les moins distinguées, allant du rock d'arène forcé de "Old Siam, Sir" à la formule contemporaine pour adultes de "Arrow Through Me" - et ce sont là deux des morceaux les plus mémorables de l'album.
Le problème vient en partie de la faiblesse du son du disque et des performances sans visage de Wings, mais le vrai problème vient des chansons, qui n'ont aucune étincelle. Sur la base de "Back to the Egg', il n'est pas étonnant que McCartney soit retourné aux enregistrements en solo après l'échec relatif de cet album.

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Eloy "Codename Wild Geese" 1985
En 1985, Eloy a enregistré la musique d'un film intitulé "Codename Wild Geese".
La musique s'écoute sans aucun pronlème!

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1972: Get Off in Chicago
Mandel est allé à Chicago, a rassemblé les musiciens les plus méritants des scènes Jazz, Rock et Blues de Chicago et il a joué avec eux pendant trois jours: c"est une "Super-Session Underground", en quelque sorte.
Sorti par le label Ovation de Dick Schory (London Records a sorti l'album au Royaume-Uni), "Get Off In Chicago" de 1971 a marqué une première tentative de Mandel en matière d'autoproduction.
Enregistré pendant une pause entre les tournées d'accompagnement de John Mayall, l'album a été, en fait, conçu comme une sorte de pièce conceptuelle. Pour reprendre une citation directement des notes de pochette: "Il [Mandel] a décidé d'enregistrer un album à Chicago avec des musiciens de Chicago. L'album serait écrit et composé spontanément en studio d'enregistrement. "Bien devinez quoi? C'est exactement ce que vous avez dans cette collection... Avec le soutien d'une multitude de musiciens basés à Chicago, dont le claviériste Ira Kart, le bassiste NickTountas, la chanteuse de Fat Water Vickie Hubly ("Jelly Roll") et le reste de Fat Water sur le Blues. Avec le Rock 'Highway Blues', vous avez une collection riche en morceaux de Blues de Chicago.
Compte tenu de la carrière musicale de Mandel, ce choix était parfaitement logique, s'il ne constituait pas l'aventure la plus excitante de l'année.
Par ailleurs, Mandel a complété l'album avec quelques intermèdes jazzy comme "Local Days". Tout cela était assez sérieux et professionnel comme l'instrumental jazz-funk "Sweet Lynda".

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Can't Buy A Thrill (1972)
En 1972, après les heures de répétitions dans la nouvelle aile inachevée de l'ABC Records Office de Los Angeles, Steely Dan est entré en studio et il a enregistré son premier album en compagnie de l’ingénieur du son Rogers Nichols, ancien ingénieur nucléaire.
L'album, intitulé "Can't Buy A Thrill", est donc publié sous le nom de 'Steely Dan'. Rogers Nichols participera à tous les enregistrements de Steely Dan.
La position de chanteur principal du groupe apparait inconfortable pour Donald Fagen. Le groupe décide donc d’en engager un autre: David Palmer sera celui-là.
Par contre, Fagen et Becker constatent que l’attitude musicale développée par Palmer ne correspond pas du tout à celle qu’ils souhaitent avoir sur leurs propres compositions.
Souhaitant terminer rapidement l’enregistrement de l’album, Fagen accepte alors à contre-cœur de chanter toutes les chansons sauf celles qui avaient été préalablement enregistrées par Palmer ("Dirty Work" et "Brooklyn Owes The Charmer Under Me") et Hodder ("Midnite Cruiser").
L’album est baptisé "Can't Buy A Thrill". Chose intéressante, des musiciens extérieurs au groupe comme Jerome Richardson et Elliot Randall, par exemple, furent engagés afin d’ajouter une palette de couleur unique aux musiciens du groupe.
L’album fut distribué en Octobre 1972 sans campagne de promotion préalable.
Pourtant, à la surprise de tous, la chanson "Do It Again" a atteint la sixième place dans les Charts et la chanson "Reelin In The Years" le numéro 11.
Quant à l’album, il occupe la 17e place et devient rapidement Disque d’Or.

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Pat Travers 2000 Don't Feed The Alligators
"Don't Feed the Alligators" est un album de reprises paru le 22 Février 2000 dans lequel Travers revisite des classiques haut en couleur...
Les solos de guitare sont mordants, charnus, et Pat sait y faire pour déployer son style tout en gardant l'essentiel mélodique du titre original.

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If If 3 (1971)
"If 3" est un album tout à fait phénomènal.
Dave Quincey prend la majeure partie de l'écriture des morceaux et il est clair qu'il est au sommet de son art ici.
Le morceau d'ouverture "Fibonacci's Number", qui est un intrumental signé Quincey, commence trompeusement avec un orgue sinistre avant de laisser place à un groove Funky avec des cuivres, puis de la flûte en lead.
"Seldom Seen Sam" n'a pas seulement un grand titre mais c'est une superbe chanson qui contraste fort avec un riff de flûte délicat puis du piano électrique.
Toutes les chansons sont 'formatées' de telle façon que le groupe puisse obtenir son moment de gloire sous les projecteurs.
Je vous laisse le soin de découvrir les autres morceaux!
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1979: Street Machine
Sorti en 1979, Street Machine est le cinquième album studio solo de Sammy Hagar pour Capitol Records, et comme beaucoup de ses précédentes productions, le disque a plus que quelques points forts, mais ne remplit pas les promesses du musicien en matière d'écriture et d'interprétation.
L'enregistrement est plus strict que les efforts précédents, grâce aux membres essentiels Bill Church (basse), Chuck Ruff (batterie), et enfin Gary Pihl à la guitare, mais il n'y a pas assez de matériel fort.
De tous les albums des années 70, "The Red Album" est celui qui se démarque le plus, surtout en ce qui concerne le matériel, ce qui ne veut pas dire que "Street Machine" n'a pas son propre élan. Il y a quelques points forts, comme "Growing Pains" et "This Planet's on Fire (Burn in Hell)", mais pour l'essentiel, "Street Machine" ne peut être recommandé qu'aux plus fervents partisans de Hagar.

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Matthews' Southern Comfort (1969)
"Matthews' Southern Comfort" est un album Folk psychédélique de Iain Matthews, et l'un de ses meilleurs. Richard Thompson joue de la guitare, et tout l'album a un son étrange, proche du Folk Anglais mais avec un peu de Country.
Il s'agit d'un album de transition pour Matthews: Ayant récemment quitté Fairport Convention, ce disque rend hommage à cette période de sa carrière, tant par le contenu ("A Castle Far") que par le choix des musiciens qui l'accompagnent (beaucoup d'entre eux viennent de Fairport Convention). E
Ian Matthews est l'un des fondateurs de Fairport Convention. Il part en 1969 et réalise la même année son premier album solo, intitulé "Matthews Southern Comfort". Avec l'aide de ses amis de Fairport, Richard Thompson, Ashley Hutchings et Simon Nicol, il est devenu un album plus Country qu'un album Folk traditionnel. La cause principale en est le son de la pedal steel guitare jouée par Gordon Huntley.

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Eloy Ra 1988
Après une pause d'environ un an et demi, Frank Bornemann rencontre le claviériste et producteur Michael Geriach à Berlin et ils décident alors de ressuciter Eloy, sous la forme d'un duo aidé par divers musiciens extérieurs.
Le premier disque du duo, intitulé "Ra", sort en 1988. Pourtant, malgré un bon accueil critique et public, Eloy n'entend pas reprendre la route pour le promouvoir. Musicalement, l'album continue un peu dans la même lignée que "Metromania", mais avec la lourdeur plus atténuée.

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Harvey Mandel 1973 Shangrenade
"Shangrenade" est un autre bel album riche en guitares de Harvey Mandel.
Bien que les chansons ne soient fondamentalement qu'un cadre pour une improvisation prolongée, il existe une grande variété de textures et de tonalités, toutes très groove. Et le jeu de guitare est vraiment époustouflant, heavy et très original.
Mandel est vraiment unique en son genre dans sa musique et son approche de la guitare.

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Steely Dan Countdown to Ecstasy (1973)
La compagnie ABC, surprise par le succès commercial et inattendu de l’album "Can't Buy a Thrill", demande à Steely Dan d’en faire la promotion tout en enregistrant leur nouvel opus.
C’est ainsi que les chansons du deuxième album ont été enregistrées à toute vitesse entre les arrêts de la tournée Américaine de 1973.
Fagen et Becker ont, par la suite, affirmé que les chansons de cet album possédaient une touche particulièrement naturelle musicalement (comme lors d’un concert) puisqu’elles avaient été enregistrées rapidement avec le groupe et les musiciens utilisés en tournée.
Cet album appelé "Countdown to Ecstasy" fut mis sur le marché en Juillet 1973.
La première chanson dans les Charts fut "Showbiz Kids" mais elle n’atteignit que la 61e place, malgré la contribution musicale du guitariste Rick Derringer. Selon la rumeur les directeurs des stations de radio n’appréciaient pas les paroles plus ou moins explicites de cette chanson.
La chanson "My Old School", un hommage à leurs années passées au Bard College dans l’État de New York, n’atteint que le numéro 63.
Malgré le peu de succès, cet album reçoit pourtant des critiques fort positives et les chansons "My Old School" et "Bodhisattva" devinrent (plus tard) des succès d’estime pour les fans du groupe lors des concerts des années 1990.

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Pat Travers 2003 PT Power Trio
En 2003, sort le premier volume de PT Power Trio, "PT Power Trio" avec des reprises de quelques groupes connus tels que Cream ou Mountain, et moins connu comme Stray Dog.
Il ne fait aucun doute que, contrairement à nombre de ses contemporains de plus en plus obsolètes et désespérés, Travers semble à la fois mieux accepter son rôle décroissant sur la scène internationale et ne pas vouloir laisser cette perception négative ternir son amour de la performance.
Avec une démonstration typiquement pyrotechnique de ses légendaires capacités à la six cordes, l'album permet à Travers, aux côtés du colosse de la batterie Aynsley Dunbar et du bassiste relativement inconnu Gunter Nezhoda, de s'attaquer avec goût et vivacité à des classiques du Blues ainsi qu'à des standards psychédéliques et du Rock classique.
Parmi les titres les plus marquants, on trouve des interprétations étonnamment précises et fidèles de "White Room", "Day of the Eagle" de Robin Trower, "Fire and Water" de Free, "Nasty Dogs and Funky Kings" de ZZ Top, et même "Highway 61 Revisited" de Bob Dylan.

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If If 4 (1972)
L'album "If 4" du superbe groupe Jazz Rock Britannique If, ​​enregistré 'live in the studio' est,malheureusement, le dernier enregistrement de la formation originale du groupe.
Malgré des tournées intensives aux États-Unis et en Europe, le groupe n'a jamais eu la chance d'enregistrer en live et c'était leur tentative de recréer l'atmosphère de leurs concerts.
Bien qu'enregistré en studio, il est live à tous égards, c'est-à-dire qu'une grande foule était présente dans le studio pendant l'enregistrement et qu'aucun overdub ou autre astuce de studio n'a été utilisé lors de l'enregistrement. Les compositeurs du groupe résident ont créé une superbe série de nouveaux morceaux, répétés sur la route avant l'enregistrement réel capturé. Cet enregistrement se rapproche dans l'esprit des deux premiers albums, plein de spontanéité et de superbes solos prolongés.
Le travail de guitare de Terry Smith est absolument farfelu et les autres musiciens emboîtent le pas. Le morceau d'ouverture de plus de 10 minutes vaut à lui seul le prix de n'importe quel album et est un superbe exemple du Jazz Rock à son meilleur à tous égards. Malheureusement, peu de temps après cette session et un bref changement de personnel, le groupe s'est effondré à cause de la maladie de Dick Morrissey.
Bien que Morrissey ait réorganisé le groupe plus tard, qui a enregistré trois autres albums sous le surnom de If, ​​ceux-ci étaient très différents du matériel glorieux enregistré par le groupe d'origine. Pour diverses raisons de gestion et contractuelles, cet album n'est pas sorti dans son intégralité aux États-Unis (comme l'étaient les trois premiers albums) ; au lieu de cela, l'album "Waterfall" sorti aux États-Unis incluait certains des éléments présents avec l'ajout de différents éléments enregistrés pour cette version particulière. Il s'agit d'un enregistrement Jazz Rock essentiel de la plus haute qualité musicale et d'un élément indispensable dans toute collection musicale sérieuse.