Tout à fait, je me prends à le réécouter, et nouvelle écoute (découverte) à chaque fois. Complètement à part dans leur discographie ! Heureuse surprise. Comme quoi on apprend à tout âge, même avec des groupes que l'on pensait familiers...
A partir d'un certain âge, si on vous donne 10 ans de moins, un conseil : prenez-les !.
The Mars Volta - st, '22)
Etonnant retour du duo. Plus assagi, plus pop que les furieuseries auxquelles il nous avait habituées. Plus étonnant encore, plus d'une fois, j'ai pensé à l'un de mes albums préférés de ces dernières années (2016, pour être précis), celui de Woods - City Sun Eater In The River Of Light, les mélodies et le chant notamment. S'écoute bien pour l'instant, avec de beaux passages. Inspiré, mais risquant de faire chanceler les énervés fans.
Un des derniers grand représentant du blues acoustique, Guitar Gabriel, proposait une synthèse des principaux mouvements du blues rural. Il a sortie des albums sur le tard après avoir consacré sa vie à exercer son art dans les églises et bars de sa région natale. En 1970 il sort un premier album qui se vend bien mais la maison de disque ne lui verse presque aucun royaltie. Dégouté il quitte le métier. Il faudra attendre 1990 pour que l'artiste soit redécouvert par un musicien folkloriste du nom de Tim Duffy. Ce gars est d'une importance capitale dans l'histoire du blues moderne. Duffy et Gabriel nouèrent une amitié forte et se produisirent sous le nom de Guitar Gabriel & Brothers in the Kitchen. ils enregistreront plus tard un album baptisé Do You Know What it Means to Have a Friend?
Tim Duffy, au delà de leur partenariat musical, aida également Guitar Gabriel à payé ses factures et son logement. Ce faisant il se rendra compte que de nombreux musiciens blues vivent dans la pauvreté. En 1994, Tim et sa femme, Denise Duffy, fondèrent la Music Maker Relief Foundation qui existe encore aujourd'hui. Cette institution propose à des musiciens de blues désœuvrés d'enregistrer des disques et au delà de la musique les accompagne également dans les démarches administratives pour trouver un logement, payés les factures et récupérer éventuellement des royalties non versés etc..
Aujourd'hui encore Tim Duffy se bat comme un beau diable pour financer cette incroyable fondation qu’est Music Maker Relief Foundation.
Voici une vidéo de Guitare Gabriel et Tim Duffy datant de 1992, enregistré dans la cuisine de l'artiste
Un des derniers grand représentant du blues acoustique, Guitar Gabriel, proposait une synthèse des principaux mouvements du blues rural. Il a sortie des albums sur le tard après avoir consacré sa vie à exercer son art dans les églises et bars de sa région natale. En 1970 il sort un premier album qui se vend bien mais la maison de disque ne lui verse presque aucun royaltie. Dégouté il quitte le métier. Il faudra attendre 1990 pour que l'artiste soit redécouvert par un musicien folkloriste du nom de Tim Duffy. Ce gars est d'une importance capitale dans l'histoire du blues moderne. Duffy et Gabriel nouèrent une amitié forte et se produisirent sous le nom de Guitar Gabriel & Brothers in the Kitchen. ils enregistreront plus tard un album baptisé Do You Know What it Means to Have a Friend?
Tim Duffy, au delà de leur partenariat musical, aida également Guitar Gabriel à payé ses factures et son logement. Ce faisant il se rendra compte que de nombreux musiciens blues vivent dans la pauvreté. En 1994, Tim et sa femme, Denise Duffy, fondèrent la Music Maker Relief Foundation qui existe encore aujourd'hui. Cette institution propose à des musiciens de blues désœuvrés d'enregistrer des disques et au delà de la musique les accompagne également dans les démarches administratives pour trouver un logement, payés les factures et récupérer éventuellement des royalties non versés etc..
Aujourd'hui encore Tim Duffy se bat comme un beau diable pour financer cette incroyable fondation qu’est Music Maker Relief Foundation.
Voici une vidéo de Guitare Gabriel et Tim Duffy datant de 1992, enregistré dans la cuisine de l'artiste
Les vieux bluesmen sans dent j'adore la plupart du temps en plus ils ne sont pas sans talent !
Paradoxalement et musicalement différent de Guitare Gabriel, un mec dont le style et la tiquette est proche du boom-bap, slap-beat, slip-boot et tagada-tsointsoin ... mais c'est bien pourtant c'est pas du tout ce que j'écoute habituellement !
Peanuts - Peanuts (2022)
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
ORION est de retour mais pas sous sa forme originelle, un 2.0 est venu s’ajouter au nom du groupe ! Exit certains membres de la première formation et place à de nouveaux musiciens, Jérôme Nigou (chant), Pierre-jean Horville (guitares), Paul Cribaillet (Claviers), Eric Halter (basses) et Cédric Affre (batterie) dont certains étaient déjà présents en tant qu’invités sur les deux précédents albums « La Face Visible » (2015) et « Le Survivant » (2017).
Musique traditionnelle classique japonaise inspirée par le zen.
Seizan Matsuda joue du shakuhachi (*), flute en bambou.
La première pièce, écrite en 1955, "Good To Be Alive" évoque l'horreur des bombardements atomiques au Japon
et la joie d'y avoir survécu.
Tiens, par hasard (et pas rasé)... j'écoute "Lizard" de King Crimson. Album qui, pour une raison qui m'échappe, était toujours passé sous mes radars... Erreur réparée, je le trouve excellent, avec plein de trucs bizarres ("Indoor Games" et son petit frère jumeau "Happy Family") qui font dresser l'oreille fort agréablement. C'est souvent délicieusement foutraque et barré grave, très éloigné de l'image de clergyman austère que peut renvoyer le Frippounet (d'ailleurs c'est mes oreilles ou il y a peu de guitare(s) sur cet album ?). Du coup, il rejoint "Larks' Tongues In Aspic", "Red" et "Discipline" dans mes favoris, avec bien sûr "In The Court..." Ces propos n'engagent que moi. Pas sur la tête, s'il vous plaît...
Pareil, au fil du temps, il est devenu un de mes favoris. Très dépaysant, même pour du Crimso ; le genre d'album que tu peux redécouvrir presque à chaque fois.
Hier j'ai réécouté les trois premiers.
Quand on est d'humeur à encaisser les angoisses de Fripp et sa bande, cette trilogie est une perfection
Tiens, par hasard (et pas rasé)... j'écoute "Lizard" de King Crimson. Album qui, pour une raison qui m'échappe, était toujours passé sous mes radars... Erreur réparée, je le trouve excellent, avec plein de trucs bizarres ("Indoor Games" et son petit frère jumeau "Happy Family") qui font dresser l'oreille fort agréablement. C'est souvent délicieusement foutraque et barré grave, très éloigné de l'image de clergyman austère que peut renvoyer le Frippounet (d'ailleurs c'est mes oreilles ou il y a peu de guitare(s) sur cet album ?). Du coup, il rejoint "Larks' Tongues In Aspic", "Red" et "Discipline" dans mes favoris, avec bien sûr "In The Court..." Ces propos n'engagent que moi. Pas sur la tête, s'il vous plaît...
Pareil, au fil du temps, il est devenu un de mes favoris. Très dépaysant, même pour du Crimso ; le genre d'album que tu peux redécouvrir presque à chaque fois.
Hier j'ai réécouté les trois premiers.
Quand on est d'humeur à encaisser les angoisses de Fripp et sa bande, cette trilogie est une perfection
Je suis totalement d'accord avec cette analyse et ces choix de la grande époque de Crimson. Pour moi il ne faut pas oublier de rajouter Lizard qui est absolument magnifique, très varié, ne ressemble pas aux autres et qui contient un bel exemple très réussi de fusion encore le Rock progressif et le Jazz anglais. Il faut voir les musiciens qui interviennent sur cet album pour bien comprendre. Réécoutez le et vous comprendrez. Une merveille à redécouvrir.
Pas écoutés depuis très longtemps, Red, et la trilogie Discipline, Beat et Three Of A Perfect Pair. Tous en LP.
J'ai toujours le riff de guitare de Red et les premières mesures dans la tête. Imprimé.
Je ne sors plus ces disques (même si je vais mettre Red sur la platine cet après-midi, merci du rappel)
parce qu'il est toujours necessaire de passer à autre chose.
Premier album solo de Bo Hansson (de Hansson & Karlsson). Sorti d'abord en Suède sous le titre "Sagan om ringen" l'album est réédité en 1972 avec le titre anglicisé.
Un très bel album instrumental, du rock progressif, du space rock et par moment des ambiances à la Floyd 69-70. Très réussi!
"A force de frapper l'enclume, de regarder passer les lunes, tu sais parler de nos aïeux comme s'ils n'avaient jamais été vieux ..."
Christian Decamps
Time Exposure est le sixième album studio de Little River Band, qui a été enregistré avec le producteur George Martin chez Associated Independent Recording à Montserrat et sorti en septembre 1981. Il a culminé à la 9e place du classement australien des albums du Kent Music Report.