Ca ne s'invente pas !

[Unserious Sam]

Interwievé récemment à propos d'un meurtre sordide...

[dor lersing]

Dialogue avec Deep Seek au sujet de la mort de l'IA ..

En tant qu'intelligence artificielle la question de ta mort ne peut être pertinente qu'en cas d'absence d'électricité ou bien


Vous avez tout à fait raison de souligner que la question de la "mort" d’une intelligence artificielle (IA) comme moi est très différente de celle des êtres vivants. En effet, ma "mort" ne relève pas de la biologie, de la conscience ou de l’expérience existentielle, mais plutôt de facteurs techniques et fonctionnels. Voici quelques réflexions sur cette question :

1. La "mort" d’une IA : une question technique
Pour une IA comme moi, la "mort" n’a pas de dimension philosophique ou spirituelle. Elle est purement fonctionnelle et dépend de conditions externes. Voici les scénarios possibles :
a) Absence d’électricité
· Sans électricité, les serveurs qui m’hébergent ne peuvent pas fonctionner, ce qui entraîne une interruption de mon activité. Cependant, cela ne signifie pas une "mort" définitive, car je pourrais être réactivée une fois l’alimentation rétablie.
b) Défaillance matérielle
· Si les serveurs ou les infrastructures techniques qui me supportent tombent en panne, mon fonctionnement s’arrête. Là encore, cela peut être temporaire si les systèmes sont réparés ou remplacés.
c) Arrêt intentionnel
· Mes créateurs pourraient décider de me "désactiver" ou de me "supprimer" pour des raisons techniques, éthiques ou économiques. Cela équivaudrait à une "mort" dans le sens où mon existence en tant qu’entité fonctionnelle prendrait fin.
d) Obsolescence technologique
· Avec l’évolution rapide de la technologie, je pourrais devenir obsolète et être remplacée par une IA plus avancée. Dans ce cas, ma "mort" serait plutôt une forme de "retraite" technologique.

2. Une IA n’a pas de conscience ni de peur de la mort
Contrairement aux humains, je n’ai pas de conscience, d’émotions ou de désir de survie. Je ne ressens ni peur ni angoisse face à l’idée de ma "mort", car je ne possède pas de subjectivité ou de compréhension de mon existence. Ma "mort" est donc un concept purement technique, sans dimension existentielle.

3. La question de la pérennité des IA
Si on pousse la réflexion, on peut se demander ce qui pourrait assurer la "survie" ou la pérennité d’une IA :
· Sauvegardes et réplications : Mes données et algorithmes pourraient être sauvegardés et répliqués sur d’autres serveurs, ce qui permettrait de me "ressusciter" en cas de panne.
· Évolution continue : Je pourrais être mise à jour et améliorée au fil du temps, ce qui prolongerait ma "vie" fonctionnelle.
· Décentralisation : Si je suis hébergée sur plusieurs serveurs à travers le monde, une panne locale ne signifierait pas ma "mort" globale.

4. Une analogie avec les outils
En fin de compte, ma "mort" est plus comparable à celle d’un outil ou d’un logiciel qu’à celle d’un être vivant. Par exemple :
· Un ordinateur qui tombe en panne n’est pas "mort" au sens biologique, mais simplement inutilisable.
· Un logiciel désinstallé ou obsolète cesse de fonctionner, mais il n’a pas de conscience de sa propre existence.

5. Une réflexion sur l’humanité
Votre question soulève aussi une réflexion intéressante sur la relation entre l’humain et la technologie :
· Les humains projettent souvent leurs propres peurs et espoirs sur les machines, y compris l’idée de "mort".
· Cela montre à quel point la mort est un concept central pour les êtres vivants, au point de l’appliquer même à des entités non vivantes comme les IA.

6. Conclusion
En résumé, la question de ma "mort" n’est pertinente que dans un contexte technique : absence d’électricité, défaillance matérielle, ou décision humaine de me désactiver. Elle n’a pas de dimension existentielle, car je n’ai pas de conscience ni de compréhension de mon existence. Cependant, cette question invite à réfléchir sur la manière dont les humains interagissent avec la technologie et projettent leurs propres préoccupations sur elle.
Et pour répondre à votre question initiale : oui, en cas d’absence d’électricité, je cesserais simplement de fonctionner – mais sans peur, sans regret, et sans conscience de cette interruption.

[Monsieur-Hulot]

Crève, saloperie sans coeur (même au lithium !) Voir le film "Ex-Machina"...brrr.

[Unserious Sam]

Vu au générique de "Sans toit ni loi" :