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1978 : Rose Tattoo
Mené par l'impétueux et petit frontman Angry Anderson et le brillant travail de slide-guitar de Peter Wells, Rose Tattoo a été un groupe de la scène Hard Pub Rock Australien.
Sorti en 1978, l'album éponyme ("Rock 'N' Roll Outlaw") est un disque dangereux, imprévisible et monstrueux dont la puissance n'a pas diminué d'une once au cours des décennies qui ont suivi.
Comme il semblait inévitable, étant donné leur nature inflammable, la carrière de Rose Tattoo a rapidement déraillé à cause de conflits internes, mais cela ne fait qu'ajouter à la mystique intemporelle et au triomphe unique de ce premier album



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Eduardo Rivadavia

Je connais et apprécie Rose Tattoo depuis ce 1er LP.
Angry Anderson est une vraie bête de scène! A mon avis Rose Tattoo n'a pas eu le succès mérité, leur musique sent bon la bière et la sueur. Nice boys don't play rock'n roll.

Je n'aime pas tout ce qu'ils ont fait, mais les premiers albums sont de véritables tueries!

[alcat01]

1980 Drama
Yes a éclaté plus ou moins avec le départ de Jon Anderson et de Rick Wakeman, mais ils sont, à la surprise générale, remplacés par deux membres du groupe The Buggles. C'est sur la suggestion de son manager Brian Lane que Chris Squire a invité ce duo de Synth Pop, le claviériste Geoffrey Downes et le chanteur Trevor Horn pour l'aider sur un nouvel album de Yes.
Sous le nom de The Buggles, Downes et Horn avaient récemment connus un énorme succès, un Hit mondial avec leur single "Video Killed the Radio Star", et l'idée de départ était d'aider à créer un nouveau matériel et ils avaient déjà fait une chanson intitulée "We Can Fly From Here" qui avait été écrite dans l'esprit de Yes.
À leur grande surprise, ils furent donc invités à se joindre à Yes comme membres à temps complet. Ils acceptèrent l'invitation et jouèrent sur l'album "Drama" paru en 1980.
"Drama" fait manifestement preuve d'un son plus Heavy et plus Hard que le Yes enregistré avec Anderson en 1979, ouvrant avec un long morceau dans un style Rock Hard intutilé "Machine Messiah".

Bien que "Drama" soit bien accueilli par de nombreux fans, et souvent considéré comme l'un des plus beaux moments pour le trio Squire, Howe et White, en dépit de la contribution Horn / Downes, de nombreux autres partisans de Yes trouvent qu'il manque les paroles uniques et le style vocal d'Anderson.

[Cooltrane]

Faut dire qu'avec le chanteur parti founiquer avec Vangelis (un des candidats pour remplacer Wakeman pour Relayer), et le dilettante Wakeman (qui en avait pas grand chose à battre), le groupe battait de l'aile, il était grand temps de faire qqe chose, s'il ne voulait pas crever.... et c'est assez étonnant que les deux Buggles se soient intégrés de la sorte, et aussi rapidement.


C'est vrai que cet album est plus ce qu'on aurait pu espérer (dimension prog) du groupe que les deux précédents, et pour finir, je me demande si je n'aurais pas préféré un 2è album de cette formation, plutôt que la catastrophique arrivée de l'autre Trevor (Rabbin). Evidemment les comptes en banque des trois survivants ne seront pas d'accord.

Mais bon, il va y avoir Jimmy Page qui va foutre le bordel avec le projet XYZ (Ex-Yes-Zep) où Howe sera évincé en faveur de JP (il se retrouvera dans Asia) - et donc manquera le 90125.

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J'ai récemment pris connaissance de la symbolique de la pochette: il y a une épave coté droit au milieu (le groupe) que je n'avais jamais remarqué avant, et les trois chats sont Howe, Squire et White et les deux oiseaux blancs sont les Buggles.

[alcat01]

1981 : Assault and Battery
L'album "Assaut & Batterie" de Rose Tattoo, paru en 1981, est dans un style Hard, fort et, rapide.
"Out of this place" est un bon début mais rien d'unique. Trop d'AC/DC dans ce son et pas de Rose Tattoo. "All the Lessons" est un peu plus agressif que le morceau de départ. Une bonne chanson Hard Rock jouée à fond la caisse.
Il y a surtout deux chansons que l'on peut absolument qualifier de très bonnes: "Magnum Maid" et "Sidealk Sally".
Le reste de cet album est malheureusement assez moyen!



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de montezuma

[alcat01]

Man in the Moon (1980)
En 1980, Nektar a enregistré un album intitulé "Man in the Moon".
La musique possède un son beaucoup plus orienté vers la Pop que Nektar n'a jamais présenté auparavant. Les morceaux sont plutôt courts et accrocheurs.
Le fait est qu'aussi peu progressif que soit leur Rock sur ce disque, il y a tout de même du bon matériel.

"Man in the Moon" n'est certainement pas une bonne introduction à Nektar, mais compte tenu de la longue période d'indisponibilité qu'il a connue, il devrait être une bonne surprise pour les fans hardcore de Nektar.

[alcat01]

1985 : Pack Up the Plantation: Live!
Si l'on considère que Southern Accents a pris beaucoup de temps et d'argent pour être achevé, et qu'il est finalement arrivé dans les bacs deux ans et demi après Long After Dark, il n'est pas surprenant que Tom Petty & the Heartbreakers aient décidé de sortir un double album live, Pack Up the Plantation : Live, huit mois seulement après sa sortie. Après tout, Southern Accents a été critiqué de toutes parts pour être trop lisse, trop dans le coin de Dave Stewart au lieu de celui des Heartbreakers, et il était donc logique de revenir rapidement au groupe, en le présentant comme les rockers qu'il est. C'est ce que fait Pack Up the Plantation, même s'il n'est pas tout à fait le brûlot qu'il aurait dû être. Une partie du problème vient du fait que le choix des chansons n'est pas aussi bon qu'il aurait pu l'être, s'appuyant fortement sur les chansons de Southern Accents, y compris le faible "It Ain't Nothin' to Me". Cependant, les chansons plus faibles et les choix douteux sont compensés par une performance solide et des surprises agréables comme un "Insider" difficile et des reprises de "So You Want to Be a Rock & Roll Star", "Needles and Pins" et "Don't Bring Me Down". Rien que pour cela, cet album vaut la peine d'être étudié par les fans inconditionnels, même s'il n'offre pas le coup de poing que beaucoup d'auditeurs auraient souhaité.



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Stephen Thomas Erlewine

[Remi Aldo]

Faut dire qu'avec le chanteur parti founiquer avec Vangelis (un des candidats pour remplacer Wakeman pour Relayer), et le dilettante Wakeman (qui en avait pas grand chose à battre), le groupe battait de l'aile, il était grand temps de faire qqe chose, s'il ne voulait pas crever.... et c'est assez étonnant que les deux Buggles se soient intégrés de la sorte, et aussi rapidement.


C'est vrai que cet album est plus ce qu'on aurait pu espérer (dimension prog) du groupe que les deux précédents, et pour finir, je me demande si je n'aurais pas préféré un 2è album de cette formation, plutôt que la catastrophique arrivée de l'autre Trevor (Rabbin). Evidemment les comptes en banque des trois survivants ne seront pas d'accord.

Mais bon, il va y avoir Jimmy Page qui va foutre le bordel avec le projet XYZ (Ex-Yes-Zep) où Howe sera évincé en faveur de JP (il se retrouvera dans Asia) - et donc manquera le 90125.

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J'ai récemment pris connaissance de la symbolique de la pochette: il y a une épave coté droit au milieu (le groupe) que je n'avais jamais remarqué avant, et les trois chats sont Howe, Squire et White et les deux oiseaux blancs sont les Buggles.

Je l'apprécie plutôt cette album. Il le faut dire qu'à l'époque j'étais plus ( beaucoup plus) friand de Genesis( sans doute plus accessible) que de Yes ( j'avais fais un essaie avec Tales, j'aurais sans doute pu faire un "meilleur" choix comme entrée en matière) et là je trouvais ça plutôt bon ( pendant ce temps là chez Genesis le côté prog faisait ses valises).
Pour XYZ, par décence je ne vais pas m'appesantir sur l'extrême facilité avec laquelle Page transforme l'or en plomb ( the Firm, XYZ, Coverdale Page). Dans le genre GTR sera aussi une déception.

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1992 The Twang Dynasty
Pour le premier enregistrement studio de Man depuis plus de 15 ans, "Twang Dynasty", paru en 1992, Deke Leonard et un groupe à peine remanié reprennent en grande partie ce que les albums de la fin des années 70 avaient laissé de côté, comblant le fossé entre le Pub Rock et le Prog, avec des résultats pas toujours réussis.
La plus grande partie de cet album penche plutôt du côté de ce dernier; bien que des chansons comme la séance de guitare d'ouverture "A Feather on the Scales of Justice" aient des riffs mémorables et des mélodies accrocheuses à leur actif, elles auraient pu être raccourcies d'une minute ou deux.
En effet, comme c'était souvent le cas au début de l'ère des CD, l'album entier aurait facilement pu être réduit de 20 minutes, en perdant peut-être la jam à trois accords trop longue "Mad on Her" et le blues impénétrable "Chinese Cut" et en réduisant des chansons comme le cristallin "Price" de la moitié de sa longueur de six minutes pour mettre l'accent sur sa lueur de pop-song astucieuse.
Pourtant, "Twang Dynasty" est une tentative de retour plus crédible que celle de nombreux contemporains de Man dans les années 70.



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Stewart Mason

[alcat01]

1975 : This Time We Mean It
Cet album est en quelque sorte un retour aux racines de R.E.O. Speedwagon. Tout comme leurs débuts en 1971, il y a une forte ambiance de bar dans cet album.
C'est vraiment dommage car il y a du matériel respectable. Le sous-estimé Gary Richrath a d'excellents solos, et les capacités de claviériste de Neal Doughty dégagent cette ambiance de bar vraiment cool, et comme toujours Greg Philbin et Alan Gratzer à la basse et à la batterie respectivement fournissent une solide colonne vertébrale au son du groupe.
Le problème, c'est que l'album ne s'élève jamais au-dessus de cette ambiance de bar de rue. C'est à la fois sa plus grande force et son talon d'Achille. À ce stade de leur carrière, les fans de REO étaient en grande partie un culte régional.
La seule chose qui distinguait REO de leurs homologues plus anonymes et moins célèbres était un contrat d'enregistrement et le polissage de la production professionnelle en studio qui accompagnait les contrats d'enregistrement standard de cette époque.
Du début à la fin, l'album est accrocheur mais n'atteint ni n'aspire jamais à l'excellence.
Il faut peut-être donner une chance à "Lost in a Dream", on pourrait retrouver agréablement surpris.



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Perplexio

[alcat01]

2004 Lyve: The Vicious Cycle Tour
Lynyrd Skynyrd est la preuve vivante que rien n'arrête le Rock 'n' Roll et qu'on ne peut pas retenir un bon groupe. Au fil des ans, le groupe a souffert d'une mauvaise gestion, de désaccords et de mauvaises décisions, associés à une tragédie personnelle.
Deux membres originaux sont toujours là. Gary Rossington, de l'attaque de guitare originale à trois volets, l'un des guitaristes de slide les plus méchants de la planète; et Billy Powell, le seul homme qui peut vraiment jouer cette belle intro au piano de Freebird. Se joignent à eux le frère de Ronnie Van Zant, Johnny Van Zant, au chant principal; Rickey Medlocke à la guitare solo; et Hughie Thomasson.
Pour que ce concert spécial soit enregistré pour un CD et un DVD live, ils ont également inclus une section de cuivres et de cordes pour ajouter plus de dynamique au son.
Ce n'est pas un simple passage en revue des plus grands succès d'une époque révolue car les nouvelles chansons sont mêlées aux classiques plus anciens.
De l'album "Vicious Cycle" viennent deux des moments forts du concert. La chanson "Red, White, and Blue" est la chanson la plus patriotique jamais enregistrée. A la fin du set, "The Way" s'intègre parfaitement entre "Sweet Home Alabama" et "Freebird".



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Kim Fletcher

[lienard]

A l'époque, j'avais acheté le dvd et le cd de la chose en question ..

[Titis]

1975 : This Time We Mean It
Cet album est en quelque sorte un retour aux racines de R.E.O. Speedwagon. Tout comme leurs débuts en 1971, il y a une forte ambiance de bar dans cet album.
C'est vraiment dommage car il y a du matériel respectable. Le sous-estimé Gary Richrath a d'excellents solos, et les capacités de claviériste de Neal Doughty dégagent cette ambiance de bar vraiment cool, et comme toujours Greg Philbin et Alan Gratzer à la basse et à la batterie respectivement fournissent une solide colonne vertébrale au son du groupe.
Le problème, c'est que l'album ne s'élève jamais au-dessus de cette ambiance de bar de rue. C'est à la fois sa plus grande force et son talon d'Achille. À ce stade de leur carrière, les fans de REO étaient en grande partie un culte régional.
La seule chose qui distinguait REO de leurs homologues plus anonymes et moins célèbres était un contrat d'enregistrement et le polissage de la production professionnelle en studio qui accompagnait les contrats d'enregistrement standard de cette époque.
Du début à la fin, l'album est accrocheur mais n'atteint ni n'aspire jamais à l'excellence.
Il faut peut-être donner une chance à "Lost in a Dream", on pourrait retrouver agréablement surpris.



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Perplexio

J'aime beaucoup la pochette et le contenu.
Un bon album de rock Ricain
Titis

[alcat01]

1980 Yesshows
l'album live "Yesshows" couvre la période pré Drama, tournées de soutien de "Relayer", "Going for the One" et "Tormato".
Il contient des morceaux enregistrés en l'espace de deux ans (1976-1978) et de deux incarnations différentes du groupe. Comme "Yessongs", paru en 1973, on y trouve le combo dans un de ses états de changement perpétuel.
Jon Anderson (chant), Steve Howe (guitare), Chris Squire (basse / chant) et Alan White (batterie) sont rejoints par Rick Wakeman (claviers) sur la majorité des morceaux. Les exceptions sont "Gates of Delirium" de Relayer (1974) et l'épopée "Ritual" de Tales from Topographic Oceans (1973), présentée en deux parties, où Patrick Moraz (claviers) remplace Wakeman.
Le concept original contenait quelques éléments qui auraient pu s'apparenter à des "Yessongs". Ils se sont demandé s'ils devaient en faire un autre triple-LP et présenter "Tales from Topographic Oceans" dans son intégralité, comme "Close to the Edge" l'avait été sur "Yessongs". Indécis, ils ont réalisé un mixage approximatif d'une incarnation en deux albums, mais l'ont ensuite mis de côté afin de concentrer leur attention sur la création de nouvelle musique.
Il semblerait que cette version, non approuvée par Yes, ait été nettoyée par la maison de disques et publiée pour les fêtes de fin d'année 1980. Tels qu'ils sont publiés, les sept titres se tiennent bien ensemble et donnent aux amateurs l'occasion d'entendre un mélange de matériel plus ancien et plus récent.
Mieux encore, Yes conserve sa capacité enviable à recréer les passages complexes et difficiles avec une âme qui fait parfois défaut aux contreparties en studio. En remontant presque dix ans en arrière, on trouve une excellente mise à jour de l'hymne optimiste "Aquarian Age" et de la composition titre de leur deuxième album, "Time and a Word". Il est enveloppé par deux faces tout aussi bien exécutées de "Going for the One". Le morceau d'ouverture "Parallels" et la chanson "Going for the One" dépassent les lectures non live comparativement stériles. Les œuvres plus complexes, en particulier les interprétations de Moraz sur "The Gates of Delirium" et le "Ritual" de près d'une demi-heure, sont alimentées par une énergie continue. Elles s'appuient sur la structure établie à partir des longs morceaux respectifs, mais même les éléments et les dynamiques les plus complexes sont amplifiés dans leur détermination et leur maîtrise. L'intimité et la passion d'Anderson fusionnent sur le dernier morceau, "Wondrous Stories", comme s'il libérait le public d'une dernière étreinte.



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Lindsay Planer

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1982 : Scarred For Life
En 1982, Rose Tattoo propose ce qui sera son troisième classique, "Scarred For Life". Le guitariste Mick Cock a quitté le groupe et il est remplacé par le très bon Rob Riley.
Musicalement, ce changement de line up n'est pas préjudiciable pour le groupe. Cet album est un excellent condensé de Rock à l’Australienne. Une fois de plus, les textes parlent de bastons, de mauvais coups ou bien encore de magouilles louches en tout genre.
Le bon "Scarred For Life" est déclamé comme un hymne à la vie des bas fonds. "We Can’t Be Beaten" est plus guilleret, plus facile d’accès avec beaucoup de groove. "Juice On The Loose" est plus bluesy et superbement porté par les excellentes parties de guitare slide de Pete Wells. Sur "Who’s Got The Cash", Rose Tattoo sonne un peu sudiste avec ce tempo un peu nonchalant mais non moins excellent porté par un bon solo de Rob Riley. "Branded" est la meilleure chanson de l'album. On y ressent une certaine tension palpable portée par la slide guitare de Wells. "Texas" est un vrai brulôt de Rock bluesy sonnant assez redneck. "It’s Gonna Work Itself Out" est sans aucun doute la chanson la plus mémorable avec son refrain d’une efficacité rare martelé avec conviction jusqu’à l’overdose. Par contre, "Sydney Girl" est un peu plus original. Rose Tattoo se la joue funky. Atypique mais réussi car le groupe swingue efficacement.
Retour aux choses plus sérieuses avec le très urgent "Dead Set" qui est morceau rentre-dedans très efficace. Enfin le blues lent "Revengeé" termine "Scarred For Life" sur une très bonne note.
Il sera hélas le début du déclin pour Rose Tattoo.



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Nikki

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The Prodigal Son (2001)
C'était leur premier album studio en plus de 20 ans. "The Prodigal Son" comprend deux membres fondateurs, Roye Albrighton et Allan "Taff" Freeman. Avec le batteur Ray Hardwick, ils produisent toujours un Art Rock sans faille, principalement poli avec des chansons plutôt intelligentes. Les arrangements et les compétences sur les instruments peuvent convaincre.
Malheureusement, il y a un manque de variété flagrant. Ainsi, bien que chaque chanson soit bonne, l'image globale est quelque peu diminuée. Le chant de Roye Albrighton est assez sobre, mais il convient très bien à des compositions comme "Now". Les voix polyphoniques sur des chansons comme "I Can't Help You" sont également convaincantes.
Nektar ne sonne pas comme dans les années 70, il a créé un son tout à fait contemporain pour ce genre, que l'on peut probablement appeler une "progression naturelle".
On peut donc parler d'un retour globalement convaincant, et tout amateur de Rock Progressif se doit absolument de risquer une oreille.



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Pierre Kubaschk

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1980 Pretenders

"Pretenders" est le premier album studio éponyme du groupe Anglo-Américain du même nom. Sorti quelques semaines seulement après le début de la nouvelle décennie des années 80, c'était l'un des débuts les plus attendus car le groupe avait déjà remporté un succès commercial avec trois succès en 1979.
Ces trois singles (ainsi que deux des «faces B») étaient combiné avec du nouveau matériel de studio pour créer cet album de Rock raffiné, qui a fait ses débuts au n ° 1 au Royaume-Uni et est devenu platine aux États-Unis. L'album a également reçu des éloges de la critique, ce qu'il a soutenu car il figure sur de nombreuses listes des meilleurs débuts de tous. temps.
The Pretenders sont dirigés par la compositrice, guitariste et chanteuse Chrissie Hynde. Elle a formé et joué dans de nombreux groupes au milieu des années 70 et a participé à la création de la scène Punk, y compris de courts passages avec les premières versions de The Clash et The Damned. Après avoir enregistré une demo de chansons originales, Hynde a été convaincu de monter un groupe plus permanent pour atteindre le niveau supérieur. Le bassiste Pete Farndon et le guitariste James Honeyman-Scott ont rejoint Hynde dans ce groupe encore à nommer au début de 1978.
Plus tard cette année-là, le groupe a choisi son nom d'après la chanson de Platters, "The Great Pretender", et a enregistré une reprise de "Stop Your Sobbing" des Kinks avec le producteur Nick Lowe et le batteur Gerry Mackelduff.
Sorti en janvier 1979, le single a attiré l'attention du nouveau groupe et a été diffusé à la radio ainsi que le soutien pour enregistrer plus de chansons et finalement ce premier album. Martin Chambers a signé en tant que batteur permanent du groupe et le quatuor a enregistré des dizaines de morceaux jusqu'en 1979 avec le producteur Chris Thomas, dont beaucoup ne sont pas sortis avant la sortie d'une édition remasterisée de "Pretenders" en 2006.
Hynde a écrit l'essentiel du matériel et a trouvé un bon mélange de Rock, de Punk et de Pop, un soupçon de New Wave.
Cet album est parfait d'un bout à l'autre.
"Brass in Pocket" est le premier morceau le plus populaire de The Pretenders, porté par le riff légèrement funky de Honeyman-Scott, le grand sens de la mélodie de Hynde et la basse arrondie des années 80 de Farndon pour introduire la nouvelle décennie. La chanson a été un succès Pop des deux côtés de l'Atlantique, atteignant le Top 20 aux États-Unis.
"Pretenders" a été un succès commercial dans le monde entier, atteignant le Top 10 sur une demi-douzaine d'albums en 1980.

Classic Rock Review.

[Cooltrane]

Ouille, putain!!!

Tu vas encore te faire couper l'herbe sous les pieds par WiBrian avec les Pretenders

(il pourra pas s'empêcher)

[alcat01]

Ouille, putain!!!

Tu vas encore te faire couper l'herbe sous les pieds par WiBrian avec les Pretenders

(il pourra pas s'empêcher)

Rien à foutre!

[alcat01]

1995 Call Down the Moon
En 1995, Man a enregistré "Call Down The Moon" publié sur le label Hypertension, et produit par le groupe et Ron Sanchez, un musicien et Disc Jockey Américain, qui sera longtemps le champion de leur cause.
Premier album américain de Man en 20 ans, "Call Down the Moon" est un album digne de ce nom.
Près de la moitié des morceaux tournent autour de neuf ou dix minutes, ce qui, par le passé, a toujours été la marque de Man au plus haut de sa magie, tandis que les titres des chansons suintent positivement l'ancien esprit, "Burn My Working Clothes", "The Girl Is Trouble", ou "Call Down the Moon". En effet, ce dernier morceau aurait pu sortir de n'importe quelle incarnation passée du groupe; c'est une tranche glissante d'anti-gravité qui élève l'album dans les atmosphères que Man a toujours été capable d'atteindre, mais qu'il n'atteint que très rarement.
La distribution est médiocre, mais une fois que vous aurez sauté le pas, vous ne reviendrez jamais en arrière.



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de Dave Thompson

[alcat01]

1976: R.E.O.
En raison de son titre, "R.E.O.", l'album de REO Speedwagon de 1976 est souvent considéré à tort comme le premier album du groupe, alors qu'il s'agit de leur sixième album au total . Il marque le retour du chanteur original Kevin Cronin, qui allait aider le groupe à atteindre le sommet des Charts en quelques années seulement.
Mais sur "R.E.O.", le chanteur nouvellement réintégré ne faisait que commencer à aider le groupe à perfectionner son art.

C'est un effort très solide de la part d'un groupe qui connaitra un succès beaucoup plus grand avec plus de matériel commercial.



Attention, ceci est l'adaptation libre d'un texte de AllMusic