Documentaires

[gabuzomeuzomeu]

Hier soir sur le "replet" d'Arte Joe Cocker et Kate Bush
https://www.arte.tv/fr/videos/064475-00 ... oe-cocker/

[Punker paname]

Le Gab Hier soir sur le "replet" d'Arte Joe Cocker et Kate Bush

J'ai adoré hier soir aussi et toujours sur Arte le documentaire sur Peaches

https://www.arte.tv/fr/videos/103531-00 ... f-peaches/

filmé pendant la tournée anniversaire de l'icône queer électro-rock Peaches, où elle revisite l'album qui l'a révélée dans les années 2000, ce portrait inspiré et complice retrace sa folle aventure musicale et existentielle. Un éloge radical de la liberté.

Jadis, Peaches, qui s'appelait encore Merrill Nisker, chantait dans les crèches de Toronto avec une guitare à fleurs, avant de décider que son désir de créer exigeait d’être vécu à plein temps. Après quelques groupes éphémères, mais fondateurs pour elle – en particulier The Shit, qui l'a propulsée à la fin des années 1990 sur la scène survoltée de l'underground berlinois en compagnie de "Gonzo" alias Chilly Gonzales –, elle a opté pour Peaches tout court. Une référence, explique-t-elle, à la chanson de Nina Simone "Four Women", qui évoque la souffrance d'être noire et femme aux États-Unis. Mais ses chansons à elle, propulsées par l'énergie sans pareille de ses performances scéniques, célèbrent avec une rage joyeuse la liberté d'être, de jouer, de vivre, en premier lieu sa sexualité. Plus de vingt ans après la sortie de l'album qui l'a révélée, The Teaches of Peaches, elle entreprend une tournée pour en revisiter les titres – "Fuck the Pain Away", "Rock Show", "Set it Off", "Diddle my Skittle"… –, tous des tubes. Le film tisse avec fluidité les archives, souvent inédites, de sa jeunesse sauvage, où la fête et la musique se mêlaient intensément au quotidien, ainsi que les moments de préparation, de répétition et de concerts filmés, avec des entretiens plus posés. Peaches en est la principale interlocutrice, mais à l'image de sa vie et de sa musique, le récit est collectif : il donne la parole aux membres de sa nouvelle "famille" de scène, à Chilly Gonzales, à Feist (qui fut sa coloc à Toronto), ou encore à Shirley Manson de Garbage, surnommée "l'inattendue marraine du rock", qui a maintes fois chanté avec elle.

En toute franchise
Attention, "contenu explicite" ! En retraçant les métamorphoses successives de Peaches, tout en partageant le quotidien éprouvant, mais chaleureux, de sa tournée, ce portrait complice offre une rencontre privilégiée avec celle qui est devenue au fil du temps une égérie rock de la cause LGBTQIA+ et du féminisme. Il permet de comprendre qu'à l'opposé de la provocation ses performances ravageuses (que l'émission phare de la BBC Top of the Pops avait préféré censurer) constituent une forme de mise à nu, d'invitation radicale à assumer son corps, ses désirs, sa singularité, que l'on ait 10, 30, 60 ou 80 ans : "Si on s'aime soi-même, les fans nous le rendront bien." Peaches a bien quelque chose à "enseigner" et à transmettre : sa franchise, sa liberté, son engagement total dans la musique, qu'elle pratique, dit-elle, "un peu comme on tourne en Super-8", avec le besoin d'improviser et de se réinventer dans l'instant du concert. Un film à son image, qui est aussi "une manière festive de dire merde", commentait son coréalisateur Philipp Fussenegger lors de sa présentation à la Berlinale 20

[andy]

Excellent Doc en Replay sur arte du groupe Steppenwolf

[Algernon]

Merci Andy
Fallait le savoir. Chouettes archives filmées.
Je vais apprendre des trucs sur le groupe, parce que je n'en connais pas bézef. Les passés européens, Toronto...
Steppenwolf restera le groupe d'un hit énorme et légendaire, mais le reste... c'est ce que le temps retient, me semble-t-il.

Docus : Kate Bush, Paul Weller, Udo Kier ! éCpatou. Et bien, je vais griller un peu de temps d'ici ce week end.

[Pablitta]

Je n'ai pas vu passer l'info sur le docu consacré à Jimmy Somerville sur Arte.
En même temps, il n'est ni punk, ni prog, ni confidentiel, ni baba . Ceci explique peut-être cela.

Je l'ai toujours trouvé super sain et talentueux (et sa voix, mein gott ...) mais on découvre dans le docu que le gars, il soutenait bien d'autres causes que la cause LGBT.
Un grand (1,60M à tout casser ) Monsieur.
Il s'est retiré depuis quelques années pour rester dans un anonymat qui semble bien lui convenir.

Toujours en replay. Voici le lien :
https://www.arte.tv/fr/videos/119423-00 ... omerville/

[CCR]

Jamais entendu parler de ce festival de ce Toronto Rock & Roll Revival Festoval de 1969 réunissant des vieilles gloires du rock originel sur le retour ainsi que, The Doors, Alice Cooper, Chicago et ...un certain John Lennon !

[media]https://www.arte.tv/fr/videos/098781-00 ... l-revival/[/media]

[lienard]

Merci Andy
Fallait le savoir. Chouettes archives filmées.
Je vais apprendre des trucs sur le groupe, parce que je n'en connais pas bézef. Les passés européens, Toronto...
Steppenwolf restera le groupe d'un hit énorme et légendaire, mais le reste... c'est ce que le temps retient, me semble-t-il

Born to be wild reste effectivement le plus connu mais si l'on gratte un peu plus en profondeur, on y découvre pas mal de perles qui valent le détour, j'en parle en toute connaissance de cause vu que j'ai tout de John Kay avec ou sans Steppenwolf.

[Algernon]

Hier soir, j'ai entendu pour la première fois (? pas de souvenir) une version de Born To Be Wild par Wilson Pickett. Merci FIP.
C'est l'album Muscle Shoals avec Duane Allman. Aaah, ça me revient un chouille.

[Punker paname]

A voir Absolument le fameux film documentaire de Penelope Spheeris sur la scéne Punk de Los Angeles période 1977 1983

Dont la B.O qui était sortie en disque en 1980 sur Slash Records nous avait plus que marqué dans la petite bande de copines et potes Punks et de Freaks avec qui je trainait entre 1977 et 1983





The Decline Of Western Civilization FULL MOVIE Penelope Spheeris Music Documentary

Penelope Spheeris' The Decline Of Western Civilization is a riveting, unflinching and hard-core film which adeptly captures the spirit of a major cultural phenomenon. Including performances by X, Circle Jerks, Black Flag, Catholic Discipline, Germs and Alice Bag Band. Breaking down barriers of expression and social mores, the Decline punks were against everything: They gave birth to an anti-establishment view of the world that permeates today's music, politics, social attitudes, styles and trends. The film documents their deliberate reaction to the mass commercialism of music; it is a blatant and angry rejection of the mainstream. Burgeoning at the time, many of the punk bands first seen here have become legendary. The effect of the film on current day music, styles and trends is immeasurable.

[nunu]

A voir Absolument le fameux film documentaire de Penelope Spheeris

Megateuf, excellent

[Punker paname]

A voir Absolument le fameux film documentaire de Penelope Spheeris

Megateuf, excellent

Ça nous avait tellement marqué ce film pour tout mon petit crew de Painques et de Freaks de l'époque qu’après qu' ils aient diffusé le film en 81 au Rex à Paris (Ca avait d'ailleurs tourné à l'émeute) que deux de mes meilleurs potes décidèrent de partir vivre aux U.S.A, et ça leur à réussi puisque l'un d'entre eux à ensuite joué de la basse avec (entre autres) Acid King, B.A.L.L Goatsnake, No Pigs, Porn et The Obsessed, il vis en Hollande maintenant où il s'occupe du label Southern Lord Europe

Sinon le personnage le plus passionnant du film est certainement Claude Bessy R.I.P le chanteur des Catholic Discipline, un fRançais natif de Normandie installé aux U.S.A qui fut l'un des fondateurs du fanzine Slash Magazine puis du label Slash Records , il bossa ensuite pour Rough Trade et comme producteur de vidéo pour le label Mancunien Factory Records il nous à quitté en 1999 des suites d'un cancer du poumon.

Un live posthume de Catholic Discipline Underground Babylon est sorti en 2004 sur le label Artifix Records que je n'ai hélas jamais trouvé et qui malheureusement est sold out

Le groupe était composé de pointures des scènes Punk, Post Punk et Noise Art Rock de L.A avec Claude Bessy chant, Phranc guitares des Castration Squad et Nervous Gender, Craig Lee batterie des Alice Bag Band, The Bags , Robert Alan Lopez de The Zeros qui deviendra ensuite El Vez Synthés, claviers et Rick Brodey basse des Bpeople